Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Accepter et recevoir la Grâce de Dieu‏‏

31 Juillet 2022 Publié dans #EVANGILE

S'il est une question fondamentale, c'est celle de notre condition devant Dieu. Comment des êtres coupables et tellement limités, tels que nous êtres humains, pourraient-ils en faire assez pour apaiser un Dieu offensé et s'attirer ses faveurs ? Impossible ! Mais si le mot “Évangile” signifie “Bonne Nouvelle”, ce n'est pas pour rien : c'est Dieu fait grâce, Il nous offre la réconciliation gratuitement.
Dieu est Celui qui donne, qui aime et qui, parce qu'il est Dieu, ne demande rien en retour. Mais nous devons être reconnaissants à Dieu pour tous les dons qu'Il nous offre ; et des actions de grâce et de reconnaissance envers Lui doivent s'élever du fond de notre coeur.

La grâce, par définition, est un acte gratuit. Il suffit de l'accepter et de remercier Dieu pour ce cadeau. Est-ce trop simple ? Vouloir faire quelque chose pour être sauvé, c'est vivre dans l'insupportable angoisse de n'avoir pas fait assez, et s'enfermer dans une série de règles dont on croit qu'elles sont source de salut. Ainsi, l'on nie l’Évangile de la Grâce, la Toute-Puissance de l'Amour du Dieu Sauveur, et l'on refuse de croire à la certitude de ses promesses, parce que l'orgueil ne veut pas céder.
Pourtant, Dieu m'aime, et Il nous aime tous ! Il a démontré que nous sommes pécheurs : “Il n'y a pas de juste, non, pas même un seul… tous ont péché” (Romains 3. 11, 23). Mais le parfait Amour de Dieu pour nous a éclaté à la croix, quand Il a chargé son propre Fils Jésus du châtiment que méritaient tous nos actes mauvais, tous nos péchés. C'est le prix payé par Jésus Christ qui permet à Dieu de nous faire grâce. Dieu nous sauve par pure grâce !

Nous-mêmes, ne comptons plus sur nos bonnes œuvres pour être sauvés, mais que ces bonnes oeuvres soient la manifestation de notre reconnaissance envers Dieu. Ne doutons plus de l'Amour parfait de Dieu à notre égard. Croyons tout simplement que le sacrifice de Jésus-Christ à la croix, suffi pour que nous vivions d'une Vie Nouvelle et Éternelle, dès maintenant et pour toujours.

Lire la suite

Comment se mettre en règle avec Dieu ?

30 Juillet 2022 Publié dans #Divers

Pour pouvoir se mettre en règle avec Dieu, nous devons d’abord comprendre ce qui ne va pas. Le problème, c’est le péché. « Il n’y en a aucun qui fasse le bien, pas même un seul. » (Psaumes 14. 3). Nous nous sommes rebellés contre les commandements de Dieu ; « nous étions tous comme des brebis égarées » (Ésaïe 53. 6).
La mauvaise nouvelle est que la punition du péché, c’est la mort. « Celui qui pèche, c’est celui qui mourra. » (Ézéchiel 18. 4) La bonne nouvelle est qu’un Dieu plein d’amour nous a recherchés pour nous offrir le salut.
Jésus a déclaré que son but était de « chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19. 10) et il a confirmé que cet objectif a été atteint, par ces mots sur la croix : « Tout est accompli » (Jean 19. 30).

Pour mettre en règle notre relation avec Dieu, nous devons d’abord reconnaître notre péché, puis le confesser humblement à Dieu (Ésaïe 57. 15). « C’est avec la bouche que l’on affirme une conviction et parvient au salut. » (Romains 10. 10).
Cette repentance doit être accompagnée par la foi. Plus spécifiquement, il faut croire que la mort sacrificielle et la résurrection miraculeuse de Jésus-Christ Lui donnent le pouvoir de nous sauver. « Si tu reconnais publiquement de ta bouche que Jésus est le Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité, tu seras sauvé. » (Romains 10. 9).
Plusieurs autres passages parlent de la nécessité de la foi, notamment
Jean 20. 27, Actes 16. 31, Galates 2. 16. 3. 11, 26 et Éphésiens 2. 8.
« Être en règle » avec Dieu dépend de notre réponse à ce qu’il a fait pour nous. Il a envoyé un Sauveur, Il a pourvu au sacrifice nécessaire pour effacer notre péché
(Jean 1. 29) et il nous promet ceci : « Alors toute personne qui fera appel au nom du Seigneur sera sauvée. » (Actes 2. 21).

La parabole du fils prodigue (Luc 15. 11-32) est un bel exemple de repentance et de pardon. Le plus jeune fils avait quitté sa famille et dissipé l’héritage de son père en vivant dans la débauche (verset 13). Lorsqu’il a reconnu sa mauvaise conduite, il a décidé de retourner à la maison (verset 18). Il pensait que son père ne le considérerait plus comme un fils, mais il se trompait : le père aimait toujours autant son fils rebelle (verset 20). Il lui a tout pardonné et a organisé une grande fête (verset 24). Dieu est fidèle et garde ses promesses, y compris la promesse de pardonner : « L’Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé, et il sauve ceux dont l’esprit est abattu » (Psaumes 34. 19).

