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La création de l'être humain et sa chute
Les Écritures disent : « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière du sol ; il insuffla dans ses narines un souffle vital, et l’homme devint un être vivant. Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé » (Genèse 2. 7-8).
Dieu créa le premier homme. Dieu a créé l’être humain avec un corps et une âme. Dieu a formé le corps de l’être humain à partir de la poussière de la terre, et puis, Il a mis dans ce corps une âme éternelle. Dieu a créé l’âme de l’être humain à sa propre image. Cela veut dire que Dieu a mis dans l’âme de l’être humain une intelligence (un esprit) qui le fait capable de connaître Dieu. Dieu a aussi donné un cœur à l’être humain pour qu’il puisse aimer Dieu. Et Il lui a confié une volonté indépendante pour qu’il ait l’autorité de choisir pour lui-même d’obéir à Dieu ou de ne pas lui obéir.
Les Saintes Écritures nous racontent que Dieu avait préparé un jardin magnifique pour l’être humain qu’Il avait créé. Le nom du jardin était le ‘jardin d’Éden’. Dans les versets qui suivent, les Écritures disent : « L’Éternel Dieu fit germer du sol toutes sortes d’arbres d’aspect agréable et bons à manger, ainsi que l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Un fleuve sortait d’Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. L’Éternel Dieu prit l’homme (c’est-à-dire Adam) et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et le garder. » (Genèse 2. 9-10, 15)
Donc, nous voyons comment Dieu a fait pour Adam, le premier homme, un endroit agréable où il allait pouvoir vivre heureux. Dieu l’a placé dans un jardin luxuriant, plein d’arbres qui produisaient des fruits splendides à regarder et délicieux à manger. Partout où Adam regardait, ses yeux ne voyaient que beauté, ses oreilles entendaient le chant des oiseaux dans les arbres, et il respirait le parfum des fleurs qui remplissaient le jardin. Dieu a donné à Adam toute chose pour qu’il en jouisse.
Nous lisons aussi que Dieu, dans sa bonté, a confié à Adam une tâche agréable et facile à accomplir : prendre soin du jardin, pour qu’Adam ait ainsi une occupation agréable. Ce qui était le plus merveilleux, c’est que Dieu Lui-même venait dans le jardin d’Éden à la fraîcheur du soir, pour parler avec l’homme qu’il avait créé à sa propre image (Genèse 3. 8). Pourquoi Dieu venait-Il visiter l’homme ? C’est parce que, comme nous l’avons déjà appris, Dieu avait créé l’être humain pour qu’il soit en communion avec Lui, qu’il Lui parle, et qu’il jouisse pour l’éternité d’une relation merveilleuse avec Lui.
Maintenant, il y a autre chose que nous devons savoir au sujet du jardin dans lequel Dieu a placé le premier homme. Au milieu du jardin, Dieu avait planté deux arbres très importants. L’un s’appelait l’arbre de vie, et l’autre, l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Dieu avait placé l’arbre de la vie dans le jardin pour rappeler à Adam qu’il voulait que l’homme ait part à sa vie éternelle. Quant à l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Dieu l’avait placé au milieu du jardin pour mettre Adam à l’épreuve. Écoutons ce que disent les Saintes Écritures : « L’Éternel Dieu donna ce commandement à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » (Genèse 2. 16-17)
Pourquoi Dieu a-t-il défendu à Adam de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ? Est-ce que Dieu est avare ? Non ! Dieu ne donne pas avec avarice ! En fait, un de ses noms est ‘Celui qui est Généreux’ (Jacques 1. 5). Dieu a dit à Adam : "Tu pourras manger de tous les arbres sauf d’un seul". Est-ce que c’était un commandement difficile ? Non ! Dieu, dans sa grâce, a donné à Adam tout ce dont il avait besoin pour être heureux. Il ne lui a rien refusé de bon. Mais Dieu, dans son plan, a placé devant Adam une épreuve simple, pour lui donner l’occasion de montrer à Dieu qu’il l’aimait assez pour obéir à son commandement. Comme le Seigneur le dit dans sa Parole : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole. Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. » (Jean 14. 23-24)
Dieu voulait mettre à l’épreuve l’amour et la loyauté d’Adam. C’est pourquoi, Il lui a donné un commandement simple. Dieu n’a pas créé un homme mécanique (un robot), mais un homme avec une intelligence, un cœur et la liberté de choisir lui-même d’aimer et d’obéir à Dieu.
Qu’est-ce que Dieu a dit à Adam sur ce qui lui arriverait s’il mangeait de l’arbre défendu ? Relisons les Écritures. Dieu a dit : « Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » Ainsi, parce que Dieu aimait l’homme qu’Il avait créé, Il l'a averti que la désobéissance à son commandement mènera à la mort, car ma loi sainte exige la mort de « l’âme qui pèche. » (Ézéchiel 18. 20)
Peut-être que quelqu’un se demande : Qu’est-ce que le péché ? Les Écritures disent : « Le péché, c’est la violation de la loi » (1 Jean 3. 4), « Toute injustice est un péché » (1 Jean 5. 17). « Si quelqu’un sait faire le bien et ne le fait pas, il commet un péché » (Jacques 4. 17). Le péché, c’est suivre « sa propre voie » (Ésaïe 53. 6). Le péché, c’est tout ce qui est en désaccord avec Dieu.
Qu’est-ce qui va arriver à ceux qui pèchent contre Dieu ? Les Écritures disent que « le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6. 23). « L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra » (Ézéchiel 18. 20).
Alors, qu’est-ce que la mort ? Les uns pensent que mourir, c’est ne plus exister : tout est fini et on ne sait plus rien. Mais si nous nous basons sur les écrits des prophètes, nous voyons que ce n’est pas cela, la mort. Dans les Saintes Écritures, dans la langue dans laquelle elles ont été écrites, mort signifie séparation. La mort, c’est être séparé de la vie.
Nous voyons que le péché produit trois séparations affreuses pour les êtres humains pécheurs non-repentants. Premièrement, l'âme est séparée de Dieu ici sur terre. C’est à dire que cette personne n’a aucune relation avec le Dieu Saint à cause du péché de son cœur. Deuxièmement : son âme sera séparée de son corps le jour où il mourra. C’est-à-dire que son corps mourra et son âme ira dans les horribles souffrances du Séjour des morts attendant le Retour de Jésus à la fin des temps. Troisièmement : son âme et son corps seront pour toujours séparés de Dieu dans le lac de feu qu'est l'Enfer.
