Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Les deux aspects du pardon de Dieu

30 Novembre 2022 Publié dans #Pardon des péchés

Tiré du livre « Si tu veux aller loin » de Ralph Shallis

Nous enfants de Dieu, Dieu nous appelle à entrer dans sa présence « parce que Jésus est notre Souverain Sacrificateur et non pas notre ennemi ». Notre pardon est déjà acquis. Dieu ne reviendra pas sur sa Parole. Mais il y a une condition qui s'attache à la libération de notre conscience. Le Nouveau Testament nous fait comprendre clairement que la seule base du pardon de Dieu est le précieux sang de Jésus ; mais il y a deux aspects de ce pardon.

LE PARDON JUDICIAIRE DE DIEU :
Avant le jour de notre Nouvelle Naissance, Dieu était notre Juge et nous étions des pécheurs coupables, les assassins de son Fils Jésus mort sur la croix pour nous, car nous étions poursuivis par la Loi divine. Mais le jour de notre Nouvelle Naissance, Dieu en tant Que Juge pardonna tout nos péchés, passés, présents et futurs. Depuis, Dieu ne voit plus notre péché ; à ses yeux, nous sommes justes comme Jésus-Christ est Juste. Dieu considère notre péché comme appartenant à Jésus et sa mort comme étant la mienne. La Justice de Jésus est devenue notre
justice. Notre cœur est maintenant à Jésus et sa résurrection est devenue notre vie nouvelle. Par cet acte de Dieu, nous avons été identifiés avec Jésus-Christ dans sa mort et dans sa résurrection. Puisque Dieu nous considère maintenant comme étant mort avec Christ, Il peut enfin nous pardonner, ce qu'Il ne pouvait faire auparavant.
C'est grâce au pardon de Dieu que nous pouvons dès lors recevoir sa vie de résurrection ; elle nous est donnée à l'instant même où son Esprit est entré en nous. La nouvelle naissance est donc le résultat direct du pardon judiciaire de Dieu et ce pardon est définitif. Heureusement que notre Salut dépend d'un acte Souverain de Dieu et non pas de notre ténacité !

LE PARDON PATERNEL DE DIEU :
A partir de l'instant où on devient enfant de Dieu par le sceau du Saint-Esprit vivant en nous, Dieu n'est plus notre Juge, Il devient notre Père. Nous ne sommes plus des criminels à ses yeux, nous devenons ses enfants et nous l’appelons ABBA, PÈRE. En tant qu'enfants de Dieu, quand nous sommes conscients d'avoir péché, nous n'avons plus affaire avec Lui sur le plan judiciaire, mais nous avons affaire avec Lui comme l'enfant vis-à-vis de son père. En tant qu'enfant de Dieu, Dieu en tant que Juge ne voit plus mes péchés, mais si je pèche, ma conscience le voit bien et mon péché peut nous tourmenter. C'est alors qu'un gros nuage noir monte entre moi et le soleil de la présence de Dieu. Je suis toujours son enfant et Dieu est toujours mon Père, mais à cause de mon péché non confessé, je ne vois plus Sa face. J'ai perdu, non pas mon salut, mais ma communion avec Dieu.
Ainsi, à chacune de mes faillites, je dois revenir à Dieu mon Père céleste et Lui confesser ma faute. Satan essaie de m'en empêcher, en me faisant croire que Dieu le Père me chassera de sa présence. Alors tant que je ne crois pas au parfait pardon de Dieu, Satan me tient dans un état de dépression et d'impuissance spirituelle. Tant que ma conscience est souillée, le Saint-Esprit est attristé et cesse de me remplir.

Pour avoir le PARDON JUDICIAIRE de Dieu, il y a une seule condition, répétée plus de cent fois dans le Nouveau Testament : « Croire au Seigneur Jésus ».
Pour avoir le PARDON PATERNEL de Dieu, il y a également une seule condition : « Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1 : 9). Ce passage, comme toute la première épître de Jean, est adressée aux croyants en Jésus, aux enfants de Dieu.
Comme nous avons déjà obtenu le pardon judiciaire de Dieu par la foi en son Fils Jésus-Christ, ainsi nous obtenons son pardon paternel par la foi sur la base du même sacrifice de Christ qui a tout accompli une fois pour toutes. Ce que Dieu demande de nous, c'est la véracité, c'est l'honnêteté absolue.
Dieu exige donc une confession sincère. Nous devons reconnaître ce que nous avons fait de mal à Ses yeux. Ce que Dieu ne tolère pas, c'est que nous essayions de nous justifier, de nous excuser ou de nous esquiver. Il faut appeler le péché par son nom. A l'instant même de la confession sincère de nos péchés, nous recevons le pardon paternel de Dieu. Le pardon judiciaire, nous l'avons déjà ; maintenant Dieu nous pardonne aussi en tant que Père toujours pour la même raison : « le sang précieux de son Fils » qui fut versé sur la croix pour que, par le moyen de la foi en son Fils Jésus, nous recevions le pardon tous nos péchés. « Dieu est fidèle » car Il l'a promis ; « Il est juste » car Christ est mort et ressuscité ; Dieu nous pardonne et nous purifie aussi de tout péché - si nous le CONFESSONS.
La condition, la seule, pour obtenir le pardon de Dieu notre Père céleste, c'est la confession sincère du péché. Nous ne pouvons rien faire pour l'expier. Nous n'avons même pas besoin de le faire, puisque Jésus-Christ l'a déjà fait pour nous. Il nous faut simplement nous présenter devant Lui tels que nous sommes et d'un cœur repentant, car « Dieu est lumière » (1 Jean 1 : 5). A la lumière de la face et de la Sainteté de Dieu, toute imperfection est immédiatement mise à nu. « Si nous marchons dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion et le sang de son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1 : 7).
A notre sincère confession, Dieu répond : « Mais, mon enfant, la question fut déjà réglée par mon Fils, il y a deux mille ans, sur la croix ; nous n'avons plus besoin d'en parler ». Dieu tourne la page de mon dossier, Il ne revient plus jamais sur cette question. Cependant, Dieu me place à nouveau devant la croix où Jésus a totalement expié tous nos péchés. Jésus-Christ est ressuscité et la croix est vide, mais j'entends la voix de Dieu mon Père me disant : « Mon enfant, souviens-toi du sang de mon Fils Jésus versé sur la croix ! Voilà le prix de ton pardon, voilà pourquoi tu es de nouveau en communion avec moi ».
Par cette discipline, je me relève purifié après chacune de mes faillites, mais aussi avec une haine accrue pour le péché. Je comprends mieux l'Amour parfait de Dieu pour moi, son incalculable générosité, son étonnant pardon envers le misérable que je suis.

