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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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Demeurons en Christ en Lui faisant confiance pour nous garder (2)

29 Mars 2023 Publié dans #Divers

La relation entre l'œuvre de Christ et la nôtre s'exprime merveilleusement dans les paroles de Paul « ... afin de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par le Christ Jésus » (Philippiens 3. 12a). Parce qu'il savait que le Tout-Puissant et le Fidèle l'avait saisi dans le dessein glorieux de le faire un avec Lui-même, alors il aspirait de toutes ses forces à saisir ce glorieux trophée. La foi, l'expérience, la pleine assurance d'avoir été saisi par Christ lui donnaient le courage et la force de lutter afin de saisir ce pour quoi il avait été saisi. Chaque nouvelle vision de ce but exaltant en vue duquel Christ l'avait saisi et le tenait, le stimulait à nouveau pour ne viser à rien de moins.

Nous comprendrons mieux l'expression de Paul et son application à la vie du chrétien si nous nous représentons un père aidant son enfant à escalader une pente d'une faille escarpée. Le père est en haut et il a pris la main de son fils pour l'aider. Il lui désigne l'endroit où il pourra, avec son aide, poser le pied s'il saute un peu. Le saut serait trop haut et trop dangereux si l'enfant était seul mais il a confiance dans la main de son père et il saute pour atteindre ce point d'appui en vue duquel son père lui-même l'a saisi. C'est la force de son père qui lui donne de l'assurance et le soulève et c'est ainsi que l'enfant est poussé à employer au maximum sa propre force.

Telle est la relation entre Christ et nous chrétien, faible et craintif de par nous même ! Fixons les yeux sur le but en vue duquel Christ nous a saisi : une vie d'habitation permanente, de communion ininterrompue avec Lui, c'est à cela que Jésus veut nous élever — rien de moins.

Ce que tu as déjà reçu — le pardon et la paix, sa grâce et son Saint-Esprit — n'en sont que les préliminaires. Et toutes les promesses que nous pouvons entrevoir dans le futur — sainteté, fécondité, gloire éternelle — n'en sont que la conséquence normale.

L’union avec Jésus, et corrélativement avec le Père, est son objectif suprême. Fixons les regards sur cela et contemplons jusqu'à ce que ce fait nous apparaisse clair et indubitable : le but de Christ, c'est que nous demeurons en Lui.

Et maintenant, que cette seconde pensée pénètre en nous : C'est pour cela que Christ nous a saisi. Sa force toute puissante s'est posée sur nous et nous propose maintenant de nous élever là où Il voudrait que nous soyons.

Fixons les regards sur Christ. Contemplons l'Amour qui rayonne de ses yeux et qui nous demande pourquoi nous ne lui faisons pas toujours confiance pour nous garder désormais, alors qu'Il nous a cherché, trouvé, attiré près de Lui.

Contemplons ses bras Puissants et disons-nous qu'il est raisonnable d'être certain de sa réelle capacité de nous garder en Lui. Et tout en pensant à ce qu'il nous montre —au dessein béni pour lequel il nous a saisi — tout en gardant les yeux fixés sur Celui qui nous tient et attend de pouvoir nous élever. Alors ne pourrons-nous pas aujourd'hui même gravir ce degré et accéder enfin à cette vie bénie d'habitation en Christ ? Alors disons chacun : « O mon Jésus, si tu me tiens, si tu t'es engagé à m'élever et à me garder, je veux oser. Avec confiance, malgré ma crainte, je veux dire : Jésus, j'habite vraiment en toi ». Bien-aimés compagnons dans la foi, allons-y, prenons le temps d'être seul avec Jésus et disons Lui cela.

Les vérités de Dieu doivent immédiatement être mises en pratique. Oh ! Consacrons-nous aujourd'hui même au Sauveur Jésus-Christ en Lui livrant la seule chose qu'Il demande de nous : nous abandonner pour demeurer en Lui. C'est Jésus Lui-même qui l'accomplira en nous. Nous pouvons Lui faire confiance pour qu'Il nous garde confiant, en Lui.

Et si jamais des doutes s'élèvent à nouveau ou si nous sommes tentés de désespérer par l'amère expérience d'une défaillance, rappelons-nous d'où Paul tirait sa force : « j'ai été saisi par Christ ». De cette certitude découlent des forces abondantes. De là, nous pouvons contempler sur quoi l'apôtre Paul a établi tout son cœur et y établir aussi nos cœurs. Là nous retrouverons la certitude que Jésus achèvera la grande œuvre qu'Il a commencée. Et cette certitude nous donnera à chacun le courage de dire à nouveau, jour après jour : « je veux continuer, afin de saisir ce pourquoi Christ m'a saisi ». C'est parce que Jésus nous a saisi et parce que Jésus nous garde que j'ose dire : "Mon Sauveur, je demeure en toi".

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Demeurons en Christ en Lui faisant confiance pour nous garder (1)

28 Mars 2023 Publié dans #Divers

« …afin de le saisir, puisque moi aussi j'ai été saisi par le Christ Jésus. » (Philippiens 3. 12).

Bien des gens admettent que demeurer en Christ est un devoir sacré et un privilège béni, mais ils trébuchent sans cesse devant cette question : une vie de communion ininterrompue avec Jésus le Sauveur. Est-ce possible ?
Des chrétiens éminents, placés dans des circonstances particulièrement favorables pour cultiver cette grâce, peuvent peut-être y parvenir, mais on ne peut guère s'y attendre pour la grande majorité des disciples dont l'existence, telle que Dieu l'a voulue, est si remplie par les affaires de cette Vie !
Plus ils entendent parler de cette Vie divine, plus ils comprennent combien elle est glorieuse et bénie et ils seraient prêts à sacrifier n'importe quoi pour en devenir les bénéficiaires. Mais ils sont trop faibles, ils ont trop peu de foi, ils ne peuvent y arriver.