En se basant sur l’autorité de la Parole de Dieu, qu’est-ce donc que la mort ? En un mot, la mort, c’est la séparation d’avec le Dieu de la Vie. Le péché sépare l’être humain de Dieu qui est la source de la vraie vie. Dieu est Saint et ne peut supporter le péché en sa présence.
L’âme qui pèche est comme la branche d’un arbre qui a été coupée et jetée. Qu’est-ce qui se passe si la branche ne fait plus partie de l’arbre ? La branche qui a été coupée, est-elle toujours vivante ? Non ! Les feuilles ne sèchent pas instantanément, mais elles ont commencé à mourir. De la même façon, si vous n’avez pas trouvé le chemin du pardon des péchés que Dieu a ouvert, vous pouvez penser que vous vivez, mais la Bible dit que devant Dieu vous êtes mort “par vos fautes et par vos péchés » (Éphésiens 2. 1). « Ce sont vos fautes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face » (Ésaïe 59. 2).
Voilà la situation d’un pécheur non-sauvé devant Dieu. Il ne peut rien produire qui plaît à Dieu, car il n’est pas en relation avec Dieu, qui est le vrai arbre, la source de la vraie vie. Tout ce qui reste pour le pécheur, c’est le Jugement. Mais nous louons Dieu de ce que dans sa Parole écrite (la Bible), Dieu a révélé comment nous pouvons devenir justes devant lui, et savoir avec certitude que nos péchés ont été pardonnés.
Étant le sel de la terre, servons le Seigneur Dieu
C’EST NOUS ENFANTS DE DIEU QUI SOMMES LE SEL DE LA TERRE
"Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? Il ne sert plus qu'à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes" (Matthieu 5. 13).
En tant que croyants en Jésus-Christ, pouvons-nous influencer le monde de façon visible ? Certains diront non. Mais Jésus dit oui. Aussi incroyable que cela puisse paraître, en parlant à ses disciples, le Seigneur Jésus dit : "C'est vous qui êtes le sel de la terre" (Matthieu 5. 13) ; "c'est vous qui êtes la lumière du monde" (Matthieu 5. 14).
Le sel et la lumière sont deux commodités (agréments) ménagères indispensables. De tout temps, on s'est servi du sel pour assaisonner, pour donner goût et saveur aux aliments. "Peut-on manger ce qui est fade et sans sel ? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un œuf ?" (Job 6. 6).
Surtout, avant l'invention du réfrigérateur, on utilisait le sel pour conserver, pour empêcher la décomposition. Jésus dit : "C'est vous qui êtes le sel".
Sur le plan spirituel et moral, le monde est dans un processus de décomposition. Il a besoin du sel pour endiguer ou du moins ralentir le processus. La Bible montre que le sel est également symbole de l'alliance de Dieu. "Ne devez-vous pas savoir que l’Éternel , le Dieu d'Israël, a donné pour toujours à David la royauté sur Israël, à lui et à ses fils, par une alliance inviolable ? (2 Chroniques 13. 5). Comme l'a dit André Chouraqui (11 août 1917 - 9 juillet 2007) : "cette alliance est une alliance de sel, un pacte de sel".
Chaque fois que vous mettez du sel dans votre repas, que ce geste soit un rappel de l'alliance de Dieu avec vous. Il faut se dire : Dieu veut agir dans ma vie, car :
- sa vie pénètre en moi pour me préserver de toute mauvaise influence
- c'est pour me guérir, et pour que autour de moi, je proclame que tous ceux qui ont soif de la Vérité peuvent le trouver qu'en Jésus-Christ seul.
Le sel est aussi le symbole d'une communion avec quelqu'un. Manger le sel de quelqu'un, c'est recevoir, être au bénéfice de son hospitalité. Esdras 4. 14a dit ceci : "Or, comme nous mangeons le sel du palais".
Notre privilège est grand en tant que fils et filles de Jésus le Roi des rois. Notre responsabilité est à la mesure de la grâce immense que nous avons reçue. Glorifions son Saint Nom ! Le sel que nous sommes en Jésus ne doit jamais perdre sa saveur.
NOUS SOMMES SES MAINS, SERVONS LE SEIGNEUR !
"Accomplissez la volonté de Dieu de tout votre cœur, comme des esclaves du Christ" (Éphésiens 6. 6).
Il est fréquent d’entendre des chrétiens bien disposés à servir Dieu et leurs prochains déclarer pourtant ne pas savoir comment faire. Ils disent prier et attendre la réponse d’En Haut pour enfin se mettre en marche. De fait, ils espèrent un plan d’action reçu directement et personnellement avant d’entreprendre quoi qu’il soit qui risquerait de ne pas être la volonté de Dieu pour eux. C’est ainsi que l’on déclare “chercher la volonté du Seigneur” pour soi.
Cette attitude, qui semble louable et spirituelle, n’est pourtant pas la meilleure. En effet, il n’est dit nulle part dans la Bible qu’il faille “chercher” la volonté de Dieu. En revanche, il faut la faire.
Si vous lisez le texte biblique correctement, vous découvrirez que le devoir du chrétien est très largement indiqué dans toutes ses pages : aimer, servir, soutenir, accompagner et même pleurer avec ceux qui pleurent… Tout y est. Nul besoin d’attendre une lettre recommandée de Dieu pour savoir ce qu’il faut entreprendre pour Lui être agréable et pour être la lumière là où vous êtes.
On raconte l’histoire d’un chrétien qui, dans sa prière, s’étonnait de ce que Dieu n’intervienne pas auprès des plus démunis de sa ville. Le Seigneur lui aurait répondu : “Le malheur des gens autour de toi, bien sûr que Je le vois. L’aide à leur apporter, c’est par tes mains que Je la fournis. Les moyens qu’il manque pour cela, Je les ai mis dans ton portefeuille”. Si les miracles existent, et ils existent, il faut se souvenir que chacun de nous peut en être l’instrument.
Le Seigneur les suscite, mais comme disait Saint Augustin : “Dieu fournit le vent ; à nous de hisser la voile !” Voilà une pensée simple à méditer tout au long de cette journée.
Comment avoir la paix véritable ?
« NOUS AVONS LA PAIX AVEC DIEU » (ROMAINS 5. 1b).
Dieu nous donne trois types de paix :
1) La paix spirituelle : Paul dit : « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ » (Romains 5. 1b). C’est la base. Il faut avoir la paix avec Dieu avant toute autre. Jésus dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne » (Jean 14. 27). Pourquoi ? Parce que Sa paix porte la marque de Son Royaume éternel et céleste.
2) La paix relationnelle : Paul écrit : « S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous » (Romains 12. 18). Dans ce monde, la paix civile atténue les conflits. On sait par expérience que les relations humaines sont source de tension. Très souvent, nos plus grands problèmes sont liés à des personnes que ce soit : famille, entourage, collègues de travail, patron… On doit constamment faire face à la concurrence, aux querelles et aux critiques. Ces facteurs peuvent nous voler notre paix.
