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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

La parole de la Victoire de Jésus-Christ

31 Octobre 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. Puis, ayant baissé la tête, il remit son esprit. (Jean 19. 30)

“C'est accompli”, "Tout est accompli" : La sixième parole de Jésus-Christ sur la croix est empreinte de puissance. Elle exprime une certitude, souligne avec force un aboutissement. À la fin de ces six heures cloué sur la croix, à ce moment qui précède la mort de Jésus, quelque chose qui était annoncé mais ne pouvait être compris jusque-là, trouve son sens définitif. Comment comprendre cette parole ? La réponse est vaste et infinie…

À travers elle, ce sont les Écritures qui s'accomplissent, c'est-à-dire toutes les prophéties concernant la venue, le ministère, la mort de Jésus, mais également tout ce que Dieu avait dit au sujet des sacrifices, des rites prescrits par la Loi. Jésus-Christ est l'Agneau de Dieu offert en sacrifice pour le pardon de nos péchés.

L'œuvre de Salut est parfaitement accomplie, dans ses multiples aspects. Jésus-Christ est devenu Celui qui nous rachète, le Rédempteur, Il a payé la dette que nous avions vis-à-vis de Dieu à cause de nos péchés : l'expression “c'est accompli” figurait à l'époque au bas d'une facture pour signifier qu'elle était entièrement payée. Jésus a été notre substitut à la croix: “il a porté nos péchés en son corps sur le bois” (1 Pierre 2. 24). Jésus a été notre propitiation : Dieu nous est maintenant propice, favorable.

Jésus seul pouvait faire entendre cette parole que "tout est accompli". Le sacrifice de Jésus-Christ est au centre des plans divins. Dieu nous demande une seule chose : croire, et nous approprier la pleine efficacité de l'œuvre parfaitement accomplie. Oui, Jésus-Christ adresse ces mots à l'humanité entière : “Tout est accompli” !

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Venir à Dieu qui nous accepte tels que nous sommes

30 Octobre 2020 Publié dans #Salut

Dieu nous accepte pleinement et entièrement sur le fondement de l'expiation accomplie par son Fils bien-aimé Jésus-Christ, à qui soit la gloire pour l'éternité ! Appuyons-nous donc, avec une foi ferme, sur cette expiation : « Christ, alors que nous étions encore sans force, au temps convenable, est mort pour des impies » (Romains 5 : 6). En nous confiant entièrement en Lui, nous sommes sauvés.
La justification, C’est Dieu tenant pour juste un pauvre misérable pécheur qui était condamné et perdu, mais qui croit maintenant au Seigneur Jésus-Christ comme en Celui qui, par sa mort sur la croix, a pleinement satisfait pour lui à tout ce que Dieu exigeait. Le pécheur qui met sa confiance en Jésus-Christ s’enveloppe de Christ, il revêt la Justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Celui-là donc, et celui-là seul est justifié car « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus » (Romains 8 : 1). Regardons donc à Jésus-Christ.

Voyons-nous ! L’Israélite mordu par un serpent brûlant au désert et près d’expirer, tournait son regard défaillant vers le serpent d’airain dressé par Moïse, il échappait à la mort et recouvrait aussitôt la santé et la vie (Nombres 21 : 5-9). De même, Jésus-Christ le Fils de l’homme a été « élevé, afin que quiconque croit en lui, ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 14, 15). Oh ! Que chaque être humain jette un seul regard de foi vers Jésus, si faible soit-il, et même si cet être humain est le plus vil des pécheurs, il sera sauvé.

Dieu est prêt à nous accepter en son Fils bien-aimé. Parce qu'Il nous aime d'un parfait Amour, Dieu ne se souviendra plus de nos péchés, ni de nos iniquités; Il les jettera, pour ainsi dire, derrière son dos (Hébreux 10 : 17, Ésaïe 38 : 17). Même si la mort de notre corps humain arrive sur nous, notre esprit partira vers le Seigneur Jésus et nous serons immédiatement avec Jésus-Christ dans la Gloire pour l'éternité, en attendant le glorieux moment de la résurrection de notre corps au Retour de Jésus.
Au geôlier qui, tremblant et plein d’anxiété, s’écriait : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Paul répond : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16 : 30, 31). Ces paroles s’adressent aussi à chacun des êtres humains. N’écoutons aucune suggestion de Satan ou de l’incrédulité. Qu’importe ce que nous avons été ; tel que nous sommes, venons à Jésus. Nous n’avons rien à payer pour satisfaire à ce que Dieu est en droit de demander ; mais Il nous fait part de sa grâce, et il nous libère de notre dette (Matthieu 18 : 25-27 ; Ésaïe 55 : 1).

Jetons-nous aux pieds de Jésus. Jamais on ne l’a vu, ce Sauveur plein d’amour, repousser ceux qui venaient à Lui. Bien au contraire, Jésus nous adresse cet appel plein de grâce : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 : 28), et, pour nous encourager, Jésus ajoute ces consolantes paroles : « Je ne mettrai point dehors celui qui vient à moi » (Jean 6 : 37).
Oh ! que notre réponse soit : « Seigneur, nous venons, oui, nous venons à toi. nous sommes faibles et tremblants, mais nous nous attachons à Toi ». Cela étant notre réponse, ô notre chère âme, et nous n’aurons pas peur de mourir. Celui qui regarde la face du Seigneur Jésus, peut aussi regarder la mort en face. Pour le vrai croyant en Jésus, la mort a perdu ses terreurs. Et nous pouvons nous écrier avec l'apôtre Paul : « Où est, ô mort, ton aiguillon ? où est, ô mort, ta victoire ? Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ » (1 Corinthiens 15 : 55-57).
En vertu de cette grâce libre et souveraine de Dieu, et de cet Amour que Dieu nous a manifesté en donnant son Fils Jésus, nous pourrons nous rencontrer dans le Ciel pour l'éternité et nous unir dans ce chant de louange en l'honneur de Jésus : « À Celui qui nous aime, et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang… à Lui la gloire et la force aux siècles des siècles ! Amen » (Apocalypse 1 : 5, 6).