Si vous désirez vous mettre en règle avec Dieu, voici une simple prière. Le seul fait de faire cette prière, ou une autre, ne vous sauvera pas. Seule la foi en Christ peut vous sauver du péché.
Ce modèle de prière n’est qu’un moyen d’exprimer à Dieu votre foi en lui et de le remercier d’avoir pourvu à votre salut. « Dieu, je sais que j’ai péché contre toi et que je mérite une punition. Mais Jésus-Christ a pris cette punition que je méritais sur lui-même afin que, par ma foi en lui, j’aie accès au pardon. Je mets ma confiance en toi pour mon salut. Merci pour ta grâce merveilleuse et ton pardon, pour le don de la vie éternelle ! Amen ! »
Faire une prière et vivre une vie comme avant ne change rien il faut marcher dans la sanctification.

Lire la suite

L’origine de Satan

29 Juillet 2022 Publié dans #Divers

"Je monterai au sommet des nuages, je serai semblable au Très-Haut" (Ésaïe 14. 14).

Certains affirment qu’il ne faut pas parler de Satan, qu’il faut parler uniquement du Seigneur Jésus, mais la Bible nous en parle, donc Dieu désire que nous sachions qui est notre principal ennemi. En fait, en apprenant qui il est, nous apprenons par la même occasion comment lui résister et comment discerner ses ruses. Certes, nous ne sommes pas là pour faire son éloge, mais bien pour lui résister. En apprenant ce que les Écritures affirment de lui, nous deviendrons mieux équipés pour lui résister.

Les Écritures nous enseignent que Satan se trouvait au jardin d’Éden (Ézéchiel 28. 13) le jardin de Dieu créé après la création de l’homme (Genèse 2. 8). Satan était un chérubin protecteur, aux ailes déployées; il était sur la sainte montagne de Dieu (Ézéchiel 28. 14). La création du monde spirituel s’est faite dans le cadre des six jours de créations selon Genèse 2. 1 qui dit que « les cieux et la terre et toute leur armée furent achevés ». L’armée des cieux étant tels qu’illustrés dans 1 Rois 22. 19 le monde spirituel.

Satan était parmi les anges les plus élevés. Il est dit de lui qu’il était plein de sagesse et parfait en beauté (Ézéchiel 28. 12). Il a été au service de Dieu en Éden jusqu’à ce que son cœur se soit élevé à cause de sa beauté (Ézéchiel 28. 17). Le prophète Ésaïe nous apprend à ce propos que Satan se disait en son cœur : « Je monterai aux cieux, j’élèverai mon trône par-dessus les étoiles de Dieu ; je siégerai sur la montagne de l’assemblée » (Ésaïe 14. 13). Les témoignages d’Ésaïe 14 et d’Ézéchiel 28 nous démontrent que Satan a convoité et agit en fonction de ravir la place de l’Éternel son Créateur. Il désirait être semblable à Dieu, c’est-à-dire son égal (Ésaïe 14. 14). Ce n’est pas un hasard si lors de la tentation au jardin d’Éden le serpent a fait convoiter la pensée d’être « comme Dieu ».

Plusieurs passages des Écritures démontrent que Satan a apporté dans sa chute plusieurs anges. Apocalypse 12. 4 nous laisse considérer qu’un tiers des anges l’on suivit. Ce nombre représente des myriades d’anges déchus que l’on nomme démon.

Bien que Satan n’ait pas réussi à s’élever sur le Trône de Dieu, il s’active depuis sa chute à tout faire dans la vie de l’humanité en remettant la Parole de Dieu en question et en la déformant. Son désir est de reproduire dans le cœur du plus grand nombre le désir d’être comme Dieu et donc insoumis au seul vrai Dieu. C’est d’ailleurs ainsi que nous le retrouvons lors de sa première manifestation une fois déchu dans la Genèse ou il interrogea Ève en remettant en question la parole de Dieu en affirmant à Ève qu’elle et Adam n’allaient pas mourir en prenant du fruit défendu (Genèse 3. 4). Il n’a pas hésité à mentir pour faire tomber l’humanité dans le péché.

Le nom Satan en hébreux signifie ennemi ou adversaire. Son objectif demeure celui de prendre la place de Dieu dans nos vies. Il n’hésite pas pour arriver à ses fins à mentir et à même sacrifier ceux qui œuvrent pour lui (Ézéchiel 28. 20). Les Écritures le nomment également, le diable, l’accusateur, le père du mensonge, mais il s’agit toujours du même personnage maléfique.