Lire la suite

Détester Satan, le monde et les péchés de notre corps

29 Novembre 2022 Publié dans #Divers

Savez-vous que pendant que nous vivons tranquillement, les ennemis de Dieu sèment leurs méchancetés, ralentissent l’Église et même détruisent parfois ce que Dieu fait ? "Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla" (Matthieu 13. 25).
Une des caractéristiques de Jésus que son Père aimait est que Jésus aimait le bien et il haïssait le mal. "Tu as aimé la justice, et tu as haï l’iniquité; c’est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t’a oint d’une huile de joie au-dessus de tes égaux" (Matthieu 13. 25). La Parole de Dieu nous enseigne que nous les chrétiens nous devons être des personnes qui haïssent aussi toute forme de mal. "Que la charité soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur; attachez-vous fortement au bien" (Romains 12. 9).

Nous allons parler de certains groupes ennemis de Dieu, dont le Seigneur nous met en garde et qu’il nous demande surtout de ne pas les aimer ni de fraterniser avec.

1 — DIEU NOUS DEMANDE DE HAÏR LE MONDE OCCULTE

Le plus grand ennemi de Dieu est celui qui s’attaque à tous les êtres humains. "L’ennemi poursuit mon âme, Il foule à terre ma vie; Il me fait habiter dans les ténèbres, comme ceux qui sont morts depuis longtemps" (Psaumes 143. 3).
Cet ennemi,-là, le diable, essaie de détruire les chrétiens. "Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance" (Jean 10. 10).
En tant que Chrétien, nous ne pouvons être partagés entre Dieu et le diable, entre aimez Dieu et aimez ce qui appartient au diable, entre s’abreuver de Dieu et de ce qui appartient au diable. "Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons" (1 Corinthiens 10:21)
L’apôtre Paul nous met en garde des alliances avec ce qui appartient au diable. "Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ?" (2 Corinthiens 6. 14-15).
Dieu veut marcher avec nous, mais il s’attend à ce que son peuple se sépare afin qu’il nous bénisse ! "Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : j’habiterai et je marcherai au milieu d’eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant" (2 Corinthiens 6. 16-18).

 2 — DIEU NOUS DEMANDE AUSSI D’HAÏR LES PÉCHÉS DU MONDE

Le monde est sous l’influence du diable. L’enseignement du Nouveau Testament a pour but de nous séparer des pratiques du monde pour nous amener à comprendre de plus en plus ce que Dieu aime. "Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait" (Romains 12. 1-2).

Jésus en nous rachetant n’a pas voulu nous retirer de ce monde, mais de nous préserver du mal. "Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal. 16 Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde" (Jean 17. 15-16).

Les chrétiens sont appelés à ne point aimé les pratiques mauvaises de ce monde. Dieu déclare que si nous aimons le mal de ce monde, nous ne l’aimons pas. "N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui, car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement" (1 Jean 2. 15-17)

Les pratiques de ce monde impie vont complètement à l’encontre de ce que Dieu à demandé. Celui qui aime le mal de ce monde se rend ennemi de Dieu. "Adultères que vous êtes! ne savez-vous pas que l’amour du monde est inimitié contre Dieu ? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu" (Jacques 4. 4).

 3 — DIEU NOUS DEMANDE AUSSI DE HAÏR LES ŒUVRES DE PÉCHÉ DE NOTRE CHAIR.

Un autre ennemi de Dieu est l’amour que nous portons envers les péchés de notre corps. "Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’esprit s’affectionnent aux choses de l’esprit" (Romains 8. 5). Lorsque nous aimons les péchés de notre corps, nous ne plaisons pas à Dieu et nous devenons ennemis de Dieu. "Car l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu" (Romains 8. 7-8).
Dieu nous appelle à nous affectionner aux choses de l’Esprit. "Et l’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix" (Romains 8. 6).
L’enjeu est grave, le combat que nous avons à livrer est grand, il faut toujours être sur nos gardes. "Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait une belle confession en présence d’un grand nombre de témoins" (1 Timothée 6. 12).

Lire la suite

Dire Oui au Seigneur Jésus‏

28 Novembre 2022 Publié dans #Choix

Jésus Christ est toujours vivant et présent, mais il ne force jamais notre liberté. Il se tient à la porte et frappe discrètement. Il n'entre pas s'il n'est pas invité. Jésus ne demande pas si celui qui l'appelle en est digne, mais s'il est réellement désireux de le recevoir comme Sauveur».

Être un vrai chrétien (un enfant de Dieu), c'est avoir librement dit "oui", le oui de la foi à l'Évangile, en Jésus-Christ. C'est dire au Seigneur Jésus : "Entre dans mon cœur, entre dans ma vie !". Alors, permettez-moi une question : Avez-vous reçu chacun personnellement le Seigneur Jésus dans votre cœur comme seul Seigneur et Sauveur de votre vie ? Peut-être n'osez-vous pas faire ce pas ? Soyez donc assurés que Jésus veut vous aider à Lui faire entièrement confiance. Il sait bien ce qui vous retient : ce peut être la peur de vous tromper ou d'être rejeté, ou de perdre vos amis ou votre liberté, ou toute autre raison.
Mais personne ne peut croire à votre place, personne ne peut vous accompagner jusqu'au bout dans cette décision pour le Seigneur Jésus… si ce n'est que Jésus seul. Oui, Jésus nous offre son pardon. Que chacun de nous le saisisse ! Reconnaissons la grandeur de son parfait Amour pour nous.