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(2) Un mélange fatal !

29 Octobre 2020 Publié dans #Salut

Mettre sa confiance en Jésus-Christ seul pour le Salut de notre âme veut dire aussi ne pas ajouter des oeuvres humaines afin de payer pour ses fautes. Par oeuvres l'on entend par exemple les pélerinages, les prières, une bonne conduite morale, des oeuvres de charité, la pénitence, des souffrances qu'on s'impose, des sacrifices divers... Aucune de ces oeuvres n'est exigée par Dieu, par la Bible, pour recevoir le salut. D'ailleurs, les ajouter au prix payé par Jésus-Christ pour le salut, élimine la possibilité du salut comme un cadeau gratuit. L'être humain qui dirait : "Je crois en Jésus mais j'ajoute aussi mes bonnes oeuvres au cas où..." reste perdu, aussi sincère soit-il, car « C'est par la grâce (de Dieu) que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de nous, c'est le don de Dieu » (Éphésiens 2. 8). Pour recevoir le Salut comme un cadeau (un don) immérité offert par Dieu et pour échapper à la condamnation qu'est l'Enfer, il nous faut exclure toute bonne oeuvre. La Bible dit : "Si quelqu'un accomplit un travail, on lui compte son salaire non pas comme si on lui faisait une faveur, mais d'après ce qui lui est dû. Et si quelqu'un n'accomplit pas d'oeuvre mais place sa confiance en Dieu qui déclare juste les pécheurs, Dieu le déclare juste en portant sa foi à son crédit" (Romains 4. 4-5). La Bible nous dit encore: "Or, si c'est par grâce, ce n'est plus par les oeuvres; autrement la grâce n'est plus une grâce" (Romains 11. 6).

Beaucoup d'êtres humains aujourd'hui pensent ou espèrent aller au Ciel après la mort, mais ils n'y accéderont pas. Car ils ont ajouté des oeuvres humaines à la mort et à la résurrection de Jésus-Christ pour mériter la faveur et le salut de Dieu. Alors que le prix que Jésus-Christ a payé pour les péchés du monde a été accompli une fois pour toutes sur la croix, et rien ne peut être ajouté à cette oeuvre parfaite de Jésus par l'être humain pécheur. La Bible nous dit clairement : "Le Christ lui-même a souffert la mort pour les péchés, une fois pour toutes. Lui, l'innocent, est mort pour des coupables, afin de vous conduire à Dieu. Il a été mis à mort dans son corps mais il a été ramené à la vie par l'Esprit" (1 Pierre 3. 18). Toute tentative d'ajouter de bonnes œuvres humaines au seul sacrifice parfait du Christ est une insulte à la Grâce de Dieu. Un être humain ne peut pas mélanger la grâce de Dieu et ses propres bonnes oeuvres et aller au Ciel quand même. Si un être humain essaie de le faire, en suivant sa religion, il se trouvera sur le chemin menant vers l'Enfer. La parfaite Justice de Dieu ne nous laissera jamais entrer au Ciel sur la base d'un tel mélange. Pour aller au Ciel, au Paradis, repentons-nous de tous nos péchés, mettons toute notre confiance dans le seul vrai Dieu qui s'est révélé à nous en son Fils Jésus-Christ, et reposons-nous entièrement sur Jésus-Christ seul et son oeuvre parfaite à la croix pour notre Salut.

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(1) Le seul Chemin vers le Paradis, vers le Ciel

28 Octobre 2020 Publié dans #Salut, #EVANGILE

La Bible déclare que tous les êtres humains sont pécheurs, elle dit : "Car tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3. 23). Cela veut dire que tous ont transgressé la loi morale du seul vrai Dieu trois fois Saint qui condamne tout ce qui est mauvais. Tous l'ont transgressé d'une manière ou d'une autre, et donc, se trouvent coupables et condamnables à l'Enfer éternelle. Personne n'est à la hauteur de ce que la Bible appelle "la Gloire de Dieu". Dieu est Saint, Parfait, et la perfection est exigée pour qu'une personne puisse accéder au Paradis, à la Gloire de Dieu. Malgré toutes ses bonnes oeuvres et ses efforts, l'être humain est incapable par lui-même d'atteindre le niveau de justice et de sainteté parfaites exigées par Dieu ; ce qui, en conséquence, l'exclut du Ciel. Ceci est certainement une mauvaise nouvelle, mais ceci représente bien la vérité sur l'être humain pécheur.
La Bible nous enseigne aussi que la peine du péché est la mort : "Car le salaire du péché, c'est la mort" (Romains 6. 23). Parce que tous ont péché, chaque individu mérite la mort, c'est à dire, une souffrance consciente d'une séparation éternelle d'avec Dieu en Enfer. Absolument rien ne peut être fait de par nous-mêmes pour échapper à cette peine de mort divine, bien que beaucoup aient essayé sans succès.

