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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1. 16)

Jésus-Christ nous prépare une place

31 Mai 2022 Publié dans #Retour de Jésus

 UNE PLACE PRÉPARÉE

 « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14. 2-3).

Avant de mourir sur la croix pour nous êtres humains, le Seigneur Jésus a promis à ses disciples, et à nous également, de nous préparer une place dans le Ciel. C’est la meilleure place que nous puissions imaginer puisque nous serons auprès de Lui : « afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi » (Jean 14. 3).

Bientôt, à la voix du Seigneur, nous irons à sa rencontre « et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4. 17).

Enfin, dans ce lieu incomparable, la vie de Christ que nous possédons déjà pourra trouver son plein épanouissement dans un Amour toujours renouvelé envers le Père et le Fils. Finies nos limitations humaines, notre compréhension partielle.

Il ne restera que l’amour, UN AMOUR SANS CESSE ENTRETENU PAR LE SAINT-ESPRIT ET LA CONTEMPLATION DE NOTRE SAUVEUR.

Il n’y aura ni suite ni fin à cette béatitude, puisqu’elle n’est en rien conditionnée par la responsabilité de l’homme : tout repose enfin, et repose seulement sur la parfaite grâce de Dieu en Jésus-Christ.

 « Beaucoup de demeures… » (Jean 14.3)

De nombreux croyants se sont demandés pourquoi le Seigneur parle de « beaucoup de demeures » dans la maison de son Père, et ils ont apporté des réponses variées à cette question.

Il paraît évident que l’idée principale, c’est qu’IL Y AURA DE LA PLACE POUR TOUS LES HOMMES ET LES FEMMES QUI AURONT CRU EN DIEU. Un seul bâtiment suggère l’idée qu’il peut être un jour complètement rempli, tandis que s’il y en a beaucoup, le nombre de places disponibles n’est plus limité.

On peut également se représenter la maison du Père comme le palais d’un roi composé de plusieurs habitations affectées aux différentes catégories de personnes qui vivent dans l’entourage du roi.

Comme beaucoup de comparaisons, celle-ci pèche sur un point : dans un palais, un honneur différent s’attache à chaque bâtiment et chacun s’efforce d’être admis dans les plus prestigieux.

DANS LA MAISON DE DIEU, il n’y a aucune rivalité de ce genre ! TOUS SE SENTENT AIMÉS DU MÊME AMOUR DE LA PART DU PÈRE ET DU FILS.

Toutefois, l’Église composée des croyants de l’ère chrétienne aura une place privilégiée dans l’intimité de son céleste Époux ; nous pouvons le déduire des paroles de Jean Baptiste qui se qualifie lui-même comme l’ami de l’époux qui se tient à côté de lui et se réjouit de communiquer avec lui (Jean 3. 29).

Le Seigneur fait cette révélation à ses disciples afin que leur cœur ne soit pas troublé par sa mort prochaine.

Que la perspective d’être bientôt introduits dans la maison du Père ranime en nous le désir de connaître mieux le Seigneur avec qui nous serons bientôt pour toujours.

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Jésus-Christ est présent en nous

