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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1. 16)

Jésus : la Victime expiatoire pour nos péchés (1)

30 Juin 2021 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Dieu est Saint et Il ne peut pas passer par dessus le péché sans le punir ; « Il ne tient nullement le coupable pour innocent ». Mais ce même Dieu Saint est le Dieu d’Amour, « miséricordieux et faisant grâce » (Exode 34 : 7, 6), et Il a « trouvé une propitiation » (Job 33 : 24), c’est à dire un moyen pour être favorable au pécheur tout en exécutant le Jugement sur son péché. Où l’a-t-Il trouvée ? Certainement pas parmi les êtres humains, car « Un homme ne pourra en aucune manière racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon » (Psaume 49 : 7).

Le seul vrai Dieu qui est Amour « a envoyé son Fils unique Jésus-Christ dans le monde... pour qu'Il soit la propitiation pour nos péchés » (1 Jean 4 : 8-10). Amour incompréhensible, Grâce insondable : le Fils bien-aimé de Dieu le Père, l’objet de ses délices éternelles, est l’Agneau, la Victime expiatoire pour le péché, « sans défaut et sans tâche, préconnu dès avant la fondation du monde » (1 Pierre 1 : 19). Jésus était dès l’éternité la ressource de Dieu pour la misère de l’être humain. Et au moment convenable, Dieu a envoyé son Fils Jésus ; et en plein accord avec Dieu le Père, Jésus Lui-même s’est présenté : « Voici, dit-il, je viens pour faire ta volonté » (Hébreux 10 : 9).
Jésus était de toute éternité auprès de Dieu : Jésus est Lui-même Dieu Tout-Puissant, Créateur
(Jean 1 : 1-3 ; Hébreux 1 : 2, 3 ; Colossiens 1 : 16, 17) ; et dans Sa personne « Dieu a été manifesté en chair » (1 Timothée 3 : 16). Jésus « s’est anéanti Lui-même, prenant la forme d’esclave, étant fait à la ressemblance des hommes » (Philippiens 2 : 7).
Jésus-Christ est Saint et Il est entré dans ce monde comme y entrent les êtres humains, naissant comme un petit enfant, mais dès avant sa naissance proclamé Fils de Dieu, et annoncé en même temps comme Sauveur, par son Nom même de « Jésus » qui signifie « Éternel sauveur » (
Luc 1 : 31-32, 35 ; Matthieu 1 : 21). Jésus-Christ le Fils de Dieu a vécu une vie d’homme tout en étant le Dieu Saint, et Il est venu sur la terre pour nous sauver parfaitement. Oui, pour sauver parfaitement quiconque se repent de ses péchés et quiconque met sa confiance en Lui. La Venue du Fils de Dieu sur la terre est le mystère insondable de l’incarnation.
En Jésus-Christ le Fils de Dieu, il y avait enfin sur la terre un Homme parfait, sans péché, qui ne vivait que pour accomplir la volonté de Dieu et Le glorifier. Dieu a pu proclamer à deux reprises : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai trouvé mon plaisir » (Matthieu 3 : 17 ; 17 : 5).
Seulement, la vie de Sainteté de Jésus dans la puissance du Saint-Esprit ne suffisait pas pour apporter aux êtres humains le Salut. Au contraire, Sa vie de Sainteté  mettait en évidence leur impiété. Jésus est « la vraie lumière », celle qui, « venant dans le monde, éclaire tout homme » (Jean 1 : 9). « Et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, car leurs œuvres étaient mauvaises » (Jean 3 : 19). Jésus était en même temps la manifestation de l’Amour de Dieu, et les êtres humains ont répondu par la haine à l'Amour de Dieu. Ils ont rejeté l’Envoyé de Dieu : Jésus-Christ. Jésus, pouvait dire à la fin de sa course : « Ils ont vu, et ils ont haï moi et mon Père » (Jean 15 : 24). Ils ont poussé cette haine jusqu’à clouer Jésus-Christ sur une croix, pour Le faire périr, Lui le Saint Fils de Dieu.
Eh bien, c’est dans cette extrémité de la part des êtres humains que brille de la façon la plus éclatante la Grâce et l'Amour infinis de Dieu pour le pécheur.

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La Bonne Nouvelle annoncée par Jésus-Christ

29 Juin 2021 Publié dans #Divers

"Les aveugles retrouvent la vue, les infirmes marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts se réveillent, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres" (Matthieu 11. 5 et Luc 7. 22).

Les aveugles retrouvent la vue :

Les aveugles sont ceux qui ne voient pas la réalité : ils prennent leur propre réalité - leurs désirs, leurs pensées, leurs émotions - pour la réalité.
Mais maintenant, tu vois ! Tu vois la Jérusalem Céleste, le Royaume (Il nous a faits Royaume -
Apocalypse 1. 6), la Vérité, le Chemin, la Vie (Jean 14. 6), etc.
Cependant, voir ne suffira pas : il s'agira aussi de discerner ! Chacun en effet, par définition, a raison dans son propre référentiel. La question n'est par conséquent pas de savoir qui a raison, mais : quel référentiel est le bon ?
Par exemple, la religion est un système que se crée l'être humain pour fuir Dieu : on s'aveugle soi-même si on refuse de voir cela en face. Par contraste, la foi pose les bonnes questions là où la religion donne de mauvaises réponses. Il va peut-être falloir passer par des épreuves pour finalement dire comme Job 42. 51  : "Mon oreille avait entendu parler de toi, mais maintenant mon oeil te voir"!
Autre exemple : l'aveugle ne voit pas que la fin du monde a déjà eu lieu : les choses anciennes sont passées, le monde a pris fin - tu vis à présent dans un monde nouveau, dans le Royaume, qui n'est pas de ce monde
(Jean 18. 36), où toutes choses sont nouvelles. Ce Royaume de Dieu ne vient pas de manière à attirer ton l'attention – et tu ne diras pas : voici, il est ici – ou : voilà, il est là – car voici : le Royaume de Dieu est au-dedans de toi (voir Luc 17. 20-21).

