Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
Articles récents

Notre gloire après le Retour de Jésus-Christ

30 Mars 2023 Publié dans #Retour de Jésus

Il est important pour le peuple de Dieu (pour les enfants de Dieu) de connaître ce dont il est question dans l’Apocalypse. Cela le protège de la séduction des mensonges de l’ennemi et lui procure la bénédiction qui découle de l’espérance en notre glorieux avenir en Jésus-Christ : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche » (Apocalypse 1 : 3)
En fait, PERSONNE ne connaît l’heure et le jour du Retour du Sauveur : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Pour ce qui est du jour ou de l’heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul ». (Marc 13 : 31-32)

Jésus-Christ va protéger son Épouse (l'Église) :
Il faut comprendre également que la fin de ce monde dominé par le péché ne signifie pas la fin de la planète en elle-même. Il s’agit plutôt d’un passage d’une condition à une autre. Un autre point à souligner est que l’Église n’est pas destinée à subir le Jugement et la Colère de Dieu, c’est pourquoi Jésus reviendra chercher ses élus avant la grande Tribulation.
Voilà le but de l’Enlèvement, c’est que Jésus protège l’Église, son Épouse, et de l'épargner durant les tribulations
: « Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l’acquisition du salut par notre Seigneur Jésus-Christ » (1 Thessaloniciens 5 : 9). « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5 : 24).
« Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement (le retour) du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts (les saints déjà morts en Christ). Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, (retour de Jésus dans les airs) et les morts en Christ ressusciteront premièrement. ENSUITE, nous les vivants, qui seront restés (pour le Retour de Christ), nous serons tous ensemble ENLEVÉS avec eux sur des nuées (sans mourir), à la rencontre du Seigneur (et des saints qui viennent de ressusciter) dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4 : 15-16)
Dans ce passage il est question de la glorification des corps mortels. Tout d’abord, ce sont les Saints qui sont déjà dans la gloire de Dieu qui doivent ressusciter afin que leur corps mortels puissent revêtir l’incorruptibilité. Par la suite, nous les vivants, nos corps serons changés afin de revêtir l’immortalité
(1 Corinthiens 15 : 42-43, 50). Notre corps glorifié sera semblable à celui de Jésus : « Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses ». (Philippiens 3 : 20-21)

Les récompenses attendues :
Suite à l’Enlèvement, débuteront les tribulations dans ce monde, le début d’un temps de jugement pour les incroyants restés sur terre. Quant à nous enfants de Dieu qui seront déjà dans le Ciel, nous comparaîtrons tous devant le Tribunal de Christ
(2 Corinthiens 5 : 10) afin d’y recevoir nos récompenses qui nous sont réservées. « Si quelqu'un bâtit sur ce fondement avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, l’œuvre de chacun sera manifestée ; car le jour la fera connaître, parce qu'elle se révèlera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu'est l’œuvre de chacun. Si l’œuvre bâtie par quelqu'un sur le fondement subsiste, il recevra une récompense. Si l’œuvre de quelqu'un est consumée, il perdra sa récompense ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu » (1 Corinthiens 3 : 12-15). Les couronnes représentent entre autres, des sphères d’autorité, des positions qui nous serons attribuées dans le Ciel.

Après cela, nous participerons au festin des Noces de l’Agneau. Ce sera alors une célébration dans la présence du Seigneur Jésus, un festin de noces, un repas agape GLORIEUX : « Réjouissons-nous et soyons dans l’allégresse, et donnons-lui gloire; car les noces de l’agneau sont venues, et son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints » (Apocalypse 19 : 7-9)

Au Paradis, nous serons semblables à Jésus notre Sauveur. Notre corps sera glorifié et nous serons revêtus de l'immortalité (1 Corinthiens 15. 53). Nous y vivrons pour toujours, d'éternité en éternité. Nous aurons la satisfaction de tous nos besoins (Apocalypse 7. 16).
Nous serons héritiers de Dieu et cohéritiers de Jésus-Christ le Fils de Dieu
(Romains 8. 17). Nous aurons une douce intimité indestructible avec Dieu durant l'éternité. Ce sera le bonheur parfait et éternel. Nous aurons une communion intime et parfaite avec Dieu et entre chacun de nous. Nous, qui ferons partis de toute la foule innombrable de personnes rachetés par Jésus, louerons et adorerons pour toujours Jésus, l'Agneau de Dieu, qui a versé son sang pour nous délivrer de nos péchés ainsi que de la mort éternelle, et nous donner la Vie Éternelle.