Pourtant, la Bible contient de très Bonnes Nouvelles de la part du seul vrai Dieu pour ceux qui se trouvent coupables et qui reconnaissent qu'ils sont des pécheurs condamnés par Dieu. Tout d'abord, il nous est dit que Jésus-Christ est mort pour les pécheurs. "Voici comment Dieu démontre son amour envers nous : alors que nous étions encore des pécheurs, le Christ est mort pour nous" (Romains 5. 8). Puisqu'en tant que pécheurs, nous ne pouvions rien faire pour payer la dette de notre culpabilité morale, Dieu Lui-même a payé le prix de nos péchés pour nous tous, par le sacrifice sur la croix de son Fils Jésus-Christ, homme et Dieu à la fois, parfait et sans péché. Son sacrifice à la croix a parfaitement satisfait la parfaite Justice de Dieu qui exige la peine de mort pour nos péchés. Jésus-Christ, qui est Saint et qui n'a jamais péché, a pris sur Lui-même tous nos péchés et est mort sur la croix comme notre Substitut. Il est mort pour nous, et après avoir payé la peine de mort pour nos péchés, Jésus-Christ est ressuscité d'entre les morts, parce qu'il n'y avait aucune faute morale à retenir contre Lui. Puisque la Justice de Dieu a été satisfaite à notre égard par Jésus-Christ, la mort ne pouvait plus retenir Jésus dans sa tombe. Ainsi, Jésus-Christ est ressuscité.

La Bible nous communique que dorénavant, chaque être humain peut recevoir la Vie Éternelle en Jésus-Christ, comme un don de Dieu, lorsqu'il croit en Jésus-Christ comme son Seigneur et Sauveur personnel. Oui, à travers Jésus-Christ, chaque être humain qui met sa confiance en Lui seul est sauvé et ira au Paradis, au Ciel. La Bible dit : "C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi; et ceci ne vient pas de vous; c'est le don de Dieu; ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie" (Éphésiens 2. 8-9). Le Salut ne vient que par la foi en Jésus-Christ. "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui, ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16). Puisque Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a payé pour nos péchés sur la croix, Dieu le Père offre la Vie Éternelle comme un don, un cadeau sans conditions, à chaque être humain qui accepte de la recevoir par le moyen de la foi en son Fils Jésus-Christ. La foi veut dire faire confiance à Jésus-Christ seul pour nous donner la vie éternelle et nous sauver de tous nos péchés et de l'Enfer. La foi veut dire croire ce que Dieu nous dit, que l'unique Chemin vers le Ciel nous est ouvert parce que son Fils Jésus-Christ a payé pour tous nos péchés et Lui seul peut nous sauver.

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Prêcher Jésus-Christ à la manière d'un héraut

27 Octobre 2020 Publié dans #Divers

L’apôtre Paul déclare : « Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes ; c’est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Jésus » (2 Corinthiens 4. 5).
L’un des verbes grecs utilisés par le Nouveau Testament et traduits par « prêcher » signifie « annoncer une bonne nouvelle ». Un autre, « kèrusso », veut dire « proclamer à la manière d’un héraut ». On le trouve soixante-et-une fois dans le Nouveau Testament.

L’usage chrétien du terme :

Ce verbe est donc utilisé pour décrire la prédication de l’Évangile. Il indique principalement l’idée de « proclamation ». Avant son Ascension, Jésus confie une grande mission aux apôtres : « Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création...Et ils s’en allèrent prêcher partout » (Marc 16. 15, 20) Les autres fonctions du héraut conviennent également à celui qui proclame Christ.
Prêcher Christ, c’est donc avant tout Le proclamer, Lui. C’est ce que fit le possédé de Gadara, après sa merveilleuse délivrance : « Il s’en alla, et se mit à publier dans la Décapole tout ce que Jésus avait fait pour lui » (Marc 5. 20).
Il en est ainsi du héraut de Christ. Paul écrit à Timothée : « Je t’en conjure devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, et au nom de son apparition et de son royaume, prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte avec toute douceur et en instruisant » (2 Timothée 4. 1-2).

La prédication vise à annoncer l’arrivée de Christ :

« En ce temps-là parut Jean-Baptiste, prêchant dans le désert de Judée. Il disait : repentez-vous, car le royaume des cieux est proche » (Matthieu 3. 1). « Dès ce moment Jésus commença à prêcher, et à dire : Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche » (Matthieu 4. 17). « Allez, prêchez, et dites : Le royaume des cieux est proche » (Matthieu 10. 7). « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin » (Matthieu 24. 14). Nous pourrions citer une multitude d’autres versets.
Le rôle du héraut de Jésus-Christ n’est pas de plaire aux gens, mais de faire connaître Jésus le Sauveur. Il est évidemment indispensable qu’il le fasse avec tact et grâce. Il doit néanmoins s’acquitter de sa tâche avec beaucoup de clarté et d’autorité biblique.
L’apôtre Paul déclare : « Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ » (Galates 1. 10).

Tout rapporter à Christ :

La raison pour laquelle la prédication rend « un son confus » (1 Corinthiens 14. 8) tient le plus souvent de ce que le prédicateur lui-même n’est pas au clair sur la nécessité de proclamer Christ, et qu’il ne sait pas comment s’y prendre.
En pratique, quand on prépare un message, une étude biblique etc..., il convient de se demander ce que ce message apprendra aux auditeurs concernant Jésus-Christ (sa personne, son œuvre de rédemption, sa grâce, son amour, sa compassion, son exemple), ainsi que leur besoin de Lui.
Paul est très clair sur cette question : « Nous, nous prêchons Christ crucifié ; scandale pour les Juifs et folie pour les païens... » (1 Corinthiens 1. 23) ; « Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, et par Silvain, et par Timothée... » (2 Corinthiens 1. 19); « Je n’ai pas eu la pensée savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié » (1 Corinthiens 2. 2).