Quand nous nous convertissons, le Seigneur Jésus nous fait entrer dans son Royaume par notre pas de foi qui est un don de Dieu. Nous croyons qu’Il a payé notre dette, qu’Il nous accueille dans une vie où Il règne en Maître. Nous apprenons à connaître Sa voix, à l’adorer, à lui parler, à lire Sa Parole. En un mot, nous faisons nos premiers pas dans la vie Chrétienne. Ces temps sont souvent remplis d’un amour débordant. Nous voulons que tous autour de nous connaissent notre nouvelle vie et notre Sauveur Jésus. Nous ne manquons aucun rendez-vous dans Sa présence.

Dire oui à Jésus, c'est dire non à beaucoup d'autres choses. Plaçons toute notre vie entre les mains de Jésus. Faisons Lui entièrement confiance.
Au final, c'est la seule façon de dire Oui à Jésus. Le Seigneur attend un engagement d'amour fort, profond et sincère. Ce type d'engagement que Jésus a eu à la croix pour vous. Il n'y avait pas de demi-mesure à la croix… C'était un OUI total. Un oui qui vous donne la vie et la liberté.
Dire oui à Jésus, c'est dire non à beaucoup d'autres choses comme nous le dit la Bible : “Mais maintenant, rejetez tout cela : colère, violence, méchanceté. Ne lancez plus d’insultes ni de paroles grossières ! Ne vous mentez plus les uns aux autres. En effet, ce que vous étiez avant avec vos façons de vivre, vous vous en êtes débarrassés comme d’un vieux vêtement. Et, comme si vous aviez mis un vêtement neuf, vous êtes devenus une personne nouvelle. Cette personne se renouvelle sans cesse et elle ressemble de plus en plus à son Créateur. C’est ainsi que vous pourrez connaître Dieu pleinement” (Colossiens 3. 8-10).
Et c'est une victoire que de dire NON à ces choses pour dire OUI à Jésus ! Chaque jour, dites non à la jalousie, non à la calomnie, non au péché ! Dites oui à l'amour, oui à la vérité, oui au Christ ! Oui à ta vie, Seigneur Jésus !

Chèr(e)s ami(e)s lecteurs / lectrice, si vous avez accepté Jésus dans votre cœur, alors vous êtes une nouvelle créature. Que votre OUI à Jésus soit donc total durant toute votre vie. Notre oui initial est suivi, tout au long de notre vie, de la recherche de ce qui plaît au Seigneur Jésus et de notre acceptation à ce qu'Il nous demande. Cet acceptation puise sa force dans une confiance quotidienne et renouvelée en Jésus. Jésus nous donne la force de nous engager et de nous soumettre à son autorité. Car si notre foi est un engagement d'amour, elle est aussi un abandon confiant au Seigneur Jésus-Christ. C'est en Lui, dans sa fidélité, que nous trouverons la force de Lui être fidèles. Chaque jour !

Lire la suite

Échappée sur l'au-delà

27 Novembre 2022 Publié dans #La mort

"En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie. En vérité, en vérité, je vous dis : L'heure vient, et c'est maintenant, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront" (Jean 5. 24-25).

Dans le récit de l'homme riche et de Lazare, (Luc 16 : 19-31) Jésus lève un coin du voile qui nous cache l'au-delà. Il n'y est pas question du moyen de salut que le riche a négligé et que Lazare a saisi. Il ne s'agit pas non plus d'une rétribution basée sur le faux principe que plus nous souffrons sur la terre, plus nous aurons de mérites pour entrer au ciel.
Par ce récit, le Seigneur Jésus nous apprend qu'à la mort, soit notre âme entre dans le repos près de Jésus au Paradis, dans un bonheur parfait et éternel, soit elle s'en va loin de Lui dans les regrets et les tourments éternels en enfer.
Ensuite, Jésus nous montre que rien ne pourra plus changer notre condition après la mort : “Un grand gouffre est fermement établi” entre le séjour bienheureux des vrais croyants en Jésus le seul Sauveur, et le séjour des morts où se trouvent tous ceux qui auront refusé ou négligé le salut gratuit que Dieu offre en Jésus seul. Ni les prières, ni les offrandes des vivants ne peuvent plus rien pour les morts, pas plus que les souhaits des morts ne peuvent aider les vivants. Quand l'âme d'un être humain quitte le corps, elle entre dans le domaine de l'éternité.
Un troisième enseignement est que l'incroyant aura conscience du bonheur éternel de ceux qui sont sauvés ; il regrettera et mesurera ainsi sa folie d'avoir rejeté le salut gratuit que Dieu lui offrait gratuitement en Jésus Christ. Autrement dit, si l'existence d'un lieu de purification n'a pas de fondement biblique, l'enfer par contre est une réalité effrayante plusieurs fois mentionnée dans la Bible, pour quiconque n'aura pas accepté le Salut gratuit que Dieu offre en Jésus seul.
C'est dans son Amour que Jésus nous a révélé ces vérités, car le sort éternel de notre âme se décide pendant notre vie sur la terre : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).

Lire la suite

La Grâce, la Bonté et la Fidélité de Dieu

26 Novembre 2022 Publié dans #Divers

QU’EST-CE QUE LA GRÂCE ?  

Il est nécessaire d'examiner ce que renferme le terme grâce. Son sens premier et principal est celui de « faveur gratuitement accordée » ou de « bonté imméritée ». C'est ainsi que la Parole inspirée de Dieu l'emploie le plus fréquemment et qu'il faut comprendre les paroles du Saint-Esprit que nous aurons à examiner.
Dans les écrits de l'apôtre Paul, la grâce se tient en opposition directe avec toutes sortes ou degrés d'œuvres et de mérite. Nous lisons par exemple : « A celui qui fait une œuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due » ; « c'est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce » (Romains 4. 4,16). « C'est par la grâce que vous êtes sauvés... Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2. 8, 9). « La puissance de Dieu qui nous a sauvés... non à cause de nos œuvres, mais selon son propre dessein, et selon la grâce qui nous a été donnée en Jésus-Christ avant les temps éternels » (2 Timothée 1. 9).