Les deux derniers chapitres de la Bible rapportent l’aperçu du Paradis éternel où les vrais croyants de tous les temps vivront ensemble avec leur Créateur et prendront part à tous ce qu'il a préparé pour son peuple. Tout sera parfait, la Cité Céleste sera tellement glorieuse et éclatante de beauté que l'on ne peut l'imaginer. Le Paradis sera illuminé de la Gloire de Dieu, de Jésus. Ce glorieux Paradis sera habité par Dieu avec tous ceux qui auront mis leur confiance dans le seul vrai Dieu et dans son Salut. Rien du tout ne pourra plus venir les troubler.

À la fin du Millénium et du Jugement Dernier, il y aura une « rénovation de la terre » par le feu (2 Pierre 3 : 10-13, Hébreux 1 : 12). Dieu créera une nouvelle terre et un nouveau ciel (Ésaïe 65 : 17, Apocalypse 21 : 1). La ville sainte, la nouvelle Jérusalem descendra du troisième ciel sur la terre (Apocalypse 21 : 2-3). Ce sera une ville magnifique et majestueuse, resplendissante fait de pierres précieuses et où les routes sont pavées d’or : voir dans Apocalypse 21 : 16-23
Nous aurons le privilège de vivre dans la glorieuse présence de Dieu et nous règnerons avec Lui : « Il n’y aura plus d’anathème. Le Trône de Dieu et de l’agneau sera dans la ville; ses serviteurs le serviront et verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts » (Apocalypse 22 : 3-5). Nous habiterons là où il n’y aura plus aucune souffrances, ni douleurs, ce sera un lieu de paix, de joie, de bonheur et d’amour infinis : « Et j’entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » (Apocalypse 21 : 3-4)

Avant que tous ces événements arrivent, nous devons continuer de servir fidèlement le Seigneur Jésus dans notre vie jusqu'à son Retour. Nous devons accomplir sans relâche notre mission, celle de répandre la Bonne Nouvelle : « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création » (Marc 16 : 15).

Lire la suite

Demeurons en Christ en Lui faisant confiance pour nous garder (2)

29 Mars 2023 Publié dans #Divers

La relation entre l'œuvre de Christ et la nôtre s'exprime merveilleusement dans les paroles de Paul « ... afin de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par le Christ Jésus » (Philippiens 3. 12a). Parce qu'il savait que le Tout-Puissant et le Fidèle l'avait saisi dans le dessein glorieux de le faire un avec Lui-même, alors il aspirait de toutes ses forces à saisir ce glorieux trophée. La foi, l'expérience, la pleine assurance d'avoir été saisi par Christ lui donnaient le courage et la force de lutter afin de saisir ce pour quoi il avait été saisi. Chaque nouvelle vision de ce but exaltant en vue duquel Christ l'avait saisi et le tenait, le stimulait à nouveau pour ne viser à rien de moins.

Nous comprendrons mieux l'expression de Paul et son application à la vie du chrétien si nous nous représentons un père aidant son enfant à escalader une pente d'une faille escarpée. Le père est en haut et il a pris la main de son fils pour l'aider. Il lui désigne l'endroit où il pourra, avec son aide, poser le pied s'il saute un peu. Le saut serait trop haut et trop dangereux si l'enfant était seul mais il a confiance dans la main de son père et il saute pour atteindre ce point d'appui en vue duquel son père lui-même l'a saisi. C'est la force de son père qui lui donne de l'assurance et le soulève et c'est ainsi que l'enfant est poussé à employer au maximum sa propre force.