30 Mai 2022 Publié dans #Divers

Dans Jean 14, l'apôtre Jean rapporte un enseignement fondamental du Seigneur Jésus-Christ concernant notre relation avec Dieu le Père et avec lui-même le Fils de Dieu, après que le Saint-Esprit eut été donné : "En ce jour là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous " (Jean 14. 30).
Lorsque l'on parle ici de relation, l'on veux dire une intimité spirituelle, une communion intérieure, et non seulement une communication venant de l'extérieure. Dans ce chapitre, Jésus insiste sur la différence d'une présence "avec" et d'une présence "en". "Avec" : ""Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe !" (Jean 14. 9). "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous" (Jean 14. 16). "En" : l’Esprit de vérité…vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous (Jean 14. 17).
Par cette parole, Jésus annonce l'événement qui va se produire quelques jours après son Ascension : Le Saint-Esprit venant non seulement sur les disciples, mais venant "en" eux, les remplissant tous : "Et ils furent tous remplis du Saint–Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer" (Actes 2. 4). Ces 120 per
sonnes, et beaucoup d'autres après eux, ont connu la présence manifestée de l'Esprit de Dieu EN eux. Ils en ont été remplis et ce fut une évidence qui les a introduit dans une dimension nouvelle de la connaissance et de la relation avec le Seigneur Jésus qui les avait instruits à ce sujet : "En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous" (Jean 14. 20).
Vous connaîtrez : Le Seigneur enseigne que c'est par la présence manifestée du Saint-Esprit en nous que nous connaissons la réalité de son union avec le Père et de sa présence en nous. "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous ... En ce jour–là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous" (Jean 14. 16-20). C'est aussi ce qu'écrit l'apôtre Jean : "Nous connaissons qu’il demeure en nous par l’Esprit qu’il nous a donné" (1 Jean 3. 24). "Nous connaissons que nous demeurons en Lui, et qu’il demeure en nous, en ce qu’il nous a donné de son Esprit" (1 Jean 4. 13). Le Seigneur Jésus est présent en nous, par son Esprit. L'apôtre Paul écrit : "Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?" (1 Corinthiens 3. 16).
Il s'agit d'une présence spirituelle mais néanmoins réelle, rendue évidente par un témoignage intérieur et une manifestation visible ou audible, du Saint-Esprit. Lorsque nous parlons de la présence du Seigneur en nous, il faut nous rappeler cette autre parole de Christ : "C’est l’esprit qui vivifie; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie" (Jean 6. 63).
Par cette dernière parole du Seigneur nous comprenons que sa présence en nous est spirituelle parce qu'Il n'est plus là avec son corps, sa chair, mais en esprit. En "nous" : Nous sommes des êtres complexes formés de matière et d'esprit, à la fois esprit, âme et corps. Souvent nous commettons l’erreur de donner de l’importance à l’un plutôt qu’à l’autre, en fonction de ce que nous pouvons ressentir. Nous ne définissons pas bien la frontière entre l'esprit, l'âme et le corps. Où commence l’âme et où finit l’esprit, l’âme à son tour n’est-elle pas intimement liée au corps. Cependant l’Esprit de Dieu le sait. Il sonde les profondeurs de notre être et le pénètre allant jusqu’à la séparation de ce qui est psychique "l’âme" et ce qui est spirituel : "l’esprit". "Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte" (Hébreux 4. 12-13).
"L'Esprit de Dieu sonde tout, même les profondeurs de Dieu" (1 Corinthiens 2.10). Notre esprit est le domaine de la pensée, de la réflexion, de l’intelligence (l’entendement), la conscience de ce qui est spirituel. Notre âme est le domaine des sentiments, des désirs, des affections, des émotions… Elle est le trait d'union entre l'esprit et le corps. Notre corps est le domaine des sens, de tout ce qui est visible, audible, physiquement sensible. Certaines personnes sont dominées par les sens, les désirs excessifs du corps. D’autres sont conduites par leurs sentiments ou leurs émotions, l’âme prend le dessus. Pour les autres enfin, l’intelligence, la raison, ont la priorité, ce qui ne veut pas dire qu’elles sont spirituelles dans le sens où Dieu l’entend. Notre volonté détermine nos choix en fonction de ces trois éléments : la raison, les sentiments (le cœur) et les sens. Notre esprit, notre âme et notre corps forment donc un tout, Ils fonctionnent ensemble et nous ne pouvons dissocier l’un de l’autre. Nous pourrions donner la priorité tantôt à l’un, tantôt à l’autre, d’où parfois nos problèmes lorsque notre choix n’est pas le bon. Il faut donc nous efforcer de vivre avec l'équilibre de la sagesse divine, de la sagesse de Dieu.

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L’Amour de Dieu

29 Mai 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Dieu est amour. En ceci a été manifesté l’amour de Dieu pour nous : c’est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. (1 Jean 4. 8, 9).

Avez-vous fait cette expérience extraordinaire de découvrir que Dieu vous aime sans conditions ?

Est-ce vraiment possible ? À la pensée que Dieu existe, je suis mal à l’aise parce que certaines fautes pèsent sur ma conscience. Ces mensonges, ces lâchetés que nous voulons dissimuler à nos semblables, est-ce que nous pouvons les cacher à Dieu ? Comment échapperons-nous à ce malaise ? Faut-il faire pénitence, accomplir quelques bonnes actions pour me rendre Dieu favorable ?

Non, l’Amour de Dieu ne se mérite pas, c’est impossible. Et une lecture honnête de ce qui se passe dans notre être intérieur et notre vie nous montre que nous en sommes totalement indignes.

La vérité est tout autre  : Dieu nous aime, parce qu’il est amour, et non parce que nous sommes aimables.

Mais s’il est vrai de dire que Dieu nous aime sans conditions, cela ne signifie pas qu’il est le bon Dieu, indulgent envers tous les péchés de l’humanité.

Parce que Dieu est amour, il offre à chacun, gratuitement, le moyen d’être sauvé de sa condition de coupable, incompatible avec la sainteté de Dieu.

Parce que Dieu est lumière et amour, il ne voulait pas nous laisser dans cet état, sans relation avec Lui. Jésus Christ, son Fils unique, est alors venu sur la terre pour prendre sur lui le châtiment que méritent nos péchés. Ainsi, Dieu peut pardonner à quiconque se reconnaît coupable.