La grâce présuppose l'absence de tout mérite.

Comme, dans son sens premier, le mot « pitié » se réfère à une créature souffrante ; de même la grâce, au sens propre et exact du terme, présuppose toujours l'indignité de celui qui en est l'objet. Ainsi, chaque fois que les enfants de la race déchue d'Adam reçoivent quelque chose de valeur de Dieu, ce doit être par grâce, puisque ceux qui bénéficient de ces bienfaits en sont indignes.
Dès que le plus petit degré de mérite paraît, la grâce cesse de régner et le principe de rétribution entre en jeu. Il est donc impossible d'associer la grâce et la dignité dans le même but. L'une doit par nécessité s'incliner devant l'autre, selon ce verset remarquable de l'Écriture : « Si c'est par grâce, ce n'est plus par les oeuvres; autrement la grâce n'est plus une grâce. Et si c'est par les oeuvres, ce n'est plus une grâce ; autrement l'oeuvre n'est plus une oeuvre » (Romains 11:6).

Le raisonnement de l'apôtre est clair. Tout ce qui résulte d'une œuvre n'a rien à voir avec la grâce et, inversement, ce qui est selon la grâce n'est en aucune manière selon les œuvres. Dans la perspective de Paul, les œuvres méritoires et la grâce sont essentiellement opposées et aussi irréconciliables que la lumière et les ténèbres.
Quand il affirme que les merveilleuses bénédictions du salut découlent de la grâce divine, il invite à examiner qui en sont les bénéficiaires. Non seulement ces gens n’y ont-ils aucun droit, mais ils méritent tout le contraire. Ils se sont attirés une terrible malédiction et sont justement exposés à une ruine éternelle.

LA BONTÉ ET LA FIDÉLITÉ DE DIEU

Psaume 36

Il y a dans ce psaume deux choses dont le psalmiste rappelle l’existence : la bonté et la fidélité de Dieu. Il essaie même de leur donner des dimensions. Il dit au verset 6 : « Ta bonté atteint jusqu’au cieux, ta fidélité jusqu’aux nues ». Et au verset 8, il ajoute : « Combien est précieuse ta bonté ». Nombreux sont les textes des Écritures abordant ce sujet.

Parlant de la Croix, Paul écrit à Tite : « Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa grande miséricorde ». (Tite 3.5).

Sans nul doute, à cause du sacrifice de Jésus, la bonté et la fidélité de Dieu trouvent leur plein épanouissement.

David conclut le psaume 27 par ces mots : « Oh ! si je n’étais pas sûr de voir la bonté de l’Éternel sur la terre des vivants !… Espère en l’Éternel ! Fortifie-toi et que ton cœur s’affermisse ! Espère en l’Éternel ! » (vv.13-14)

Dans ces temps troublés, il est bon de se rappeler ces choses. La Bible dit de Dieu qu’ « il n’est pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. (Actes 17.28) Que le Seigneur fasse que ces paroles soient de quelque réconfort à l’un de nos lecteurs.

Lire la suite

La paix d'être réconcilié avec Dieu

25 Novembre 2022 Publié dans #Divers, #Choix

"Puisque nous avons été déclarés justes en raison de notre foi, nous sommes en paix avec Dieu grâce à notre Seigneur Jésus-Christ" (Romains 5 : 1).
« Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation » (2 Corinthiens 5. 18-19).

Ce verset, quel remarquable résumé du Salut que nous offre Jésus-Christ. Quelle est la clé de ce passage ? C’est « notre foi » véritable en Jésus-Christ. Grâce à Jésus, Dieu nous a réconciliés avec Lui, affirme l’apôtre Paul dans 2 Corinthiens 5. 17-19. Notons bien que ce n’est pas nous qui nous sommes réconciliés, non, c’est Dieu qui a fait la démarche alors qu’Il ne nous avait fait aucun tort, pour que nous puissions être en paix avec Lui. Nous qui sommes devenus enfants de Dieu par le moyen de notre foi en Lui et en l’œuvre parfaite de Jésus sur la croix, Dieu nous assure que nous sommes, depuis que nous sommes sauvés et éternellement, en paix avec Lui pour toujours. N’est-ce pas rassurant ?

Parce que autrefois en tant que pécheurs sans Christ en nous, nous étions coupables devant Dieu, par conséquent séparés de Lui et méritant la mort éternelle en Enfer. En un mot, sans le savoir même, nous étions en guerre avec Dieu. Et voilà que Dieu, plein d'amour et de grâce pour nous, a fait Lui-même la démarche en nous envoyant le Médiateur, le Messie, le seul Sauveur du monde, qui est son Fils Jésus-Christ notre Seigneur.

Oui, la Bible dit que Jésus-Christ nous a réconciliés avec Dieu (2 Corinthiens 5. 18, Colossiens 1. 20-21). S’il a fallu une réconciliation, cela signifie que notre relation avec Dieu était brisée. Puisque Dieu est Saint, c’est forcément de notre faute à nous qui avons péché contre Dieu notre Créateur. Notre péché nous a séparés de Lui. Romains 5. 10 dit que nous étions ennemis de Dieu : « En effet, si nous avons été réconciliés avec Dieu grâce à la mort de son Fils lorsque nous étions ses ennemis, nous serons à bien plus forte raison sauvés par sa vie maintenant que nous sommes réconciliés ».
En mourant sur la croix, Christ a satisfait au Jugement de Dieu, pour que nous, qui étions ses ennemis, soyons en paix avec Lui. Notre réconciliation avec Dieu implique donc sa grâce et le pardon de nos péchés. Grâce au sacrifice de Jésus, notre relation avec Dieu a changé : alors que nous étions ses ennemis, nous sommes devenus ses amis, ses enfants. Jésus nous dit : « Je ne vous appelle plus serviteurs […] mais je vous ai appelés amis » (Jean 15.15) La Bible nous dit : « Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1. 12). La réconciliation chrétienne est une vérité glorieuse ! Nous étions ennemis de Dieu et maintenant nous sommes devenus ses amis, ses enfants. Nous étions condamnés à cause de nos péchés, mais maintenant nous sommes éternellement pardonnés. Nous étions en guerre avec Dieu, mais maintenant "nous avons une paix qui surpasse toute intelligence"
(Philippiens 4. 7).