Telle est la relation entre Christ et nous chrétien, faible et craintif de par nous même ! Fixons les yeux sur le but en vue duquel Christ nous a saisi : une vie d'habitation permanente, de communion ininterrompue avec Lui, c'est à cela que Jésus veut nous élever — rien de moins.

Ce que tu as déjà reçu — le pardon et la paix, sa grâce et son Saint-Esprit — n'en sont que les préliminaires. Et toutes les promesses que nous pouvons entrevoir dans le futur — sainteté, fécondité, gloire éternelle — n'en sont que la conséquence normale.

L’union avec Jésus, et corrélativement avec le Père, est son objectif suprême. Fixons les regards sur cela et contemplons jusqu'à ce que ce fait nous apparaisse clair et indubitable : le but de Christ, c'est que nous demeurons en Lui.

Et maintenant, que cette seconde pensée pénètre en nous : C'est pour cela que Christ nous a saisi. Sa force toute puissante s'est posée sur nous et nous propose maintenant de nous élever là où Il voudrait que nous soyons.

Fixons les regards sur Christ. Contemplons l'Amour qui rayonne de ses yeux et qui nous demande pourquoi nous ne lui faisons pas toujours confiance pour nous garder désormais, alors qu'Il nous a cherché, trouvé, attiré près de Lui.

Contemplons ses bras Puissants et disons-nous qu'il est raisonnable d'être certain de sa réelle capacité de nous garder en Lui. Et tout en pensant à ce qu'il nous montre —au dessein béni pour lequel il nous a saisi — tout en gardant les yeux fixés sur Celui qui nous tient et attend de pouvoir nous élever. Alors ne pourrons-nous pas aujourd'hui même gravir ce degré et accéder enfin à cette vie bénie d'habitation en Christ ? Alors disons chacun : « O mon Jésus, si tu me tiens, si tu t'es engagé à m'élever et à me garder, je veux oser. Avec confiance, malgré ma crainte, je veux dire : Jésus, j'habite vraiment en toi ». Bien-aimés compagnons dans la foi, allons-y, prenons le temps d'être seul avec Jésus et disons Lui cela.

Les vérités de Dieu doivent immédiatement être mises en pratique. Oh ! Consacrons-nous aujourd'hui même au Sauveur Jésus-Christ en Lui livrant la seule chose qu'Il demande de nous : nous abandonner pour demeurer en Lui. C'est Jésus Lui-même qui l'accomplira en nous. Nous pouvons Lui faire confiance pour qu'Il nous garde confiant, en Lui.

Et si jamais des doutes s'élèvent à nouveau ou si nous sommes tentés de désespérer par l'amère expérience d'une défaillance, rappelons-nous d'où Paul tirait sa force : « j'ai été saisi par Christ ». De cette certitude découlent des forces abondantes. De là, nous pouvons contempler sur quoi l'apôtre Paul a établi tout son cœur et y établir aussi nos cœurs. Là nous retrouverons la certitude que Jésus achèvera la grande œuvre qu'Il a commencée. Et cette certitude nous donnera à chacun le courage de dire à nouveau, jour après jour : « je veux continuer, afin de saisir ce pourquoi Christ m'a saisi ». C'est parce que Jésus nous a saisi et parce que Jésus nous garde que j'ose dire : "Mon Sauveur, je demeure en toi".

Lire la suite

Demeurons en Christ en Lui faisant confiance pour nous garder (1)

28 Mars 2023 Publié dans #Divers

« …afin de le saisir, puisque moi aussi j'ai été saisi par le Christ Jésus. » (Philippiens 3. 12).

Bien des gens admettent que demeurer en Christ est un devoir sacré et un privilège béni, mais ils trébuchent sans cesse devant cette question : une vie de communion ininterrompue avec Jésus le Sauveur. Est-ce possible ?
Des chrétiens éminents, placés dans des circonstances particulièrement favorables pour cultiver cette grâce, peuvent peut-être y parvenir, mais on ne peut guère s'y attendre pour la grande majorité des disciples dont l'existence, telle que Dieu l'a voulue, est si remplie par les affaires de cette Vie !
Plus ils entendent parler de cette Vie divine, plus ils comprennent combien elle est glorieuse et bénie et ils seraient prêts à sacrifier n'importe quoi pour en devenir les bénéficiaires. Mais ils sont trop faibles, ils ont trop peu de foi, ils ne peuvent y arriver.