Parce qu’Il vous aime, Dieu vous attend, tel que vous êtes. N’attendez pas plus longtemps pour venir à lui !

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Sauvé par la Grâce de Dieu‏

28 Mai 2022 Publié dans #Salut

"C'est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés" (Actes 15. 11)
"…lui qui a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification" (Romains 4. 25)

Pasteur suisse très connu, né en 1787, César Malan, très jeune, désire servir Dieu. Il est honnête et se dévoue auprès des pauvres et des malheureux. Longtemps, il pense que les bonnes œuvres sont le seul moyen de salut. Il encourage ses auditeurs à bien se conduire, afin que Dieu puisse les recevoir. Un jour, quelqu'un lui fait remarquer que ce n'est pas là le véritable enseignement du Christ : comment être sûr d'être assez méritant pour entrer au ciel ? César Malan est troublé.
Un soir, alors qu'il lit dans son Nouveau Testament, il est frappé par cette parole : “C'est par la grâce de Dieu que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu” (Ephésiens 2. 8). Il est si vivement ému qu'il s'écrie : “Je suis sauvé ! je suis sauvé” ! César Malan vient de comprendre que c'est la Grâce de Dieu qui apporte le Salut (Tite 2. 11), un Salut que nous ne pourrons jamais acheter par nos propres efforts, car “quand la bonté de notre Dieu Sauveur et son amour envers les êtres humains sont apparus (en Jésus), il nous sauva, non sur la base d'oeuvres accomplies en justice que nous, nous aurions faites, mais selon sa propre miséricorde” (Tite 3. 4-5). C'est Jésus Christ qui nous sauve, ce ne sont pas nos œuvres. Quel soulagement ! Pendant le reste de sa carrière, César Malan a porté avec joie ce message à tous, et premièrement à ceux qui, bien que croyants, n'étaient pas encore certains de posséder la vie éternelle.

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Satan amena le péché dans ce monde (2)

27 Mai 2022 Publié dans #Divers

"Mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement" (Genèse 2. 14).

Nous constatons que la tentation ou l’invitation à la désobéissance se présente à eux. Ils ont accepté la désobéissance, les mensonges,  le doute, la séduction et le désir de devenir comme Dieu sont rentrés dans leurs cœurs. La désobéissance les a conduits à se rebeller contre Dieu.

"Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait fait. Il dit à la femme : Dieu a–t–il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point. Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal" (Genèse 3 : 1-5).

Voici l’appât que va utiliser le serpent pour séduire Eve : "Vous ne mourrez point et vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal". Il lui promet l’indépendance, mais c’est l’assujettissement qui l’attend. C’est ainsi que la mort est entrée dans leur vie, la peur de Dieu, de sa voix, alors que celle-ci leur était familière ainsi que sa présence. La culpabilité, la honte, l’accusation les ont conduit à se cacher de Dieu.

"Mais l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché" (Genèse 3. 9-10).

Dieu pose deux questions à Adam :

1) Où es- tu ? Il faut comprendre : Où es-tu spirituellement ? Qu’as-tu fait ?
2) Qui t’a appris que tu es nu ? : "Et l’Éternel Dieu dit : "Qui t’a appris que tu es nu ? Est–ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ?" (Genèse 3. 11).

Comment Adam et Eve sont-ils devenus nus ? La gloire de Dieu les revêtait à cause de sa lumière qui était en eux. Quand la présence de Dieu s’est retirée de leur vie, ils ont perdu sa lumière intérieure. Les ténèbres ont pris cette place vide. La nudité ou la disparition de la gloire résulte de la perte de la lumière.

Dieu connaissait la situation donc la réponse. Seulement Dieu invitait Adam à reconnaître sa désobéissance et à plaider coupable. Au lieu de cela, il prend l’attitude d’accusation et d’auto-défense. Il cherche à couvrir lui-même son péché.

Par cette deuxième question : Qui t’a appris que tu es nu ? Dieu cherchait à faire admettre à Adam qu’il avait écouté une autre voix que la sienne, celle du père du mensonge.

Nous aussi, combien de fois nous voulons couvrir nos propres péchés en accusant les autres ou en disant à Dieu : si j’ai péché…je te demande pardon. La réalité est toute simple : j’ai péché, je le reconnais et je plaide coupable pour être délivré, pardonné.

Trop souvent, nous avons recours à notre propre justice. Rappelons-nous ce que nous avons dit plus haut. Le péché nous amène à la mort.

L’accusation mutuelle est rentrée dans leur vie au lieu de se reconnaître coupable ou de plaider coupable. Nous trouvons là l’origine de la propre justice. Autrement dit : Adam accuse Dieu d’être responsable de cette désobéissance à cause de l’épouse qu’il a placée à ses côtés. "L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé" (Genèse 3. 12).