Une autorité donnée par le Saint-Esprit :

Proclamer Christ « à la manière d’un héraut », implique que nous le fassions en étant revêtus de la pleine autorité de Dieu.
Parlant des prophètes, qui ont prophétisé touchant la grâce qui nous était réservée, l’apôtre Pierre écrit : « Il leur fut révélé que ce n’était pas pour eux-mêmes, mais pour vous, qu’ils étaient les dispensateurs de ces choses, que vous ont annoncées maintenant ceux qui vous ont prêché l’Évangile. par le Saint-Esprit envoyé du ciel, et dans lesquelles les anges désirent plonger leurs regards » (1 Pierre 1. 12).
Ceux qui nous écoutent doivent sentir que notre enseignement découle naturellement de la Parole de Dieu. Sinon, ils percevront la sagesse de l’être humain plutôt que la voix de Dieu. Paul affirme : « Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes ; c’est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Jésus » (2 Corinthiens 4. 5).
Comment l’Esprit de Dieu accomplira-t-il son œuvre, qui consiste à glorifier Christ en prenant de ce qui lui appartient et en le communiquant d’abord au prédicateur lui-même, puis aux auditeurs par son moyen ? Jésus dit : « Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi, et vous l’annoncera » (Jean 16. 14). Si l’Esprit ne parle pas, notre prédication sera revêtue d’une autorité humaine seulement, mais elle sera dépourvue de toute autorité divine.

Porteur de messages entre les parties adverses :

L’Évangile de Christ est à la fois une invitation et un ordre. Une invitation ? Il nous suffit d’écouter Jésus : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11. 28).
Un ordre ? Entendez Paul prêcher à Athènes : « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts » (Actes 17. 30-31). L’Évangile de Christ n’est jamais un compromis avec le monde ou le péché, ni avec les penchants rebelles du cœur et de l’esprit humain.

L’Évangile exige une capitulation sans condition pour obéir à Dieu, et une soumission sans réserve à sa Justice.

L’apôtre Pierre déclare : « Pierre, apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui sont étrangers et dispersés dans le Pont, la Galatie, la Cappadoce, l’Asie et la Bithynie, et qui sont élus selon la prescience de Dieu le Père, par la sanctification de l’Esprit, afin qu’ils deviennent obéissants, et qu’ils participent à l’aspersion du sang de Jésus-Christ... » (1 Pierre 1. 1-2).
Nous pouvons et nous devons répondre aux questions des pécheurs, mais en aucun cas débattre avec eux, comme si la vérité de l’Évangile pouvait se négocier. Nous n’avons pas le droit d’abaisser les conditions que Dieu fixe en ce qui concerne la foi et la soumission à l’Évangile., ni être évasifs sur ces questions. Les hommes doivent venir à Christ selon les termes de Dieu, non les leurs, et le prédicateur a la responsabilité de présenter ces termes divins le plus clairement possible. C’est le prix pour que les auditeurs découvrent « les richesses incompréhensibles de Christ » (Éphésiens 3. 8).

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L'intervention de Dieu dans notre terrible situation de pécheurs

26 Octobre 2020 Publié dans #Salut

C’est Dieu qui dirige le monde avec amour. C’est Lui qui l’a créé et Il nous a confié la responsabilité de gérer le monde sous son autorité.
Dieu maîtrise le monde. Il le domine. Il en est le Souverain absolu. Cependant, Il n’en est pas le maître à la manière des humains car Dieu accomplit ce qu’il y a de meilleur pour sa création.
Dieu dirige le monde car Il l’a créé. Tout comme le potier avec l’argile, Dieu a façonné le monde avec la forme exacte qu’Il souhaitait lui donner, y compris ses détails merveilleux. Dieu l’a créé et le monde lui appartient.
Dieu nous a créés nous êtres humains et façonnés à son image en nous donnant une mission. Il nous a désignés pour s’occuper du monde, c’est-à-dire le diriger, en prendre soin, en être responsables et se réjouir de sa beauté, mais toujours sous sa propre autorité pour que Dieu soit honoré et que l’on obéisse à ses instructions.
Tout cela semble plutôt idéal comme situation : Dieu est dans les cieux, son peuple régit le monde selon ses règles. Tout va très bien dans le Ciel. Mais de toute évidence, tout ne va pas pour le mieux ici dans le monde. Car par nos péchés, nous rejetons tous l’autorité de Dieu en essayant de mener notre propre vie sans Lui. Mais nous n’arrivons à maîtriser ni notre vie, ni la société, ni le monde.

La triste vérité est que, depuis le début, les êtres humains ont rejeté Dieu et nous le faisons tous par nos péchés. La plupart des êtres humains n’apprécient pas que quelqu’un d’autre les dicte ce qu'ils doivent faire ou de quelle manière ils doivent vivre ; ils aiment encore moins que cette « personne » soit Dieu. Voilà pourquoi les êtres humains pécheurs s'opposent à Dieu de plusieurs manières. Ils l’ignorent et ils cheminent dans leurs vies tant bien que mal. Ils désobéissent aux instructions que Dieu leur donne pour vivre dans le monde. Ils lèvent le poing contre Dieu et Lui ordonnent de se retirer de leurs vies.
Quelle qu’en soit la manière, nous Le rejetons tous, car nous ne vivons pas toujours selon sa volonté. Nous préférons vivre selon nos envies et nos désirs, sans Dieu. C’est cette attitude rebelle et indépendante que la Bible appelle « péché ».
Le problème, c’est qu’en rejetant Dieu, nous semons le désordre non seulement dans nos vies mais aussi autour de nous, dans notre société et dans le monde. Au lieu de faire ce que Dieu veut, le monde entier est résolu à n’en faire qu’à sa tête. Nous nous comportons tous comme des demi-dieux (avec des "couronnes personnelles"), qui essaient de rivaliser les uns avec les autres. Le résultat n’est que déchéance. La souffrance et l’injustice qui nous entourent résultent de notre rejet de Dieu.
Nous constatons que tout est gâché par nos actions lorsque nous rejetons Dieu. La question demeure : comment Dieu va-t-il réagir face à notre comportement ?

