Bien terminer l'année 2021 et bien commencer l'année 2022
" Frères, je ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ." (Philippiens 3 : 13-14)
Engageons-nous à oublier nos échecs : Il y a bientôt 2000 ans, l'apôtre Paul disait : "oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours…". Une autre traduction dit : "Oubliant le passé…" Voilà bien un conseil pratique pour bien terminer l'année 2021 et bien commencer l'année 2022. Un conseil qui a traversé les siècles et qui s'est avéré vrai.
Si Dieu Lui-même nous dit cela, c'est qu'Il ne veut pas que nous vivions notre vie emprisonnés dans notre passé !
Nous avons tous eu plus ou moins des échecs durant cette année qui se termine. Nos échecs ne seront peut-être pas inscrits dans un registre officiel, mais ils demeurent inscrits dans nos cœurs et dans notre imagination.
Pour certains d'entre nous, nos échecs sont des souvenirs douloureux. Pour quelques uns c'est peut-être le souvenir d'un échec relationnel : prendre les mauvaises décisions et faire ce qu'il ne fallait pas au point que la relation s'est terminée là ! Pour certains parents parmi nous, nous nous sommes peut-être manqués vis à vis de nos enfants. Pour les enfants, nous sommes peut-être conscients d'avoir mal agis vis à vis de nos parents…
Quelque part, nous sommes conscients aussi d'avoir échoué vis à vis de nous-mêmes. Ce que le Seigneur Jésus est en train de nous dire, c'est que nous ne devons pas nous enliser dans les marécages de nos échecs passés… Ne laissons pas le passé nous arrêter et nous empêcher d'aller de l'avant vers ce que Dieu nous a préparé pour 2018.
Alors que l'année 2021 va se terminer et que l'année 2022 va commencer, pourquoi ne pas se lever et s'engager dans cette voie ? Avec l'aide de Dieu, oublions notre passé. Cessons de nous torturer pour ce que nous avons fait ou que nous n'avons pas fait…
Cette nouvelle année qui va bientôt débuter est une occasion de ne plus être enchaîné à nos échecs d'autrefois. Dieu nous dit à travers sa Parole, "Décide d'oublier le passé…". "Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. Chantez à l'Éternel un cantique nouveau, chantez ses louanges jusqu'aux extrémités de la terre." (Ésaïe 42. 9-10).
Jésus-Christ est mort sur la croix afin de pouvoir nous pardonner. Quand nous devenons enfants de Dieu, ce pardon devient réalité dans nos vies. En recevant le pardon de Christ, l'occasion nous est donnée de nous pardonner à nous-mêmes et d'oublier nos échecs. Peut-être avons-nous besoin en cet instant, que Christ nous pardonne. Voulons-nous accepter son pardon et ensuite voulons-nous nous pardonner à nous-mêmes ?
Si l’on regarde à l’avenir, tout peut nous sembler obscur et inconnu. Nous pouvons repenser au passé en imaginant que tout restera comme avant, que nous ne surmonterons jamais nos problèmes, ou que nous ne connaîtrons jamais la victoire, ou encore que nos prières ne trouveront jamais de réponse. Maintenant, ne vivons plus dans le passé !
La Bible nous encourage à comprendre que nous servons le Dieu des nouveaux commencements. Il est le Dieu qui ressuscite les morts, qui a créé l’univers, qui a façonné le monde par sa Parole. Il est celui pour qui il n’existe pas de limite et à qui rien n’est impossible. Il annonce ce qui doit arriver dès le commencement (Ésaïe 46. 10).
Nous avons l’occasion d’avoir un nouveau commencement : à savoir, mettre de côté nos doutes et les remplacer par la foi, à nous attendre à des miracles et non à des échecs, à reconnaître qu’avec Dieu, il n’est jamais trop tard. Et quelles que soient les apparences, il n’existe aucun problème trop grand que Dieu ne puisse résoudre ! Aucun ennemi qu’Il ne puisse défaire ! Il est le Dieu des miracles !
Maintenant, ne vivons plus dans le passé, ne nous contentons pas des expériences d’hier, ou de l’année qui passe. Ne nous sentons pas vaincu, ne pensons pas que nos prières n’auront jamais de réponse. Laissons plutôt Dieu nous inonder de bénédictions ! Soyons prêts à recevoir de nouvelles révélations et de la sagesse. Laissons Dieu nous enseigner de nouvelles choses et nous bénir d’une nouvelle manière. Laissons-Le changer notre vie !
Aujourd’hui, remplissons notre vie de louanges ! Chantons un chant nouveau en l’honneur de son nom ! Louons-le. Adorons-le ! Faisons-lui confiance ! Déclarons que ses promesses sont vraies dans notre vie. Ayons foi et laissons-le accomplir une chose nouvelle et puissante en nous. Demandons à Dieu de nous transformer selon sa volonté, de nous enseigner de nouvelles vérités. Dieu est capable de faire des miracles pour sa gloire. Au Nom Précieux de Jésus.