A titre de disciples de Christ, nous devons être conscients de la présence de Satan et de son acharnement. Pierre nous dit qu’il rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera et que nous devons lui résister avec une foi ferme (1 Pierre 5. 8-9). Nous devons suivre le modèle de Jésus lors de sa tentation qui lui résista en utilisant la Parole de Dieu (Matthieu 4. 3-11 ; Luc 4. 1-12). Dans la parabole du semeur il est dit de ceux qui ont reçu la semence sur le bord du chemin que le diable enlève de leur cœur la parole, de peur qu’ils ne croient (Luc 8. 12). Il nous faut donc être enracinés en Christ afin de ne pas laisser au diable un accès (Éphésiens 4. 27), nous devons nous soumettre à Dieu, en faisant cela nous résisterons au diable (Jacques 4. 7). Suivons le modèle du Seigneur qui, à chaque tentative du diable de le tenter, Jésus lui répondait à chaque fois en citant les Écritures (Luc 4. 8, 12 ; Matthieu 4. 4, 7, 10).

Notre adversaire a beau être rusé et puissant, son sort nous est déjà connu. Il est vaincu, Jésus-Christ a triomphé de lui à la croix (Colossiens 2. 15). Il continue jusqu’au jour de son jugement à œuvrer, mais son temps est compté (Apocalypse 20. 10). Il nous faut donc tenir fermes et prendre les armes du croyant afin de repousser ses attaques (Éphésiens 6. 11). Notre force et notre victoire se trouvent qu’en Christ seulement.

Lire la suite

Les sept paroles de Jésus-Christ sur la croix (3)

28 Juillet 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

5) J’ai soif !
« Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà accompli, dit, afin que l’Ecriture soit accomplie : J’ai soif ! Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplir une éponge, et l’ayant fixé sur une branche d’hysope, ils l’approchèrent de sa bouche » (Jean 19 : 28)
De quoi avait soif Jésus ? Pas soif seulement de l’eau de la fontaine, mais une autre soif spirituelle. Souvenons de ce que Jésus avait dit au début de son ministère : « L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Matthieu 4 : 4)
Jésus avait soif de reconnaissance… où sont passés ses disciples, tous les malades qu’Il a guéris, les possédés qu’Il a délivré, ceux qui sont nés de nouveau ? Personne au pied de la Croix pour louer le Christ ! Aucune louange ne sortait de la bouche des êtres humains !
Oui, nous comprenons par là que Jésus a toujours soif de nos louanges et de notre adoration. « Mais l'heure est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande » (Jean 4 : 23).
Aujourd’hui encore, Jésus a soif de notre adoration. Oui, mes frères et soeurs en Christ, Jésus nous dit à chacun : « J’ai soif de tes louanges, j’ai soif de ton adoration ! » Jésus a tant fait pour nous et c’est normal que nous répondions à sa soif de louanges.

6) Tout est accompli
« Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. (Jean 19 : 30).

Les souffrances que subit Jésus, c’est chaque être humain qui aurait dû les subir pour payer le prix de ses propres péchés. Mais Jésus le Fils de Dieu, s’est fait homme en venant dans ce monde et sur la croix, Il souffre pour toi, pour moi, et pour tous les pécheurs que nous sommes ! Quel soulagement pour chaque pécheur d’entendre Jésus dire : Tout est accompli. Mais pour être sauvé, chaque être humain doit mettre sa confiance en Jésus et s'approprier personnellement le parfait sacrifice de Jésus.
- Oui, Jésus a tout accompli pour que tous nos péchés soient pardonnés ! – Oui, Jésus a tout accompli pour que nous soyons sauvés de l’Enfer ! - Oui, Jésus a tout accompli pour payer et garantir notre place dans son ciel de gloire pour l’éternité.
Pour que nous soyons sauvés, Dieu ne nous demande pas des œuvres, mais simplement la foi dans le sacrifice du Christ, notre Sauveur : « Celui qui croira et qui sera baptisé, sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné (en enfer) ! » (Marc 16 : 16)
De tout notre cœur, Jésus, nous te disons merci, tu as tout fait pour nous pour que nous soyons sauvés ! Oui, nous croyons en ton parfait sacrifice qui a expié nos péchés et qui nous ouvre le Ciel gratuitement pour l’éternité. Merci Jésus, merci, merci infiniment ! de tout notre cœur

7) Père, je remets mon esprit entre tes mains
« Il était environ la sixième heure, (midi), et il y eut des ténèbres sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure (15 h). Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu. Jésus s’écria d’une voix forte : Père, je remets mon esprit entre tes mains et en disant ces paroles, il expira ! Le centenier voyant ce qui était arrivé, glorifia Dieu, et dit : Certainement, cet homme était juste » (Luc 23 : 44-48)
Le corps de Jésus a été malmené, même après sa mort, un soldat lui a donné un coup d’épée… mais, pour que le Diable, ne prenne pas la suite de sa mort, Jésus a été très clair, Il a confié son esprit et son avenir à Dieu le Père. Et nous savons avec certitude que Jésus est sorti Vainqueur de la tombe, Vainqueur du séjour des morts et Vivant pour l’éternité dans la Maison du Père. Jésus a voulu par cette dernière parole nous donner une bonne leçon : apprenons à remettre notre avenir, nos soucis présents, nos activités et même notre éternité entre les mains de Dieu notre Père Céleste.
Nous sommes des enfants de Dieu, oui Dieu est notre Père qui est aux cieux ! Quelle sécurité que de savoir que nous sommes entre les mains du seul vrai Dieu Tout-Puissant. Dans nimporte quelle problème ou souci que nous pouvons être, faisons comme Jésus, remettons notre vie, nos activités entre les mains de Dieu, notre Père Céleste.