Ils sont devenus pécheurs. A cause de leur nouvelle nature déchue, ils ont donné naissance à des pécheurs. Nous également, nous naissons pécheurs et donnons naissance à des pécheurs. Comme un oiseau donne naissance à un autre oiseau ou un poisson à un autre poisson, selon : "Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi" (Genèse 1-11).

Comment cela s’est-il produit ?

La Bible nous dit que le serpent, le plus rusé des animaux, s'est présenté devant Ève en lui mentant et lui proposant que ses yeux allaient s’ouvrir. Dans le but que l’interdit de Dieu devienne désirable, indispensable. Eve, séduite, a vu qu’il y avait un manque à combler dans sa vie. Bien-sûr à condition qu'elle mange des fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Ève dit avoir été séduite, elle en mangea et son mari aussi. "La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea" (Genèse 3 : 6).

Comme c’est troublant, Eve était habituée à voir cet arbre, jamais elle n’avait remarqué qu’il « était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ». Il lui a suffit d’entendre des paroles de mensonge et de séduction pour que, par le désir, ses yeux s’ouvrent et qu’elle succombe.

Oui, les êtres humains subissent les conséquences de leurs actes et de leurs désobéissances.

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Le sens et l’importance de l’Ascension de Jésus-Christ

26 Mai 2022 Publié dans #Divers

Après sa résurrection, Jésus « se présenta [...] vivant » (Actes 1. 3) aux femmes près de la tombe (Matthieu 28. 9-10), à ses disciples (Luc 24. 36-43) et à plus de 500 autres personnes (1 Corinthiens 15. 6). Les jours après la résurrection, Jésus a enseigné ses disciples concernant le Royaume de Dieu (Actes 1. 3).
Quarante jours après la résurrection, Jésus et ses disciples se sont rendus au Mont des Oliviers, près de Jérusalem. Là, Jésus leur a promis qu’ils recevraient bientôt le Saint-Esprit et leur a demandé de rester à Jérusalem jusqu’à ce qu’Il vienne. Puis Jésus les a bénis et pendant qu’il les bénissait, Il est monté au Ciel. Le récit de l’ascension de Jésus se trouve en
Luc 24. 50-51 et en Actes 1. 9-11.
Les Écritures montrent clairement que l’Ascension de Jésus était une montée au ciel littérale et physique : il s’est petit à petit élevé au-dessus du sol sous les yeux d’un grand nombre de témoins attentifs. Alors que les disciples s’efforçaient de l’apercevoir une dernière fois, une nuée l’a caché à leurs yeux. Deux anges leur sont alors apparus et leur ont promis qu’il reviendrait « de la même manière que vous l’avez vu aller au ciel » (Actes 1. 11). Je pense que si les disciples avaient été capables ce jour-là de voir au-delà de cette nuée, ils auraient vu les cieux ouverts pour recevoir Jésus le Roi. Ils auraient vu les anges se réjouir du Retour glorieux du Seigneur Jésus dans sa Glorieuse Demeure au Ciel. Ils auraient vu Dieu le Père se lever pour accueillir Jésus son Fils bien-aimé dont Il était si fier.
L'Ascension de Jésus est simplement un autre exemple de sa Toute-Puissance en tant que Dieu. Ce fut un événement surnaturel parce que Jésus n'était plus soumis à la gravité. Jésus avait déjà affirmé qu'Il est Dieu et Il l'avait Lui-même démontré à plusieurs reprises durant son ministère sur la terre. Lors de son Ascension, Jésus prouve hors de tout doute qui Il est : le Dieu de l'Univers.

L’Ascension de Christ est importante pour plusieurs raisons :

1. Elle marque la fin de son ministère terrestre. Par amour, Dieu le Père avait envoyé son Fils dans le monde à Bethléem et maintenant, le Fils retournait au Père. La période pendant laquelle il avait été soumis aux limitations humaines était terminée.
2. Elle indique le succès de son œuvre sur terre. Il avait accompli tout ce pourquoi il était venu.
3. Elle marque son retour à sa gloire céleste. La gloire de Jésus avait été voilée pendant sa vie sur terre, avec la courte exception de sa Transfiguration
(Matthieu 17. 1-9).
4. Elle symbolise son élévation par le Père
(Éphésiens 1. 20-23). Celui à qui le Père avait donné toute son approbation (Matthieu 17. 5) a été accueilli avec les honneurs et a reçu le Nom au-dessus de tout nom. (Philippiens 2. 9).
5. Elle a permis à Jésus de nous préparer une place auprès de Lui
(Jean 14. 2).
6. Elle marque le début de son ministère de Souverain Sacrificateur
(Hébreux 4. 14-16) et Médiateur de la Nouvelle Alliance (Hébreux 9. 15).
7. Elle établit le modèle de son Retour. Jésus reviendra établir son Royaume de la même manière qu’il est parti : littéralement, corporellement et visiblement, sur les nuées
(Actes 1. 11, Daniel 7. 13-14, Matthieu 24. 30, Apocalypse 1. 7).