Un choix capital à faire
Dans la vie, il y a souvent des choix à faire qui sont toujours suivis de conséquences. Conséquences heureuses ou fâcheuses suivant que le choix a été bon ou mauvais. C'est comme si, étant perdu, l'on se trouvait à un croisement où l'on doit choisir entre l'un ou l'autre chemin.
Ami(e)s lecteurs/trices, si vous ne connaissez pas le seul vrai Dieu comme votre Dieu Sauveur, autrement dit, si vous êtes perdu, vous êtes placé encore aujourd'hui devant un croisement, et vous avez à choisir le chemin par lequel vous voulez marcher. L’Évangile nous dit que "spacieux est le chemin qui mène à la perdition et nombreux sont ceux qui le prennent, et resserré est le chemin qui mène à la vie et peu nombreux sont ceux qui le trouvent" (Matthieu 7. 13-14).
Ah ! le chemin spacieux vous paraît plus facile : on s'y trouve à son aise, on profite et on jouit des plaisirs du monde, des délices du péché, mais n'oubliez pas, cher(e)s lecteurs/trices, où mène ce chemin spacieux : à la perdition. Choisissez donc le chemin qui mène à la vie. Il est resserré, certes, et on ne peut y pénétrer qu'après avoir abandonné les bagages de sa propre justice, de l'orgueil, etc... mais quel bonheur pour le cœur quand on sait que l'on se trouve sur le chemin qui mène à la vie.
Ami(e)s, vous qui êtes placé au croisement, vous avez devant vous le chemin qui mène à Dieu et le chemin qui mène loin de Dieu, à la perdition. Combien de temps hésiterez-vous entre les deux ? Écoutez ce que Dieu vous dit : « Regarde, j'ai mis devant toi la vie et le bonheur, la mort et le malheur... J'ai mis devant toi, la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie afin que tu vives » (Deutéronome 30. 15-19).
Se trouver à un croisement de chemins sans aucune indication est un dilemme. Où se diriger ? A droite ? A gauche ? En face ? Peut-être même faut-il faire demi-tour ? Mais en ce qui concerne le chemin de la Vie, la direction vous est donnée et, par conséquent, vous optez en pleine connaissance de cause. Jésus vous dit : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père si ce n’est par moi » (Jean 14. 6).
Ce choix vous appartient. Personne ne peut décider à votre place. Choisir le bon chemin, c'est choisir la vie, c'est choisir Jésus. Faîtes ce choix, cher(e)s lecteurs/trices, vous ne le regretterez jamais.
Comment faire ? En vous reconnaissant tout simplement pécheur perdu et en acceptant Jésus-Chirist comme votre Seigneur et Sauveur, celui qui est mort pour vos fautes et vos péchés et qui est ressuscité pour votre justification.
Choisissez-le aujourd'hui, car demain ne vous appartient pas.
Vous n'ignorez pas que la décision la plus importante à prendre durant votre vie sur la terre concerne votre salut éternel, vos relations avec Dieu, votre Créateur. Ils ne dépendent que de votre acceptation ou de votre refus de Jésus Christ qui s'est livré Lui-même en sacrifice pour nos péchés.
Vous avez un choix à faire. Vous êtes placé à un croisement : d’un côté, le chemin spacieux qui mène à la perdition et nombreux sont ceux qui le prennent, et de l’autre côté le chemin resserré qui mène à la vie et peu nombreux sont ceux qui le trouvent. (Matthieu 7. 13 et 14). Peu nombreux sont ceux qui le trouvent parce que peu nombreux sont ceux qui le cherchent.
Vous ne pouvez pas rester à ce croisement, et si vous n’optez pas pour le chemin resserré qui mène à la vie, vous êtes automatiquement emportés sur le chemin large par la foule qui se dirige, insouciante, vers la perdition.
N’oubliez pas, cher(e)s ami(e)s, que plus vous attendez, plus vous serez engagé sur ce chemin spacieux et plus il sera difficile pour vous de faire demi-tour pour trouver le chemin qui mène à la vie.
Vous qui ajournez votre décision, vous vous dîtes peut-être : - J'ai bien le temps d'y penser...". Dieu répond : "Cherchez l'Éternel tandis qu'on le trouve, invoquez-le pendant qu'il est proche..." (Ésaïe 55. 6). "Voici, c'est maintenant le temps favorable ; voici, c'est maintenant le jour du salut" (2 Corinthiens 6. 2).
Peut-être vous excusez-vous ainsi :
- "Je ne suis pas prêt...". Dieu vous avertit : "Soyez prêt, car le Fils de l'homme vient à l'heure que vous ne pensez pas" (Mathieu 24. 44).
- "Je suis jeune, j'y penserai plus tard...". La Bible dit : "Souviens-toi de ton Créateur dans les jours de ta jeunesse..." (Ecclésiaste 12. 1).
- "J'ai trop de soucis pour le moment" répondez-vous peut-être. La Parole de Dieu vous dit : "Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout cela (ce qui est nécessaire à la vie présente) vous sera donné par dessus" (Matthieu 6. 33).