Les infirmes marchent :

L'infirmité, ce sont les peurs, la timidité, la paresse, etc. Te sens-tu infirme dans ta foi ? Tout ce qui te paralyse n'est-il pas vaincu ?
Cependant, ne plus être paralysé ne suffira pas : il s'agira aussi de marcher !
Marcher vers la Jérusalem Céleste, marche pour laquelle tu n'as plus besoin des béquilles que sont la religion, la superstition, les systèmes humains, le besoin de miracles pour croire, etc.
Cependant, marcher sans béquilles ne suffira pas : il s'agira aussi de marcher droit !

Les lépreux sont purifiés :

Ce qui nous rend impurs, nous dégrade, ce sont nos mœurs, nos traditions, nos pensées, nos paroles, etc. Tu retrouves l'intégrité de ton être.
Cependant, être intègre dans ton être ne suffira pas : sois juste avec les autres! Le Père ne nous a-il pas transférés dans le Royaume du Fils de son amour ? (voir
Colossiens 1:13).
La lèpre, c'est aussi de voir des difficultés dans les épreuves qui en réalité sont destinées à nous faire avancer! Il ne s'agira désormais plus de dire : Dieu, mes difficultés sont grandes! Mais : difficultés, mon Dieu est grand !

Les sourds entendent :

Le sourd est celui qui ne comprend pas. Mais maintenant, tu entends, tu comprends! Tout ce qui concerne le Royaume, la Bible, les circonstances, etc. Cependant, entendre/comprendre ne suffira pas : il s'agira aussi d'écouter/obéir!
Le sourd est aussi celui qui croit comprendre, mais qui a été mal enseigné, et/ou qui n'a pas cherché le sens exact des mots de la foi. Ne crois pas tout sans chercher à discerner, et prends ce qui est bon - et laisse le reste! (voir
1 Thessaloniciens 5. 21)

Les morts se réveillent :

Le mort doit re-naître, naître d'en-haut.
Lorsque l'on renais alors, nous retrouvons la maîtrise de notre être ! Cependant, renaître, être maître de notre être, ne suffira pas : offrons-le à Dieu !
Ce qui te liait est délié! tu n'es plus esclave ! Mais ne plus être esclave ne suffira pas : sois fils ou fille du Dieu très haut!
Si quelqu'un n'est pas engendré d'en haut, il ne peut voir le Royaume de Dieu (Jean 3. 3).

La bonne nouvelle est annoncée aux pauvres :

Les pauvres sont ceux qui sont conscients qu'ils ont besoin de plus grand qu'eux pour avoir la Vie - ils sont assoiffés de l'Esprit Saint qui dit : "Entre dans le Royaume, où tu es toi-même Temple de l'Esprit, où le pain béni est Jésus manne du Ciel, où le sabbat est Repos en Plénitude de chaque instant !"
La bonne nouvelle du Royaume
Mon Royaume n'est pas de ce monde
(Jean 18. 36). Le Royaume de Dieu ne vient pas de manière à attirer l'attention – et on ne dira pas: voici, il est ici – ou: voilà, il est là – car voici: le Royaume de Dieu est au-dedans de vous (Luc 17. 20-21). Le Père nous a transférés dans le Royaume du Fils de son Amour (Colossiens 1. 13). Il nous a faits Royaume (Apocalypse 1. 6). Si quelqu'un n'est pas engendré d'en haut, il ne peut voir le Royaume de Dieu (Jean 3. 3).

La Bonne Nouvelle de la liberté en Christ : VOUS CONNAITREZ LA VERITE, QUI VOUS RENDRA LIBRES CAR LA OU EST L'ESPRIT DE DIEU, LA EST LA LIBERTE ET L'ESPRIT SONDE TOUT, MEME LES PROFONDEURS DE DIEU (Jean 8:32 & 2 Cor 3:17 & 1 Cor 2:10)

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Il n'y a que deux maisons éternelles

28 Juin 2021 Publié dans #Paradis, #Enfer

"Nous le savons : si notre maison terrestre – simple tente – est détruite, nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n'est pas faite de main, éternelle, dans les cieux" (2 Corinthiens 5. 1).
"Celui qui a ressuscité le Christ d'entre les morts vivifiera aussi vos corps mortels, à cause de son Esprit qui habite en vous" (Romains 8. 11).
"Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui" (Jean 3. 36).

"Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle" (Matthieu 25. 46).