3) La paix émotionnelle : Paul dit : « Que la paix du Christ, à laquelle vous avez été appelés, règne dans vos cœurs » (Colossiens 3. 15). Le mot grec pour « régner » signifie « arbitrer ». Quel est le rôle d’un arbitre ? Maintenir la paix. Veiller à ce que le jeu se déroule de manière harmonieuse et disciplinée. Dieu peut nous donner un arbitre intérieur qui nous garde en paix quand le chaos nous environne.
Voici une belle promesse tirée de la Bible : « À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix, parce qu’il se confie en toi » (Ésaïe 26. 3). Avez-vous besoin de paix aujourd’hui ? Donc, tournez-vous vers Dieu, vous ne serez pas déçus.
« JE VOUS DONNE MA PAIX. JE NE VOUS DONNE PAS COMME LE MONDE DONNE » (Jean 14. 27).
Jésus dit que sa paix est un Don. On ne peut donc pas l’obtenir par ses propres moyens. Elle ne se gagne pas, peu importe les exercices physiques ou mentaux. C’est un don qu’il faut accepter par la foi. Jésus dit aussi que sa paix est différente de celle du monde. La paix de ce monde ne dure pas. Jésus déclare à ses disciples : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas » (Jean 14. 27 à 28).
Jésus prononce ces paroles quelques heures avant sa crucifixion ! Ainsi, la paix de Dieu n’est pas régie par les circonstances : elle vient de l’intérieur.
On pense parfois que l’éloignement ou l’isolement peuvent apporter la paix, une sorte de cure géographique en quelque sorte. On se dit qu’en quittant l’endroit où l’on souffre, on retrouvera la paix. Mais ça ne marche pas comme ça ; car où que l’on aille, on emporte avec soi ses souffrances. Il arrive même que l’on soit physiquement épuisé, mais que notre conscience nous tienne en éveil, sans jamais s’apaiser.
Alors comment trouver le repos de l’âme ? Jésus nous donne encore la solution : « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, moi, j’ai vaincu le monde » (Jean 16. 33). Où trouver la paix ? Jésus dit : « En moi », oui c'est en Jésus seul. Aujourd’hui, passez du temps avec Jésus.
« IL Y A BEAUCOUP DE PAIX POUR CEUX QUI AIMENT TA LOI » (Psaumes 119. 165).
Pour trouver la vraie paix, il y a deux choses à faire :
1) Vivre selon les principes de Dieu : Il est écrit : « Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi ». La paix survient lorsque l’on vit en harmonie avec Dieu. Une voiture dispose toujours d’un manuel qui nous indique comment bien entretenir le véhicule. De même, la Bible est le mode d’emploi de la vie humaine. Elle est un guide dans tous les domaines : financier, médical, conjugal, professionnel, relationnel, etc…
2) Accepter le pardon de Dieu : La culpabilité est le pire ennemi de la paix. Quand on se sent coupable, le passé revient nous hanter. Certaines personnes font amende honorable pour des fautes commises des années plus tôt. Ils disent : « J’ai vécu l’enfer toutes ces années, et il fallait que je me débarrasse de ce poids ! ». La seule façon d’être en paix, c’est d’avoir la conscience tranquille, et Dieu seul peut intervenir.
La Bible dit : « Quel Dieu est semblable à toi, Qui pardonnes l'iniquité, qui oublies les péchés Du reste de ton héritage ? Il ne garde pas sa colère à toujours, Car il prend plaisir à la miséricorde » (Michée 7. 18). Le prophète Michée révèle que Dieu est impatient d’effacer notre ardoise de péché ! C’est son caractère. Dieu aime pardonner. Il préfère effacer une faute que la relever, car il est dit : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner et nous purifier » (1 Jean 1. 9).
« ARRÊTEZ, ET RECONNAISSEZ QUE JE SUIS DIEU » (Psaumes 46. 11).
Pour avoir la paix, nous devons nous concentrer sur la présence de Dieu. Selon nos centres d’intérêt, nous nourrissons soit notre foi, soit nos craintes. La Bible dit : « À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix, parce qu’il se confie en toi » (Ésaïe 26. 3). Ce verset pourrait se résumer ainsi : « Mettez de l’ordre dans vos pensées, et regardez à l’Éternel ». Le Psalmiste déclare : « Dieu est un secours qui ne manque jamais dans la détresse » (Psaumes 46. 2).
Plus loin, il est écrit : « Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu » (Psaumes 46. 11a). Ces versets ont été écrits à l’époque du roi Ézéchias.
Alors que les armées ennemies assiègent Jérusalem, les Israélites sont sous pression. Puis soudain, Dieu frappe les Assyriens d’un fléau, et cent quatre vingt cinq mille d’entre eux périssent. Jérusalem est sauvée, et tout le monde se réjouit ! Dieu est notre refuge.
Quelles que soient les difficultés, Dieu est toujours là pour nous aider. Il y a donc deux choses à faire. D’abord, s’arrêter, se tenir tranquille. Beaucoup de nos problèmes viennent de notre incapacité à rester calme. Ensuite, reconnaître que Dieu est Dieu. L’œil du cyclone est un endroit paisible au centre de la tempête. Ainsi, même si tout s’écroule autour de soi, on peut avoir la paix ; car au centre, tout est calme.
S’arrêter et reconnaître le seul vrai Dieu. Si vous vivez de cette manière, « la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Christ » (Philippiens 4. 7). C’est la seule façon de vivre sainement !
« CONFIE TOI EN L'ÉTERNEL DE TOUT TON CŒUR » (Proverbes 3. 5).
La Bible dit : « Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur, et ne t’appuie pas sur ton intelligence ; reconnais-le dans toutes tes voies, et c’est lui qui aplanira tes sentiers » (Proverbes 3. 5–6). Dieu désire qu’on Lui fasse confiance. Tant que l’on s’efforce de comprendre les choses par soi-même, on ne trouve pas la paix. Il faut se fier à Dieu pour tout ce qui nous concerne : santé, argent, relations, avenir, etc… Dieu ne se trompe jamais.
Tout ce qui nous arrive s’inscrit dans un plan divin, même les problèmes, les souffrances, et les ennuis que parfois nous rencontrons (voir Romains 8. 28). Dieu n’attend qu’une chose, c’est que nous Lui remettions tout entre ses mains, car c’est Lui qui contrôle tout. C’est alors qu’Il aplanira nos sentiers.