Chers amis lecteurs ! Il leur faut apprendre que demeurer en Christ est exactement ce qu'il faut pour ceux qui sont faibles, que cela leur convient admirablement. Il ne s'agit pas de faire des grandes choses et cela n’exige pas que nous menions d’abord une vie parfaitement sainte et consacrée.
Non. Il s’agit simplement pour le faible de s'en remettre à Celui qui est Puissant pour le garder, pour l'être humain de peu de foi de s'appuyer sur Celui qui est fidèle et véritable. Demeurer en Christ n'est pas une œuvre que nous ayons à faire pour pouvoir jouir du salut, mais c'est accepter de laisser Jésus tout faire en nous, pour nous et par notre moyen.
C'est une œuvre que Jésus accomplit pour nous - c'est le fruit et la puissance de son Amour Rédempteur. Notre part, c'est de nous abandonner, de nous confier et d'attendre ce qu'Il s'est engagé à accomplir.
Cette attente paisible, pleine de confiance, se reposant sur la promesse de Christ, qu'il y a en Lui une habitation toute préparée, voilà ce qui manque si gravement parmi les chrétiens.
Ils prennent rarement le temps ou la peine de comprendre que, lorsque Jésus dit : « Demeurez en moi », Il s'offre Lui-même — Lui, le Gardien d'Israël, qui ne sommeille ni ne dort (Psaumes 121. 4) — avec tout son Amour et toute sa Puissance, pour être l’habitation vivante de l’âme, là où la puissante influence de sa Grâce sera plus forte pour nous garder, plus forte que toutes nos faiblesses qui nous détourne de Lui.

Voici l'idée que ces chrétiens se font de la grâce : leur conversion et leur pardon ont été l'œuvre de Dieu mais maintenant, par reconnaissance envers Dieu, c'est leur œuvre à eux de vivre en chrétiens et de suivre Jésus.
On retrouve toujours cette pensée d'une œuvre à accomplir et, bien qu'ils prient Dieu de les aider, cela reste leur œuvre. Ils trébuchent continuellement, se désespèrent et le découragement ne fait qu'accroître leur impuissance.

Non, quittez cette erreur. C'est Jésus qui vous attirait à Lui quand Il vous a dit « Venez », et c'est encore Jésus qui vous garde quand Il dit : « Demeurez ».
La grâce pour venir et la grâce pour demeurer ne peuvent provenir que de Jésus seul. Vous avez entendu, médité et accepté ce mot : « venez ». Ce fut le cordage d'amour qui vous a tiré près de Lui ; de même « demeurez » est le lien par lequel Jésus vous tient solidement et vous attache à Lui.

Que chaque âme prenne seulement le temps d'écouter la voix de Jésus. « En moi », dit Jésus, « dans mes bras puissants. il y a de la place. C'est moi, moi qui t'aime tant, qui te dis : demeure en moi ; tu peux te fier à moi en toute certitude ». La voix de Jésus pénétrant et demeurant dans l'âme ne peut que susciter cette réponse : « Oui, mon Sauveur, en toi je peux, je veux demeurer ».

Demeurez en moi : ces paroles ne sont pas comme la loi de Moise, exigeant du pécheur ce qu'il ne peut accomplir. Il y a là un commandement d'amour, c'est-à-dire une promesse sous une autre forme.

Pensez à cela jusqu'à ce qu'ait disparu toute impression de fardeau, de crainte, de désespoir et que la première pensée qui vienne à votre esprit quand on vous parle de demeurer en Christ soit une espérance vibrante et joyeuse au point que vous pouvez dire : "c'est pour moi et je vais en jouir".

Vous n'êtes pas sous la loi, avec ses implacables « Fais ceci », mais sous la grâce bénie qui dit « Crois » à ce que Jésus a fait pour toi. Et si on vous pose cette question : « Mais, il y a sûrement quelque chose à faire de notre part », répondez : « Nos actes et notre travail ne sont que le fruit de l'œuvre de Jésus-Christ en nous ».

Quand l’âme devient littéralement passive, attendant en paix ce que Christ va faire, c'est alors que son énergie est capable de la plus grande activité et que nous pouvons travailler plus efficacement parce que nous savons qu'il travaille en nous.

Quand nous discernons dans ces mots « en moi » la puissante énergie de l'amour tendue vers nous pour nous atteindre, nous prendre et nous tenir, c'est alors que s'éveille toute la force de notre volonté pour habiter en Lui.

A SUIVRE...

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La Grâce oui, mais nos choix ont des conséquences

27 Mars 2023 Publié dans #Divers

La Grâce, selon la Bible, est la faveur imméritée de Dieu à notre égard. Nous sommes ainsi sauvés par la Grâce, au moyen de la foi en l’œuvre parfaite et achevée de Jésus sur la croix. En nous offrant en sacrifice Jésus Son Fils unique, Dieu le Père nous a réconciliés avec Lui et a effacé les actes dont les ordonnances nous condamnaient. Chacun de nous enfants de Dieu sommes donc une nouvelle créature en Christ Jésus et nous sommes appelés à marcher en nouveauté de vie par l’œuvre du Saint-Esprit en nous. Et par la même Grâce, nous pouvons à chaque fois nous approcher du Trône de la Grâce de Dieu pour lui rendre des actions de grâces pour tous ses bienfaits à notre égard. Nous nous approchons aussi du Trône de la Grâce de Dieu pour demander pardon à Dieu pour nos péchés et iniquités, chaque fois où malgré notre bonne volonté de Lui obéir et de marcher selon Ses voies, nous nous laissons séduire par Satan pour trouver un compromis dans le péché. La Grâce de Dieu est chaque fois disponible pour qui se repend sincèrement de ses péchés et s'en détourne. Mais sachons avec certitude que la Grâce de Dieu ne nous donne jamais un prétexte pour pécher. « Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! … » (Romains 6 : 1-2).