Dans un journal d'annonces immobilières, on lit : “Réservez votre future résidence de standing, proche de toutes les commodités, dans un bel environnement...” Plusieurs pages de cette revue sont ainsi remplies d'offres d'achat ou de location d'appartements et de maisons.
Si, pour notre vie terrestre, un grand choix de résidences est offert à certains privilégiés, il y a aussi un choix d'habitations pour notre avenir éternel. Avec deux différences pourtant qui sont :
- L'offre d'une maison éternelle, dans les cieux au Paradis, qui est gratuite pour tous. On y entre par la foi en Jésus-Christ le seul Sauveur. C'est pendant notre vie sur la terre que nous pouvons être sauvés, et aucune possibilité ne nous sera donnée, dans l'au-delà, de revenir sur la décision prise sur la terre ;
- Et aussi l'offre d'une maison éternelle en Enfer pour tous ceux qui, pendant leur vie sur la terre, ont négligé ou refusé d'accepter l'offre de la vie éternelle en Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

Il y a seulement deux destinations : le Paradis ou l’Enfer, et nous irons tous soit à l’un, soit à l’autre. « Entrez par la porte étroite ! En effet, large est la porte, spacieux le chemin menant à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par-là, mais étroite est la porte, resserré le chemin menant à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. » (Matthieu 7. 13-14).
Qu’il s’agisse du Paradis ou de l’Enfer, les deux sont reliés à la terre : notre monde se situe entre les deux et nous conduit soit vers l’un, soit vers l’autre. Le meilleur de la vie sur la terre nous donne un avant-goût du Paradis, tandis que le pire de la vie sur la terre nous permet d’avoir un aperçu de l’Enfer.

Le choix qui se présente à nous est réel, Et il est à la fois merveilleux et épouvantable. Si l’on considère la réalité de ce qui s’offre à nous, ne devrions-nous pas, face à ces deux destinations entre lesquelles il nous faut choisir, être prêts à payer n’importe quel prix pour éviter d’aller en Enfer et cheminer jusqu’au Paradis ?
Et voilà que le prix a déjà été payé : « (…) Vous avez été rachetés à un grand prix » (1 Corinthiens 6. 20). Le prix payé est exorbitant : c’est le sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui a été versé.
Essayons d’imaginer à quel point ce miracle est merveilleux : Dieu a choisi d’aller en Enfer à notre place, plutôt que de vivre au Paradis sans nous. Il veut tellement que nous n’allions pas en Enfer qu’il a payé un horrible prix sur la croix.
Tous les chemins ne mènent pas au Paradis. Seul un le peut : Jésus-Christ.
Jésus a dit : « C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. On ne vient au Père qu’en passant par moi » (Jean 14:6). Tous les autres chemins mènent en Enfer et nos cœurs devraient être brisés par sa réalité. La réalité de l’Enfer devrait nous pousser à nous mettre à genoux, et nous inciter à frapper aux portes de ceux qui ne connaissent pas Jésus-Christ.

Dieu a dit : “J'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie...” (Deutéronome 30. 19).
Le vrai croyant en Jésus sait qu'il aura un corps glorieux, “une maison éternelle”, qui remplacera son corps terrestre (comparé à une “tente”). Cette vivification du corps mortel du vrai chrétien est basée sur la résurrection du Seigneur Jésus Christ d'entre les morts. Ayant donné volontairement sa vie à la croix, Jésus Christ est ressuscité et a revêtu un corps glorieux, et le vrai croyant en Jésus est destiné à avoir un corps semblable à celui de Jésus ressuscité et glorifié.
Pouvons-nous dire, avec la même certitude que l'apôtre Paul, que “notre cité à nous se trouve dans le ciel, d'où aussi nous attendons le Seigneur Jésus Christ comme Sauveur, qui transformera notre corps misérable en la conformité de son corps de gloire”? (Philippiens 3. 20-21)

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Message solennel pour tous les êtres humains

27 Juin 2021 Publié dans #Choix

Chers êtres humains, où passerez-vous l'éternité ? La passerez-vous avec Dieu et tout son cortège au Paradis ; ou séparés de Lui en Enfer, avec Satan et avec ses démons dans ce lieu terrible où iront les pécheurs non-sauvés et sans repentance ? Pensez ce que ce sera d'être éternellement séparé du Dieu Créateur de la vie et du Seigneur Jésus-Christ qui est aussi Dieu sur toutes choses, béni éternellement. Pensez à l'Enfer éternel, l'étang brûlant de feu embrasé par le souffre, et faites votre choix. Pourquoi mourriez-vous ?
Pourquoi choisiriez-vous la mort quand le seul vrai Dieu vous supplie maintenant d'accepter la Vie qu'Il vous offre en son Fils Jésus ? La vie éternelle, le salut, le pardon de nos péchés, ne se trouvent qu'auprès de Jésus, le Fils de Dieu, le Sauveur des pécheurs. Une pleine et entière délivrance de nos péchés et de ses conséquences, c'est-à-dire de la mort et du jugement, ne se trouve aussi qu'en Jésus-Christ. Pourquoi ne viendriez-vous pas tout de suite à Lui ?
Si vous ne l'avez pas fait en venant à Jésus, il faut le faire sans tarder. Différer, retarder, remettre peut vous être fatal. C'est maintenant le moment pour passer condamnation sur vous-même, pour vous repentir, pour reconnaître ce que des multitudes ont reconnu avant vous, savoir que sans Jésus-Christ vous êtes perdu. Séparez-vous aujourd'hui de vos péchés en les confessant à Dieu. Vos péchés sont un lourd fardeau qui pèsent sur vos épaules. Ne voulez-vous pas les abandonner et en être déchargés ? Est-il donc bien cher à vos cœurs ? Satan est un mauvais maître, son service est mauvais aussi. Mais ses gages, mais son salaire, sont pires que tout. Fuyez-le. Jetez-vous résolument dans les bras de Jésus-Christ le Sauveur. Il vous fera connaître son parfait pardon.
Si vous avez reçu dans votre vie Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur, vous serez heureux dans le temps présent et dans l'éternité. Vous ne serez jamais séparés de Dieu votre Créateur, de Jésus-Christ qui est notre parfait Sauveur, de Celui dont toute la personne est désirable et dont les beautés et les grâces feront le sujet de continuelles louanges des myriades de rachetés.