Vouloir contrôler seul sa vie, c’est suivre le hasard et l’indécision. Quelle pression terrible ! Mais dès que l’on se confie dans le Seigneur Dieu, il dirige nos pas et l’angoisse se dissipe aussitôt. Paul dit : « Ne vous inquiétez de rien ; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Christ-Jésus » (Philippiens 4. 6–7).
D’abord la prière, ensuite la paix. Sans la prière, l’inquiétude nous domine. Et c’est une émotion sans valeur, un vrai gâchis ! Ainsi, quand la pression commence à s’accumuler, au lieu de paniquer, commencons à prier. C’est le meilleur moyen de réduire le stress !
Nous avons accès à la Gloire de Dieu
Le péché nous sépare du seul vrai Dieu trois fois Saint, nous cache Sa face et l’empêche de nous écouter, de nous exaucer. Le Seigneur Dieu est frustré de ne pas pouvoir s’exprimer pleinement en nous et à travers nous êtres humains qui avons péché contre Lui. "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ" (Romains 3. 23-24).
Mais gloire soit rendue à Dieu ! Dieu nous révèle la profondeur de Son Affection et de son Amour pour nous ! Pour nous enfants de Dieu, le sang de Jésus a ôté pour toujours le péché qui nous séparait de Dieu. Le voile qui nous séparait de Dieu a aussi été déchiré. Et désormais, la frustration qu’il y avait autrefois sur le cœur de Dieu à notre égard a été enlevée. Ce qui était impossible pour le seul Dieu Saint à cause de nos péchés, est devenu maintenant possible à travers son Fils Jésus qui a expié nos péchés pour nous.
De même, la frustration que nous avions tous, à cause de nos péchés, de ne pas pouvoir expérimenter la Sainteté, la Gloire et la Puissance de Dieu a été engloutie par le sang de Jésus-Christ versé sur la croix. Cette gloire qui nous était inaccessible est désormais accessible à tous ceux qui appartiennent à Jésus-Christ.
"Pour nous, frères bien-aimés du Seigneur, nous devons à votre sujet rendre continuellement grâces à Dieu, parce que Dieu vous a choisis dès le commencement pour le salut, par la sanctification de l’Esprit et par la foi en la vérité. C’est à quoi il vous a appelés par notre Évangile, pour que vous possédiez la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ" (2 Thessaloniciens 2. 13-14).
Désormais, nous avons libre accès à Sa présence et Dieu a libre accès à nous.
Le sang de Jésus-Christ a restauré en nous l’expression de la Gloire de Dieu, de la joie, de la vie, de la paix, de la Justice de Dieu. Nous pouvons goûter à la Gloire de Dieu et l'expérimenter, dès ici-bas. A cause du sang de Jésus, nos vies sont devenues l’expression de Sa bonté, de Sa fidélité, de Sa compassion, de Sa miséricorde. Quelle grâce merveilleuse !
Remercions le Seigneur Jésus pour Son parfait sacrifice à la croix. Jésus nous a ouvert la porte de la Gloire éternelle de Dieu. Oui, Jésus nous a donné accès à la Gloire de Dieu !
Merci à Jésus qui nous révèle sa Gloire. Merci à Dieu notre Père de nous avoir appelés et choisis en son Fils Jésus-Christ. Oui, Jésus, nous te remercions de nous avoir donné accès à la Gloire de Dieu. Ouvre les yeux de notre cœur Seigneur. Révèle nous l'immensité de Ta grâce et de Ta gloire. Manifeste Ta gloire en nous. Au Nom de Jésus ! Amen
Les enfants de Dieu peuvent vaincre le mal
Satan est très fort, très rusé, prêt à se déguiser en ange de lumière si nécessaire (2 Corinthiens 11. 14), et parfaitement à l’aise avec ceux qui nient son existence ou sa puissance.
Mais Jésus-Christ est Tout-puissant ! Pierre déclare : “Jésus-Christ… qui est à la droite de Dieu et à qui anges, autorités et puissances sont soumis” (1 Pierre 3. 21-22). Notons que non seulement les anges Lui sont soumis, mais aussi les autres “autorités”, y compris les démons et leur prince.
Puisque tout pouvoir a été donné par Dieu à son Fils Jésus-Christ (Matthieu 28. 18), il s’ensuit que Jésus peut transférer Son pouvoir à qui Il veut. D’où Sa promesse : “Je vous ai donné le pouvoir… d’écraser la puissance de l’esprit mauvais. Pour nous enfants de Dieu, rien ne pourra nous nuire ou faire du mal.” (Luc 10. 19).
Parmi les anges que Dieu a créés, il y avait Lucifer qui se révolta contre Dieu. Dieu le chassa du Ciel. Satan (Lucifer) est un être créé par Dieu, comme nous. Il dépend de Lui pour son existence ! Cessons donc de le craindre, mais soyons attentifs à ses manigances. Le seul pouvoir que Satan peut encore avoir sur nous, c’est celui que nous lui donnons, soit par inadvertance (en cédant à la tentation, en ressassant le passé et vos fautes…), soit délibérément (en désobéissant à Dieu, par exemple si nous faisons ou consultons toutes choses qui nous sont interdites).
Souvenons-nous des privilèges qui sont pour nous enfants de Dieu : si nous confessons nos péchés, Dieu nous pardonne et efface toutes nos fautes. Privilèges dont Satan et les démons sont exclus. Pierre, qui savait avec quelle facilité il était tombé dans le piège du diable (Luc 22. 54-62), a écrit bien plus tard : “Soyez sobres, veillez ! Votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, rôde, cherchant qui dévorer. Résistez-lui, fermes dans la foi…” (1 Pierre 5. 8). Le secret : “Résistez” !
Outre la protection divine qui nous est garantie (Psaume 91), le Seigneur Jésus nous a fourni des armes d’origine surnaturelles, capables “d’éteindre toutes les flèches enflammées” du diable, de Satan (Éphésiens 6. 16). Encore faut-il que nous les prenions en main ! Voici ci-dessous quelles sont ces armes :
1- La Parole de Dieu est la plus efficace pour déjouer les manœuvres de Satan. Mais attention, Satan sait s’en servir lui-aussi, bien qu’il en détourne le sens. Rien d’étonnant à cela : “il est menteur et le père du mensonge” (Jean 8. 44). D’où l’importance de mémoriser des passages-clés de la Bible. David a écrit : “Ta parole est une lampe pour mes pas, une lumière pour mon sentier” (Psaumes 119. 105). La Parole de Dieu est lumière, tout comme Jésus (Jean 8. 12), notre Père céleste (1 Jean 1. 5), et nous-mêmes (1 Thessaloniciens 5. 5) ! L’ironie, c’est que le diable s’appelait à l’origine Lucifer (“porteur de lumière”) et qu’il tente toujours de se déguiser “en ange de lumière” ! La Parole de Dieu est une épée, une arme offensive, avec laquelle nous pouvons faire fuir notre adversaire.