Lire la suite

Les sept paroles de Jésus-Christ sur la croix (2)

27 Juillet 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

3) « Voilà ton fils » :
Près de la croix de Jésus, se tenait sa mère et la sœur de sa mère, Marie femme de Clopas et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès
d’elle le disciple qu’il aimait (l’apôtre Jean), dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère ! Et dès ce moment, le disciple la prit chez lui. (Jean 19. 25-27)
Jésus ne fait jamais rien par hasard : après avoir parlé de pardon, puis du paradis, voici que Jésus s’occupe de la famille. Quand il nous est dit « Jésus,
voyant sa mère ! », nous comprenons que Jésus voyait les souffrances intérieures de Marie, sa mère. Apparemment, Marie est déjà veuve et Jésus voit les souffrances de sa maman qui va perdre définitivement son fils… quelle souffrance pour cette mère. Bien que Fils de Dieu, Jésus était aussi Fils de l’homme, et Jésus a compati à la souffrance de sa mère. C’est pourquoi, Jésus a proposé qu’il soit remplacé et que Marie ait « un fils » à qui elle pourra manifester ses sentiments maternels et qu’elle ait un fils qui prenne soin d’elle.. Jésus n’a pas choisi n’importe qui… il a choisi un apôtre rempli d’amour et d’affection…
Ce que nous retenons, c’est que Jésus veut nous enseigner de ne pas  oublier notre famille, et de prendre soin nos parents : « Honore ton père et ta
mère (c’est le premier commandement avec une promesse) afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre » (Ephésiens 6 : 2-3).
Notre devoir familial est tellement important pour Dieu, que sur la Croix, Jésus a pris le temps de rappeler notre devoir en nous montrant l’exemple. Il n’y a pas de bonheur possible pour le chrétien, s’il ne prend pas soin de sa propre famille.

4) « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » :
La sixième heure étant venue (midi), il y eut des ténèbres sur toute la terre, jusqu’à la neuvième heure (15 heures) Et à la neuvième heure, Jésus
s’écria d’une voix forte : Eloï, Eloï, lama sabachtani ? Ce qui signifie Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Quelques uns de ceux qui étaient là, l’ayant entendu dire : « Voici, IL appelle Elie. Et l’un d’eux courut remplir une éponge de vinaigre, et l’ayant fixé à un roseau, il lui donna à boire, en disant : « Laissez, voyons si Elie viendra le descendre ! » (Marc 15 : 33-36)
Souffrance spirituelle : Quel cri émouvant de détresse : rejeté par les hommes et abandonné de Dieu ! Etait-ce une impression ou une réalité ? Jésus
s’est chargé non seulement d’une croix, en montant à Golgotha, mais il s’est chargé de tous les péchés du monde : Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur LUI (Esaie 53 : 5).
Dieu était en train de châtier Jésus sur la croix à cause de nos péchés qu'Il porta sur la croix. Notre Père Céleste, trois fois Saint, ne pouvait pas supporter la vue de tous
ces péchés que Jésus porta pour nous sur la croix ; alors Dieu le Père a détourné son regard de son Fils Jésus ! Quel horrible drame de vivre sans la présence de Dieu ne serait-ce qu’un instant ! Alors, imaginons quelles souffrances horribles a du subir Jésus pour nous.

Nous êtres humains, si nous ne sommes pas lavés par le sang de Jésus, si nous vivons dans nos péchés, la Colère de Dieu demeure sur nous. Mais si nous confessons nos péchés à Dieu, si nous acceptons le sang de Christ qui nous purifie de nos péchés, alors nous sommes garantis que la présence de Dieu nous accompagne tous les jours de notre vie.
Nous enfants de Dieu, nous avons un double sujet pour adorer Jésus-Christ notre Sauveur : a) Il a souffert sur la Croix pour nos
péchés. b) Aujourd’hui, nous savons qu’Il est tous les jours avec nous ! Quelles grâces !
Nous comprenons mieux les souffrances de ceux qui iront en enfer : une absence totale de la présence de Dieu, une horrible souffrance indescriptible, et une présence permanente du
Diable dans leur esprit. Que ce sera terrible ! Mais, oh, quel bonheur permanent, inexprimable et infini, d’être au Ciel avec Jésus présent dans toute sa gloire ! Merci Jésus pour ce si grand salut que tu nous a accordé !