Lecteurs, nous vous avons parlé des séparations et en terminant nous voulons vous dire avec tout l'amour dont notre coeur est capable : Séparez-vous aujourd'hui de vos péchés. Vous n'en aurez jamais du regret. Revenez au seul vrai Dieu qui pardonne, et vous trouverez le vrai bonheur éternel. Jésus-Christ ne repousse personne ; Il est le DIEU SAUVEUR.

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Le Nom de Jésus dans l'histoire

25 Juin 2021 Publié dans #EVANGILE

Le Nom de Jésus dans la Bible :
Dans l’Ancien Testament, Dieu le Créateur fait connaître son Nom à Moïse : « JE SUIS » (l’Éternel) « Voilà mon Nom pour l'éternité » (Exode 3 : 14, 15). Sept siècles avant sa Venue sur la terre, Il a été annoncé par le prophète Esaïe : « Voici la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et lui donnera le nom d’Emmanuel (Dieu avec nous) … Un enfant nous est né, un fils nous est donné ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu fort, Père éternel, Prince de la paix » (Esaïe 7 : 14, 9 : 5).
Dans le Nouveau Testament,  16 fois le Fils de Dieu se présente en ces termes : « JE SUIS », dans l'Évangile selon Jean et dans le livre de l’Apocalypse.

Le Nom de Jésus sur la terre :
Ce n’est que dans le Nouveau Testament que l’on apprend que le Nom du Fils de Dieu fait homme est JÉSUS, quand l’ange Gabriel vient annoncer à la vierge Marie qu’elle mettra au monde un fils : « Tu lui donneras le nom de Jésus, dit l’ange. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut » (Luc 1 : 31-32).
Jésus est la transcription de l’hébreu Jéshua ou Joshua qui signifie : Dieu (l’Eternel) Sauveur.
A Joseph, le fiancé de Marie, l’ange dit : « …tu l’appelleras du nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1 : 21). C’est donc sous ce Nom de Jésus que le Saint Fils de Dieu, le Créateur des cieux et de la terre, vint s’abaisser jusqu’à nous, vivant dans la pauvreté depuis sa naissance dans une étable jusqu’à sa mort ignominieuse sur la croix.

Le Nom de Jésus, homme glorifié dans le ciel :
Jésus est ressuscité puis, après s’être montré pendant 40 jours, il est remonté au ciel avec ce même Nom : Jésus-Christ, car il est toujours le Dieu qui sauve. « Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. » (Actes 4 : 12). Quand Jésus fut élevé dans le ciel, deux anges apparurent aux disciples leur annonçant : « Ce Jésus qui a été élevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu s’en aller au ciel » (Actes 1 : 11).

Oui, durant quarante jours après sa résurrection, Jésus a été vu par les apôtres et aussi par « plus de cinq cents frères à la fois » (1 Corinthiens 15 : 5-7), puis « il fut élevé au ciel » (Actes 1 : 2, 3). « Il fut élevé de la terre, comme ils regardaient, et une nuée le reçut et l’emporta de devant leurs yeux » (Actes 1 : 9). Au Ciel, « Jésus est entré comme précurseur pour nous » (Hébreux 6 : 20). Il y a donc maintenant un homme dans la gloire. Il porte le nom qu’il a porté ici-bas. Il y est entré selon ses propres mérites, nous y entrerons en vertu des siens. Il est là-haut, notre précurseur. Aussi notre espérance est-elle comme « une ancre de l’âme, sûre et ferme » (Hébreux 6 : 19).

Environ quatre ans plus tard, lorsque « Saul, respirant encore menace et meurtre contre les disciples du Seigneur », fut arrêté sur le chemin de Damas, « étant tombé par terre, il entendit une voix qui lui disait : Saul ! Saul ! pourquoi me persécutes-tu ? Et il dit : Qui es-tu, Seigneur ? Et il dit : Je suis Jésus que tu persécutes » (Actes 9 : 1-5). Il est difficile d’imaginer ce que cette réponse venue du ciel, accompagnée d’une lumière éclatante comme un éclair, a dû produire dans le cœur de cet homme. Jésus, le crucifié de Golgotha, celui dont il persécutait les disciples, était donc dans le ciel et il lui parlait devant des témoins irrécusables qui restèrent stupéfaits.

Le Nom de Jésus, Celui devant qui tous s’agenouilleront :
« Jésus … s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. » (Philippiens 2 : 5-11). Les enfants de Dieu, les bienheureux qui auront cru, s’agenouilleront pour adorer Jésus, leur Dieu Sauveur ; tous les non-croyants en Jésus, ceux qui auront négligé ou méprisé le Nom de Jésus (Dieu Sauveur) en refusant le salut qu’Il offre gratuitement, s’agenouilleront devant Lui en tremblant pour être jugés et condamnés éternellement en Enfer.