2- Le Saint-Esprit “qui nous enseignera toutes choses et nous rappellera tout ce que Jésus nous a dit” (Jean 14. 26). L’Esprit de Dieu en nous nous rappelle les promesses divines et nous remplit de la puissance d’en haut (Actes 1. 8).
3- La foi qui est notre bouclier (Éphésiens 6. 16) et qui nous permettra de repousser les pensées de doute et de peur que Satan voudrait faire pénétrer lentement en nous.
4- Le Nom de Jésus. L’invoquer n’est pas prononcer une formule magique, mais prouver que nous Lui faisons entièrement confiance. Désormais Jésus est notre Maître. Satan ne peut nous atteindre directement. “Soumettez-vous donc à Dieu ; opposez-vous au diable, et il vous fuira” (Jacques 4. 7). Équipés de ces armes et “attachés” à Jésus (Jean 15. 7), nous n’aurons aucune peine à vaincre le mal.
5- La prière et la confession de nos péchés. 1 Jean 1. 9 nous dit : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité ». Dans ce verset, le mot « nous » se réfère aux croyants, et non pas aux pécheurs. Quand un croyant en Jésus pèche, il doit confesser ses péchés à Dieu et ne pas les Lui cacher. D'ailleurs, rien ne peut être caché à Dieu qui connait toutes choses. Oui, nous devons confesser nos péchés à Dieu qui est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute iniquité.
Qu’est-ce que l’alliance des oeuvres ?
L’alliance des œuvres fut donnée à Adam pour atteindre la vie éternelle par l’obéissance. En désobéissant, il s’est placé sous la malédiction de cette alliance, entrainant toute l’humanité avec lui (voir Genèse 2. 15-17, 3. 24).
Pour bien comprendre la chute de l’homme, il est nécessaire d’expliquer le cadre théologique dans lequel elle a eu lieu, à savoir l’alliance des œuvres. Bien que Dieu ait créé l’homme droit et parfait, et lui ait donné une loi juste, qui était en vue de la vie s’il l’avait observée. Et bien que Dieu l'ait menacé de mort s’il la transgressait, l’homme n’a pas gardé longtemps cet honneur.
Voici l’alliance des œuvres faite avec l’homme en Éden. Adam fut créé avec un but à atteindre, ce but était la vie éternelle. L’arbre de vie dans le Jardin d’Éden représentait la récompense promise à l’homme et l’arbre de la connaissance du bien et du mal représentait la condition à observer (Genèse 2. 9 et 17 ; Apocalypse 22. 2). Bien qu’Adam était sans péché, il n’avait pas la vie éternelle. Celle-ci consiste à être scellé dans la vie en communion avec Dieu (Jean 17. 3). Adam était en communion avec Dieu, mais il pouvait déchoir de cet état. La vie éternelle est une vie immortelle sans possibilité de corruption (1 Corinthiens 15. 53). Adam n’avait manifestement pas encore atteint cet état d’immortalité et d’incorruptibilité, puisqu’il se corrompit et qu’il mourut spirituellement en péchant contre Dieu.
Comment Adam devait-il atteindre la vie éternelle ? En gardant parfaitement la Parole, la Loi de l’Éternel (Luc 10. 25-28 ; Matthieu 19. 16-17). Dieu lui a « donné une loi juste, qui était en vue de la vie s’il l’avait observée ». La Loi n’est pas basée sur le principe de la gratuité de la grâce par la foi (Romains 4. 4 ; Galates 3. 12), mais sur le principe des œuvres d’obéissance : « En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L’homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles » (Romains 10. 5). Ce principe, l’Écriture l’appelle « la loi des œuvres » (Romains 3. 27) et il constitue le fondement de l’alliance entre Dieu et Adam : l’alliance des œuvres.
Nous appelons cette période d’innocence qui devait conduire à la vie éternelle : la période de probation. L’idée est que l’être humain ne devait pas vivre avec la possibilité de déchoir de sa perfection originelle. Par l’obéissance, il devait sceller le monde dans la justice et être lui-même confirmé dans la vie éternelle. Comment pouvons-nous affirmer toutes ces choses à propos d’Adam et de l’alliance des œuvres ? C'est en le comparant au dernier Adam (Jésus-Christ) dont Adam lui-même était la figure (voir Romains 5. 14 ; 1 Corinthiens 15. 45). Le dernier Adam, Jésus-Christ, avait une mission qui devait être accomplie « une fois pour toutes » (Hébreux 9. 12) ; et sa période de probation fut terminée au terme de sa mission (voir Jean 19. 30). Adam avait donc une mission à accomplir, au terme de laquelle il aurait obtenu la vie pour récompense. Cependant, « l’homme (Adam) n’a pas gardé longtemps cet honneur ».
L’alliance des œuvres, bien qu’elle prouve la bonté et la générosité de Dieu est une alliance entièrement conditionnelle. De ce fait, elle prévoyait des récompenses en cas d’obéissance, mais également des malédictions dans le cas contraire. Ainsi, la vie et la mort furent placées devant l’être humain (Genèse 2. 17 ; Deutéronome 30. 15).
Utilisant subtilement le serpent, Satan assujettit Ève, et par elle, il séduisit Adam, qui, sans contrainte sur lui, transgressa volontairement la loi de leur création, et le commandement qui leur avait été donné en mangeant du fruit défendu. Il a plu à Dieu de permettre cette chute, dans son conseil sage et saint, puisque Dieu avait déterminé de l’utiliser pour manifester sa gloire.
La chute de l’être humain s’est produite sous l’influence de Satan, qui est rusé, et qui cherche à tromper les êtres humains par tous les moyens possibles (2 Corinthiens 11. 3, 14). Satan avait un intérêt particulier à séduire l'être humain, celui sous les pieds duquel Dieu le Créateur avait placé toutes ses œuvres (Psaumes 8. 7). C'est ainsi que Satan usurpa le pouvoir sur le monde créé par Dieu (Luc 4. 6 ; Éphésiens 2. 2 ; Hébreux 2. 5-16). Pour parvenir à l’homme Adam, Satan séduisit Ève la femme (2 Timothée 2. 14), et brisa ainsi l’harmonie entre eux et Dieu (Genèse 3. 12).