À SUIVRE... / CLIQUEZ ICI

Lire la suite

Les sept paroles de Jésus-Christ sur la croix (1)

26 Juillet 2022 Publié dans #Pardon des péchés, #Salut

Lorsque le Seigneur Jésus-Christ fut mené devant les tribunaux, il ne répondit rien aux fausses accusations dont on l’accablait. Le prophète Ésaïe avait dit de Lui : « Il a été amené comme un agneau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent ; et il n’a point ouvert sa bouche » (Ésaïe 53. 7). Mais étant cloué sur la croix, il prononça sept paroles sublimes dignes d’être méditées.

1) « Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font » (Luc 23. 34)
La première fut une supplication qu’Il adressa à son Père, ce fut le pardon. Le premier besoin de tout être humain, c’est d'être pardonné de tous ses péchés pour être
sauver de l’Enfer. Alors que Jésus subissait les souffrances atroces de la part de ceux qu’Il était venu sauver de l’Enfer, Jésus implore pour eux le pardon. Quel amour infini !
Jésus avait dit durant sa vie : « Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous font du tort et qui vous persécutent » (Matthieu 5, 44). Non seulement Jésus enseignait ces choses, mais Il les pratiquait. Jésus a aimé ses ennemis, Il a fait du bien à ceux qui Le haïssaient. Sa prière a-t-elle été exaucée ? Il ne pouvait en être autrement. Déjà le brigand repentant crucifié à côté de Lui et qui L’avait auparavant injurié (Matthieu 27. 44), a été pardonné.
Depuis la mort et la résurrection de Jésus et en vertu du parfait sacrifice de Jésus, des multitudes de pécheurs reçoivent le pardon de Dieu en se repentant de tous leurs péchés. C’est une grâce qui nous remplit
d'adoration et de reconnaissance puisque c'est à la Grâce de Dieu que nous devons le Salut. Nous qui avons reçu le pardon, suivons l'exemple de notre Seigneur : pardonnons à ceux qui nous font du tort, à nous ou à nos proches. Intercédons pour les membres de notre famille, nos amis, les pécheurs qui nous entourent afin qu’ils reçoivent le pardon de leur péché, c’est une grâce irremplaçable. Le pardon de nos péchés est la priorité des priorités.

2) « Je te le dis en vérité, aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23. 43)
« L’un des malfaiteurs crucifié l’injuriait, disant : N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même et sauve-nous. Mais l’autre le reprenant et disait : « Ne
crains-tu pas Dieu, toi qui subit la même condamnation ? Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes, mais lui, n’a rien fait de mal. Et il dit à Jésus : Souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit : Je te le dis en vérité, aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 : 39-43)
Les deux brigands crucifiés avec Jésus étaient deux criminels. Et tous les deux l’insultaient (Matthieu 27. 44). Mais quand l’un des brigands entendit
les premières paroles de Jésus à la Croix : « Père, pardonne-leur ! », il découvrit que Jésus pardonnait les péchés les plus graves, il réalisa qu’il avait besoin du pardon et il crut dans cette parole de Jésus.
Ce brigand reconnaît à haute voix, publiquement, qu’il recevait le fruit de son péché mais il a cru au pardon du Christ et il a osé demander à Jésus
de se souvenir de lui dans l’au-delà. Et sur cette simple confession, Jésus lui a promis de le recevoir au paradis.
Jésus nous montre la grandeur de son parfait Amour : même les fautes les plus graves sont pardonnées instantanément et gratuitement à celui qui s'en
repent, car le prix de ces fautes est payé par les souffrances de Christ à la Croix.
Jésus a voulu affirmer publiquement, que le pardon conduit immédiatement au Ciel. Par le pardon de nos péchés, nous recevons immédiatement le
salut : « car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par Sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3 : 23-24).
L’Evangile nous laisse cet exemple d’un homme qui reçoit le salut quelques heures avant sa mort. N’ayons pas peur d’annoncer la Grâce de Dieu et
le Salut de Dieu à tous et même à ceux qui sont en train de mourir. Quel mourant n’a pas envie d’entendre cette déclaration de Jésus : « Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis ! »