La Grâce est disponible oui, mais Dieu ne peut malgré cela, nous empêcher de vivre les conséquences de nos choix, et cela pour plusieurs raisons que voici ci-dessous :

1. Dieu respecte notre libre arbitre :
L’Éternel Dieu dit : « J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité … » (Deutéronome 30. 19).
Nous êtres humains, Dieu nous a créés libres. Dieu ne tient pas à être servi par des gens dénués de volonté propre. Mais Dieu n'a pas donné le libre arbitre qu’aux êtres humains. Même les anges dans le ciel ont le libre arbitre. Dans
Ésaïe 14. 9-15 et Ézéchiel 28. 14-19, la Bible nous apprend que Lucifer (qui signifie ange de lumière ou porteur de lumière) a été créé parfait dans toutes ses voies. Dieu n'a pas créé le péché, ou un être imparfait. Il n'y avait aucune raison pour que Lucifer tombe de sa position élevée. Lucifer, l’un des plus beaux et puissants anges de Dieu, médita dans son cœur qu’il pouvait s’élever au-dessus de Dieu. Ainsi Lucifer a choisi de se rebeller volontairement contre le gouvernement et l'autorité de Dieu et un tiers des anges le suivirent. Et ils sont destinés à être condamnés dans l'Enfer éternel comme conséquences de leurs choix.
Dans le Livre de Romains 8. 20, nous lisons que « la création a été soumise à la vanité, non de son gré …  ». Dans la version français courant, on peut lire « non parce qu’elle l’a voulu elle-même ». Cela laisse entendre que la création a une volonté. En effet, c’est un principe propre à Dieu, que tout ce qui respire ou se réclame de Lui, le serve en toute liberté. C’est pourquoi Dieu ne peut nous ôter la faculté de choisir de Lui obéir ou non, de vivre ou de mourir, de choisir la vie éternelle pour le Paradis ou la mort éternelle pour l'Enfer. Dieu ne viendra pas choisir à notre place. Il nous présente comme nous le révèle Deutéronome 30. 19 la vie et la mort, en nous conseillant cependant et par amour de faire le bon choix de choisir la vie. Mais quand nous nous entêtons à choisir la voie de la destruction, Dieu ne viole pas notre liberté, pour nous empêcher d’en vivre les conséquences.

2. C’est une loi perpétuelle de l’Éternel :
« Tant que la terre durera, on sèmera et on récoltera… » (Genèse 8. 22).
Dieu, lorsqu’Il fit émerger la terre des eaux après le déluge du temps de Noé, instaura une loi qui dure de générations en générations, jusqu’à ce que le ciel et la terre ne soient plus. C’est bien celle des semailles et de la moisson. Depuis lors, il n’y a pas de prières possibles pour ne pas moissonner ce qu’on a semé ; ni pour une espèce donnée de porter les fruits d’une autre. Comme s’interroge Matthieu 7. 16 : « … Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? » Et Luc nous en donne la réponse : « Car chaque arbre se connaît à son fruit. On ne cueille pas des figues sur des épines, et l’on ne vendange pas des raisins sur des ronces » (Luc 6. 44). Selon donc le type de semence, l’on moissonne inévitablement en conséquence.
« Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. » (Galates 6. 8). Sauf donc à se contredire, et ce n’est pas prêt d’arriver, Dieu ne peut rien pour nous empêcher de moissonner ce que nous avons semé nous-mêmes. La grâce oui, le pardon oui, mais Dieu a créé l’univers pour être régi par des liens de causes à effets. Ainsi, chacun assumera donc les déconvenues liées à ses choix. Toutefois, la Bonne Nouvelle c’est que Dieu ne tient pas compte des temps d’ignorance. Quand le repenti est sincère, Sa Grâce vient nous donner la capacité d’endurer facilement les conséquences qui auraient pu être fatales sans elle.

3. On ne se moque pas de Dieu :
Dieu regarde au cœur. Il sait qui se trompe de bonne foi et qui se rebelle tout simplement ; et dans Sa si grande sagesse, Dieu accorde à chacun ce qu’il convient.
« Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi » (Galates 6. 7).
Se moquer de Dieu, c’est « se foutre volontairement » de Lui, de Ses commandements et prescriptions. Dieu veille que ceux qui se comportent ainsi, n’échappent pas aux conséquences de leurs actes. Il en fait Son affaire. C’est vraiment terrible d’avoir Dieu pour ennemi. Ne courez alors jamais ce risque. Quand vous ne savez pas, vous pouvez plaider l’ignorance. Mais si vous savez et Dieu sait quand vous savez, vous ne pouvez plus vous en prévaloir.
La Grâce n’est donc pas, comme le pensent plusieurs, un quitus pour continuer de pécher allègrement, comptant sur l'Amour de Dieu qui comprend et compatit à l’infini. Au contraire, la Grâce est intervenue, afin que nous n’ayons plus d’excuses pour continuer de vivre dans le péché. Elle est ainsi la capacité que Dieu nous donne pour dominer le péché.

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Un message venant d'en haut‏

26 Mars 2023 Publié dans #EVANGILE

Voici, je vous annonce un grand sujet de joie… Aujourd'hui... vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2. 10, 11). « Dieu... veut que tous les hommes soient sauvés... » (1 Timothée 2. 4).

En un après-midi de juillet, des milliers de vacanciers ont envahi les plages. Un avion tirant une immense banderole survole le bord de l'océan ; le message publicitaire écrit en grosses lettres est destiné à attirer une clientèle que les annonceurs souhaitent toujours plus nombreuse, dans l'espoir d'augmenter leur chiffre d'affaire et leurs profits.
En suivant des yeux l'avion, cela fait penser à un autre message d'une importance capitale. Il arrive de bien plus haut encore, puisque c'est le Dieu Créateur et Sauveur qui l'adresse à tous. C'est un message de salut, de paix et de pardon, qui n'a pas d'autre but que le parfait bonheur de tous ceux qui le recevront. Encore aujourd'hui, nous entendons ce message comme les bergers qui l'avaient entendu au temps de la naissance de Jésus Christ, une Bonne Nouvelle nous est annoncée. Pour nous, un Sauveur est né ! Dieu le Fils s'est fait homme pour révéler l'Amour de Dieu envers les êtres humains pécheurs qui l'ont pourtant crucifié. “Il a souffert... pour les péchés, le juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu” (1 Pierre 3. 18). “Le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui, et par ses meurtrissures nous sommes guéris” (Ésaïe 53. 5).
N'est-ce pas un message merveilleux ? Dans sa bonté, Dieu redit encore à chacun : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).