- Je suis trop occupé, j'ai des projets d'avenir...". La Bible vous conseille : "Ne te glorifie pas du jour de demain, car tu ne sais pas ce qu'un jour enfantera" (Proverbes 27. 1 – voir aussi Jacques 4. 13-14).
- J'y penserai quand j'aurai un peu joui de la vie...". Mais Dieu vous dit : "Insensé ! Cette nuit même ton âme [pourrait t'être] redemandée." (Luc 12. 20).
- Il se présentera bien une autre occasion...". La Bible avertit : "Dieu parle une fois et deux fois - et l'on n'y prend pas garde" (Job 33. 14). "Prenez garde de ne pas refuser celui qui parle" (Hébreux 12. 25). Et le Saint Esprit vous crie : "AUJOURD'HUI, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs." (Hébreux 3. 7, 15 ; 4. 7).
Cette décision pour Christ, prenez-la maintenant, cher(e)s ami(e)s. Demain pourrait être trop tard, et trop tard pour l'éternité...
Dieu connaît absolument tout de nous
Cher(e)s lecteurs/trices, savez-vous qu'il existe une écoute permanente de toutes nos conversations et un enregistrement permanent de ce que nous faisons soit en bien, soit en mal ? En effet, Dieu entend toutes nos paroles, connaît toutes nos pensées – ce que la caméra la plus sophistiquée du monde ne peut faire –, tous nos propos, tous nos actes, sont connus de Lui dans le Ciel. Dieu est omniprésent et omniscient : Il n’a pas besoin d’ordinateur pour enregistrer ce qu’iL voit, sa mémoire est infinie et indestructible.
Et nous tous sommes concernés : « Il n'existe aucune créature qui soit cachée devant Lui, mais tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous avons affaire » (Hébreux 4. 13).
David, le psalmiste, a écrit : « Éternel ! Tu me sondes, et tu me connais. Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée ; Tu sais quand je marche et quand je me souche, et tu es au fait de toutes mes voies. Car la parole n’est pas encore sur ma langue, que déjà, ô Éternel ! tu la connais entièrement… Où irai-je loin de ton Esprit ? Et où fuirai-je loin de ta face ?… Et si je dis : Au moins les ténèbres m’envelopperont, alors la nuit est lumière autour de moi. Même les ténèbres ne sont pas obscures pour me cacher à toi … » (Psaume 139).
Non seulement tout est connu et enregistré dans le Ciel, mais aussi, un jour, tout sera révélé : « Il n'y a rien de couvert qui ne sera révélé, ni rien de secret qui ne sera connu, a déclaré Jésus à ses disciples. C'est pourquoi tout ce que vous avez dit dans les ténèbres sera entendu dans la lumière… » (Luc 12. 2-3).
Cette vérité solennelle vous effraye-t-elle ? Certainement, si vous n’êtes pas en règle avec Dieu quant à vos péchés. Et le jour où vous vous trouverez devant le Juge suprême, tout vous sera rappelé et vous entendrez son verdict inexorable : « Retirez-vous de moi, vous qui pratiquez l'iniquité » (Matthieu 7. 23).
Mais cette même vérité est rassurante si vous avez reçu dans votre cœur et dans votre vie le Seigneur Jésus comme votre Seigneur et Sauveur.
Nous ne pouvons effacer nous-mêmes aucune trace de nos péchés. Seul Dieu les ôte à tout jamais, si nous venons à Lui en confessant notre culpabilité et en croyant que Jésus, son Fils, en a payé le prix pour nous. C’est alors qu’« il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1).
Plus aucune condamnation, même devant le Tribunal de Christ dont parle l’apôtre Paul et qui trouble beaucoup de croyants : « car il faut que nous soyons tous manifestés devant le Tribunal du Christ, afin que chacun reçoive selon les actions accomplies dans le corps, soit bien, soit mal. » (2 Corinthiens 5. 10).
En général, quand on entend le mot “tribunal”, on pense à jugement puis condamnation. Or, le tribunal est le lieu où siègent les magistrats. Un lieu ne juge ni ne condamne, c’est le magistrat siégeant au tribunal qui juge et peut condamner.
Lors du Tribunal du Christ, nous serons récompensés, mais nous ne serons ni jugés ni condamnés puisque Jésus a subi lui-même le jugement et la condamnation que nous méritions. A la croix, il a expié tous nos péchés, ceux commis avant notre conversion et ceux commis après. Tout ce que nous aurons fait, soit bien soit mal, nous sera rappelé.
L’apôtre Paul précise bien que chacun recevra selon les actions accomplies dans le corps, c’est-à-dire une fois introduit dans l’Église, donc après la conversion. Ce sera comme le film de notre vie chrétienne qui se déroulera devant nos yeux nous rappelant ce que nous aurons fait de bien et ce que nous aurons fait de mal et nous fera réaliser l’immensité de la grâce du Seigneur Jésus qui a tout pardonné, tout supporté. Lorsque nous sortirons du Tribunal du Christ, ce ne sera pas avec le poids d’un jugement ni d’une condamnation (Christ l’a porté lui-même à la croix) mais avec un sujet de louanges et d’adoration éternelles.