Comment Dieu réagit-il à une telle hostilité ? Dieu ne nous permettra pas de continuer ainsi. Face à ce rejet, son châtiment est la mort et le jugement.
Dieu se soucie de l’humanité au point de prendre au sérieux notre rejet. Dieu nous demande de Lui rendre compte de nos actes car c’est important pour Lui. Dieu ne supporte pas que nous nous comportions si mal autour de nous, avec les autres et que nous Le dédaignions. En d’autres termes, Dieu ne nous permettra pas de continuer dans notre rébellion.
La sentence de Dieu envers nous est juste et impartiale. Il nous accorde d’ailleurs exactement ce que nous demandons. En péchant, les êtres humains se sont rebellés contre Dieu. Le châtiment que Dieu inflige aux rebelles est de s’éloigner d’eux. Il se coupe d’eux définitivement. Mais puisque Dieu est la source de Vie et de toutes choses bonnes sur la terre, être séparé de Lui signifie la mort éternelle en Enfer. Ce châtiment de Dieu envers les rebelles est éternel. C’est une mort horrible. Il est terrible de tomber sous la sentence du Jugement de Dieu. C’est une réalité que nous devons tous envisager ; mais pour y échapper éternellement, nous devons nous repentir de tous nos péchés et placer notre confiance en Jésus notre parfait Sauveur, puisque nous sommes tous coupables d'avoir rejeté Dieu par nos péchés.

Est-ce tout ? Sommes-nous tous destinés à la mort et à la ruine éternelle ? Oui, nous le serions si Dieu n’était pas intervenu de façon miraculeuse.   
La Justice de Dieu semble très sévère. Mais parce que Dieu nous aime, Il a envoyé son Fils dans le monde : Jésus-Christ fait homme. Jésus s’est toujours soumis à l’autorité de Dieu. Mais en mourant pour nous après avoir porté nos péchés sur la croix, Jésus a subi notre châtiment, et a apporté le pardon à quiconque place toute sa confiance en Lui.
Oui, à cause de son immense Amour et de sa générosité, Dieu ne nous a pas laissé endurer les conséquences de notre rejet insensé, mais Il a agi pour nous sauver parfaitement. Dieu a envoyé dans le monde son Fils, unique et divin, qui s'est fait homme : Jésus de Nazareth.
Mais Jésus est Saint et Il n’a jamais désobéi à Dieu son Père. Il s’est toujours soumis à l’autorité de Dieu. Jésus a toujours obéi à Dieu et à aucun moment Il n’a donc mérité le châtiment divin, encore moins la mort. Et pourtant Jésus mourut sur la croix. Bien qu’Il ait eu le pouvoir de guérir les malades, de marcher sur l’eau, et même de ressusciter les morts, Jésus accepta d’être exécuté sur une croix. Pourquoi ? Pour payer la dette que nous devions à Dieu. Jésus est mort pour des pécheurs et des rebelles que nous sommes. Jésus a pris sur Lui la Justice de Dieu face au péché, afin que le pardon et la miséricorde soient accessibles à chacun d’entre nous qui nous repentons de nos péchés et qui croyons en Lui. Ainsi, nous sommes rachetés, sanctifiés, justifiés et purifiés par notre Sauveur Jésus-Christ. Tout cela nous ne le méritons pas. C’est un don extrêmement merveilleux de la part de Dieu notre Créateur et Sauveur, du début jusqu’à la fin.

Et ce n’est pas tout, Dieu a ramené Jésus à la vie en tant que Seigneur. Jésus a vaincu la mort. C’est Lui qui donne la vie nouvelle, et Il reviendra pour juger le monde.
Dieu a accepté la mort de Jésus comme paiement pour nos péchés. Jésus s’est acquitté de notre dette envers Dieu. Et Dieu l’a ramené à la vie. Jésus ressuscité incarne maintenant l’humanité telle que Dieu l’avait conçue au départ.
En tant que Seigneur, Jésus a également été institué Juge du monde. La Bible nous promet qu’un jour, Il reviendra et que nous serons tenus de rendre compte de tous nos actes.
Entre temps, Jésus nous offre une autre possibilité : la vie nouvelle, dès maintenant et pour toujours. Aujourd’hui, tous nos péchés peuvent être pardonnés à travers notre foi dans le parfait sacrifice de Jésus sur la croix. Nous pouvons recommencer à zéro avec Dieu, non plus simplement en tant que créatures de Dieu, mais en tant que ses enfants. Dans cette nouvelle vie, Dieu Lui-même vient vivre en nous par son Saint-Esprit. Nous pouvons alors vivre dans la joie d’une nouvelle relation avec le seul vrai Dieu.
De plus, lorsque nous sommes pardonnés par la mort de Jésus, maintenant ressuscité, nous avons également l’assurance que lorsqu’Il reviendra pour nous juger devant son Tribunal et nous récompenser, il nous acceptera dans Son Glorieux Royaume. Jésus, en tant qu’homme ressuscité, nous a déjà donné la Vie Éternelle, non pas parce que nous l’avons méritée mais parce qu’Il s'est sacrifié pour nous par Amour.