Jésus-Christ est la porte qui nous fait passer des ténèbres à la lumière. Jésus nous arrache de l'Enfer pour nous amener au Ciel. Rien, ni personne d'autre ne peut nous sauver et nous réconcilier avec le seul Dieu trois fois Saint, ni les œuvres, ni l'argent, ni les sacrifices, mais seul Jésus Christ peut le faire.
En recevant Jésus-Christ dans notre vie comme notre Seigneur et notre Sauveur, nous expérimentons et nous vivons une nouvelle vie dirigée par Dieu et sa Parole, remplit de solutions, de guérison et de bénédictions. (Romains 10. 9 ; Jean 1 : 12)
Nous qui avons reçu par la foi le Seigneur Jésus-Christ, tous nos péchés, toutes nos erreurs sont effacés et pardonnés par Jésus, par sa mort et sa résurrection. Maintenant Jésus nous a libérés et nous pouvons marcher avec Lui en nouveauté de vie (Éphésiens 1. 7 ; Romains 8. 1 ; 1 Jean 1. 9).

Quel glorieux message de la part de Dieu notre Créateur, notre Seigneur et Sauveur !

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La Nouvelle Naissance (2)

25 Mars 2023 Publié dans #Salut

NAITRE UNE FOIS et MOURIR DEUX FOIS ou-bien NAITRE DEUX FOIS et MOURIR UNE FOIS

Nous sommes tous nés une fois pour entrer dans ce monde ; nous avons tous à mourir une fois pour en sortir.
Chacun est d'accord sur ce point ; mais ce que chacun ne sait pas, c'est que, à côté de cette naissance et de cette mort qu'on peut nommer naturelles, il y a une autre naissance et une autre mort qui fixent notre sort pour l'éternité.

- Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu, disait Jésus. (Jean 3. 3).

Par notre naissance, nous entrons dans un monde condamné, perdu, à la condamnation duquel nous participons tous sans exception. Il n'y a point de distinction. Il n'est pas ici question de riches ou de pauvres, de nobles ou de bourgeois, d'honnêtes gens ou de criminels, de protestants ou de catholiques. Tous nous avons en nous-mêmes, par droit de naissance, le principe de la condamnation éternelle".

Voici donc deux morts devant nous : La mort naturelle d'abord, qui termine notre vie sur cette terre ; puis une seconde mort qui est la mort éternelle, la condamnation définitive dans l’Enfer éternelle. C'est de cette situation que Jésus-Christ est venu nous retirer. Fils de Dieu envoyé par Dieu, il se présente à nous comme Celui qui, seul, a la puissance de nous sauver, et Il a donné sa vie pour cette œuvre. C'est par un acte de confiance en lui que nous pouvons être sauvés. Dieu répond à notre foi en mettant en nous le principe d'une vie nouvelle : la Vie Éternelle. Celui qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle . . . Il n'est plus sujet à la condamnation ; il est passé de la mort à la vie ; il ne mourra point.
C'est là un don de Dieu, un acte de puissance, un miracle qui s'appelle la Nouvelle Naissance et sans lequel aucun être humain ne pourra jamais échapper à la condamnation. Ni mérites, ni vertus, ni actes de dévotion, ni bonnes dispositions, ni sacrifices d'aucune sorte, ne peuvent en aucune manière produire ce résultat, ou être substitués à cet acte de la grâce divine qui divise les hommes sur cette terre déjà en deux classes :
- Ceux qui n'ont passé que par une seule naissance, la naissance naturelle ;
- Ceux qui sont nés de Dieu, et qui ont passé par la nouvelle naissance. Ceux-ci sont participants de la nature divine
(1 Pierre 1. 3-4).

Ces deux catégories sont absolument distinctes aux yeux de Dieu, bien qu'elles ne soient pas toujours visibles pour les êtres humains ; car beaucoup peuvent avoir l'apparence de la vie sans la vie, les formes de piété sans avoir passé par cette Nouvelle Naissance.

Pour les premiers, la mort qui termine leur vie terrestre, marque seulement la fin des jours que Dieu leur donnait pour se repentir et revenir à Lui. Si, après avoir été mis en demeure d'accepter le salut, ils sont restés sourds aux appels de Dieu, Dieu les retire, et le jugement final ne fait que constater ce qu'ils sont, ce qu'ils ont voulu être : séparés de Dieu pour toujours, voués à la réprobation pour l'éternité ; c'est la seconde mort.

Quant aux seconds, ceux qui sont nés de Dieu, ceux qui sont des enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ, ils savent dès maintenant qu'ils ont à tout jamais échappé à la condamnation, à l’Enfer ; la mort qui termine leur vie sur cette terre ne fait que leur ouvrir la porte du Ciel, et les fait entrer dans la Gloire éternelle.

- Et maintenant, choisissez : que voulez-vous ? Naître une fois et mourir deux fois ? ou Naître deux fois et mourir une fois ?

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La Nouvelle Naissance (1)

24 Mars 2023 Publié dans #Salut

Tous ceux qui sont familiers avec la Bible connaissent l’histoire de Nicodème, ce théologien juif qui vient de nuit rencontrer Jésus. Ce récit se trouve en Jean 3. 1-21. Nous voyons dans le dialogue avec Jésus, que Nicodème est très rapidement perdu. Lorsque Jésus lui dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu », Nicodème  demande « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il une seconde fois entrer dans le sein de sa mère et naître ? ». Il se demande comment un homme peut sortir deux fois du ventre de sa mère, tandis que Jésus parle d’une seconde naissance spirituelle qui vient du Ciel, par le pouvoir du Saint-Esprit de Dieu.

Nous arrivons au cœur du dialogue entre Nicodème et Jésus : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu » (Jean 3. 16-18).

- De celui qui reconnait qu’il est pécheur, qui se repent, confie dans la foi sa vie à Christ et marche avec confiance sur les pas de Christ. Ou - de celui qui veut poursuivre sa route en pensant qu’il est autosuffisant, et qu’il n’a pas besoin de Jésus.