Qui comparaîtra devant le tribunal de Christ ? Quand l’apôtre Paul écrit : « il faut que nous soyons tous manifestés devant le Tribunal de Christ… », il s’adresse aux croyants.
Et les autres ? Ceux qui n’auront pas cru en Jésus par le moyen de la foi ne paraîtront pas devant ce tribunal, mais seront jugés et condamnés plus tard en Enfer, lors du Jugement Dernier d’Apocalypse 20. 11-15 devant le Grand Trône Blanc.
C’est pourquoi? nous supplions une fois de plus ceux et celles qui ne sont pas en règle avec Dieu quant à leurs péchés : « Nous supplions pour Christ, soyez réconciliés avec Dieu » (2 Corinthiens 5. 20) en recevant maintenant, par la foi, Jésus-Christ comme votre Seigneur et Sauveur personnels.
Jésus-Christ ou la religion
Tout est accompli (Jean 19. 30)
Qui a vaincu la chair, Christ ou la religion ?
Qui a vaincu le monde, Christ ou la religion ?
Qui a vaincu Satan, Christ ou la religion ?
Qui me sauve, Christ ou la religion ?
Qui me sanctifie, Christ ou la religion ?
Qui est Seigneur, Christ ou la religion
Qui règne, Christ ou la religion ?
"Dieu est Un, et le Médiateur entre Dieu et les hommes est Un, [l']homme Christ Jésus" (1 Timothée 2. 5).
"Il n'y a de salut en aucun autre - car aussi il n'y a point d'autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faille être sauvés" (Actes des Apôtres 4. 12).
"Personne ne peut poser d'autre fondement que celui qui est posé : Jésus Christ" (1 Corinthiens 3. 11).
"Nul ne vient au Père que par Moi" (Jean 14. 6).
Il ne faut pas confondre foi et religion. La foi est relation avec Dieu qui est Amour. La religion est un système issu de la chair.
Ce sont des religieux qui ont fait crucifier Jésus, et non pas de religion - mais ceux qui se battent contre des religions montrent qu'ils sont de même nature que ce qu'ils combattent, qu'ils vivent du vieil homme, donc crucifient le nouvel Homme (Christ), alors que c'est le vieil homme (Adam) qui doit être crucifié, lorsqu'on veut vivre du nouvel Homme.
Combattre l'esprit religieux, oui ; combattre des religions, non.
Par exemple, les deux bêtes du livre de l'Apocalypse représentent entre autres l'alliance du politique et du religieux. C'est plus généralement l'alliance du religieux avec tout ce qui est du monde, de la chair et du diable. C'est ce que la Bible appelle prostitution - et qui est divorce/apostasie d'avec Dieu.
Le rôle du chrétien n'est pas d'être opposé à ce système, mais d'être hors de ce système : "Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu" (Luc 20. 25).
D'autre part, la peur d'un système religieux, quel qu'il soit, ne procède pas de la foi, car la foi procède de l'amour de Dieu, et l'amour bannit la peur (1 Timothée 1. 7, 1 Jean 4. 18).
Nous n'avons donc ni à avoir peur, ni à combattre un système religieux sur le terrain humain : le combat est spirituel - il se passe dans le ciel.
Autre exemple : en Éphésiens 5. 27, Paul ne parle pas d'Église irréprochable, mais d'Église sans reproche - à savoir : Dieu ne lui fait pas de reproche, car elle est sous le Sang de Jésus. Elle est sainte, à savoir : hors du monde (Église signifie appelé hors de). Tous les convertis qui sont "hors de" sont de l'Église.
Une distinction utile entre la religion et l’Évangile
Un roi part en guerre pour défendre son territoire. Si le roi défait l'armée adverse, il envoie des messagers pour annoncer la bonne nouvelle dans les villes et les villages. A travers tout le pays, la bonne nouvelle se répand joyeusement : c'est fini, la bataille est gagnée !
Mais, si le roi perd le combat, il envoie en urgence ses généraux dans les villes et les villages pour préparer le peuple à se battre. La bataille du roi a été perdue. Maintenant, le peuple va devoir lui-même combattre pour sauver sa vie.
Les religions envoient des généraux. Toutes les autres religions sauf le vrai christianisme enseignent que si on veut être sauvé, on doit se battre pour sa vie. Toutes les autres religions promettent salut, nirvana, bénédictions ou illumination dans la mesure où l'on croit, obéit et accomplit les rites, respecte les règles, la méthodologie ou les traditions de cette religion. Mais ce n'est pas là l’Évangile.
L’Évangile est une Bonne Nouvelle. C'est la bonne nouvelle que la victoire est déjà là ! Jésus le Roi a déjà gagné la guerre pour son peuple. Bien qu'Il n'ait pas levé le petit doigt pour vaincre l'ennemi, son peuple récolte la récompense du courage, du risque et de l'habilité du Roi.