Cher(e)s Lecteurs/trices, la balle est dans notre camp, car il nous appartient à chacun et personnellement de faire le choix de nous repentir de tous nos péchés et de recevoir Jésus dans notre vie. Ne croyons pas que nous pourrions être agréés par Dieu ou justifiés par des œuvres ou une pratique religieuse. Non, seule notre foi en Jésus-Christ, cette foi qui croit en la valeur infinie du sacrifice de Christ sur la croix, nous accorde la paix avec Dieu. Quelle grâce !

Possédez-vous cette paix ? Avant d'aller à la croix pour y mourir, Jésus a dit à ses disciples : « C’est ma paix que je vous donne. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne » (Jean 14. 27). Cette paix est assurée à tous ceux qui se détournent de leurs péchés et qui mettent toute leur confiance en Jésus. Oui, Jésus-Christ est le seul Sauveur vivant.

Lire la suite

Qu’arrivera-t-il à ceux qui n’ont jamais entendu parler de Jésus-Christ ?

24 Novembre 2022 Publié dans #Divers

Il est impossible que des pécheurs qui n’ont pas la foi en Jésus-Christ soient sauvés, car ils sont inexcusables pour leurs péchés (voir Romains 1. 21, 2. 12-16, 10. 13-17).

La Bible est-elle nécessaire pour connaître Dieu ? Il est cependant important que nous reconsidérions cette question sous un nouvel angle puisque les touts-petits enfants, s'il arrive qu'ils décèdent, étant incapables de recevoir l’appel externe du Salut seront néanmoins sauvées. Cette exception pourrait-elle s’appliquer à tout être humain qui n’a jamais entendu l’appel à venir à Jésus-Christ ou est-elle restreinte spécifiquement aux enfants mourants en bas âge et aux personnes ayant un handicap les empêchant de recevoir ou de comprendre l’appel externe du Salut ?

Les non-élus peuvent être appelés par le ministère de la Parole et peuvent être l’objet de quelques actions communes du Saint-Esprit. Cependant, s’ils ne sont pas efficacement attirés par le Père, ils ne voudront pas, et ne pourront pas vraiment venir à Christ, et par conséquent, ils ne pourront pas être sauvés. Il est encore moins possible que ceux qui ne professent pas la religion chrétienne soient sauvés, si assidus soient-ils à conduire leur vie selon la lumière de la nature ou les prescriptions de la religion qu’ils professent.

L’hypothèse de l’universalisme est immédiatement réfutée par ce paragraphe ci-dessus. Le fait que des enfants mourant en bas âge puissent être sauvés ne signifie pas que des pécheurs en âge de raison mourant dans leur rébellion seront sauvés. L’universalisme affirme que tous les êtres humains seront sauvés puisqu’ils ont tous été rachetés par Jésus-Christ : certains se repentent avant leur mort tandis que les autres se repentiront après. Cette théorie, bien qu’elle soit humainement attrayante, est difficilement soutenable bibliquement. Premièrement parce que l’Écriture affirme que l’Enfer sera peuplé (Matthieu 13. 40-43 ; Luc 13. 28-29 ; Apocalypse 21. 8). Ensuite parce que le jugement qui suivra la mort sera basé sur ce qui aura été fait pendant la vie d’une personne (Hébreux 9. 27 ; 2 Corinthiens 5. 10). Finalement parce que l’Écriture exclut explicitement l’offre de la grâce après la mort physique et réserve l’appel à la repentance à ceux qui sont encore vivants (Luc 16. 19-31).

Mais sans que tous les êtres humains soient au bénéfice de la rédemption, certains qui n’ont jamais entendu l’appel externe ne pourraient-ils pas eux aussi bénéficier de l’exception à la règle présentée ci-dessus ? Pour être tenu coupable d’avoir rejeté l’Évangile, ne faut-il pas l’avoir entendu ? Cette logique oublie que des êtres humains ne périssent pas premièrement parce qu’ils refusent de croire en Jésus-Christ, mais parce qu’ils sont pécheurs. Ceux qui n’ont jamais entendu parler de Jésus-Christ sont néanmoins coupables ; ils ne seront pas condamnés pour n’avoir pas cru au Messie, mais parce qu’ils sont transgresseurs de la Loi de Dieu qu’ils connaissent et devant laquelle ils sont sans plaidoyers (Romains 1. 18-21).

L’apôtre Paul fait cette démonstration dans l’Épître aux Romains. Il affirme : « Tous ceux qui ont péché sans la loi périront aussi sans la loi » (Romains 2. 12). Puis il étaye cette affirmation en démontrant que l’absence d’une connaissance de la révélation spéciale (la Loi écrite, les alliances, la promesse du salut en Jésus-Christ) n’excuse nullement les païens puisqu’ils ont suffisamment de lumière par leur conscience pour les rendre inexcusables de leurs péchés, même s’ils n’ont pas suffisamment de lumière pour être conduits au salut.

"Quand les païens, qui n’ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n’ont point la loi, une loi pour eux-mêmes ; ils montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leurs cœurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s’accusant ou se défendant tour à tour. C’est ce qui paraîtra au jour où, selon mon Évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes" (Romains 2. 14-16).