Il y a 4 points essentiels exposés ici :
- Le premier point est que nous sommes aimés de Dieu. Aucun être humain ne peut dire Dieu ne l’aime pas en pensant que « Dieu n’a que faire de lui ». Non, Dieu porte son regard sur chacun d’entre nous. Chacun a une place dans le cœur de Dieu.
- Le second point est que Jésus est le Fils Unique de Dieu le Père et qu’Il a donné sa vie sur la croix du calvaire pour nous sauver de la mort éternelle. Jésus est plus qu’un maitre, Il est plus qu’un simple prophète… Le don de Jésus est un don volontaire. Jésus dira sur la croix « tout est accompli » (Jean 19. 30). Jésus est entrain de dire, à Dieu son Père, alors qu’Il agonise sur la croix : ‘Tout ce que tu m’as demandé de faire pour que les êtres humains te connaissent et connaissent le pardon de leurs péchés a été réalisé exactement comme tu le voulais Père’.
- Le troisième point est que tous les êtres humains sont privés de la Vie Éternelle à cause du péché. « Il n'y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 22b-23a). Le péché, c’est ne pas vouloir de Dieu. Se croire suffisamment fort pour se débrouiller et changer avec son pouvoir ce qui ne va pas dans sa vie. Le péché, c’est imaginé que nous sommes autosuffisants et s’imaginer être libres. Non, tout cela n’est qu’illusion.
- Le quatrième point est que seule la foi nous permet de saisir le pardon de Dieu en Jésus-Christ : « que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle ».

« Il faut que vous naissiez de nouveau » (Jean 3. 7).

Jésus a parlé du lavage par la Parole de Dieu, de ceux qui croient en Lui, et ce n'est qu'après, que le baptême d'eau prend toute sa signification. « afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifié par le baptême d'eau ». (Éphésiens 5. 26).
Ici, le mot « baptême » n'est pas exact, il n'est pas dans l'original où il est dit ceci : « Il s'est livré Lui-même après l'avoir purifiée par le lavage d’eau ». Ceci veut dire que, par la parole, Dieu nous lave et nous purifie, mais ce n'est pas le baptême d'eau par immersion qui nous purifie.
« Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité » (Jacques 1. 18). Il nous a recréés par la Parole de vérité. « Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité,………puisque vous avez été régénérés………par la Parole vivante et permanente de Dieu » (1 Pierre 1. 22-24).
C'est la Parole de Dieu qui produit en nous ce merveilleux travail, et si nous acceptons la Parole, l’Esprit de Dieu se met aussitôt à 1’œuvre dans nos vies pour nous régénérer, nous recréer, faire de nous une nouvelle créature, un homme nouveau, une femme nouvelle.
Alors, à partir de là, nous demandons à être baptisés. Le baptême d'eau n'est que le signe de notre mort et de notre résurrection.

La foi, c'est croire que Dieu peut faire cela en nous personnellement, qu'Il est actif dans notre vie pour accomplir ces choses ; et bientôt nous allons retrouvé la paix, la tranquillité et le repos éternels. Le diable nous dira : « tu as perdu la vie, tu es mort, tu es sec comme de l'amadou ! » mais n'en croyons rien, continuons à faire confiance au Seigneur Jésus et nous verrons que les choses changeront en nous. Nous verrons les tentations s'éloigner de nous, elles perdront de leur attrait, de leur force ; pourquoi ? parce que nous sommes morts au péché ; et le Jour où nous quitterons ce monde, nous serons libérés de toute influence du mal et de toute tentation.

A SUIVRE...

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Un vide à combler en l'être humain

23 Mars 2023 Publié dans #Divers, #L'être humain

Un des grands problèmes de l'être humain est qu'il est un être qui prend conscience qu'il y a en lui un vide et des désirs profonds à satisfaire, très souvent inexplicables. C'est quelque chose qui le mine et que l'être humain veut à tout prix combler. L'être humain peut nier Dieu, cependant il n'en demeure pas moins qu'il réalise qu'il manque quelque chose. Et c'est très souvent pour fuir cette réalité que l'être humain a tendance à s'adonner à la drogue, à un tourbillon d'activités, à accepter aveuglément toutes sortes de philosophies, d'enseignements sur la réalisation de soi, etc...

Alors, comment combler ce vide ?

Pour combler ce vide, certains sont même prêts à adorer le diable, à se suicider ou à se laisser diriger par un homme qui prend ainsi la position que Dieu seul devrait avoir. On peut également être prêt à gagner le monde avec le désir inavoué de se faire soi-même dieu. Celui qui ne trouve pas Dieu hors de lui, le cherche en lui. Mais une vie sans le seul Dieu véritable est vide de sens, elle est semblable à un navire sans gouvernail ballotté çà et là par des vents contraires sur une mer en furie. Or Dieu connaît l'être humain à fond. Il le sonde et Il connaît ses grands besoins. Dieu n'est-Il pas Celui qui a créé les êtres humains ? C'est pourquoi, Dieu a donné aux êtres humains le seul moyen de Le trouver.

C'est Dieu seul qui peut combler ce vide :

Oui, Dieu seul peut et veut combler le vide qui est en l'être humain ! « Dieu a fait d'un seul sang tous les peuples de l'humanité pour habiter sur toute la face de la terre, ayant fixé des périodes déterminées, ainsi que les bornes de leur habitation, pour qu'ils cherchent Dieu, en s'efforçant si possible de Le toucher comme à tâtons et de Le trouver, quoiqu'il ne soit pas loin de chacun de nous » (Actes 17. 26-27). En fait, Dieu n'est pas si loin. Autour de nous, tout prouve qu'Il est là, car Il est « le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont, lui qui est le Seigneur du ciel et de la terre » (Actes 17. 24).

Le seul vrai Dieu notre Créateur est prêt à s'occuper de chacun de nous, à répondre à nos besoins. Notre Seigneur Jésus a dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes » (Matthieu 11. 28-29). C'est en son Fils Jésus que Dieu s'est révélé à l'être humain sur cette terre. Dieu s'est approché de nous en se faisant homme : Jésus-Christ est Dieu manifesté en chair, et Il a habité parmi les êtres humains. Malgré tout, la nature de l'être humain s'est montrée entièrement rebelle, incontrôlable et indisciplinée envers Jésus, ne supportant pas la Sainteté de Dieu en Jésus. La preuve : les êtres humains ont haï sans cause le Seigneur Jésus. Ayant conspiré contre Lui, ils ont délibérément résolu de mettre Jésus à mort par le moyen de la crucifixion afin de faire taire Sa voix qui présentait clairement leur condition.