Chers amis lecteurs ! Il leur faut apprendre que demeurer en Christ est exactement ce qu'il faut pour ceux qui sont faibles, que cela leur convient admirablement. Il ne s'agit pas de faire des grandes choses et cela n’exige pas que nous menions d’abord une vie parfaitement sainte et consacrée.
Non. Il s’agit simplement pour le faible de s'en remettre à Celui qui est Puissant pour le garder, pour l'être humain de peu de foi de s'appuyer sur Celui qui est fidèle et véritable. Demeurer en Christ n'est pas une œuvre que nous ayons à faire pour pouvoir jouir du salut, mais c'est accepter de laisser Jésus tout faire en nous, pour nous et par notre moyen.
C'est une œuvre que Jésus accomplit pour nous - c'est le fruit et la puissance de son Amour Rédempteur. Notre part, c'est de nous abandonner, de nous confier et d'attendre ce qu'Il s'est engagé à accomplir.
Cette attente paisible, pleine de confiance, se reposant sur la promesse de Christ, qu'il y a en Lui une habitation toute préparée, voilà ce qui manque si gravement parmi les chrétiens.
Ils prennent rarement le temps ou la peine de comprendre que, lorsque Jésus dit : « Demeurez en moi », Il s'offre Lui-même — Lui, le Gardien d'Israël, qui ne sommeille ni ne dort (Psaumes 121. 4) — avec tout son Amour et toute sa Puissance, pour être l’habitation vivante de l’âme, là où la puissante influence de sa Grâce sera plus forte pour nous garder, plus forte que toutes nos faiblesses qui nous détourne de Lui.

Voici l'idée que ces chrétiens se font de la grâce : leur conversion et leur pardon ont été l'œuvre de Dieu mais maintenant, par reconnaissance envers Dieu, c'est leur œuvre à eux de vivre en chrétiens et de suivre Jésus.
On retrouve toujours cette pensée d'une œuvre à accomplir et, bien qu'ils prient Dieu de les aider, cela reste leur œuvre. Ils trébuchent continuellement, se désespèrent et le découragement ne fait qu'accroître leur impuissance.

Non, quittez cette erreur. C'est Jésus qui vous attirait à Lui quand Il vous a dit « Venez », et c'est encore Jésus qui vous garde quand Il dit : « Demeurez ».
La grâce pour venir et la grâce pour demeurer ne peuvent provenir que de Jésus seul. Vous avez entendu, médité et accepté ce mot : « venez ». Ce fut le cordage d'amour qui vous a tiré près de Lui ; de même « demeurez » est le lien par lequel Jésus vous tient solidement et vous attache à Lui.

Que chaque âme prenne seulement le temps d'écouter la voix de Jésus. « En moi », dit Jésus, « dans mes bras puissants. il y a de la place. C'est moi, moi qui t'aime tant, qui te dis : demeure en moi ; tu peux te fier à moi en toute certitude ». La voix de Jésus pénétrant et demeurant dans l'âme ne peut que susciter cette réponse : « Oui, mon Sauveur, en toi je peux, je veux demeurer ».

Demeurez en moi : ces paroles ne sont pas comme la loi de Moise, exigeant du pécheur ce qu'il ne peut accomplir. Il y a là un commandement d'amour, c'est-à-dire une promesse sous une autre forme.

Pensez à cela jusqu'à ce qu'ait disparu toute impression de fardeau, de crainte, de désespoir et que la première pensée qui vienne à votre esprit quand on vous parle de demeurer en Christ soit une espérance vibrante et joyeuse au point que vous pouvez dire : "c'est pour moi et je vais en jouir".

Vous n'êtes pas sous la loi, avec ses implacables « Fais ceci », mais sous la grâce bénie qui dit « Crois » à ce que Jésus a fait pour toi. Et si on vous pose cette question : « Mais, il y a sûrement quelque chose à faire de notre part », répondez : « Nos actes et notre travail ne sont que le fruit de l'œuvre de Jésus-Christ en nous ».