L’offre de l’Évangile n’est pas nécessaire pour que l’être humain soit reconnu coupable, la Loi universelle suffit (Romains 3. 19) : « Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu. » De plus, nous savons que « nul ne sera justifié devant lui par les œuvres de la loi » (Romains 3. 20) ; il ne reste plus que la foi en Jésus-Christ sans laquelle personne ne sera sauvé (Romains 3. 22-26).

La confession appelle ces hommes « d’autres non-élus » qu’elle présente en deux groupes. Le premier groupe est composé de pécheurs qui sont présents dans l’Église visible et la religion chrétienne, ils entendent l’appel externe par le ministère de la Parole sans jamais y répondre (Matthieu 21. 28-32 ; Luc 12. 47), ils professent la foi en Christ sans Le connaître (Matthieu 7. 21-23), ils participent à l’expérience commune du Saint-Esprit sans être régénérés (Hébreux 6. 4-6). Ils sont des « chrétiens inconvertis », des fils du royaume qui iront à la perdition (Matthieu 8. 12) ; ils sont au milieu des croyants, mais n’en font pas partie (1 Jean 2. 19).

Le deuxième groupe est composé de pécheurs qui sont en dehors de l’Église visible et de la religion chrétienne, ils appartiennent à d’autres religions ou à aucune religion et ils ignorent qui est véritablement Jésus-Christ. Ils seront jugés moins sévèrement que ceux du premier groupe (Luc 12. 48), mais même leur plus grand effort à « conduire leur vie selon la lumière de la nature ou les prescriptions de la religion qu’ils professent » n’est pas suffisant pour changer l’ignorance spirituelle qui est en eux et la dureté de leur cœur face au Dieu véritable (Éphésiens 4. 17-18). L’impossibilité pour ces personnes d’être sauvées à moins d’entendre et de répondre à l’appel de l’Évangile indique la responsabilité que les croyants ont envers eux (Ézéchiel 3. 17-19 ; Romains 10. 12-15).

Lire la suite

Le Cadeau - le Don - gratuit pour le monde entier

23 Novembre 2022 Publié dans #Salut, #EVANGILE

Connaissez-vous le don gratuit de Dieu ? Savez-vous que Dieu a déjà tout accompli pour nous donner à chacun l'opportunité d'être éternellement sauvé en son Fils Jésus ? Dieu nous invite à passer l'éternité avec Lui dans sa Gloire ! Chaque être humain est invité à venir à Dieu tel qu'il est.

Jésus-Christ est le Dieu Créateur qui vint dans ce monde en se faisant homme pour nous monter le chemin du Salut et pour payer pour nous la dette de nos péchés ! Il est mort sur la croix pour nous et Il est ressuscité. Jésus est retourné au Ciel vers Dieu le Père et Il nous y prépare une place, à nous tous qui avons fait de Lui notre Seigneur et Sauveur personnel.
Oui, grâce au sacrifice parfait de Jésus sur la croix, chaque être humain peut être éternellement sauvé en recevant le pardon éternel de ses péchés ! La Bible dit : "Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur" (Romains 6. 23).

Pourtant, la plupart des êtres humains essayent de gagner le Salut ainsi que la faveur de Dieu par leurs propres efforts. Ils tentent de plaire à Dieu par leurs bonnes œuvres, pèlerinage, vie exemplaire, religiosité, philosophies etc… Mais leurs propres efforts, aussi louables soient-ils, ne suffiront jamais pour renouer le contact avec Dieu. La Bible affirme que le Salut est un don de Dieu, oui le Salut en Jésus est un cadeau.

N'est-ce pas que nous aimons tous recevoir un cadeau ou un don. La personne qui nous le donne ne nous demande pas d'argent ou autre chose, autrement ce n'est pas un cadeau. Chaque cadeau que nous recevons ne nous coûte rien, mais il coûte quelque chose à celui qui nous le donne. Nous pouvons donner quelque chose qui nous est très chers, ceci s'appelle un sacrifice.
La Bible nous dit que Dieu offre un don gratuit pour le monde entier pour quiconque veut le recevoir en se repentant de tous ses péchés et en les abandonnant et en croyant en Jésus. C'est la vie éternelle en son Fils Jésus Christ notre Seigneur.
C'est un don gratuit pour chaque être humain parce que Dieu nous aime tous et nous n'avons rien à payer pour recevoir ce merveilleux cadeau de Dieu. C'est un don gratuit pour n'importe quelle personne qui veut le prendre. Si vous donnez quelque chose à quelqu'un, ce n'est pas un vrai don s'il ne le prend pas de vous. Dieu veut que nous recevions de Lui-même son don gratuit de la Vie Éternelle.
Nous n'avons rien à payer pour recevoir ce don !

Qu'est-ce que c'est donc ce don de Dieu ? C'est de vivre à jamais, c'est la Vie Éternelle. Quiconque reçoit ce don gratuit de Dieu est à jamais un enfant de Dieu et après la mort d'ici-bas, il vivra pour toujours avec Dieu au Ciel, au Paradis. Cette vie commence dès maintenant, ici-bas. Le vrai chrétien connaît déjà la paix et le bonheur du Salut pendant sa vie sur terre et tout cela fait partie du don de Dieu. Dieu ne nous demande pas de payer pour ce don. Nous n'avons pas à faire quelque chose pour que Dieu nous aime davantage afin de recevoir ce don. Ce don est déjà prêt pour nous. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a déjà payé pour ce don.

Et comme rappel, voici comment Jésus a tout accompli pour notre Salut : Il est venu sur cette terre et a vécu une vie parfaite, Jésus est Saint et durant toute sa vie sur terre, Il n'a commis aucun mal. Mais parce que le peuple Le haïssait, ils ont réclamé que Jésus soit crucifié. Ainsi, Jésus fut crucifié sur une croix en bois, comme on punissait les criminels à cette époque-là. Il porta sur Lui tous nos péchés et subit la punition pour toutes les mauvaises choses que nous avons faites (nos péchés) et nos souffrances. Puis Jésus mourut. Durant sa mort, Jésus désarma et dépouilla le diable et tous les démons pour l'éternité, Il prit les clés de la Mort et du Séjour des morts. Après cela, Jésus ressuscita d'entre les morts et sortit Victorieux du Tombeau ; Jésus est vivant pour l'éternité. Jésus a fait tout cela parce qu'Il nous aime tant et Il offre maintenant le Salut à quiconque croit en Lui.