L’Évangile, ce n'est pas des conseils mais une Nouvelle Merveilleuse. Ce n'est pas des conseils : « 10 règles à respecter pour aller au ciel » ou « 5 traditions à mettre en pratique pour obtenir des bénédictions », mais c'est l'annonce de la Victoire éternelle de Jésus, le Roi des rois, qu'on peut recevoir, croire et célébrer ! Jésus est mort pour nous sur une croix pour détruire notre ennemi, le péché, ce qui nous retenait loin de Dieu, afin que nous puissions jouir d'une relation intime, profonde et éternelle avec Lui.
C'est l’Évangile !
Croyance ou foi ?
Pour revenir à la religion, combien se bouchent les oreilles et se voilent les yeux lorsqu'un scandale entache celle à laquelle ils adhèrent ? Combien se tiennent fermement à des idées non bibliques, mais qu'ils affirment être bibliques ? Combien ont besoin de se rassurer, en se basant non sur une relation avec Dieu (la foi) mais sur une croyance - la religion - ?
La Bible affirme que l'amour chasse la crainte (1 Timothée 1. 7, 1 Jean 4. 18) : alors, pourquoi cette crainte, qui pousse à se rassurer, et par conséquent à se réfugier dans des croyances ?
L'être humain se crée une religion pour fuir (le vrai) Dieu
La religion dit : Apportons notre religion aux êtres humains ! La foi dit : Je te présente ton Sauveur
La religion dit : Je fais le bien pour être sauvé. La foi dit : Je fais le bien parce que je suis déjà sauvé
La religion dit : Je fais tout ce que je peux pour que Dieu m'aime. La foi dit : Je fais tout ce que je peux parce que Dieu m'aime.
Tu as une religion... mais as-tu Jésus-Christ en toi ?
Être en étroite relation avec Jésus-Christ, c'est de la foi.
La vie est relation : Christ est LA Vie.
A quoi bon "suivre la religion" si on n'a pas en nous ce qui en fait la force, à savoir : Christ en nous ?
La foi c'est plus qu'une connaissance.
La foi c'est plus qu'une croyance.
La foi c'est plus qu'une confiance.
La foi c'est plus que croire qu'il y a un Dieu.
La foi est relation avec Dieu, par Christ qui vit en nous par Son Esprit.
Plus de condamnation, nous sommes en Jésus-Christ
Nous avons de la valeur aux yeux de Dieu. "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3 : 16). Oui, Dieu le Père a tellement aimé le monde : Il t'a tant aimé ! Un amour si grand, qu'Il a trouvé le moyen de nous appeler à Lui, de nous racheter de la malédiction, du péché, de la mort, avec ce qu'Il avait de plus cher : la vie de Jésus-Christ son Fils bien aimé !
Jésus est mort sur la croix pour nous, Lui qui est Juste, lui Saint, Merveilleux, sans tache et sans défaut, comme un agneau innocent, Il a payé le prix pour notre salut : Il a souffert la séparation d'avec Dieu le Père, Il a été humilié, battu, crucifié pour que nous puissions être déclaré(e) juste devant Dieu, par son sang précieux.
En Jésus, nous sommes saint(e)s, sauvé(e)s, délivré(e)s, guéri(e)s, pourvu(e)s dans tous nos besoins. Nous ne sommes plus esclave du péché, mais affranchi(e) pour Jésus le Roi des rois ! Ne méprisons pas ce rachat, ce si grand prix payé, mais glorifions notre Dieu, dans notre esprit, notre pensée et notre corps. Nous sommes maintenant scellé(e)s en Jésus par son Esprit-Saint, qui vit en nous. Nous sommes le Temple du Saint-Esprit. Honorons-le, honorons sa présence dans notre vie !
"Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus" (Romains 8. 1)
Avons-nous saisi cette vérité merveilleuse ? : nous sommes “dans le Christ Jésus”, et “Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus”. Pourquoi ? Parce qu'il ne reste rien à condamner pour un être humain justifié par Jésus. Cette affirmation peut paraître hardie, et pourtant c'est bien cette assurance qui donne bénédiction et joie. Puisque nous sommes dans le Christ Jésus, nous ne sommes plus condamnés.
La vérité de l’Évangile est celle-ci : lorsque le Seigneur Jésus était sur la croix, non seulement il a porté nos péchés, mais il a été “fait péché” par Dieu (2 Corinthiens 5. 21) ; Il a été identifié avec tout ce qui caractérisait le premier homme, et a subi le Jugement de Dieu sur le premier homme. Tout a été condamné à la croix, et maintenant il n'y a plus de condamnation, il ne reste rien à condamner pour ceux qui sont en Jésus Christ (Romains 8. 1-3).
Voila ce qui s'est passé à la croix lorsque l'Amour parfait de Dieu y a été démontré.
“Ils prirent donc Jésus et l'emmenèrent”; c’est alors que la culpabilité de l'être humain a atteint son comble. “Portant lui-même la croix, il sortit”: ici a été manifestée la victoire magnifique de l'amour divin sur la haine de l'homme. On ne l'a pas tiré, ni poussé; il est sorti. Ce n'est pas un homme qui lui a ôté la vie; Jésus a donné sa vie de lui-même (Jean 10. 18). Il n'y a eu aucune résistance, aucun regret, et chaque pas vers Golgotha a ébranlé le règne du diable sur l'humanité.