Il ne faudrait pas cependant considérer l’être humain comme une simple victime de la séduction de Satan. Adam, « sans contrainte sur lui, transgressa volontairement la loi de leur création et le commandement qui leur avait été donné en mangeant du fruit défendu ». Le premier homme, Adam, avait la pleine responsabilité morale vis-à-vis du péché. La révolte de l’être humain contre Dieu n’est pas à minimiser, surtout lorsque nous considérons qui est Dieu et la distance entre Lui et l’être humain qui a voulu se faire comme Dieu (Voir Genèse 3. 5).
Pourquoi l’Éternel Dieu n’est-Il pas intervenu pour empêcher l’être humain de transgresser l’alliance faite entre lui et Dieu ? « Il a plu à Dieu de permettre cette chute, dans son conseil sage et saint, puisqu’il avait déterminé de l’utiliser pour manifester sa gloire ».
L’alliance des œuvres est hautement importante pour au moins deux raisons :
Premièrement, sans elle, il est impossible de comprendre bibliquement la chute et ses conséquences pour l’humanité. L’alliance des œuvres fournit le cadre légal qui nous permet de comprendre ce qu’est le péché, et ce qu’il implique pour toute la création. Toute interprétation du mal qui n’est pas fondée sur une compréhension biblique de l’alliance des œuvres est erronée.
Deuxièmement, la doctrine de l’alliance des œuvres est absolument essentielle pour pouvoir comprendre la rédemption. Cette alliance démontre ce qui devait être accompli par l’être humain pour atteindre la vie éternelle : une parfaite obéissance à Dieu sans la moindre transgression. Seulement, après la chute, cette parfaite obéissance ne pouvait pas éviter la punition de la mort. Puisque le péché étant entré dans le monde, Dieu se devait de le punir. C’est pourquoi, Jésus Christ le second Adam, vint dans ce monde et se rendit « obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix » (Philippiens 2. 8).
Distinguer la vraie sanctification des simples efforts charnels de l’homme
Les Saintes Écritures déclarent bien que : « les païens, qui n’ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi » (Romains 2. 14). La Loi morale de Dieu est la Loi naturelle inscrite dans la conscience de tous les êtres humains (Romains 2. 15). La chute n’a pas effacé ce témoignage, ni tout désir de s’y conformer. Le problème avec le païen vertueux est qu’il ne voit pas l’ampleur de la gravité de son péché. Il croit que tout va bien pour lui puisqu’il s’efforce de faire le bien, mais il se trompe lui-même en croyant que sa bonne conduite couvre son idolâtrie, ses mauvaises pensées, ses paroles et ses actions. Ses bonnes œuvres ne peuvent être agréées de Dieu, puisque si bonnes soient-elles, elles sont toutes entachées de la corruption d’un cœur qui ne connaît pas Dieu (Esaïe 64. 6).
Le pécheur régénéré (né de nouveau), quant à lui, est premièrement conscient de sa misère spirituelle et, ne s’appuyant pas sur sa vertu, mais confessant son péché, il hérite du Royaume de Dieu (Matthieu 5. 3). La grande différence entre un chrétien sanctifié et un païen vertueux n’est pas d’abord les œuvres pratiquées, mais la disposition du cœur face à Dieu et face sa Loi. Le chrétien ne poursuit pas la vertu comme une fin en soi, mais son objectif suprême dans ses actions est la Gloire de Dieu (1 Corinthiens 10. 31). Ce qu’il veut par-dessus tout ce n’est pas une bonne vie ou une bonne santé, mais c’est plaire à son Seigneur Jésus (2 Timothée 2. 4b).
La sanctification chrétienne ne procède donc pas simplement de la volonté et de la discipline de l'être humain, mais elle vient de la connaissance de Dieu, et de l’Amour pour Jésus, notre Sauveur et notre Roi, que le Saint-Esprit déverse dans le cœur de chaque enfant de Dieu (Romains 5. 5 ; Colossiens 1. 10). Des personnes sont transformées « au moyen de la connaissance de Dieu, Celui qui nous a appelés », et ils ont reçu de sa divine puissance « tout ce qui contribue à la vie et à la piété » (2 Pierre 1. 3). Voilà ce que signifie être « participants de la nature divine » (2 Pierre 1. 4). La vertu chrétienne vient donc d’une connaissance et d’une communion avec Dieu : « Puisque celui qui vous a appelés est Saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu’il est écrit : Vous serez saints, car je suis saint » (1 Pierre 1. 15-16).
« Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de Celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise. A cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science, à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété, à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel la charité. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ » (2 Pierre 1. 3-8).
Il est aussi important de souligner que la sanctification ne se fait pas sans effort de notre part. S’il est vrai qu’elle ne procède pas de notre volonté, il est faux de dire qu’elle n’implique pas notre volonté. Il ne faut donc pas concevoir la sanctification comme une transformation passive qui se fait magiquement en nous par le Saint-Esprit. Après avoir indiqué la nature et l’origine de la sanctification par la connaissance de Dieu, l’apôtre Pierre ajoute : « faites tous vos efforts… ». La sanctification définitive (2 Pierre 1. 3-4) doit donc être complétée par la sanctification progressive (2 Pierre 1. 5-8) et celle-ci implique l’exercice de notre volonté régénérée.
À vues humaines, il peut ne pas toujours y avoir une si grande différence entre une mère païenne et une mère chrétienne qui cherche à bien élever ses enfants et qui s’efforce de prendre soin de son foyer. Extérieurement nous ne percevons pas toujours la différence entre l’ouvrier païen et l’ouvrier chrétien qui font honnêtement leur travail en exerçant du mieux qu’ils peuvent leur capacité et leur volonté. Il y a pourtant une grande différence entre leur objectif, entre la nature de leur volonté et entre la valeur de ce qu’ils font aux yeux de Dieu. L’Écriture déclare dans Tite 1. 15 : « Tout est pur pour ceux qui sont purs ; mais rien n’est pur pour ceux qui sont souillés et incrédules ; leur intelligence et leur conscience sont souillées ».
À moins de connaître Christ et d’être connu de Dieu en Christ, le païen vertueux n’est vertueux qu’à ses propres yeux et à ceux du monde ; sa force n’est que celle de la chair qui ne peut ni plaire à Dieu, ni se conformer à sa volonté (Romains 8. 7-8). Le chrétien sanctifié, au contraire, plaît à Dieu par sa foi, et Il est revêtu de la Justice de Christ. Sa force est celle du Saint-Esprit qui amène tout son être à se conformer à Dieu pour Lui être agréable (Romains 8. 1-6, 12. 1-2).
L'importance et l'urgence de l'évangélisation
Le sujet que j’aimerais aborder avec vous aujourd’hui, c’est celui de l’évangélisation, et plus précisément l’importance et l’urgence de le faire.