Quand l’âme devient littéralement passive, attendant en paix ce que Christ va faire, c'est alors que son énergie est capable de la plus grande activité et que nous pouvons travailler plus efficacement parce que nous savons qu'il travaille en nous.

Quand nous discernons dans ces mots « en moi » la puissante énergie de l'amour tendue vers nous pour nous atteindre, nous prendre et nous tenir, c'est alors que s'éveille toute la force de notre volonté pour habiter en Lui.

A SUIVRE...

Lire la suite

La Grâce oui, mais nos choix ont des conséquences

27 Mars 2023 Publié dans #Divers

La Grâce, selon la Bible, est la faveur imméritée de Dieu à notre égard. Nous sommes ainsi sauvés par la Grâce, au moyen de la foi en l’œuvre parfaite et achevée de Jésus sur la croix. En nous offrant en sacrifice Jésus Son Fils unique, Dieu le Père nous a réconciliés avec Lui et a effacé les actes dont les ordonnances nous condamnaient. Chacun de nous enfants de Dieu sommes donc une nouvelle créature en Christ Jésus et nous sommes appelés à marcher en nouveauté de vie par l’œuvre du Saint-Esprit en nous. Et par la même Grâce, nous pouvons à chaque fois nous approcher du Trône de la Grâce de Dieu pour lui rendre des actions de grâces pour tous ses bienfaits à notre égard. Nous nous approchons aussi du Trône de la Grâce de Dieu pour demander pardon à Dieu pour nos péchés et iniquités, chaque fois où malgré notre bonne volonté de Lui obéir et de marcher selon Ses voies, nous nous laissons séduire par Satan pour trouver un compromis dans le péché. La Grâce de Dieu est chaque fois disponible pour qui se repend sincèrement de ses péchés et s'en détourne. Mais sachons avec certitude que la Grâce de Dieu ne nous donne jamais un prétexte pour pécher. « Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! … » (Romains 6 : 1-2).

La Grâce est disponible oui, mais Dieu ne peut malgré cela, nous empêcher de vivre les conséquences de nos choix, et cela pour plusieurs raisons que voici ci-dessous :

1. Dieu respecte notre libre arbitre :
L’Éternel Dieu dit : « J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité … » (Deutéronome 30. 19).
Nous êtres humains, Dieu nous a créés libres. Dieu ne tient pas à être servi par des gens dénués de volonté propre. Mais Dieu n'a pas donné le libre arbitre qu’aux êtres humains. Même les anges dans le ciel ont le libre arbitre. Dans
Ésaïe 14. 9-15 et Ézéchiel 28. 14-19, la Bible nous apprend que Lucifer (qui signifie ange de lumière ou porteur de lumière) a été créé parfait dans toutes ses voies. Dieu n'a pas créé le péché, ou un être imparfait. Il n'y avait aucune raison pour que Lucifer tombe de sa position élevée. Lucifer, l’un des plus beaux et puissants anges de Dieu, médita dans son cœur qu’il pouvait s’élever au-dessus de Dieu. Ainsi Lucifer a choisi de se rebeller volontairement contre le gouvernement et l'autorité de Dieu et un tiers des anges le suivirent. Et ils sont destinés à être condamnés dans l'Enfer éternel comme conséquences de leurs choix.
Dans le Livre de Romains 8. 20, nous lisons que « la création a été soumise à la vanité, non de son gré …  ». Dans la version français courant, on peut lire « non parce qu’elle l’a voulu elle-même ». Cela laisse entendre que la création a une volonté. En effet, c’est un principe propre à Dieu, que tout ce qui respire ou se réclame de Lui, le serve en toute liberté. C’est pourquoi Dieu ne peut nous ôter la faculté de choisir de Lui obéir ou non, de vivre ou de mourir, de choisir la vie éternelle pour le Paradis ou la mort éternelle pour l'Enfer. Dieu ne viendra pas choisir à notre place. Il nous présente comme nous le révèle Deutéronome 30. 19 la vie et la mort, en nous conseillant cependant et par amour de faire le bon choix de choisir la vie. Mais quand nous nous entêtons à choisir la voie de la destruction, Dieu ne viole pas notre liberté, pour nous empêcher d’en vivre les conséquences.