Et là, à Golgotha, “ils le crucifièrent”. Christ crucifié est la réponse de Dieu au mensonge du diable dans le jardin d'Éden. Si Dieu nous avait laissé récolter les fruits amers de notre rébellion et de notre péché, nous n'aurions pas pu nous en plaindre; mais Dieu a entrepris plutôt de dissiper les ténèbres et de renverser le pouvoir du diable. Il a donné ainsi une preuve puissante et convaincante de son Amour pour nous. Satan avait fait croire aux êtres humains que Dieu était un Maître dur. Dieu a prouvé qu'Il est plein d'Amour en faisant le don le plus excellent que le Ciel contenait : son Fils bien-aimé, Jésus Lui-même. Lorsque la lumière glorieuse de cet Amour brille dans le cœur de chaque être humain, l'esclavage de Satan prend fin. Jésus a été élevé sur la croix; alors, la vérité tout entière a été proclamée. Le mensonge mis à nu, les ténèbres de l'ignorance sont dissipées… Dieu a triomphé.
Quelle grandeur brille dans cette scène sublime du Calvaire ! A travers la croix et par sa lumière glorieuse, nous avons été réveillés de notre nuit de sommeil spirituel dans laquelle nos péchés nous avait entraînés. Nous avons été émerveillé de nous écrier : Dieu nous aimait infiniment malgré tout ! Sa Parole entrant dans notre cœur nous a illuminés et avec la Lumière divine est venue la liberté. Les ténèbres se sont dissipées et nos âmes sont entrées dans la parfaite lumière de la gloire de Christ. Oui, l'Amour parfait de Dieu a été démontré à la croix.
Dieu n'a pas traité le péché à la légère. Christ a porté nos péchés, et les a ôtés, mais de plus, Il a été fait péché; Il est descendu dans la profondeur du Jugement dû au péché, et Il en est ressorti par la résurrection. Jésus est devenu notre vie, nous sommes en Lui, et par conséquent il est aussi impossible qu'il y ait condamnation pour nous qui croyons en Lui. Le péché dans la chair n'a pas été pardonné : car Dieu l'a condamné (Romains 8. 3). Dieu condamne le péché. Il pardonne aux pécheurs en effaçant leurs péchés dans le sang de Christ, mais le principe mauvais du péché – “le péché dans la chair” – ne peut trouver sa fin que dans le jugement. Mais si l'on est enfants de Dieu, nous sommes en Christ devant Dieu, et ainsi il n'y a pas, et il ne peut pas y avoir de condamnation pour nous les croyants en Jésus. Notre place même est en Jésus qui est sorti Vainqueur du Jugement et de la mort : tout ce qui se rattachait à nos péchés et à nous-même, Jésus l'a laissé dans le jugement d'où Il est sorti Vainqueur. Jésus, qui a été “établi par Dieu Juge des vivants et des morts” (Actes 10. 42), va-t-il condamner ceux qui viennent à Lui dans la repentance et pour qui Il est mort, pour qui Il a connu l'angoisse, et pour qui Il a lui-même été condamné ? Jamais ! Béni soit son Nom incomparable! Nous pouvons bien dire : Gloire à Dieu !
Dieu nous aime tellement, Il veut nous le montrer aujourd'hui ! Soyons touché(e)s par son Amour et sa Grâce, et partageons cet Amour autour de nous.
Le Salut que Dieu offre est gratuit
On entend souvent dire que le Salut que Dieu offre est gratuit. C'est juste, bien sûr et il faut l'accepter par la foi. la Bible le répète jusque dans son dernier chapitre : “Que celui qui veut prenne gratuitement de l'eau de la vie” (Apocalypse 22. 17). Ou encore : “Tous ceux qui croient... sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus” (Romains 3. 22, 24).
Mais si le Salut que Dieu nous offre en son Fils Jésus est gratuit pour celui qui vient à Lui et Lui confesse ses péchés, c'est parce que le prix en a déjà été payé parfaitement, payé sur la croix par le Fils de Dieu Lui-même, Jésus-Christ, qui a donné son propre sang, sa propre vie. Personne ne pourra jamais mesurer ce qu'a coûté à notre Sauveur Jésus le rachat d'un seul pécheur. Non seulement Jésus a dû subir le supplice honteux de la crucifixion, mais surtout il a accepté de subir le terrible Jugement de la Justice divine pour chacun de nos péchés. A la fin des trois heures terribles pendant lesquelles “l'Éternel a fait tomber sur Lui l'iniquité de nous tous” (Ésaïe 53. 6), il s'est écrié : “Tout est accompli” (Jean 19. 30). Cette expression est la traduction d'un mot grec que l'on apposait au bas d'une facture acquittée et qui veut dire aussi : “C'est payé”.
Amis lecteurs, pensons à l'intérêt que nous porte Jésus-Christ le Fils de Dieu, qui n'a pas reculé devant le prix immense à payer pour nous sauver parfaitement du salaire de tous nos péchés !
N'oublions jamais ce que le rachat de notre âme a coûté à notre cher Sauveur Jésus. Cela nous conduira toujours à la louange et à l'adoration de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, Lui qui est le Roi des rois qui règne éternellement.