Alors nous êtres humains, pourquoi ne pas recevoir chacun et personnellement ce don gratuit de Dieu et jouir de la Vie Éternelle dès maintenant et pour l'éternité.

Lire la suite

Allons et proclamons partout l'Évangile

22 Novembre 2022 Publié dans #Divers

ALLEZ DONC :

"Allez donc, et faites disciples toutes les nations" (Matthieu 28. 19).
"Allez dans le monde entier, et prêchez l’Évangile à toute la création" (Marc 16. 15).
"Il fallait que… la repentance et le pardon des péchés soient prêchés en son nom à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. Vous, vous êtes témoins de tout cela" (Luc 24. 46-48).
"Jésus leur dit encore: Paix à vous! Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie" (Jean 20. 21).

Le Seigneur Jésus ressuscité apparaît aux disciples à plusieurs reprises durant quarante jours. Ce qu’il leur dit à ces occasions ne nous est pas rapporté entièrement, mais la mission qu’Il leur confie (Allez…) se trouve dans chaque évangile. Elle est même répétée en Actes 1. 8. Ne pensons pas que cette injonction ne concerne que les onze disciples, cette parole s’adresse à nous tous.

Allez donc… Vous êtes témoins. Ceci me concerne-t-il vraiment ? Mais où aller ? Quelle est mon programme ? Et puis, je ne suis pas capable… Quelle réponse le Seigneur me donne-t-il ? Va là où tu habites !
Le Seigneur a demandé à un homme qu’il venait de guérir : Va dans ta maison, auprès des tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi, et comment il a usé de miséricorde à ton égard
(Marc 5. 19).

Quelqu’un dira que c’est trop difficile pour lui, car il va être soumis aux critiques de son entourage. Peut-être se souvient-il qu’un jour il s’est disputé avec un voisin et que les mots échangés ne l’étaient pas dans un esprit de grâce. En effet, nos paroles, pour qu’elles soient crédibles, impliquent que nous soyons sans reproche et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles, au milieu d’une génération dévoyée et pervertie, parmi laquelle vous brillez comme des luminaires dans le monde (Philippiens 2. 15). Prenons donc particulièrement soin de notre conduite : nos voisins ont bonne mémoire et un idéal très élevé de la conduite chrétienne.

La mission, comme tout service chrétien, commence dans sa famille, dans son quartier, même dans son église, avant de s’étendre éventuellement plus loin (1 Timothée 3. 13). Allons donc, soyons fidèles dans les petites choses (chez nous) et le Seigneur pourra nous en confier de plus grandes.

Vous serez mes témoins à Jérusalem et dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’au bout de la terre. (Actes 1. 8).

Qu’un homme franchisse le seuil de sa maison pour saluer chaque matin un voisin malade ou qu’il parte évangéliser dans un pays étranger, son premier pas sera toujours le même. Ce premier pas commence chez soi par la fidélité dans les petits services.
Les limites géographiques du témoignage confié aux enfants de Dieu sont variables. Le témoignage des apôtres devait commencer à Jérusalem, la ville même où le Seigneur a été crucifié. Puis la Judée, ensuite la Samarie; enfin, leur témoignage atteindrait les extrémités du monde connu d’alors - les pays païens - jusque-là demeurés étrangers à la révélation divine.
Les déplacements et les communications étaient beaucoup plus difficiles qu’aujourd’hui, pourtant le livre des Actes montre que l’Évangile de la grâce s’est très rapidement étendu.
Le mandat que Jésus a confié à ses apôtres : Allez donc, et faites disciples toutes les nations est aussi le nôtre
(Matthieu 28. 19).

Pour évangéliser des populations étrangères, nous n’avons pas obligatoirement à nous déplacer.

Ceux qui habitent dans une ville ont l’occasion de rencontrer des personnes d’ethnies, de religions ou de milieux sociaux différents. Approchons-nous d’eux pour leur parler de l’Amour de Dieu. Témoigner, c’est dire tout simplement ce que Dieu a fait pour nous. Bien sûr, il est impossible de mener à bien ce beau et grand programme par nos propres ressources.
La puissance du Saint Esprit est absolument indispensable au témoignage chrétien : Vous recevrez de la puissance, le Saint Esprit venant sur vous et vous serez mes témoins. Nous ne sommes pas laissés seuls pour remplir notre mission : le Seigneur « coopère » avec ses témoins
(Marc 16. 20) et leur promet sa présence fidèle : Moi je suis avec vous tous les jours, jusqu’à l’achèvement du siècle (Matthieu 28. 20). Alors, prenons courage et soyons fidèles dans notre rôle de témoins, là où nous sommes et, si le Seigneur nous y appelle, jusqu’au bout de la terre.

PROCLAMONS PARTOUT L’ÉVANGILE : MATTHIEU 28.16-20

Avant de retourner au Ciel, Jésus a donné un commandement aux siens (un travail, en réalité), mais bien des chrétiens y fournissent peu d’efforts. Christ a demandé à ses disciples d’annoncer la Bonne Nouvelle et de faire des disciples de toutes les nations, leur enseignant à lui obéir. Si certains croyants se consacrent à cette œuvre, d’autres se disent trop occupés ou trop timides pour s’y investir.