Alors où en sommes nous ? Tout cela nous mène à faire un choix entre les deux façons de vivre dans ce monde.
Les deux façons de vivre :
- Nous êtres humains pouvons toujours persister dans notre rébellion contre Dieu en essayant de mener notre propre vie, à notre façon, sans Lui. Malheureusement, c’est l’option que beaucoup de personnes choisissent. Et la conséquence de ce choix est que nous recevons ce que nous méritons de la part de Dieu. Dieu condamne les êtres humains pécheurs pour leur rejet de sa Justice. Non seulement ils subissent les conséquences logiques de leur rejet de Dieu ici et maintenant, mais ils devrons aussi faire face à la perspective terrible d’une éternité vécue en Enfer sans Dieu.
- Mais pour nous tous qui avons compris que notre situation est sans espoir, une réhabilitation est possible. Si nous revenons à Dieu et faisons appel à sa miséricorde, mettant notre confiance en la mort et la résurrection de Jésus, alors tout change. Tout d’abord, Dieu efface toute notre dette ; Il nous pardonne complètement et gratuitement car Dieu a accepté la mort de Jésus comme paiement pour nos péchés. Dieu place son Esprit Saint dans notre coeur et nous donne une nouvelle vie qui continue même au-delà de la mort jusque dans l’éternité. Nous ne sommes alors plus des rebelles à Dieu. Au contraire, nous devenons membres de sa famille car Dieu nous adopte comme ses fils et ses filles. Dès lors, nous avons Jésus pour seul Seigneur et Sauveur de notre vie.
Chers lecteurs/trices, de quelle façon voulez-vous vivre ?

LES DEUX FAÇONS DE VIVRE :

A. NOTRE FAÇONB. LA FAÇON DE DIEU

- Rejeter le Souverain ; Dieu

- Mener nous-même notre vie

- Se soumettre à Jésus comme maître

- Mettre toute notre confiance en la mort et la résurrection de Jésus

RÉSULTATRÉSULTAT

- Être condamné par Dieu

- Faire face à la mort et au jugement

- Être pardonné de Dieu

- Bénéficier de la Vie Éternelle

 

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La passion de notre Sauveur Jésus-Christ

25 Octobre 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #La croix

“Vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte, disant: Éli, Éli, lama sabachthani? c’est-à-dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?” (Matthieu 27. 46)

"Jésus disait : «  Abba, ô mon Père, tout t'est possible ... »" La Bible, Marc 14:36

"Jésus disait : « Abba, ô mon Père, tout t’est possible … »" Marc 14 : 36

L’Esprit de Dieu nous a laissé une description de la passion de Jésus d’une extrême simplicité dans les quatre évangiles. À Gethsémané, la Parole de Dieu nous place en face d’une scène qui nous dépasse entièrement. Là, dans le jardin des Oliviers, Jésus s’est éloigné de ses disciples, qui étaient encore avec Lui, pour prier seul. C’est un combat terrible pour accepter la volonté de Dieu, qui remplit d’angoisse l’âme de notre Sauveur Jésus-Christ : “Père, si tu voulais faire passer cette coupe loin de moi! Toutefois, que ce ne soit pas ma volonté mais la tienne qui soit faite(Luc 22. 42).

Nous pouvons ensuite suivre notre Seigneur Jésus, seul, dans le palais du souverain sacrificateur, puis dans celui d’Hérode et de Pilate et assister aux différents interrogatoires. Nous savons que Jésus a été fouetté. Les soldats se sont moqués de Lui, la foule l’a crié dessus. Mais le récit biblique ne laisse rien entrevoir de ce que Jésus a enduré dans son âme à ces moments-là, quand se réalisait cette prophétie : “Il a été opprimé et affligé, et il n’a pas ouvert sa bouche. Il a été amené comme un agneau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent; et il n’a pas ouvert sa bouche(Ésaie 53. 7).

Que dire encore des moments de la crucifixion ? Des sept paroles que le Seigneur exprime, la quatrième, prononcée à la fin de trois heures ténébreuses et silencieuses, “Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné ?” (Matthieu 27. 46), nous remplit d’adoration. Ce cri unique qui s’élève est resté sans réponse. Aucune créature de Dieu, même céleste, ne pourra jamais saisir dans quel terrible abîme l’âme de notre Sauveur Jésus est descendue sous le jugement de Dieu contre nos péchés.

Mais, gloire à Dieu ! Le récit ne s’arrête pas là. Il y a le cri de Victoire que Jésus seul pouvait prononcer : “C’est accompli(Jean 19. 30), oui tout est accompli, puis la dernière parole sur la croix : “Père, entre tes mains, je remets mon esprit(Luc 23. 46). C’est l’acte final de son sacrifice volontaire.

Oh, quelle majesté dans cette parfaite œuvre divine que Jésus-Christ avait seul le pouvoir d’accomplir !

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Accepter l'inacceptable par obéissance à Jésus-Christ

24 Octobre 2020 Publié dans #Divers

"L'amour couvre tout, croit tout, espère tout, supporte tout" (1 Corinthiens 13. 7).

Étant en Christ, et Christ en Dieu, nous avons le support de Christ, Son obéissance à Dieu. Cette obéissance à travers Christ nous donne d'accepter ce qui est inacceptable pour la chair - encore empreinte du vieil homme pourtant crucifié - mais qui est acceptable pour le nouvel homme.
"Regardez comme joie toute entière lorsque vous traversez dans diverses épreuves"(Jacques 1. 2). Pour l'esprit rationnel hérité du vieil homme, beaucoup de circonstances sont inacceptables. Mais pour le nouvel homme, Dieu sait ce qu'Il fait. Bien entendu, il ne s'agit pas d'accepter le péché : le discernement des esprits est de mise !
Mais ce que Dieu permet ou demande, nous pouvons l'accepter, comme Abraham lorsqu'il fut prêt à sacrifier son propre fils.
Les épreuves sont là pour aider notre marche, non pour nous faire tomber.