À SUIVRE... / CLIQUEZ ICI

Lire la suite

Jésus-Christ ému de compassion‏

24 Juillet 2022 Publié dans #Divers

Près de quelqu'un qui souffre, nous sommes souvent désemparés, incapables de comprendre réellement sa détresse, de compatir en se mettant à sa place. Sympathiser, c'est souffrir avec celui qui souffre, pleurer avec celui qui pleure, c'est ressentir profondément sa peine et sa douleur.
Un seul a été capable de s'approcher toujours des affligés avec un cœur pleinement compatissant, d'aimer en vérité, sans juger : c'est Jésus. “Voyant les foules, Jésus fut ému de compassion” (Marc 6. 34). Jésus “Lui-même a pris nos infirmités et a porté nos maladies” (Matthieu 8. 17). Jésus partageait les souffrances humaines, et il guérissait, inlassablement. Si Jésus a pleuré au tombeau de son ami Lazare, avant de le ressusciter, c'est devant la terrible condition de l'être humain assujetti à la mort et devant l'ignorance de ceux qui se lamentaient, ne sachant pas que Jésus peut ressusciter Lazare.
Mais par-dessus tout, Jésus est venu délivrer l'être humain de la servitude du péché. Jésus est allé de lieu en lieu en faisant du bien, le cœur plein de compassion pour sa créature accablée de fatigue et de douleur. Constatant dans son cœur pur et sensible les ravages du péché sur l'être humain, Jésus apportait la Grâce et le Salut. Eh bien ! Jésus n'a pas changé : Il est “le même, hier, aujourd'hui, éternellement” (Hébreux 13. 8). Jésus n'est plus corporellement sur la terre, il est toujours présent et désire toujours s'occuper de ceux qui passent par la détresse, d'abord pour leur donner la paix du cœur, puis pour les consoler, les soutenir et les encourager. “Ses compassions ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin” (Lamentations de Jérémie 3. 22, 23).

Lire la suite

Emmanuel : Dieu avec nous

23 Juillet 2022 Publié dans #La Venue de Jésus

"Le Seigneur Lui-même vous donnera un signe : Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel" (Ésaïe 7. 14).

Le prophète Ésaïe l’avait effectivement annoncé. Une vierge allait donner naissance à un enfant et cet enfant allait être Dieu avec nous (Ésaïe 7. 14). Cette prophétie s’est accomplie avec la naissance de Jésus.

Nous apprenons dans l’Évangile de Matthieu qu’un ange du Seigneur est apparu à Joseph en songe afin de lui révéler la plus grande nouvelle jamais annoncée. La prophétie d’Ésaïe s’accomplissait alors, la vierge était enceinte sous l’action du Saint-Esprit. Joseph se proposait alors de briser leurs fiançailles secrètement. Chose que l’ange l’a encouragé à ne pas faire.

Nous apprenons que l’enfant allait porter le nom de Jésus et celui d’Emmanuel. Jésus signifie « Dieu qui sauve » et Emmanuel signifie « Dieu avec nous ». Nous considérerons ensemble le second particulièrement.

"Vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis" (2 Corinthiens 8. 9).

Il faut premièrement considérer cette affirmation… Le Dieu Créateur s’est fait chair, Il a marché sur la même terre que nous. Il est écrit à ce propos que « notre Seigneur Jésus-Christ, qui, étant riche, s’est fait pauvre pour nous, afin que par sa pauvreté nous fussions rendus riches » (2 Corinthiens 8. 9). Il a donc quitté la gloire céleste pour accomplir le plus grand geste d’amour imaginable, c’est-à-dire prendre notre place, ma place et ta place sur la croix et  par le fait même payer le prix pour le péché que nous avons commis toi et moi.  L’Écriture dit que le salaire du péché c’est la mort (Romains 6. 23), Lui, le juste, a pris notre châtiment sur son compte.

Voilà donc, l’essentiel de la Bonne Nouvelle,  Dieu s’est fait homme par amour pour nous, il est venu en démontrant son Amour pour nous. "Dieu a fait éclater son amour envers nous en ce que lorsque nous étions encore pécheurs Christ est mort pour nous" (Romains 5. 9).

Certains ont cru que puisque Jésus était mort que tout était terminé, mais tel ne fut pas le cas, car Christ est ressuscité des morts et cela même au  grand étonnement de ces disciples à qui il leur est apparu et est demeuré avec eux quarante jours les entretenant de ce qui concerne le royaume de Dieu (Actes 1. 3). Au moment de son Ascension, Jésus leur a promis une chose incroyable, il leur a dit « Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28. 20)
"Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi" (Apocalypse 3. 20).

Oui, Jésus est Dieu avec nous, il est Emmanuel, il l’a été sur la terre au temps des apôtres, mais il l’est aussi aujourd’hui. Un autre texte biblique qui nous aide à saisir cette vérité est la lettre à l’église de Laodicée. C’était une église tiède qui avait mis à la porte le Seigneur lui-même. Quel drame ! Cette église se croyait riche, elle a cru pouvoir fonctionner sans le Seigneur, cela ressemble à notre société d’aujourd’hui qui se croie aussi puissante que Dieu avec sa science et sa technologie. Pourtant, Jésus affirme à l’église de Laodicée « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe; si quelqu’un entend ma voix et m’ouvre la porte, j’entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi » (Apocalypse 3. 20). Il est patient, son invitation est toujours valide jusqu’à ce jour, mais cela arrivera à terme dans le futur.