Le Nom de Jésus, Celui qui vient bientôt :
Au dernier chapitre du dernier livre de la Bible, à trois reprises Jésus nous rappelle sa promesse : « Voici, je viens bientôt » (Apocalypse 22 : 7, 12 et 20). En attendant sa Venue, Jésus nous rappelle son Nom : « Moi, Jésus » (v. 16) et nous offre une dernière fois son invitation : « Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne gratuitement de l'eau de la vie » (v. 17).

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Être convaincu que la gloire à venir nous désinteresse du monde

24 Juin 2021 Publié dans #Divers

Le cœur du message de l'apôtre Paul dans 2 Corinthiens et son principal intérêt tout au long de cet épître était la Gloire du Seigneur. Si Paul se défendait, ce n’était pas pour son propre intérêt. Le souci de sa réputation personnelle n’aurait pas été une motivation suffisante pour que Paul écrive de cette façon. Il détestait se défendre, parce qu’il avait horreur de tout ce qui ressemblait à de la vantardise (2 Corinthiens 10. 12-13 ; 11. 16-21 ; 12. 9). Pourtant, Paul devait répondre à ses accusateurs au nom de l’Évangile, et pour l’honneur et la gloire du Seigneur.

Toute gloire appartient au Seigneur notre Dieu

L'apôtre Paul a bien insisté sur ce point : « Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes ; c’est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Jésus » (2 Corinthiens 4. 5). Un peu plus loin dans la même épître, Paul cite le prophète Jérémie : « Que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur. Car ce n’est pas celui qui se recommande lui-même qui est approuvé, c’est celui que le Seigneur recommande » (2 Corinthiens 10. 17-18). Toute gloire appartient au Seigneur. « Car son nom seul est élevé ; sa majesté est au-dessus de la terre et des cieux » (Psaumes 148. 13). Nul ne comprenait ce principe mieux que l’apôtre Paul. C’était une vérité qu’il répétait constamment : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu » (1 Corinthiens 10. 31).
La promesse de la gloire éternelle représente plus que toute consolation terrestre

L’espérance de Paul en la promesse de la gloire éternelle était son ancre au milieu de toutes les difficultés de sa vie, et cela est évident dans ce passage. La gloire était le thème de la fin du troisième chapitre de 2 Corinthiens, et il y revient à la fin du chapitre 4. Paul savait que la gloire de l’éternité compenserait largement toutes les difficultés auxquelles il aurait à faire face au cours de son ministère terrestre. « J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Romains 8. 18). Il conclut 2 Corinthiens 4 avec cette même idée : "Et même si notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. Car nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire, parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles" (2 Corinthiens 4.16-18).

En raison de la réalité étonnante et glorieuse de l’Évangile et du ministère de la nouvelle alliance, une grâce grandit dans la vie d’un prédicateur indigne par la puissance souveraine de Dieu dans la proclamation fidèle de la Parole. Ainsi, malgré les coups et les blessures subies au cours du combat, Paul embrasse la puissance de sanctification de la souffrance. Il est fidèle à ses convictions. Il envisage la vie et la mort dans la confiante assurance de la résurrection. Il fait tout cela parce qu’il cherche un poids éternel de gloire.

Les croyants sont transformés à l’image de Christ

L’Écriture dit que Dieu est en train de rendre tous les vrais croyants semblables à l’image de son Fils (Romains 8. 29), révélant ainsi la gloire de Christ en nous. C’est cette même gloire que Paul a décrite dans 2 Corinthiens 3. 18 : « Nous tous dont le visage découvert reflète la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire. » Cette expression décrit un processus graduel de transformation dans lequel nous prenons part à la gloire de Christ à des degrés sans cesse croissants. Le mot traduit par « transformés » est le même qui est traduit par « transfiguré » dans Matthieu 17. 2, et qui décrit comment Jésus a dévoilé sa gloire sur la montagne : « Il fut transfiguré devant eux ; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. » Ce mot décrit un changement qui transforme complètement une personne de l’intérieur vers l’extérieur.

Sur le mont de la transfiguration, Jésus avait un visage resplendissant, mais pas comme celui de Moïse lorsqu’il est descendu du mont Sinaï. La source de l’éclat de Jésus provenait de l’intérieur. C’était beaucoup plus qu’un rayonnement temporaire qui allait s’estomper avec le temps ; il s’agissait plutôt du reflet de la gloire qui habitait en lui, le dévoilement de ce qu’il était vraiment, et la révélation de la gloire véritable qui était sienne, et qu’il partageait avec le Père depuis le commencement (voir Jean 17. 5).

Nous aurons aussi part à cette gloire. Cette gloire appartient bien sûr à Dieu, elle n’est pas à nous et ne vient pas de nous. Néanmoins, parce que Christ habite en nous et que nous sommes transformés à son image, sa gloire brillera à travers nous dans toute sa perfection. C’est ce que Paul affirmait dans sa prière, dans Colossiens 1. 27 : « Dieu a voulu leur faire connaître la glorieuse richesse de ce mystère parmi les païens, savoir : Christ en vous, l’espérance de la gloire. » C’est aussi ce à quoi il faisait référence dans Éphésiens 1. 18, en mentionnant « la richesse de la gloire de son héritage qu’il réserve aux saints ». Cela devrait être la précieuse espérance de chaque vrai croyant. Après tout, nous avons tous « par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu » (Romains 5. 2).

Persévérer jusqu’à la fin

La transformation de gloire en gloire peut sembler lente, et nous nous demandons peut-être à l’occasion si elle est interrompue ; mais le processus de notre sanctification sera complété instantanément lorsque nous verrons enfin notre Sauveur face à face. « Nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsqu’il paraîtra, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3. 2). Cet achèvement de l’œuvre de Dieu en nous est appelé « glorification » parce qu’il nous conduira éternellement dans la pleine lumière de la glorieuse majesté de Dieu.