Les raisons pour lesquelles nous tombons dans les épreuves sont que nous laissons boucher le canal qui nous relie à Dieu parce que :
- Nous ne laissons pas notre passé derrière nous
(Philippiens 3. 14)
- Nous n'abandonnons pas notre héritage charnel (1 Pierre 1. 18)
- Nous ne lâchons pas notre fardeau (Matthieu 11. 28)
- Nous nous laissons envahir par les soucis du monde (Matthieu 6. 24-34)
- Nous laissons la chair nous dominer (1 Jean 2. 16)
- Nous laissons l'ennemi accuser notre conscience (Hébreux 10. 22 ; 1 Pierre 3. 21 ; Tite 1. 15)

La part de Dieu consiste à faire habiter Christ en nous par le Saint-Esprit. Notre part consiste à ne pas laisser cette relation se corrompre par quoi que ce soit.

Pourquoi trouve-t-on ces versets dans la Bible ?
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Actes 14. 22 ... c'est par beaucoup de tribulations qu'il nous faut entrer dans le royaume de Dieu
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Matthieu 11. 12 ... le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en emparent
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Matthieu 22. 14 ... il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus
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Matthieu 24. 13 ... celui qui restera ferme jusqu'au but, celui-là sera sauvé
Ces versets montrent clairement que nous avons notre part à effectuer, qui est de "savoir lire" les événements qui nous arrivent, qui sont là comme des cadeaux, et non pas comme des fardeaux : ils n'arrivent pas "à nous", mais "pour nous" de la part de notre Père qui est Amour.

C'est en nous plongeant dans la Parole de Dieu pour reconnaître l'Amour de Dieu dans TOUT événement que nous avancerons, et que les diverses épreuves seront passées avec succès.
Appelés par Dieu, notre victoire (en fait, Sa victoire en nous, par la louange) fera de nous des élus pour régner avec Christ : régner, c'est surmonter les difficultés de la vie.
Une fois le but atteint, nous serons parfaitement sains (sauvés) dans notre corps (transformé), dans notre âme (purifiée) et dans notre esprit (régénéré).
L'Amour de Dieu qui nous envoie ces épreuves de sanctification pour notre joie parfaite ne passera jamais, ainsi que notre foi véritable et l'espérance glorieuse en Jésus Christ.

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Le merveilleux don d'être sauvés

23 Octobre 2020 Publié dans #Salut

Sans Dieu, l'être humain élabore ses propres plans, suit ses propres conseils et vit selon ses propres règles. Néanmoins, parce que l'être humain a été créé pour vivre en relation intime avec Dieu, il subsiste dans son cœur une insatisfaction et une aspiration que seul Dieu peut combler. L'être humain est devenu désespérément corrompu et Dieu est parfaitement Saint et hait le péché. Il y a donc une nécessité absolue pour que Dieu et l’être humain soient réconciliés et que leur relation soit rétablie.

Cette réconciliation devait venir de Quelqu'un qui est Saint et qui ne pouvait jamais commettre un péché. C'est par Jésus-Christ Le Fils unique de Dieu que cette réconciliation est venu à nous. « Le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6 : 23a). Jésus-Christ devait venir sur terre en tant qu’homme pour mourir pour nos péchés et ressusciter. Le Sauveur devait être aussi Dieu pour pouvoir payer par sa mort le prix de nos péchés.

Le prix que Dieu a payé a été extrêmement élevé. Il a donné son Fils unique sur la croix : Jésus-Christ ! « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3 : 16)

Le péché de l'humanité a été imputé à Jésus-Christ, c'est-à-dire mis sur le compte personnel de Jésus. Cela a permis que Jésus, qui est Saint, subisse pour nous la condamnation qui nous revenait, pour que sa Justice nous soit imputée.

Il s'agit d'une transaction légale, par laquelle le substitut reçoit le châtiment qui aurait dû revenir à celui qui le méritait. Seul Dieu est Juste et Saint par nature. Il nous fait bénéficier de sa Justice et de sa Sainteté, lorsque nous croyons en Jésus-Christ, notre Substitut.

La Bible dit que tous les êtres humains doivent se repentir. La foi sans repentance et sans conversion n'est pas suffisante. Lors de la conversion, nous remettons notre vie (esprit, âme et corps) et tout ce que nous possédons totalement à Dieu. Jésus-Christ n'impose à personne cette conversion, il la propose, il se tient devant nous et frappe à la porte de notre cœur. Il respecte notre propre volonté !

Le salut est à la portée de tout être humain sur la terre. Quand Jésus-Christ est mort sur la croix, il a pourvu au Salut de tous. Le salut a été assuré, et il doit maintenant être accepté par tous. Lorsque quelqu’un a reconnu son besoin de Salut et a réalisé que Dieu a pourvu à son Salut par Jésus-Christ, il doit ensuite s’approprier ce Salut par la foi en Jésus.

Obtenir le salut est simplement le fait de reconnaître et de déclarer que cela est vrai, et de croire en Jésus par la foi. L'être humain doit reconnaître que Jésus est le Seigneur, c'est-à-dire qu’il réalise que Christ doit disposer d'une pleine autorité sur sa vie, avec toutes les justes exigences que cela comporte. Cette déclaration de Christ en tant que Seigneur signifie aussi que c'est Christ qui agira et accomplira sa propre Justice à travers l’être humain qui est venu à Lui.