Je vous invite à considérer ceci : avez-vous cette relation avec Dieu ?  Pouvez-vous apprendre à le connaître dans l’intimité d’un repas, Lui le véritable Dieu ?  Si vous répondez oui, vous êtes bénis. Sinon, considérez sérieusement son invitation à Lui ouvrir la porte, Il attend de l’autre côté ! Alors, pourquoi attendre ?

Lire la suite

Jésus-Christ est notre Intercesseur

22 Juillet 2022 Publié dans #Divers

Auprès de Dieu notre Père céleste, Jésus est notre Avocat et notre Médiateur. Jésus est aussi notre Intercesseur : "Il est ressuscité, Il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !" (Romains 8. 34).

Jésus prie pour nous : Prier pour les siens, ceux que le Père lui a donnés, fait partie intégrante du ministère de Christ. Déjà, pendant son séjour terrestre, Jésus priait pour ses disciples qu'Il envoyait dans le monde, afin que le Père les garde. Non seulement pour eux, mais pour tous ceux que le Père lui a donnés, en ce temps là et dans l'avenir. Jésus prie afin que ceux qui croient en lui soient gardés, qu'ils soient sanctifiés, qu'il soient unis et enfin qu'ils soient là où il est, qu'ils voient sa gloire et la partagent.
"C’est pour eux que je prie. Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés, parce qu’ils sont à toi; - et tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi; -et je suis glorifié en eux. Je ne suis plus dans le monde, et ils sont dans le monde, et je vais à toi. Père saint, garde en ton nom ceux que tu m’as donnés, afin qu’ils soient un comme nous. Lorsque j’étais avec eux dans le monde, je les gardais en ton nom. J’ai gardé ceux que tu m’as donnés, et aucun d’eux ne s’est perdu, sinon le fils de perdition, afin que l’Écriture fût accomplie. Et maintenant je vais à toi, et je dis ces choses dans le monde, afin qu’ils aient en eux ma joie parfaite. Je leur ai donné ta parole; et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde. Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal. Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde. Sanctifie-les par ta vérité: ta parole est la vérité. Comme tu m’as envoyé dans le monde, je les ai aussi envoyés dans le monde. Et je me sanctifie moi-même pour eux, afin qu’eux aussi soient sanctifiés par la vérité. Ce n’est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un, - moi en eux, et toi en moi-, afin qu’ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé" (Jean 17. 9-23).

Pendant son séjour terrestre, Jésus priait pour ses disciples qui Le suivaient et aussi pour que son Père l'assiste dans la mission qu'Il devait accomplir chaque jour auprès des foules qui venaient à Lui et de ceux qu'Il rencontrait en particulier (Marc 1. 35-39). Jésus a prié toute une nuit pour le choix des douze. "En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. Quand le jour parut, il appela ses disciples, et il en choisit douze, auxquels il donna le nom d’apôtres" (Luc 6. 12-13). Jésus a prié pour Pierre, afin que sa foi ne défaille pas, lorsqu'il serait criblé par Satan (Luc 22. 31-32). Jésus connaît nos élans de bonne volonté, mais Il connaît aussi la détermination de notre adversaire pour nous détruire, et Il sait que nous avons besoin d'être secourus lorsque nous sommes criblés, c'est pour cela que Jésus prie pour nous.
Dans le domaine de l'intercession, Jésus demeure le même. Assis à la droite de Dieu, Il intercède jour et nuit en notre faveur lorsque nous sommes éprouvés, lorsque nous souffrons, lorsque nous sommes tentés et même lorsque nous avons péché ! La première chose pour laquelle Jésus intercède, concerne le pardon de nos péchés, pas seulement passés, mais ceux de chaque jour. Nous avons besoin d'un Intercesseur qui se tienne pour nous en permanence auprès de Dieu, car nous avons un accusateur qui nous accuse jour et nuit devant Dieu (Apocalypse 12. 10).
L'élément qui décide de la Victoire, c'est le sang du Seigneur Jésus-Christ. L'efficacité de son intercession repose non pas sur la base de nos œuvres, mais de son propre sang, dont la valeur est éternelle (Hébreux 9. 12 ; Apocalypse 12. 11).

Nous avons peut-être du mal a réaliser que Jésus prie pour nous, non seulement d'une manière générale pour toute son Église, mais pour chacun de nous. Cela c'est une réalité. La parole que Jésus adressait à l'apôtre Pierre : "J'ai prié pour toi !" peut s'appliquer à chacun d'entre nous qui lisons ce message.
Il est bon aussi de savoir que Jésus n'intercède pas pour des justes mais pour des coupables. Dans Matthieu 9. 11,  Les pharisiens virent cela, et ils dirent à ses disciples : "Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie ? Ce que Jésus ayant entendu, il dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Allez, et apprenez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. C'est pour des coupables qu'il est venu s'offrir en sacrifice et c'est encore pour des coupables qu'il intercède chaque jour".
"Il s’est livré lui–même à la mort, Il a été mis au nombre des malfaiteurs, Il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et Il a intercédé pour les coupables" (Ésaïe 53. 12). Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. (Romains 5. 8). Le sentiment qui anime un intercesseur, c'est la compassion, l'amour, en faveur de ceux pour qui il intervient. En cela, comme en toutes choses, Jésus est parfait et unique. Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché (Hébreux 4:15).