Malgré toute la haine que les êtres humains pécheurs ont manifesté à l'égard de Jésus jusqu'à Le crucifier pour Le mettre à mort, le Seigneur Jésus est ressuscité le troisième jour et Il a vaincu pour toujours le péché, la mort et l'Enfer. Oui, par sa mort et par sa résurrection, Jésus-Christ a traversé et a vaincu pour toujours la mort pour tous ceux qui Lui appartiennent en croyant véritablement en Lui. JÉSUS SEUL DONNE UN SENS VÉRITABLE A NOTRE VIE parce qu'Il nous offre la Victoire sur tous ceux qui nous enchaînent. Oui, Jésus l'offre à tous ceux qui ont mis leur confiance en Lui ! Pour l'éternité, ils sont au bénéfice de cette glorieuse Victoire. “Notre Sauveur Jésus Christ... a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l'évangile” (2 Timothée 1. 10).

Plus qu'un vide comblé : la vie éternelle :

Alors, cher(e)s lecteurs/trices, si ce n'est pas encore fait, voulez-vous que Dieu comble le vide qui vous oppresse ? Ce chemin aboutit à la vie éternelle avec Dieu qui nous bénit pour toujours. Oubien préférez-vous rester insatisfaits, continuer à remplir ce vide vainement avec les plaisirs du monde, et rester loin de Dieu ? Sachez que ce chemin conduit à l'Enfer loin de Dieu et dans la malédiction éternelle. Mais dès maintenant, Dieu place devant chaque être humain la vie afin que chacun choisisse.

« Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils : celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie » (1 Jean 5. 11-12).

Que chacun choisisse Jésus, le Fils de Dieu, pour avoir la vie éternelle, car Dieu veut que tous les êtres humains soient sauvés. Dieu est prêt à revêtir de sa Justice quiconque se repent de ses péchés, croit en Jésus et se confie entièrement en Lui. C'est risqué, dangereux même, de repousser à demain la Grâce de Dieu en Jésus qui nous est offert dès maintenant. Cher(e)s lecteurs/lectrices, sachez que Dieu veut votre bonheur et que « il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent » (Luc 15. 10).

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(2) Dieu veut que tous soient sauvés

22 Mars 2023 Publié dans #Salut

Dieu veut que tous soient sauvés :
Il est très important de comprendre que Dieu ne veut absolument pas que les êtres humains aillent dans ce lieu horrible qu’est l’Enfer. Non seulement Dieu nous donne de nombreux avertissements dans sa Parole pour que chacun se prépare au jour du Jugement, mais Il a fait ce que nous ne pouvions pas faire : Dieu, par la mort de son Fils unique Jésus sur la croix, a payé le prix de nos péchés qui souillent chacun de nous êtres humains qui sommes responsables de nos actes. « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5. 8).
Soyons certains que Dieu ne veut pas qu’on aille en Enfer. Au contraire, Dieu plaide avec nous de ne pas y aller, car le choix nous appartient. Dieu dit aux Israélites par la bouche du prophète Ézéchiel : « Rejetez loin de vous toutes les transgressions par lesquelles vous avez péché ; faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau. Pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël ? Car je ne désire pas la mort de celui qui meurt, dit le Seigneur, l’Éternel. Convertissez-vous donc, et vivez » (Ézéchiel 18. 31-32). On retrouve ce même sentiment dans le Nouveau Testament : Le Seigneur « use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance » (2 Pierre 3. 9). Dieu « veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2. 4). Jésus a même versé des larmes sur les habitants de Jérusalem à cause leur incrédulité (Luc 19. 41, 42). Il les aimait malgré leur rébellion meurtrière. Aujourd’hui Dieu invite tous les êtres humains à se sauver des flammes de l’Enfer en se repentant de leurs péchés et en croyant en Jésus : « Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10. 12, 13).

Si un être humain croit en Jésus le Fils de Dieu, s'il se repent et se détourne de ses péchés, s'il place toute sa confiance en Jésus, il est scellé du sceau du Saint-Esprit. Il obtient le pardon de ses péchés et il est justifié devant Dieu. Il est un enfant de Dieu, se trouvant désormais sur le Chemin du Ciel, du Paradis. Oui quiconque croit en Jésus est éternellement sauvé de l’Enfer et ira vivre éternellement au Paradis éternel auprès du seul vrai Dieu de l'univers.

Le besoin de prêcher sur l’Enfer :
Que l'Enfer nous plaise ou pas importe très peu. Nous avons besoin de l’enseigner pour plusieurs raisons. D’abord, parce que Dieu veut que chaque être humain soit sauvé pour l'éternité, et étant donné que le Fils de Dieu Lui-même l’a enseignée, l'Enfer est vrai. Les apôtres inspirés l’ont enseignée également. La réalité du châtiment éternel en Enfer qui attend les êtres humains perdus nous fait apprécier davantage le merveilleux Salut que Jésus nous offre par le moyen de la foi en Lui. On néglige trop souvent la bonne nouvelle quand on ne saisit pas la mauvaise nouvelle de notre condition en tant que pécheurs. La doctrine de l’Enfer motive très souvent à l’obéissance à la loi de Dieu. Il peut être vrai que l’amour est une motivation plus noble que la crainte de la punition, mais Jésus Lui-même n’a pas hésité de motiver les êtres humains en leur parlant du Jugement à venir. Cette doctrine de l'Enfer doit nous donner plus de zèle et de l’urgence dans la prédication de l’Évangile. « Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes » (2 Corinthiens 5. 11).

Conclusion :
Pour être honnête, beaucoup de personnes rejettent la doctrine de l’Enfer parce que la simple idée qu'il y ait un Enfer éternel leur paraît trop injuste et contraire à la nature d’un Dieu qui aime ses créatures et veut qu'ils soient sauvés. Mais le seul vrai Dieu d’Amour est aussi le Dieu de Justice. Sa parole nous dit : « Considère la bonté ET la sévérité de Dieu » (Romains 11. 22). Ces deux qualités se confondent dans la croix de Christ, là où Dieu a puni nos péchés et en même temps a « prouvé son amour envers nous » (Romains 5. 8). Quelle tragédie que tant de personnes dans ce monde auront à subir la punition éternelle dans l’Enfer alors qu'ils pouvaient y échapper en mettant simplement toute leur confiance en Jésus-Christ qui l’a déjà subie pour eux à la croix du Calvaire ! S’il nous semble que le châtiment éternel en Enfer est trop injuste et sévère, il se peut que nous ne saisissons ni la Sainteté et la Justice de Dieu, ni la gravité du péché et la Sainte Colère du seul vrai Dieu trois fois Saint. Quoi qu’il en soit, acceptons que Dieu sait mieux que les êtres humains pécheurs ce qui est juste et véritable. A nous êtres humains de nous repentir et de saisir le parfait Salut que Dieu nous offre en son Fils Jésus-Christ avant que ce ne soit trop tard.