Evangéliser vient du grec « Euaggelizo » qui signifie annoncer une bonne nouvelle. Si dans l’Ancien Testament, ce terme était utilisé pour toutes sortes de bonnes nouvelles, dans le Nouveau Testament, la bonne nouvelle est essentiellement celle de la Venue du Royaume de Dieu.
L'IMPORTANCE DE L'ÉVANGÉLISATION :
L’annonce de la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu était le sujet majeur des enseignements du Christ, et l’objet de son tout premier message. "Dès ce moment Jésus commença à prêcher, et à dire : Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche" (Matthieu 4. 17). "Jésus disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle" (Marc 1. 15).
Pendant son ministère terrestre, le Seigneur Jésus envoya ses disciples deux à deux avec toujours pour mission de proclamer la venue du Royaume de Dieu. (Luc 10. 1-9).
Après la résurrection du Seigneur Jésus, l’importance de la prédication de la Bonne Nouvelle était toujours la même. C’est ainsi que Jésus va appeler ses disciples à devenir des missionnaires, pour propager la diffusion du message du Royaume de Dieu en leur disant : "Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde" (Matthieu 28. 19-20). "Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné" (Marc 16. 15-16).
Le discours de la Pentecôte était suivi d’un appel à la repentance, élément indispensable pour entrer dans le Royaume de Dieu. "Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit" (Actes 2. 38).
Nous pouvons constater d’après tous ces textes de la Bible, que la prédication de l’Évangile était une priorité pour le Seigneur Jésus, un message principal, et d’une extrême urgence. C’est également une nécessité qui nous est imposé comme nous le rappelle l’apôtre Paul : "Si j'annonce l'Évangile, ce n'est pas pour moi un sujet de gloire, car la nécessité m'en est imposée, et malheur à moi si je n'annonce pas l'Évangile !" (1 Corinthiens 9. 16).
Nous avons absolument besoin de prendre conscience de l’importance de la Mission que le Seigneur Jésus a confiée à l'Église. Ce n’est pas une option de la vie chrétienne, mais un devoir de l’Église pour le salut des âmes perdues. "Dieu veut réellement nous voir s'engager dans sa mission qui est que nous prêchions l'Évangile aux perdus. Ainsi, par la Grâce de Dieu, les perdus entendront l'Évangile, croiront en l'Évangile, et invoqueront le Nom du Seigneur Jésus. Et "Quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé" (Voir Romains 10. 13-15).
L'URGENCE DE L'ÉVANGÉLISATION :
Dieu notre Créateur veut que nous réalisions le danger qu'il y a d'aller en Enfer, et que nous nous tournons vers Jésus-Christ, le Messie et le seul Sauveur du monde, avant qu'il ne soit éternellement trop tard. Jésus seul nous amène au Paradis. De nombreuses personnes meurent tous les jours dans le monde, et plus de la majorité d’entre elles ne sont pas sauvées.
Beaucoup sont appelés au salut, mais trop peu le reçoivent. Beaucoup de personnes meurent, mais trop peu d'entre eux sont sauvées. Et ces personnes où vont-elles après la mort ?
Chaque être humain qui meure s’acheminent sans retour vers une des deux destinés finales qu'est l'Enfer ou le Paradis ; et cela sans aucune possibilité de quitter l’un de ces endroits pour l’autre. Oui, le Ciel (le Paradis) et l’Enfer sont deux endroits bien réels. Au Ciel règne la paix, le bonheur et l'amour infinis dans la présence glorieuse de Dieu avec les anges et tous les saints. Alors qu'en Enfer règne la sainte Colère du Dieu Tout-Puissant, dans la fournaise de feu et de soufre, lieu de remords infinis et de grands tourments.
Pour ceux qui ne reçoivent pas Jésus, l'Enfer est un lieu réel qui est terrifiant. Ceux qui sont dans le séjours des morts et qui seront en Enfer à la fin des temps sont dans une fosse sans fin où ils chutent sans cesse. En Enfer il n'y a pas de stabilité, ni de fondation. Il n'y a pas de place pour se tenir, ni pour s'asseoir, ni pour se coucher. Pour les horribles souffrances qu'on y subi, il n'y a pas de repos jour et nuit. C'est un endroit horrible
Oui, l'Enfer est une endroit éternel d'obscurité et de tourments sans repos. En Enfer, il n'y a que du RIEN INFINI accentué par la douleur atroce qui y existe.
Après la mort, il est trop tard pour la repentance, trop tard pour les bonnes actions. Trop tard pour croire en Jésus, pour le recevoir ; trop tard pour se réconcilier avec Dieu, trop tard pour être sauvé. Après la mort vient le jugement (Hébreux 9. 27), et il n’y a plus de rachat possible.
Ne pas évangéliser, c’est donc refuser de donner à des personnes qui peuvent être sauvées, la possibilité de l’être. C’est les livrer au destin tragique de l’éternité sans Dieu. C’est participer à la condamnation de tous ceux qui ont été sur notre route. Oui, c’est bien cela ! « participer à leur condamnation ». Disons les choses telles qu’elles sont. "Ne savons-nous pas que Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas commet un péché ?" (Jacques 4. 17).
Nous sommes heureux à l’idée de savoir que nous sommes sauvés et que nous ne brûleront pas dans le feu de l'Enfer. Nous sommes heureux qu’on nous ait présenté L’Évangile qui nous a sauvé. Ne pas évangéliser, c’est donc faire preuve d’ingratitude vis-à-vis de la grâce que nous avons reçue en Jésus-Christ.
Évangéliser, c’est la mission suprême que Jésus nous a laissée. C’est aussi le sens de notre chrétienté, de notre salut et de notre vie sur terre.
C’est pour sauver le monde que Dieu a donné ce qu’il avait de plus cher : Son Fils unique, Jésus-Christ.
L’unique objectif du sacrifice de Jésus et le seul but de Dieu en offrant Jésus pour l’expiation des péchés, c’est le salut des êtres humains. Son unique motivation, c'est L’AMOUR (Voir Jean 3. 16).
Jean- Baptiste a dit au sujet de Jésus : "Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde" (Jean 1. 30). Dieu s’est donné Lui-même en la Personne de son Fils Jésus. Dieu a fait retomber nos opprobres sur Jésus qui a pris à son compte nos iniquités et qui a accepté la mort pour nous rendre la vie.