Pour l’instant, le Seigneur Jésus est au Ciel. Les Écritures le représentent souvent à la Droite du Père, une position d’honneur et d’autorité (Psaumes 110. 1, Éphésiens 1. 20, Hébreux 8. 1). Christ est la tête du corps de l’Église (Colossiens 1. 18), il donne les dons spirituels (Éphésiens 4. 7-8) et il remplit tout l’univers (Éphésiens 4. 9-10). L’Ascension de Christ marque la transition entre son ministère terrestre et son ministère céleste.

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Satan amena le péché dans ce monde (1)

25 Mai 2022 Publié dans #Divers

A cause de sa Sainteté, Dieu est obligé de se détourner de nous et nous, nous fuyons sa lumière. Nos œuvres de ténèbres nous accusent devant Lui.
Nous vivons dans un monde naturel que nous voyons, touchons, dans lequel nous évoluons. Autour de nous se situent deux royaumes spirituels ennemis qui sont invisibles avec nos yeux naturels : le Royaume de Dieu qui est le Royaume de la lumière et de la vie ; et le royaume de Satan, c'est l’empire du diable, du péché, des ténèbres, de la mort, de Satan.
Par conséquence soit nous bénéficions des bienfaits du premier ou soit nous subissons les méfaits du second.

Le monde a-t-il toujours connu la domination de l’empire  du péché ? Non. La Bible nous le confirme dans cette parabole : "Il (Jésus) leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla. Lorsque l’herbe (le blé) eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut aussi" (Matthieu 13 : 24 à 26).
Jésus nous parle bien d’un ennemi et même. Il cite une de ses méthodes pour planter sa semence. Quelle est la nature de sa semence ? De l’ivraie. En grec ivraie se dit : « zizanion » ce qui signifie zizanie, discorde et tout ce que cette semence porte comme fruit.
Comment cet ennemi plante t-il sa semence ? Quand nous abandonnons la surveillance de notre champ ou notre rôle de gardien de ce champ, c'est-à-dire de notre vie.

Il n’en était pas ainsi quand Dieu a créé Adam et Eve. Ils ont été créés à la ressemblance et à l’image de Dieu, c’est à dire parfaits. Quand Dieu regardait, dans la vie d’Adam et d’Eve, il voyait son image, comme nous, nous voyons notre image quand nous nous regardons dans un miroir. "Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et il vit que cela était très bon" (Genèse 1. 26-27).

En créant Adam et Ève,  Dieu leur a donné une identité, son identité. Adam et Ève savaient qui ils étaient, pourquoi ils avaient été créés. Cela devait durer éternellement à une condition : croire ce que Dieu leur disait. Et plus précisément, croire que Dieu leur disait la vérité et ne leur cachait rien.
Dieu les a créés à Son image, c'est-à-dire avec une volonté et la capacité de choisir : libre de vivre avec Dieu ou sans Lui et de choisir la vie ou la mort. Dieu n’a pas créé des robots mais des personnes libres de l’aimer ou de le rejeter. Dieu a mis deux voies devant eux, comme Il met deux voies devant chacun d'entre nous. "J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité" (Deutéronome 30 : 19).

Chacune de ces voies ou chemins nous conduit vers un arbre dont nous parle la Bible dés le début. Mais un seul conduit à l’arbre de vie, c’est pourquoi Jésus nous dit : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14. 6).
Chacun de ces deux arbres produit des fruits différents : l’arbre de la vie, des fruits pour la vie et l’arbre de la connaissance du bien et du mal, des fruits pour la mort.
Le choix de vie, pour Adam et Eve, se tenait entre ces deux arbres. L'arbre de la vie au milieu du jardin et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. (Ici, il n'est pas question de pommier, encore moins de pommes) et Dieu leur donna cet ordre, plus précisément à Adam : "Tu pourras manger de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras tu mourras certainement" (Genèse 2 : 16-17).

Dieu avait placé Adam et Eve dans le jardin d’Éden, ce qui signifie : délice, abondance de biens, condition idéale de vie, avec un seul interdit, celui que nous venons d’énoncer. Dieu les avait béni et donné l’autorité pour dominer sur la terre. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : "Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et assujettissez-la ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre" (Genèse 2 : 28).