Le jour de la naissance de Jésus-Christ
Nous êtres humains qui avons péché contre Dieu notre Créateur, pour que nous soyons sauvés et que nous ayons la Vie Éternelle, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, quitta le Ciel et vint dans ce monde pour nous sauver parfaitement de tous nos péchés et de la mort éternelle. Le jour de la naissance de Jésus-Christ que nous célébrons et que nous nommons « Noël » est un jour de grâce pour chacun d'entre nous car il commémore la Venue de Jésus sur la terre pour nous sauver et nous libérer de la mort éternelle. En Jésus, nous avons la vie éternelle et les chaînes qui nous tenaient liés à la mort et à Satan ont été brisées. Jésus a payé le prix de notre rachat et ce prix c'est son sang versé sur la croix du calvaire, c'est sa vie qu'Il a donné. Mais, Gloire à Dieu, Jésus-Christ est ressuscité et assis à la droite de Dieu où il intercède en notre faveur.
Nous devons avant tout reconnaître la naissance de Jésus-Christ (sa Venue sur la terre), annoncer la Bonne Nouvelle du Salut au monde et proclamer la vérité, la délivrance et la vie éternelle en Jésus-Christ qui est le seul Chemin pour aller au Ciel (Jean 1 : 17 ; Jean 14 : 6). Nous lisons dans 1 Corinthiens 2 : 12 « Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce » et Dieu nous a révélé son Fils bien aimé qui nous donne la vie. Romains 12 : 2 nous dit également « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait ». Le Seigneur nous a laissé le Saint Esprit qui vit en nous et qui nous dirige dans ce monde de ténèbres. Oui « La grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ » (Jean 1 : 17b). « Car, si par l'offense d'un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup» (Romains 5 : 15).
Proclamons au monde entier, sans crainte ni honte, que le jour de la naissance de Jésus-Christ qui est commémoré « Noël », est le souvenir de l'accomplissement de la promesse de Dieu faite pour nous réconcilier avec Lui. Saisissons l'héritage divin que Dieu nous a donné en son Fils Jésus-Christ et tenons fermement la couronne de vie incorruptible et glorieuse qu'Il nous a donnée. C'est par la Grâce de Dieu que nous sommes sauvés en Jésus et cette grâce est manifestée chaque jour, à chaque instant, jusqu'au Retour de notre Seigneur Jésus-Christ. Aussi, comme cela devrait l'être pour tous, c'est tous les jours « Noël » car Jésus-Christ est constamment présent dans notre vie et son Saint-Esprit dont nous sommes le temple est un témoignage vivant de Sa gloire et de Sa grâce.
Noël : La Venue de Jésus le Messie dans ce monde
La fête de Noël est la fête de la naissance de Jésus, c'est-à-dire de la Venue de Jésus-Christ dans ce monde. On peut se poser des questions comme : Qui est Jésus-Christ ? – D'où vient-il ? – Où et comment est-il né ? – Quelle était la raison de sa venue parmi nous ?
La réponse à toutes ces questions se trouve dans la Bible, la Parole de Dieu. Les quatre Evangiles en particulier donnent des renseignements clairs à ce sujet. Nous lisons dans 1 Timothée 1 : 15 : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans ce monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier ».
La signification de Noël révélée à Marie :
Marie était une jeune fille juive, fiancée à un homme de la même race : Joseph. Les deux étaient intègres, droits et craignaient Dieu. Un jour, L'ange Gabriel vint jusqu'à Marie pour lui donner l'annonce de la naissance du Christ : voir dans Luc 1 : 26-35.
En méditant ce texte, nous pouvons conclure que Marie, qui était une jeune fille vierge, a vécu une grossesse miraculeuse, et a enfanté un fils qui, selon l'annonce de l'ange Gabriel, était le plus important de tous : « ...déclaré Fils de Dieu, Fils du Très-Haut et Roi de cette terre ». Jésus-Christ Homme, le Messie promis d’Israël, fut conçu par l’intervention miraculeuse du Saint-Esprit et naquit de la vierge Marie.
La signification de Noël révélée à Joseph :
Joseph était charpentier et il aimait Marie, avec qui il pensait se marier. Cependant, quand il sut que Marie sa fiancée était enceinte, il ne voulut pas la diffamer et se proposa de rompre secrètement avec elle : voir dans Matthieu 1 : 20-25.
Après la révélation de l'ange, Joseph n'avait plus de doute : cet enfant conçu dans le ventre de Marie était le fruit d'une intervention divine. Joseph fut instruit que cet enfant miraculeux allait devenir le Sauveur de l'humanité, ayant comme but d'ôter le péché du monde. Comment cela ? En donnant sa vie de juste pour les injustes, mourant sur une croix pour nos péchés et, après avoir souffert le châtiment pour nous, il ressusciterait de la mort pour donner à tous ceux qui veulent être sauvés le pardon de leurs péchés et la vie éternelle.