Voilà pourquoi Jésus a payé le prix inestimable de nos péchés pour que les êtres humains qui croient soient rachetés. Et à quel prix ? Au prix infiniment élevé. Ne négligeons pas un sacrifice d’une valeur aussi inestimable. Jésus a fait sa part, nous laissant le soin de faire la nôtre : Poursuivre son action en prêchant l‘Amour et la grâce de Dieu, la repentance, le pardon des péchés, la vie éternelle. Nous sommes le corps de Christ. Dieu a besoin de nous pour gagner le monde à Lui. Son Saint-Esprit est en nous pour nous aider et nous fortifier. Nous sommes l’Église, « appui et colonne de la vérité » (1 Timothée 3. 15), « Lumière, sel de la terre ». Si le sel perd sa saveur avec quoi la lui rendra-t-on ? (Matthieu 5. 13). Si nous ne prêchons pas, qui le fera ?
La Bible nous rappelle que le jour est avancé, que les temps sont mauvais et sont comptés, que le jour du Seigneur est proche. Oui Jésus revient bientôt.
Dix grands principes de vie du chrétien
Au coeur de ce monde en crise, voici dix grands principes de vie ou lignes directives pour le vrai chrétien, disciple de Christ. Dieu est le seul moyen de trouver la paix authentique au milieu de l’agitation de nos sociétés. La Bible enseigne que la vie chrétienne est en croissance constante. Après la Nouvelle Naissance, vient la période de maturation de notre foi et de notre vie chrétienne. Il serait donc contre-nature de rester un bébé spirituel. Car la Bible dit : "Croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ" (2 Pierre 3. 18).
La Bible dit que nous devons grandir spirituellement. Cela implique un développement constant et une sagesse croissante. Et pour bien grandir, pour acquérir une bonne santé spirituelle, certains principes doivent être respectées. De la même façon que des règles et principes existent dans divers domaines pour garantir notre sécurité, (quand nous conduisons ou cuisinons par exemple), ou encore notre succès quand nous nous présentons à un examen, il existe aussi de grands principes qui garantissent notre croissance spirituelle chrétienne.
Voici dix grands principes de la vie du chrétien :
1) Lire et MÉDITER la Bible tous les jours : Ne nous contentons pas de parcourir un chapitre simplement pour satisfaire notre conscience. Méditons la Parole de Dieu dans notre cœur. Elle réconforte, guide, corrige, encourage. Tout ce dont nous avons besoin est là.
2) Apprenons le secret de la prière : La prière est une communication. Chaque prière sera exaucée. Parfois, la réponse sera « Oui », et parfois « Non ». D’autres fois, elle sera « Attend », mais Dieu y répondra.
3) Confions-nous constamment au Saint-Esprit : Nous savons que le Saint-Esprit prie pour nous enfants de Dieu (Romains 8. 26-27). Quel réconfort cela devrait être pour les plus faibles d’entre nous. Écartons notre "MOI" et laissons le Saint-Esprit prendre en charge tous les choix et décisions de notre vie.
4) Assistons régulièrement au réunion de communion fraternelle à l’Église : L’Église visible est l’organisation du Christ sur la terre. Les chrétiens ont besoin les uns des autres, nous devons nous rassembler pour adorer Dieu, et rien ne peut remplacer l’assistance et notre participation aux programmes de l’Église.
5) Soyons chacun un chrétien témoin : Nous témoignons de deux manières : par la vie et par la parole. Les deux, si possible, doivent aller de pair.
6) Laissons l’amour être le principe dominant de notre vie : Jésus a dit à ceux qui le suivaient : « A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres » (Jean 13. 35). La plus grande démonstration du fait que nous sommes chrétiens enfants de Dieu est l’amour que nous portons aux autres.
7) Soyons des chrétiens obéissants : Laissons le Christ occuper la première place dans tous les choix de notre vie.
8) Apprenons à faire face à la tentation : La tentation n’est pas un péché. Céder à la tentation, c’est cela le péché. Laissons Christ par le Saint-Esprit se battre pour nous.
9) Soyons des chrétiens sains : Notre vie et notre apparence doivent être saine pour mettre en pratique l’Évangile et glorifier Dieu partout où nous sommes. Ne l’oublions pas.
10) Vivons au dessus des circonstances : Ne laissons pas notre situation nous décourager. Apprenons à vivre avec une attitude de gratitude envers Dieu et en toute circonstances, sachant que le Seigneur Lui-même est avec nous tous les jours. AMEN !!!
Que fait la Bible après nous avoir menés au Salut ?
La Parole de Dieu augmente notre foi : "Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ" (Romains 10. 17).
La Parole de Dieu nous régénère : "Puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu" (1 Pierre 1. 23).
La Parole de Dieu nous délivre du péché : "Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira" (Jean 8. 31-32).
La Parole de Dieu guérit l’âme et le corps : "Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, et il les délivra de leurs angoisses ; Il envoya sa parole et les guérit, Il les fit échapper de la fosse" (Psaumes 107. 19-20). "Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades" (Mathieu 8. 16).
La Parole de Dieu nous éclaire et nous donne de l’intelligence : "La révélation de tes paroles éclaire, elle donne de l’intelligence aux simples (Psaumes 119. 130).
La Parole de Dieu est une lampe à nos pieds : "Ta Parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier" (Psaume 119. 105).
La Parole de Dieu purifie notre âme : "Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère" (1 Pierre 1. 22).
La Parole de Dieu rend pur notre chemin : "Comment le jeune homme rendra-t-il pur son sentier ? En se dirigeant d’après ta parole" (Psaume 119. 9).
La Parole de Dieu permet de renouveler nos pensées afin que l’on discerne la volonté de Dieu : "Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait" (Romains 12. 2).
La Parole de Dieu agit en ceux qui ont la foi : "C’est pourquoi, nous rendons continuellement grâces à Dieu de ce qu’en recevant la Parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la Parole de Dieu, qui agit en vous qui croyez" (1 Thessaloniciens 2. 13).
La Parole de Dieu nous donne de réussir dans tout ce qu’on entreprend : "Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche ; médite-le jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit ; car c’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c’est alors que tu réussiras" (Josué 1. 8).
Mettre en pratique la Parole de Dieu nous rend heureux : "Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre, celui-là sera heureux dans son activité" (Jacques 1. 25).
La Parole de Dieu nous juge pour nous redresser : "Car la Parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur" (Hébreux 4. 12).
La Parole de Dieu nous empêche de nous perdre : "Ceux qui avaient pour demeure les ténèbres et l’ombre de la mort vivaient captifs dans la misère et dans les chaînes, parce qu’ils s’étaient révoltés contre les paroles de Dieu, parce qu’ils avaient méprisé le conseil du Très–Haut. Il humilia leur cœur par la souffrance ; Ils succombèrent, et personne ne les secourut" (Psaume 107. 10-12).