Adam et Eve ont été crées pour avoir une relation d’amour avec Dieu. Dieu leur avait recommandé de ne pas faire certaines choses, comme de vrais parents donnent des consignes de sécurité à leurs enfants, par amour et pour les protéger. Dieu ne veut pas de robot, il nous a crée avec une volonté, capable de choisir. Adam et Eve n’ont pas écouté, ils ont désobéi et ils en ont subi les conséquences et leurs descendants ensuite, c'est-à-dire nous-mêmes.

A SUIVRE... le vendredi 27 mai

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Un Évènement important arrive‏

24 Mai 2022 Publié dans #Retour de Jésus

Un Évènement important arrive‏

Illustration :
Embarquement immédiat ! Après être passés par le comptoir d'enregistrement, tous les passagers ont maintenant pris place dans l'avion. Désormais, La porte est fermée et aucun passager n'est plus admis.
Tous les passagers ? - Non, voyez cet homme qui court ! Il a beau protester et réclamer, rien n'y fait. TROP TARD ! L'avion partira sans lui.

C’est d’un évènement combien plus important et aux conséquences infiniment plus graves que nous voulons vous parler. Il n'y aura pas d'annonces sur aucun haut-parleur. L'appel parviendra seulement aux enfants de Dieu, à ceux qui ont une relation vivante et personnelle avec Lui. Ils entendront le « cri de commandement » et la « trompette de Dieu » voir dans (1 Thessaloniciens 4. 16-17).
Le Seigneur Jésus a annoncé Lui-même cet évènement en s’adressant à la petite troupe de ses disciples : « Si je m’en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous y soyez aussi » (Jean 14 : 3).
- Quelles sont les personnes concernées par ce départ dont Jésus parle ci-dessus ? Tous ceux qui ont cru au Fils de Dieu, tous ceux qui ont placé leur confiance en Lui, qu’ils soient déjà morts ou qu’ils soient encore vivants sur la terre à ce moment-là.
- Quelle est leur destination ? Le Ciel, le lieu du bonheur infini et éternel dans la compagnie du Seigneur Jésus, Celui qui les a aimé, qui est mort pour eux sur la croix et qui est ressuscité pour leur acquérir cette place avec Lui.
Et après ? Que se passera-t-il pour ceux qui, pendant leur vie sur la terre, auront négligé le Salut en Jésus Christ ou refusé le message de l’Amour de Dieu ? Aucune possibilité d’entrer au Ciel ! Et ce sera pour eux l'attente d'une terrible condamnation éternelle dans les tourments de l'Enfer.

Jésus a raconté une parabole pour illustrer cela dans (Matthieu 25 : 1-12). Quelle est la conclusion ? « La porte fut fermée » (v.10). Et personne ne peut l’ouvrir ! Vous aurez beau frapper en criant : « Seigneur, ouvre-nous ! » – il vous répondra : « Vous, je ne sais pas d’où vous êtes » (Luc 13 : 25).
Terrible sort que celui-là ! Il est donc urgent d’être prêt pour le grand rendez-vous fixé par le Seigneur Jésus à tout être humain.
Comment nous y préparer personnellement ? Une place au Ciel ne peut pas s’acheter ; elle est offerte gratuitement par le Dieu d’Amour. D’ailleurs, l’être humain pécheur est totalement coupable de ses péchés et ne peut jamais acquitter le montant de sa dette envers Dieu : « Un homme ne pourra en aucune manière racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon, car précieux est le rachat de leur âme, et il faut qu’il y renonce à jamais » (Psaume 49 : 8-9).
La seule “rançon” parfaitement suffisante mais absolument indispensable pour le Salut de chaque être humain qui place sa confiance en Jésus, c’est le sang précieux du Seigneur Jésus qui a coulé de son côté percé après sa mort sur la croix de Golgotha. L’apôtre Pierre le déclare : « Vous avez été rachetés… non par des choses corruptibles, de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ » (Pierre 1 : 18-19).
Mais pourquoi justement le sang de Jésus Christ ? – Parce que « sans effusion de sang il n’y a pas de pardon » des péchés (Hébreux 9 : 22). Or « tous les êtres humains ont péché » (Romains 5 : 12) ; j’ai péché, vous avez péché et tous ont péché. Et pour entrer au Ciel, TOUS nos péchés doivent être ôtés.
Pour nous c’est gratuit, parce que le Christ Jésus a déjà payé à notre place le “prix du billet” : Il a souffert sur la croix l’effroyable punition de tous nos péchés.
- La Bible nous invite chacun : « Vous qui n’avez pas d’argent, venez, achetez et mangez, oui, venez, achetez sans argent et sans prix. Cherchez l’Éternel tandis qu’on le trouve, invoquez-le pendant qu’il est proche. Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme inique, ses pensées, et qu’il retourne à l’Éternel, et il aura compassion de lui, — et à notre Dieu, car il pardonne abondamment » (Esaïe 55 : 1-6).
- Mais surtout, IL NE FAUT PAS TARDER : « C’est pourquoi, comme dit l’Esprit Saint : AUJOURD’HUI, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs » (Hébreux 3 : 7).
Peut-être direz-vous : que dois-je faire alors ? La réponse a été donnée depuis longtemps : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé » (Actes 16 : 31).
Oui, AUJOURD’HUI, que chaque être humain croit en Jésus le Fils de Dieu, et place en Lui sa confiance : Jésus est mort sur la croix pour toutes nos fautes, pour tous nos péchés : mais ensuite Il est ressuscité ; Il est éternellement Vivant. Jésus va venir chercher tous ceux qui Lui ont fait confiance pour qu'ils soient éternellement avec Lui dans sa Gloire. Nous êtres humains, sommes-nous chacun prêts ?