La portée de ce travail est internationale; il s’applique à tous les peuples. Ce qui ne veut toutefois pas dire que tous les chrétiens devraient déménager. Dieu en appelle certains à œuvrer au loin, tandis que d’autres doivent le servir chez eux. Le champ missionnaire se trouve tout autour de nous : dans nos foyers, nos lieux de travail, nos écoles et nos quartiers.
Le Saint Esprit vit dans les disciples de Christ; ils disposent donc de sa puissance pour s’acquitter de leur responsabilité. Nous ne pouvons sauver qui que ce soit, mais nous devons présenter à autrui le Dieu qui sauve. « Et comment croiront ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? » (Romains 10. 14).

Lire la suite

Liberté, égalité et fraternité en Jésus-Christ

21 Novembre 2022 Publié dans #Divers

LIBERTÉ :
« Si le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jean 8 : 36). Jésus a prononcé cette phrase parce qu’en réalité, l’être humain n’est pas libre. Pourtant, Dieu l’a créé à son image, à sa ressemblance, donc Dieu l'a créé libre. Mais qui dit liberté dit aussi responsabilité et Dieu le Créateur mit sa créature à l’épreuve, dans le jardin d’Éden, en lui interdisant l’arbre de la connaissance du bien et du mal. A cette épreuve, l’être humain succomba à la tentation en obéissant au diable plutôt qu’à Dieu.
Dès lors, même s’il se croit ou se prétend libre, l’être humain est en fait asservi à Satan le tentateur qui le pousse sans cesse à pécher et « Quiconque pratique le péché est esclave du péché » (Jean 8 : 34) et « le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6 : 23).
Dieu n’a pas voulu laisser sa créature dans cet état de perdition. Il ne veut pas la mort du pécheur, mais qu’il vive. Dans son immense Amour, Dieu « a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16).
Jésus, le Fils de Dieu, est Saint. Jésus est Un avec Dieu le Père dans ses pensées et Un avec Lui dans son Amour. Jésus-Christ quitta la Gloire du Ciel, se fit homme pour venir jusqu’à nous et Il se donne Lui-même en sacrifice sur la croix pour que nous soyons libérés du fardeau de nos péchés. C’est pourquoi, à ceux qui croient en Lui, Jésus annonce une pleine délivrance : « Si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jean 8 : 36).

La liberté chrétienne :
« Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant » (Galates 5 : 1)
Une autre question se pose alors : quel usage le racheté du Seigneur Jésus va-t-il faire de sa liberté ? Le fait que le croyant en Jésus soit libéré du poids de ses péchés parce que Jésus-Christ en a subi le jugement pour son compte ne signifie aucunement qu’il peut faire tout ce qui plairait à sa chair, c’est-à-dire à son moi, son ancienne nature qui reste une nature pécheresse.
« Frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre selon la chair » (Galates 5 : 13). Les enfants de Dieu, réalisant le prix immense que leur Sauveur Jésus a dû payer pour les libérer, doivent se conduire « d’une manière digne de Lui et Lui être agréable » (Colossiens 1 v.10).

ÉGALITÉ :
On dit souvent que «
les êtres humains naissent et demeurent égaux… »
« En effet, il n’y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 : 23)
Toutefois, une grande différence s’établit lorsqu’un être humain naît de nouveau. Qu’est-ce que cela signifie ? C’est la question que Nicodème posa au Seigneur Jésus lorsque celui-ci lui dit : « Si quelqu’un n’est pas né de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3 : 3)
La Nouvelle Naissance est la réception d’une nouvelle vie, la vie divine et éternelle que l’on reçoit par le moyen de la foi au Seigneur Jésus. Nous avons tous fait notre entrée dans le monde de la même façon : par notre naissance physique hors du sein maternel. La Nouvelle Naissance qui, elle, est spirituelle, nous fait entrer dans le Royaume de Dieu. Toute personne née de nouveau est totalement transformée par le Saint-Esprit qui vient deumeurer en lui et sa manière de vivre doit le manifester. La Parole de Dieu nous dit que « si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création : les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles » (2 Corinthiens 5 : 17)
La Nouvelle Naissance qui transforme le vrai croyant en Jésus ne fait pas de lui quelqu’un de supérieur, loin de là. Celui-ci reste un être humain comme les autres avec ses défauts, ses faiblesses… La grande différence est que l’être humain né de nouveau est sauvé par pure grâce et celui qui n’est pas né de nouveau reste perdu dans ses péchés.

L’égalité chrétienne : « Il n’y a plus ni Juif, ni Grec ; il n’y a plus ni esclave, ni homme libre ; il n’y a plus ni homme ni femme : car vous tous, vous êtes un dans le Christ Jésus » (Galates 3  : 28)

FRATERNITÉ :
« Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qu’il contient […] Lui qui donne à tous la vie, la respiration et absolument tout, il a fait d’un seul sang tous les peuples de l’humanité pour habiter sur toute la face de la terre » (Actes 17 :
24, 26, 28)
Considérant notre origine commune en Adam, nous sommes en effet tous frères et sœurs, issus des mêmes parents : Adam et Eve.
La naissance physique introduit donc chacun dans la famille d’Adam. La Nouvelle Naissance (naissance spirituelle) introduit le croyant en Jésus dans une autre famille : la famille de Dieu. « A tous ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom, il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés non pas de sang ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu » (Jean 1 v.12-13)

La fraternité chrétienne :
« Voyez de quel amour le Père nous a fait don : que nous soyons appelés enfants de Dieu » (1 Jean 3 : 1). « Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers, héritiers de Dieu… » (Romains 8 : 17)
Étant enfants de Dieu, nous sommes “frères et sœurs” en Jésus-Christ.

LIBERTÉ :  Ami(e)s lecteurs / lectrices, êtes-vous libérés de vos péchés par le moyen de la foi au Seigneur Jésus qui les a pris sur lui à la croix  pour les expier ?
ÉGALITÉ :  Êtes-vous sauvés de tous vos péchés ou encore êtes-vous perdus dans vos péchés ?
FRATERNITÉ : Êtes-vous un enfant de Dieu et, par conséquent, nous sommes frères et sœurs en Jésus Christ ?

Lire la suite
1 2 3 > >>