C’est la promesse de la gloire à laquelle Paul fait référence à la fin de 2 Corinthiens 3 ainsi qu’à la fin du chapitre 4. Cette espérance l’incitait à courir « vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ » (Philippiens 4.14). Le « prix » ultime est Christ lui-même, incluant une part aux richesses de sa gloire.

Ainsi, nous ne perdrons pas courage ; nous n’abandonnerons pas, nous ne céderons pas au mal si nous vivons par ces convictions. Un jour, nous nous tiendrons debout dans la gloire, ayant été fidèles jusqu’à la fin, et nous entendrons le Seigneur nous dire : « C’est bien, bon et fidèle serviteur » (Matthieu 25. 21).

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La vraie repentance

23 Juin 2021 Publié dans #Salut

Qu'est-ce que la vraie repentance ? La vraie repentance est simplement le fait de renoncer au péché, de se détourner des ténèbres pour aller dans la lumière, et quitter la puissance de Satan, pour aller dans celle de Dieu. C'est renoncer à son péché dans la profondeur de son coeur, C'est le désir de tout changer, et de le vouloir. C'est se résoudre à donner chacune des choses mauvaises de nos pensées, de notre être tout entier, et vouloir le FAIRE totalement, et tout de suite. Bien sûr cela va impliquer de la tristesse chez le pécheur. Car, quel homme sensé ne voudrait-il sortir du mauvais chemin dans lequel il tourne en rond, alors qu'il peut s'engager dans une route droite, et toute tracée ? Cela implique aussi une haine pour la route qu'il avait prise avant, et de laquelle il se détourne maintenant.

Nécessité de la repentance :
L'être humain est porté à suivre son propre chemin, sans frein ni loi, sans Dieu ni maître. Et si, par moment, il accepte le fait qu'il y a un Dieu au Ciel, il ne veut de relation et d'arrangement avec Lui que si cela convient à sa façon de voir. Qu'un tel être humain s'arrête pour écouter l'Évangile de Dieu qui lui dit qu'il est pécheur, coupable, perdu ; et que s'il ne se repent pas devant Dieu, son sort est la condamnation éternelle. L'Évangile lui déclare que le chemin qu'il suit aboutira inévitablement à la perdition en Enfer, même s'il lui paraît juste et répond à ses aspirations.

Que doit faire l'être humain dans une telle situation ?
Il doit d'abord accepter le regard du seul vrai Dieu trois fois Saint sur sa vie et se reconnaître pécheur. Mais il en résulte nécessairement un processus douloureux et difficile de changement de pensée, de cœur et d'esprit : c'est ce qu'on appelle la REPENTANCE. Elle suppose la foi, c'est-à-dire croire ce que Dieu nous dit, et ceci nous engage dans une nouvelle attitude, une nouvelle façon de voir et d'apprécier.

La conviction de péché : élément essentiel de la repentance
Il s'agit pour l'âme coupable de réaliser, au plus profond d'elle-même, sa condition et la condamnation qu'elle mérite. En d'autres termes, c'est appliquer le jugement de Dieu à soi-même, à notre condition d'être humain perdu, à notre état irrémédiable de pécheur. C'est désormais voir nos œuvres, notre vie, notre justice propre, nos prétentions avec le regard de Dieu. C'est reconnaître que tout ce que, nous êtres humains, avons fait jusqu'ici par nous-mêmes pour obtenir le salut est nul devant Dieu.
C'est enfin dire comme Job : « J'ai horreur de moi, et je me repens dans la poussière et dans la cendre » (Job 42. 6).

La repentance : Le travail du Saint-Esprit
Pour que l'être humain arrive à reconnaître ses fautes, à reconnaître que tout ce qu'il a construit pour obtenir le salut n'a aucune valeur devant Dieu, il faut un travail du Saint-Esprit : Lui seul peut agir pour convaincre l'être humain ; il est nécessaire que l'être humain accepte le regard de Dieu sur sa vie, et ne s'oppose pas à ce travail du Saint Esprit. Ôh être humain, « la bonté de Dieu te pousse à la repentance » (Romains 2. 4).

La repentance et la foi vont de pair :
L'être humain doit aussi savoir que « il n'y a de salut en aucun autre [que Jésus]; car il n'y a pas non plus sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés » (Actes 4. 12).
Le Seigneur Jésus Christ déclare fermement ceci : « Moi, je suis le chemin, la vérité, et la vie; personne ne vient au Père si ce n'est par moi. » (Jean 14. 6).

Se repentir de nos actes nous permet de jouir du pardon de Dieu. N’est pas en reste qu’il en découle aussi un épanouissement dans notre croissance spirituelle. La repentance exige donc de la sincérité et de l’humilité. En effet, il faut se confesser devant Dieu notre Père Tout-Puissant, de toutes nos fautes et éprouver le désir vrai et vif de changer radicalement. La repentance est une faveur du Saint-Esprit  par laquelle tout fautif est libéré et  réformé.
S’agenouiller devant le Trône de Dieu nous permet d’obtenir son pardon. Quand Dieu nous a pardonné, il est inutile de demeurer dans le mépris de soi et la culpabilité car cela pourrait détruire la relation que nous entretenons avec lui. Car, ne l’oublions pas, Il est paix et amour. Son désir est de nous épargner la condamnation du péché et de nous accorder la rémission. Le pardon divin engendre une purification de toute iniquité, parce que c’est par Son sang que nous sommes sauvés et nos péchés expiés. Nous devons le penser et le croire intimement dans notre cœur, pour que nos âmes soient guéries du vice commis. En conséquence, nous détourner de nos péchés nous assure la vie, car elle nous éloigne du châtiment divin.