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Jésus-Christ mourut sur la croix pour nos péchés

23 Mai 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Nous sommes par nature sous l’esclavage du péché :
Le péché, ce n'est pas seulement enfreindre un règlement, mais c’est une blessure infligée à Dieu, aux autres et à nous mêmes. « Quiconque se livre au péché est esclave du péché », dit Jésus dans Jean 8. 34. On peut être complètement dominé par la colère, la jalousie, l’arrogance, l’orgueil, l’égoïsme
etc... En définitive, « le salaire du péché c’est la mort » (Romains 6. 23). C'est la mort spirituelle qui, si l'être humain ne se repent pas et ne naît pas de nouveau par l'action du Saint-Esprit en lui, aboutit à une séparation éternelle d’avec Dieu en Enfer.
La Bonne Nouvelle écrite dans la Bible, c’est que Dieu nous aime et qu’il ne nous abandonne pas au gâchis que nous avons nous-mêmes causé dans nos vies à cause du péché. Dieu est venu sur terre, en la personne de son Fils Jésus, pour mourir pour nous sur la croix. C’est ce qu’annonce, plusieurs
siècles avant la naissance du Christ, le prophète Ésaïe, qui décrit sa passion et sa mort : "Or c’était nos souffrances qu’il portait, et nos douleurs dont il était accablé. …Il a été transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes. Le châtiment qui nous rend la paix s’est abattu sur lui et dans ses blessures nous trouvons la guérison" (Ésaïe 53. 5).

Pourquoi Jésus est-Il mort sur la croix ?
Dieu nous aime d'un amour infini, c’est la raison fondamentale de cette mort. Dans la Bible, l’apôtre Paul dit que : « Le Christ est mort pour nos péchés » (1 Corinthiens 15. 3-4), « Jésus m’a aimé, et c’est pourquoi il s’est livré pour moi » (Galates 2. 20).

Le sacrifice de Christ et ses conséquences pour le croyant :
Car aussi Christ a souffert une fois pour les péchés, le juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu. (1 Pierre 3. 18)
Le Sauveur Jésus, l'homme sans péché, a bu la “coupe” de la colère de Dieu
(Luc 22. 41-44 ; Jean 18. 11). “Il plut à l’Éternel de le meurtrir; il l'a soumis à la souffrance”, lorsqu'il a livré son âme en sacrifice pour le péché (Ésaïe 53. 10). “L'Éternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous” (Ésaïe 53. 6). Quelle en est la conséquence ? Jésus est mort sous le poids de nos péchés. Et qu'est devenu le péché ? Il est complètement ôté. Non pas que le péché ait été traité légèrement, mais il a été ôté par le sacrifice de Christ Jésus qui les a expiés.
Ainsi, avant même le jour du Jugement, Dieu a parfaitement réglé, à la croix de Christ, la question du péché. Certes, il y aura un jour de jugement et ceux
qui ne croient pas en Jésus trouveront là leur condamnation éternelle. Mais pour ceux qui croient en Jésus, le Jugement a déjà été subi par Christ. Dieu doit juger les pécheurs ; mais s'il n'y avait que cela, où serait son Amour ? Si Dieu négligeait le péché, où serait sa Sainteté ? Ce ne serait pas de l'amour mais de l'indifférence au mal. Jésus-Christ a pris nos péchés en son propre corps sur le bois (1 Pierre 2. 24), Il en est mort et Il est ressuscité absolument sans péchés. Maintenant, la question de la Justice n'est donc pas seulement soulevée : elle est entièrement réglée.

Ainsi, si le péché a été un jugement pour Christ, pour nous enfants de Dieu, il n'en résulte que la grâce, en Christ et par Christ. Si Dieu devait aborder le sujet de nos péchés au jour du Jugement, nous serions tous perdus. Mais, Dieu l'a déjà traité en son Fils Jésus-Christ, qui a été “blessé pour nos transgressions… meurtri pour nos iniquités” (Ésaïe 53. 5) ; et maintenant une grâce sans mélange en découle. Non seulement la Colère sans merci de Dieu est tombée sur Jésus-Christ crucifié, mais après avoir ôté le péché, Jésus a pleinement satisfait le parfaite Justice de Dieu. Dieu n'est plus pour le croyant en Jésus un Juge ou un vengeur, mais un libérateur de la mort et de toutes les conséquences du péché que Christ a prises sur Lui-même.