Lire la suite

Être sauvés de l'esclavage du péché

21 Juillet 2022 Publié dans #Salut

"Grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de cœur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits. Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice" (Romains 6. 17-18).

Une chose est évidente et véridique pour chacun d’entre nous. Nous sommes tous confrontés à la présence du péché dans nos vies. À ce propos, Jésus a clairement affirmé que nous en sommes esclaves. Il a déclaré que quiconque se livre au péché est esclave du péché (Jean 8. 34). Nous sommes tous venus au monde en étant pécheurs, enfants de parents pécheurs. Dès nos premiers jours, inconsciemment peut-être, mais tout de même, nous avons commis nos premiers péchés et nous ne pouvons d’aucune manière cesser d’en commettre. Aucun d’entre nous n’est juste, pas même un seul (Romains 3. 10).  

Un esclave est au service complet de son maître, il dépend du bon vouloir de son maître. Le problème est que le péché n’a aucune attention pour nous, il ne désire d’aucune manière notre bien. Avec le péché, nous avons cette certitude qu’étant pécheurs, nous recevrons du péché un salaire des plus sombre : la mort (Romains 3. 23). Cette mort n’est pas uniquement la mort physique, mais également la mort spirituelle, la séparation d’avec Dieu. La Sainteté de Dieu fait en sorte qu’il n’y a pas de place dans sa présence pour le péché. Ésaïe le prophète a illustré le péché comme étant un mur de séparation entre le monde et Dieu. Il a témoigné que « ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l’empêchent de vous écouter » (Ésaïe 59. 2). Le péché dans nos vies représente un mur insurmontable qui nous sépare de la communion avec Dieu.

Le message de la Bible est clair, il n’y a aucun moyen pour une personne de se libérer par ses propres forces de notre esclavage du péché , nous ne pouvons pas également confier cette tâche à une autre personne. "Personne ne pourra avec ses richesses ou par ses habiletés racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon pour se racheter. Le rachat de leur âme est trop considérable, et il ne se fera jamais" (Psaume 49. 7-8 version Martin). C’est impossible de se racheter par nos bonnes œuvres (Romains 3. 20), elles ne peuvent effacer le mal que nous faisons. Nous appartenons au péché, nous sommes son esclave (Romains 6. 16).

Par contre, les Écritures nous affirment que pour nous esclaves du péché, il y a une lueur d’espoir. Le mot Évangile signifie Bonne Nouvelle et c’est pour cette raison qu’il est possible d’être racheté. En Jésus-Christ, nous pouvons être rachetés et voir le mur du péché être brisé. Il est le seul en mesure de faire cela. Pierre disait dans un de ses discours « Il n’y a de salut en aucun autre » (Actes 4. 12).  Le Psaume 49 verset 16 souligne que Dieu est en mesure de racheter une âme de la puissance du sépulcre. C’est ce que nous témoignent également les Évangiles. Paul enseigne concernant Jésus « qu’il s’est donné Lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres » (Tite 2. 14). En parlant de l’Évangile, Paul utilise l’image de la puissance de la dynamite pour démontrer que la Bonne Nouvelle de Jésus a toute la force requise pour faire éclater en ruine le mur du péché (Romains 1. 16).

En fait, seule une personne vivant une vie exempte de péché est en mesure de prendre la place d’un pécheur afin de le racheter. C’est précisément ce que Jésus a accompli à la croix ou Il a payé le prix du péché par amour pour ceux qui mettent leur foi en Lui. Le rachat d’un pécheur exige un grand prix (1 Corinthiens 7. 23) qui n’a été possible que par la grandeur de l’Amour de Dieu qui a donné son Fils unique afin de rétablir la communion entre Lui et le monde pécheur. Il est écrit également concernant Jésus que « celui qui n’a point connu le péché, il (Dieu) l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5. 21). L’Éternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui (Ésaïe 53. 5-6). Il a échangé sa Sainteté pour notre péché !

Pour obtenir le rachat offert par Christ, nous n’avons pas besoin d’un contrat d’échange de propriété entre Christ et le péché. La seule chose nécessaire est la foi dans son œuvre rédemptrice. Il est dit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16. 31). Il nous faut donc simplement changer de maître en reconnaissant que Jésus a tout accompli pour notre bien-être. Nous avons le choix entre être esclaves du péché et être esclaves de la justice (Romains 6. 18). Pour être sauvés, nous devons croire sincèrement que Jésus est Seigneur (Romains 10. 9-10) et Sauveur, et qu'Il est ressuscité.  Nous ne pouvons pas espérer obtenir le pardon de nos péchés sans croire que Jésus est Seigneur et Sauveur de nos vies.

Lire la suite
1 2 3 > >>