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(1) Éviter l'Enfer à tout prix !

21 Mars 2023 Publié dans #Enfer

Jésus rappelait toujours à ces auditeurs qu’il y aura un jour de Jugement où sera prononcé le sort éternel de chaque être humain. Rien n’est plus urgent que de se préparer pour ce jour. Pour ceux qui font la volonté de Dieu et qui meurent en Jésus-Christ (c'est-à-dire pour ceux qui croient en Jésus et placent toute leur confiance en Lui), Jésus leur promet une place dans le Royaume des cieux (dans le Paradis), le bonheur et la paix infinis, le privilège de voir Dieu, une « grande récompense dans les cieux », et bien sûr, la Vie Éternelle (Jean 3. 16 ; 14. 2, 3). Par contre, ceux qui ne font pas la volonté de Dieu et qui meurent dans leurs péchés (ceux qui rejettent, négligent ou ne placent pas leur confiance en Jésus) seront exclus, privés de toutes ces bonnes choses, jetés et condamnés éternellement en Enfer par le seul vrai Dieu trois fois Saint, à qui ils ne se sont pas soumis durant leur vie sur la terre.

Jésus dit à ceux qui n’avaient pas cru en Lui : « Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, et que vous, étant dehors, vous commencerez à frapper à la porte, en disant : ‘Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! Il vous répondra : Je ne sais d’où vous êtes. Alors vous vous mettrez à dire : Nous avons mangé et bu devant toi, et tu as enseigné dans nos rues. Et il répondra : Je vous le dis, je ne sais d’où vous êtes ; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers de l’iniquité. C’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors » (Luc 13. 25-28).

Mais Jésus ne présente pas le sort des condamnés comme étant le simple fait de se voir exclure du Paradis. Jésus a souvent parlé du châtiment éternel en Enfer (Matthieu 25. 46a), des ténèbres du dehors où il y aura des pleurs et des grincements des dents (Matthieu 8. 12 ; 22. 13 ; 25. 30), d’une fournaise et du feu éternel (Matthieu 13. 42, 50 ; 25. 41).
En parlant de l'Enfer dans
Matthieu 10. 28, Jésus se réfère à un endroit appelé « la géhenne » comme étant une image de la destination des êtres humains qui sont éternellement perdus et séparés de Dieu en Enfer. Le mot traduit par "géhenne" est le mot grec « gehenna » (c'est-à -dire « la vallée d’Hinnom » qui se trouvait au Sud de Jérusalem et qui était la décharge publique de Jérusalem). Que "gehenna" soit une décharge publique explique pourquoi Jésus la décrivit comme un endroit où le ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint jamais. Dans la vallée d'Hinnom, on jetait continuellement des déchets, des carcasses d’animaux et toutes sortes d’autres détritus qui y brûlaient continuellement. Oh ! quelle doit être l’horreur de l'Enfer, de la géhenne, pour que Jésus choisisse de la décrire de cette façon ?
L'horrible châtiment des perdus en Enfer est décrit par le même mot que celui qui décrit le bonheur infini des justes (des élus) : tous les deux seront éternels
(Matthieu 25. 46). Enfin, tandis que la Bible dit « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur… afin qu’ils se reposent de leurs travaux » (Apocalypse 14. 13), voici la description du sort de celui qui ne croit pas en Jésus et qui n’est pas sauvé : « il sera tourmenté dans le feu et le soufre… et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n’ont de repos ni jour ni nuit » (Apocalypse 14. 10, 11). Apocalypse 20. 10 dit que le diable sera « jeté dans l’étang de feu et de soufre » où il sera « tourmenté jour et nuit, aux siècles des siècles ». Tous les êtres humains qui se sont laissés séduire par Satan le Diable et se sont détournés
du seul vrai Dieu partageront également ce sort horrible avec le diable. Jésus-Christ leur Juge leur dira : « Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges » (Matthieu 25. 41).

Ce sort horrible est à éviter à tout prix par les êtres humains, ayant tous péché. Et pour échapper à l'Enfer éternel, Il faut se repentir et se détourner de ses péchés, il faut placer toute sa confiance en Jésus qui s'est sacrifié sur la croix pour le pardon de tous nos péchés en les expiant et qui est ressuscité pour notre justification. Jésus seul nous arrache de l'Enfer qui était notre destiné pour nous amener au Ciel, dans son Royaume de Gloire. Ainsi, à travers le Saint-Esprit de Dieu qui nous scelle éternellement de son sceau, Jésus vient vivre en chaque être humain qui croit véritablement en Lui ; Jésus lui donne la Vie Éternelle pour que, après avoir quitté ce monde, il aille vivre éternellement au Paradis, dans Sa présence au Ciel.

LIRE AUSSI : (2) Dieu veut que tous soient sauvés

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Le Paradis existe réellement

20 Mars 2023 Publié dans #Paradis

Qu’est-ce que le paradis ?
De la même façon qu’il y a un endroit appelé l'Enfer pour ceux qui sont perdus, il y a aussi un lieu appellé le Paradis pour ceux qui sont sauvés. Mais avant d’aller plus loin, il est important de différencier trois termes que beaucoup recouvrent sous le mot ciel, qui sont le jardin d’Éden, le paradis ou les cieux et enfin la Nouvelle Jérusalem.
- Le jardin d’Éden est le tout premier lieu évoqué dans la Bible dans le livre de la Genèse, dans lequel vivaient Adam et Eve. Contrairement à ce que beaucoup pensent, ce jardin était non pas céleste mais terrestre.
- Le paradis (ou les cieux) est la demeure actuelle de Dieu et des êtres célestes (comme les anges ou les 24 vieillards), ainsi que les morts en Christ. Il peut également designer le lieu dans lequel vivront Dieu, les anges et tous les enfants de Dieu à la fin du millénium.
- La Nouvelle Jérusalem, quant à elle, descendra du Ciel sur la Nouvelle terre et le nouveau Ciel sur laquelle nous vivrons pour l’éternité avec Dieu.