« Par la mort de Jésus sur la croix, nous sommes justifiés » :
« Justification », c’est un terme judiciaire. Vous êtes devant un tribunal, accusé d’un délit et acquitté à la fin, vous êtes justifié. Dieu doit être juste, il ne peut pas dire : « vos fautes n’ont pas d’importance ». Mais dans son Amour, Dieu est venu en la personne de son Fils Jésus-Christ,  » pour servir et
donner sa vie en rançon pour la multitude » (Matthieu 20. 28). En réalité, c’est Dieu Lui même qui est cloué au bois de la croix : car « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui » (2 Corinthiens 5. 19). Avec Jésus, Dieu nous parle, en personne, du sein de notre condition humaine, après en avoir éprouvé toute la souffrance.

Comment la mort de Jésus sur la croix il y a près de 2000 ans peut-elle avoir un effet sur notre vie aujourd’hui ?
Jésus-Christ est infini, Il n'a ni commencement, ni fin. C'est pourquoi, sa mort sur la croix est d'une valeur infinie et éternelle. Tous les êtres humains de tous les temps peuvent bénéficier de l’œuvre parfaite de Jésus à la croix. Tous, c’est vous et c’est moi. Même si vous aviez été seul au monde, Jésus serait mort pour vous. C’est notamment ce que Jésus explique dans la parabole de la brebis perdue : « Si un homme possède cent brebis et qu’une d’elles vienne à s’égarer, ne va-t-il pas laisser les 99
autres sur les montagnes pour s’en aller à la recherche de l’égarée ?. Ainsi on ne veut pas, chez votre Père qui est aux cieux, qu’un seul de ces petits ne se perde (Matthieu 18 : 12-14).

Quand nous considérons la croix dans cette optique, tout change. La vie, nous-mêmes, les choses, les évènements, tout se transfigure à nos yeux. Chaque être humain est libre d’y associer, ou de dire : « Non, merci, je préfère ne pas y croire ». Nous avons aussi ce choix de dire oui à Dieu pour le cadeau merveilleux qu’Il nous offre à travers la mort de Jésus pour le pardon de nos péchés. Dieu ne nous sauve pas sans notre « oui ». A chaque être humain de dire OUI à son offre gratuite de la Vie Éternelle en Jésus.

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Recevoir la Vie divine

22 Mai 2022 Publié dans #La Vie

Jusqu'aux découvertes de Louis Pasteur (1822-1895), la croyance générale était que des êtres pouvaient spontanément venir à la vie, dans des milieux qui s'y prêtaient : la farine pourrie engendrait des insectes, et les vieux chiffons entassés donnaient sans problème naissance à des souris !
Louis Pasteur a combattu énergiquement l'idée de la génération spontanée et a démontré que la vie vient nécessairement de la vie.
Dans le domaine spirituel, il n'y a pas non plus de génération spontanée. La Vie, là aussi, ne peut provenir que de la vie. Et comme l'être humain sans Dieu, sans Jésus-Christ, son Créateur, n'a pas la vie divine en lui-même, il a besoin de quelqu'un qui la lui communique. Le seul qui puisse le faire, c'est le Seigneur Jésus Christ. Il a déclaré : “Moi, je suis le chemin, et la vérité et la vie. Personne ne vient au Père si ce n'est par moi” (Jean 14. 6).
Cette vie-là, comment la reçoit-on ? Par la vivante et permanente Parole de Dieu qui nous régénère, comme l'écrit l'apôtre Pierre (1 Pierre 1. 23). Autrement dit, celui ou celle qui croit, qui met toute sa confiance en Jésus et en son sacrifice parfait accompli sur la croix, qui l
it la Bible, qui accepte et se soumet à son autorité divine, reçoit la Vie Éternelle : pas seulement une existence qui dure toujours, mais la Vie Éternelle de nature et d'origine célestes, appartenant à une autre création. Oui, celui qui reçoit Jésus comme seul Seigneur et Sauveur a la Vie Éternelle, cette Vie qui est la Vie du seul vrai Dieu éternel. Le Saint Esprit vient habiter en lui et modèle ses pensées sur celles de Dieu, de Jésus. Chers lecteurs, cette Vie qui permet à quiconque la reçoit d'aller vivre éternellement dans la gloire de Dieu, dans le Paradis, la possédez-vous dès maintenant ?

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