« Pendant qu'ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva, et elle enfanta son fils premier-né. Elle l'emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie » (Luc 2 : 6-7)
Pourquoi Jésus le Fils de Dieu, le Roi des rois et le Sauveur de l'Humanité n'est-il pas né dans de meilleures conditions, ayant pour l'accueillir un berceau comme la grande majorité des enfants qui naissent dans ce monde ? Pourquoi n'est-Il pas né dans un palais ou dans une maison bien propre, avec de l'eau, de la lumière et toutes les conditions nécessaires pour un tel événement ? Parce qu'Il n'y avait pas de place pour le nouveau-né, Jésus-Christ, le Sauveur de l'humanité, dans les maisons de la ville de Bethléhem.
Malgré le fait que Jésus est venu dans ce monde pour nous apporter le Salut, il n'y avait pas de place pour Lui dans la vie de la majorité de son peuple. A la fin de son ministère, à peine une petite minorité l'a suivi quand il fut rejeté par le peuple juif et jugé par les Romains. Nous lisons dans Jean 1 : 11 : « Il (Jésus) est venu chez les siens (son peuple d'Israël) et les siens ne l'ont point reçu ».
Noël aujourd'hui :
Une fois de plus, cette année, nous fêtons la naissance de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, en commémorant sa venue dans ce monde. Son but était d'ôter nos péchés qui nous séparent de Dieu, en donnant sa vie et mourant pour nous. Et par sa résurrection, il nous offre son pardon et sa vie qui est éternelle. La Bible le dit clairement : « Il n'y a de salut en aucun autre, car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 : 12).
Ouvrons tout notre cœur et toute notre vie à Jésus afin de donner toute la place à Jésus-Christ notre Dieu, notre Sauveur et Roi. Ainsi, Noël sera une réalité pour nous tous les jours.
La Venue du Seigneur Jésus sur la terre
Parmi tous les évènements qui ont marqué l'histoire de l'être humain, il n'en est pas de plus important que la Venue du Seigneur Jésus-Christ sur la terre. Le Fils de Dieu s'est “humilié” pour naître comme l'un d'entre nous.
Jésus-Christ aurait pu venir comme un Roi qui aurait bientôt soumis ses sujets. En effet, étant Dieu, Jésus a des droits sur chacun de nous.
Jésus-Christ aurait pu venir comme un Juge qui aurait condamné sans appel l'humanité qui avait sombré dans le péché et l'éloignement de Dieu.
Jésus-Christ aurait pu venir encore comme un Justicier pour détruire les êtres humains qui s'étaient opposés à Dieu qui leur avait pourtant fait tant de bien.
Mais c'est comme Sauveur que le Seigneur Jésus Christ est venu jusqu'à nous. Sur notre terre où chacun cherche en général à s'élever, Jésus-Christ a pris la dernière place. Né dans une étable, il a suivi un chemin de renoncement qui l'a conduit jusqu'à une croix sur laquelle il est mort comme un brigand.
Chacun de nous doit bien s'interroger sur la Venue de Jésus Christ. Pourquoi cette vie si différente de toute autre ? Pourquoi cet abaissement jusqu'à la mort sur la croix ? L'Amour : voilà la réponse à toutes ces questions. Il est le mobile de toute sa vie.
Aujourd'hui Jésus se présente encore à nous comme le seul Seigneur et Sauveur de l'humanité. Que personne n'attende pour recevoir Jésus dans sa vie, car un jour, ce sera comme Juge que Jésus se présentera à ceux qui ont négligé ou refusé son Salut gratuit, et alors, le premier chef d'accusation sera de l'avoir refusé comme Seigneur et Sauveur.
Si autrefois Jésus n'a pas été reçu dans l'hôtellerie, aujourd'hui c'est dans notre coeur qu'Il désire entrer. Avons-nous chacun une place pour Lui ?
L'avons nous chacun reçu dans notre vie ? Le recevoir consiste simplement à croire en lui, à comprendre qu'il est mort pour nous, à l'aimer et à mettre toute notre confiance en Lui. Jésus a été crucifié pour subir le châtiment que nous méritions. Maintenant Il est vivant et, si nous Le recevons, Il vient habiter en nous par son Esprit.
Lecteurs, interrogeons-nous. Quelle place Jésus a-t-il dans notre vie ? De quoi notre coeur est-il occupé, à quoi pensons-nous tout au long de la journée ? Sachons que notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ veut avoir toute la place dans notre coeur. Jésus est le don de Dieu pour chaque être humain. Aimons Jésus de tout notre coeur, passons du temps dans la prière et lisons Sa Parole, la Bible.
Jésus dit à Zachée : « Il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison » (Luc 19. 5). Et vite, Zachée descend et Le reçoit avec joie. Il avait besoin de Jésus ; et nous ? Maintenant encore, Jésus dit à chaque être humain dans ce monde : «Je veux loger chez toi ; fais-moi une place dans tous les domaines de ta vie : dans ton travail, dans tes loisirs...». Qu'allons-nous répondre personnellement ? Puissions-nous dire : « Oui, qu'en tout, que Jésus tienne la première place » (Colossiens 1. 18).