Tous les êtres humains ont besoin d’être sauvés car tous ont péché, et sans Jésus-Christ le seul Sauveur, ils sont sujets aux conséquences du péché, donc à la mort éternelle. Mais comme l’être humain est incapable de se sauver lui-même, l’Amour de Dieu intervient en fournissant à l’être humain le seul moyen de Salut en Jésus-Christ. Par sa mort, Jésus a payé le prix du rachat (la rançon) que nous étions incapables de payer et, par sa résurrection, Il nous donne une espérance que nous n’avons pas méritée. En Christ, l’être humain trouve un salut total et gratuit, le pardon des péchés, le pouvoir de vaincre le péché et des promesses inespérées tant sur la terre que dans le ciel, dès à présent et pour toujours.

Le Salut est vraiment « le don de Dieu » par Jésus-Christ notre Seigneur (Éphésiens 2. 8). Un tel salut est inestimable !

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L'origine du péché

22 Octobre 2020 Publié dans #Divers

Ézéchiel 28. 15 nous dit que Dieu a créé Lucifer parfait. Dieu n’a pas créé le mal ; Il a créé l’ange Lucifer. Lucifer, celui qui est à l’origine du péché, était parfait jusqu’à ce que l’iniquité se trouve dans son cœur. Un sentiment que Dieu n’a jamais placé en Lucifer.

La Bible nous dit que Lucifer a été créé parfait dans toutes ses voies. Dieu n'a pas créé le péché, ou un être imparfait. Il n'y avait aucune raison pour que Lucifer tombe de sa position élevée. Cependant, Dieu donne à ses créatures le libre arbitre et Lucifer a choisi de se rebeller contre le gouvernement et l'autorité de Dieu. Pourtant Dieu aurait pu faire des anges et des personnes qui n’aient pas la capacité de pécher, comme Il a ordonné aux étoiles de rester dans leurs positions orbitales, mais Il nous a fait des êtres libres, et non des robots. Sans cette liberté, les créatures de Dieu ne seraient pas capables d'aimer vraiment Dieu, car ils seraient programmés à l'aimer. Dieu veut qu’on l’aime d’un amour authentique. Il ne nous force pas à l’aimer. Il a donné la liberté de choisir, d'obéir ou de désobéir, d’aimer ou de détester. Cependant, Lucifer a choisi de haïr Dieu au point de vouloir prendre sa place.

Avant sa chute, Lucifer a tenu une position élevée dans le Ciel. Il était le « chérubin qui couvrait » le trône de Dieu. Il était « plein de sagesse et parfait en beauté » (Ézéchiel 28. 12-14). Mais Lucifer était fier de sa beauté. Ézéchiel 28. 17 dit ceci de Lucifer: « Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, tu as corrompu ta sagesse par ton éclat ». Sa beauté lui est montée à la tête et le péché a germé dans son cœur. Au lieu de glorifier Dieu, Lucifer a dit dans son cœur: « Je monterai au ciel, je vais élever mon trône au-dessus des étoiles de Dieu: Je siégerai sur la montagne de la congrégation. Je monterai sur les hauteurs des nuages; Je serai semblable au Très-Haut » (Ésaïe 14. 13-14). Lorsque Lucifer s’est rebellé contre Dieu, il a été expulsé du Ciel et est devenu Satan, qui signifie « l'adversaire ».

Si Dieu avait choisi de détruire Lucifer à ce moment-là, certains anges auraient servi Dieu par peur plutôt que par amour. L'influence de Lucifer et son esprit de rébellion n’auraient pas été complètement éradiqués. Au lieu de cela, pour le bien de l'ensemble de l'univers, à travers les âges, Dieu a permis à Lucifer de développer pleinement ses accusations contre le gouvernement divin afin qu'ils puissent être vus sous leur vrai jour. Le péché doit suivre son cours pour mettre à nu ses conséquences ; mais finalement le péché finira par être éradiqué, ainsi que son instigateur. « […] Je fais sortir un feu du milieu de toi, un feu qui te dévore, je te réduis en cendre [...] et tu ne seras plus à jamais » (Ézéchiel 28. 18-19).

Quand Dieu a créé ce monde et toutes ses créatures, « Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon » (Genèse 1. 31). Dieu n’est pas l'auteur du péché, mais Il était prêt à supporter ses conséquences. Au temps marqué par Dieu, Jésus le Fils de Dieu vint sur la terre en se faisant homme afin de mourir sur la croix, prenant la punition pour tous nos péchés (Romains 6. 23).

La grande bataille qui fait rage dans l'univers est entre Dieu le Créateur de toutes choses et Satan (l'ange qui s’est rebellé contre Dieu) parce qu'il voulait la même position que le Christ, refusant d'être soumis à son autorité et à son gouvernement.

Après que Satan fut chassé du Ciel, il tourna son attention vers la Terre nouvellement créé. Il a confronté Ève et l'a convaincue que la connaissance du bien et du mal lui permettrait d'être comme Dieu. Il lui a dit que le péché n'aurait pas pour conséquence la mort. Ève a choisi de désobéir à Dieu, et depuis ce jour, la Terre a été une planète en rébellion contre le gouvernement de Dieu. Jean 8. 44 dit que Lucifer « a été meurtrier dès le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui ». Son orgueil l’a conduit à l'envie et l’envie à la haine. Sa haine pour le Christ est si profonde, qu'il a incité les êtres humains pécheurs à crucifier le Christ sur la croix. Satan a une haine envers ceux que le Christ Jésus a rachetés et il est prêt à tout faire pour empêcher le maximum d'êtres humains d’avoir accès au salut éternel qui se trouve en Jésus-Christ seul.

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