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L’exclusivité du Salut en Jésus-Christ

22 Juin 2021 Publié dans #Salut

Le seul Salut accessible pour tous

Jésus-Christ est le seul auteur du Salut et il n’y a pas d’autre salut que Christ. Ce qui signifie que tous ceux qui ne croient pas en Christ sont perdus. Plusieurs de ceux qui se disent chrétiens trouvent cette doctrine injuste. Que Dieu condamne ceux qui rejettent Christ en toute connaissance de cause d’accord, mais qu’Il condamne ceux qui n’ont jamais entendu parler de Lui leur paraît inadmissible. Voici ce que le Dr Tony Evans, pasteur évangélique, écrit à cet effet : « Dieu ne serait pas juste s’il tenait des gens responsables pour ce qu’ils ne peuvent pas faire, et pour une connaissance qu’ils ne possèdent pas. »

La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ (Jean 17. 3). C’est donc une énormité de la part de ceux qui pensent que la porte du paradis leur sera ouvert, sans la grâce de Jésus-Christ, alors que les Écritures Saintes enseignent que Jésus est la seule porte du salut (Jean 10. 9).

Ce que dit la Bible sur le Salut

Être sauvé c’est connaître Jésus-Christ ; ceux qui ne le connaissent pas ne sont donc pas sauvés. Ne croyons pas au salut par la sincérité des pécheurs. Seule la foi en Jésus-Christ nous sauve et notre sincérité n’est pas suffisante !

La Bible est sans équivoque : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3. 36). « Comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? Et comment y aura t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés ? » (Romains 10. 14-15).

Qu’en est-il de ceux qui rejettent l’Évangile ?

Rejeter l’Évangile est un péché, mais c’est un péché que seuls ceux qui ont entendu l’Évangile peuvent commettre. Ceux qui n’ont jamais entendu l’Évangile ne peuvent pas le rejeter, mais ils sont néanmoins condamnés pour leurs autres péchés pour lesquels ils n’ont aucune excuse. C’est la thèse de Paul en Romains 1, aucun être humain ne peut fournir un plaidoyer pour justifier ses péchés devant Dieu, qu’il ait ou non entendu l’Évangile : "Car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres" (Romains 1. 19-21).

La révélation que Dieu a faite à l’être humain au travers de sa création rend l’être humain inexcusable pour son péché. Cette révélation est suffisante pour punir, mais non pour sauver ; elle rend tout être humain sans excuse, mais non sans condamnation. Le salut n’est révélé qu’en Jésus-Christ seul, crucifié et ressuscité. Tout le reste, à savoir la sagesse des êtres humains, leurs philosophies, leurs cultures, leurs croyances, leurs religions, tout sera anéanti…

Seulement Jésus-Christ

"Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. Aussi est-il écrit : Je détruirai la sagesse des sages, et j’anéantirai l’intelligence des intelligents. Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le disputeur de ce siècle ? Dieu n’a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ? Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication" (1 Corinthiens 1. 18-21).

Depuis la chute de l’être humain, un seul Nom a été donné pour que nous obtenions le Salut. Jésus-Christ a été prêché dès que l’être humain a péché et a eu besoin d’être sauvé (Voir Genèse 3. 15). Jésus fut annoncé par des promesses, des types et des ombres avant de venir Lui-même dans le monde pour sauver des pécheurs. Tous ceux qui ont cru en son Nom furent sauvés ; « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4. 12).

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Nous sommes en Christ et avec Christ

21 Juin 2021 Publié dans #Divers

Nous ne sommes plus dans la chair, mais en Christ :

"Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création: les choses vieilles sont passées; voici, toutes choses sont faites nouvelles" (2 Corinthiens 5. 17).

Notre place, notre position devant Dieu, n'est plus dans la chair. Elle est en Christ. Comme homme, Christ a pris une position entièrement nouvelle, avec laquelle Adam innocent, pas plus qu'Adam pécheur, n'avait rien à voir.

Christ a pris cette position après avoir accompli l'œuvre par laquelle il a ôté nos péchés ; cette œuvre est terminée et elle a glorifié Dieu au sujet du péché. Christ a pris cette place en accord avec la justice de Dieu, et en lui, l'homme a acquis une nouvelle position, étant rendu juste devant Dieu. L’homme est vivifié par la vie de Christ, le second homme, le dernier Adam (voir 1 Corinthiens 15. 45, 47). Le croyant s’est soumis à la justice de Dieu, sachant qu'il est totalement perdu dans le vieil homme, le premier Adam; il s'incline devant cette solennelle vérité enseignée par la croix. Il est scellé du Saint Esprit, uni d'une manière vivante au Seigneur: c'est “un homme en Christ”. Il n'est pas dans la chair ou dans le premier Adam. Tout cela a pris fin pour lui à la croix, où Christ lui-même s'est rendu responsable pour lui à l'égard du vieil homme; Christ est mort une fois au péché, et le croyant vit à Dieu par notre Seigneur Jésus Christ (Romains 6. 10, 11).