Le Paradis est inévitablement lié à la vie après la mort. Bien plus qu'un lieu merveilleux, c'est un état de bonheur parfait et de plénitude infinie réservé à tous les élus de Dieu qu'Il aura parfaitement sauvés. Même si ce mot "paradis" n'apparait pas dans l’Ancien Testament, il est utilisé par Jésus Lui-même dans le Nouveau Testament : "Amen je te le déclare : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le paradis" (Luc 23. 42).

Où se trouve-t-il ?
Comme expliqué précédemment, le paradis du jardin d’Éden était situé sur terre (certains pensent qu'il se trouvait au Proche Orient). Nous retrouverons ce paradis terrestre avec la Nouvelle Jérusalem, comme expliqué en Apocalypse 21. 1 : "Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre, car le premier Ciel et la première terre avaient disparu et la mer n‘existait plus. Je vis descendre du Ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem [...]"

A quoi cela ressemblera ?
A quoi ressemblera le Paradis ? Il faudra y être pour le découvrir ! Mais nous pouvons nous baser sur la description du jardin d’Éden pour l'imaginer. La Nouvelle Terre sera verdoyante, les animaux y vivront en liberté et les êtres humains rachetés et glorifiés ne pourront plus commettre de mal. Le péché, la méchanceté, les maladies, la souffrance, la mort et toutes les conséquences du péché n'existeront plus. Dieu offrira la vie éternelle à tous. L’unité et la paix régneront. Les élus de Dieu pourront profiter pleinement des merveilles de la nature. De nombreux versets d’Ésaïe décrivent ce qui nous y attend dans les Nouveaux Cieux et sur la Nouvelle Terre :
— « Ils bâtiront des maisons et les habiteront; ils planteront des vignes et en mangeront le fruit. Ils ne bâtiront pas des maisons pour qu’un autre les habite, ils ne planteront pas des vignes pour qu’un autre en mange le fruit ; car les jours de mon peuple seront comme les jours des arbres, et mes élus jouiront de l’œuvre de leurs mains. Ils ne travailleront pas en vain, et ils n'auront pas des enfants pour les voir périr; car ils formeront une race bénie de l’Éternel, et leurs enfants seront avec eux ». (Ésaïe 65. 21-23).
— « Le loup et l’agneau paîtront ensemble; le lion, comme le bœuf, mangera de la paille, et le serpent aura la poussière pour nourriture Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte » (Ésaïe 65. 25).
—  « Alors s'ouvriront les yeux des aveugles, s'ouvriront les oreilles des sourds ; alors le boiteux sautera comme un cerf et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert et des ruisseaux dans la solitude. » (Ésaïe 35. 5-6).
La conscience humaine ne peut imaginer un lieu d'une telle perfection ! Néanmoins, les quelques descriptions que la Bible nous offre présentent un lieu merveilleux et exceptionnel qu'il ne faudra pas manquer !

Quelles sont les activités qui s’y font ?
La Nouvelle Jérusalem ou le Paradis biblique est un lieu spirituel avant d‘être matériel ! Romains 14. 17 déclare que « le Royaume de Dieu n'est pas manger et boire, mais justice, et paix, et joie dans l‘Esprit Saint ». C'est donc un lieu où les êtres célestes ont pour principale activité de louer et d'adorer Dieu. C'est pourquoi beaucoup se trompent en pensant aller au Paradis pour mener la belle vie. Il est vrai que notre quotidien y sera exceptionnel, mais il se résumera principalement à passer du temps avec Dieu ! Par ailleurs, la Bible évoque qu'il y aura différentes demeures
(Jean 14. 2), ainsi que des temps de festivités (Luc 22. 18). Les noces de l’Agneau qui auront lieu après l'Enlèvement de l’Église peuvent en témoigner. Luc 22. 30 évoque les grands buffets qui attendent les sauvés, mais aussi le fait qu'ils pourront rencontrer tous les élus de Dieu  de tous les temps (Matthieu 8. 11).

Conserverons-nous le même corps ?
Notre corps terrestre, qui n'est pas capable de supporter la Sainteté de Dieu, ressuscitera et sera transformé et glorifié lors du Retour de Jésus pour enlever son Église. Ainsi, au Ciel, nous tous seront dotés d'un nouveau corps glorieux semblable à celui de Jésus notre Sauveur. L'apôtre Paul parle de corps célestes ou glorieux en Philippiens 3. 21 : "qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire".
Oui, lorsque nous irons à la rencontre de Jésus dans les airs, notre corps sera transformé en un nouveau corps glorieux et éternel, nous conserverons aussi notre identité propre qui sera sanctifiée.

Comment être sûr d’hériter du Ciel ?
Beaucoup pensent qu’il suffit d'être une bonne personne pour hériter du Paradis. Pourtant, la Parole de Dieu insiste sur le fait que nous sommes sauvés non pas par nos actes, mais par notre foi en Jésus. Il faut ainsi se repentir, accepter Jésus comme Seigneur et Sauveur et vivre dans la sanctification au quotidien, afin de développer sa relation vivante et personnelle avec Dieu. Le Paradis est un lieu de sainteté parfaite, et nous ne pourront y vivre que si nous sommes nés de nouveau par le Saint-Esprit et si nous vivons dans la sanctification. La vie sur terre n'est ni plus ni moins qu‘une préparation à la vie céleste.

Le Paradis : notre unique objectif ?
Le Paradis ? Beaucoup en rêvent. Pourtant, le fait de vivre sa foi en ayant cet unique objectif peut donner l'impression d'une relation intéressée. Aimez-vous le Seigneur pour ce qu'Il est ou pour ce qu'Il peut vous offrir ? C'est une question qu‘il faut se poser au quotidien. En effet, nous ne devons pas suivre Dieu par peur d'aller en Enfer, mais par amour véritable pour Lui.
"La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17. 3).
Nul ne peut imaginer véritablement ce à quoi ressemble le Paradis. Comme la Parole de Dieu le dit en 1 Corinthiens 2. 9 : « ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues ». Mais une chose est sure : il ne faut pas le rater ! Ainsi, faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour être sauvés. Une fois dans la Nouvelle Jérusalem, nous réaliserons que tous les sacrifices sur terre en valaient la peine !

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