En Christ, nous sommes une créature entièrement nouvelle, tout comme quand Dieu a créé le ciel et la terre au commencement, à partir de rien. Il ne se contente pas de purifier notre ancienne nature : Il nous donne une nature nouvelle. En Christ, nous sommes « participants de la nature divine » (2 Pierre 1. 4). Dieu Lui-même, en la Personne de son Saint-Esprit, vient habiter nos cœurs. Nous sommes en Christ et Il est en nous.

Si nous appartenons à Christ, nous sommes unis à lui et ne sommes plus esclaves du péché (Romains 6. 5-6), nous sommes rendus vivants avec Lui (Éphésiens 2. 5), conformes à son image (Romains 8. 29), nous sommes libres de toute condamnation et ne marchons plus selon la chair, mais selon l’Esprit Saint (Romains 8. 1), et nous sommes membres du corps de Christ avec les autres croyants (Romains 12. 5). Le croyant en Jésus a désormais un cœur nouveau (Ézéchiel 11. 19) et il est béni « de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ » (Éphésiens 1. 3).

Le croyant appartient à une nouvelle création, ayant la vie de Celui qui en est le Chef. À la croix, ce qu'il était a été entièrement jugé, condamné et mis de côté pour toujours.

Morts et ressuscités avec Christ :

"Pensez à ce qui est en haut… car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu" (Colossiens 3. 2, 3).

Quelle merveille de la grâce divine dans sa profondeur et sa hauteur! Pécheurs et coupables, nous étions exposés à la colère de Dieu; mais, maintenant, il dit que nous ne sommes “pas dans la chair” (Romains 8. 9), “pas du monde” (Jean 17. 16), “pas sous la Loi” (Romains 6. 14), mais “dans l'Esprit” (Romains 8. 9) ! Nous acceptons ces vérités dans notre esprit, mais les avons-nous reçues dans notre cœur et ont-elles été mêlées avec de la foi? Ceux qui l'ont fait se réjouissent en elles; ils trouvent du repos dans la présence du Père, là où ils l'adorent en vérité.

Bien que les croyants ne soient “pas dans la chair”, la chair est en eux. Nous apprenons, par des expériences douloureuses et humiliantes, à dire: “Je sais qu'en moi, c'est-à-dire en ma chair, il n'habite point de bien” (Romains 7. 18). Notre problème, ce n'est pas ce que nous avons fait mais ce que nous sommes – nous faisons l'expérience que cette mauvaise nature produit l'orgueil, la propre volonté et les convoitises. Ainsi la chair est notre adversaire permanent et elle est si mauvaise que rien ne peut l'améliorer, en dépit de tous nos efforts. Et plus nous luttons avec la chair, plus nous sommes malheureux.

En fait, le moyen de venir à bout de la chair, ce n'est pas de nous en occuper, mais de nous considérer nous-mêmes “comme morts au péché” et “comme vivants à Dieu dans le Christ Jésus” (Romains 6. 11). Alors, quand la chair commence à se montrer, nous l'identifions, nous la “crucifions” – nous la traitons comme ayant été judiciairement mise à mort en Christ crucifié (voir Galates 5. 24) – et nous occupons nos cœurs de “ce qui est en haut”.

Christ est notre vie. Notre vie n’est pas sur la terre. C’est en effet ce que dit l’apôtre Paul : “Vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu”. Puisque nous sommes morts avec Christ, nous ne devons pas nous comporter comme si nous étions encore vivants dans ce monde.

La Bible nous enseigne que notre Père céleste nous a étroitement liés à son Fils. Il nous tient donc pour morts avec Lui au péché (Romains 6), morts à la Loi (Romains 7), et morts au monde (Galates 6). Unis au Seigneur Jésus dans sa mort, sa résurrection et son ascension, nous avons été délivrés de ce monde et amenés dans une nouvelle position et dans une nouvelle place. Il peut donc être dit de nous : “Vous n’êtes pas dans la chair, mais dans l’Esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous” (Romains 8. 9).

Notre vie n’est donc pas moralement dans ce monde même si nous sommes physiquement sur la terre, car nous sommes morts au monde et notre vie est cachée avec le Christ en Dieu. Nous nous élèverons au-dessus des circonstances si nous détournons nos regards de tout ce que nous voyons pour fixer les yeux sur Jésus, en haut, au ciel où Il est maintenant – en nous souvenant que Jésus est notre vie et que notre vie est aussi là-haut ! La cause de la majeure partie de notre faiblesse et de la plupart de nos fautes, c’est que nous cherchons notre vie dans les choses de ce monde.

Dans la mesure où le croyant est mort et ressuscité avec Christ, sa manière de vivre doit être en accord avec sa place dans le Ciel. Paul dit, en effet : “Notre cité à nous se trouve dans les cieux” (Philippiens 3. 20). C’est seulement quand nous aurons accepté cette vérité que nous connaîtrons la joie d’être occupés du Seigneur Jésus, à la droite du Père, dans le Ciel. C’est le but de tout le travail de Dieu à notre égard.

Il est réconfortant de savoir que Dieu nous voit toujours comme “accomplis” en son Fils bien-aimé (Colossiens 2. 10). Bienheureux sont ceux qui sont occupés de la gloire personnelle de notre Seigneur Jésus Christ, de l'excellence de sa Personne et de son œuvre accomplie. Ces choses nous permettent d'avoir consolation et joie dans le Seigneur Jésus et dans l'espérance de sa Venue.

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