2. C’est une loi perpétuelle de l’Éternel :
« Tant que la terre durera, on sèmera et on récoltera… » (Genèse 8. 22).
Dieu, lorsqu’Il fit émerger la terre des eaux après le déluge du temps de Noé, instaura une loi qui dure de générations en générations, jusqu’à ce que le ciel et la terre ne soient plus. C’est bien celle des semailles et de la moisson. Depuis lors, il n’y a pas de prières possibles pour ne pas moissonner ce qu’on a semé ; ni pour une espèce donnée de porter les fruits d’une autre. Comme s’interroge Matthieu 7. 16 : « … Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? » Et Luc nous en donne la réponse : « Car chaque arbre se connaît à son fruit. On ne cueille pas des figues sur des épines, et l’on ne vendange pas des raisins sur des ronces » (Luc 6. 44). Selon donc le type de semence, l’on moissonne inévitablement en conséquence.
« Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. » (Galates 6. 8). Sauf donc à se contredire, et ce n’est pas prêt d’arriver, Dieu ne peut rien pour nous empêcher de moissonner ce que nous avons semé nous-mêmes. La grâce oui, le pardon oui, mais Dieu a créé l’univers pour être régi par des liens de causes à effets. Ainsi, chacun assumera donc les déconvenues liées à ses choix. Toutefois, la Bonne Nouvelle c’est que Dieu ne tient pas compte des temps d’ignorance. Quand le repenti est sincère, Sa Grâce vient nous donner la capacité d’endurer facilement les conséquences qui auraient pu être fatales sans elle.

3. On ne se moque pas de Dieu :
Dieu regarde au cœur. Il sait qui se trompe de bonne foi et qui se rebelle tout simplement ; et dans Sa si grande sagesse, Dieu accorde à chacun ce qu’il convient.
« Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi » (Galates 6. 7).
Se moquer de Dieu, c’est « se foutre volontairement » de Lui, de Ses commandements et prescriptions. Dieu veille que ceux qui se comportent ainsi, n’échappent pas aux conséquences de leurs actes. Il en fait Son affaire. C’est vraiment terrible d’avoir Dieu pour ennemi. Ne courez alors jamais ce risque. Quand vous ne savez pas, vous pouvez plaider l’ignorance. Mais si vous savez et Dieu sait quand vous savez, vous ne pouvez plus vous en prévaloir.
La Grâce n’est donc pas, comme le pensent plusieurs, un quitus pour continuer de pécher allègrement, comptant sur l'Amour de Dieu qui comprend et compatit à l’infini. Au contraire, la Grâce est intervenue, afin que nous n’ayons plus d’excuses pour continuer de vivre dans le péché. Elle est ainsi la capacité que Dieu nous donne pour dominer le péché.

Lire la suite

Un message venant d'en haut‏

26 Mars 2023 Publié dans #EVANGILE

Voici, je vous annonce un grand sujet de joie… Aujourd'hui... vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2. 10, 11). « Dieu... veut que tous les hommes soient sauvés... » (1 Timothée 2. 4).

En un après-midi de juillet, des milliers de vacanciers ont envahi les plages. Un avion tirant une immense banderole survole le bord de l'océan ; le message publicitaire écrit en grosses lettres est destiné à attirer une clientèle que les annonceurs souhaitent toujours plus nombreuse, dans l'espoir d'augmenter leur chiffre d'affaire et leurs profits.
En suivant des yeux l'avion, cela fait penser à un autre message d'une importance capitale. Il arrive de bien plus haut encore, puisque c'est le Dieu Créateur et Sauveur qui l'adresse à tous. C'est un message de salut, de paix et de pardon, qui n'a pas d'autre but que le parfait bonheur de tous ceux qui le recevront. Encore aujourd'hui, nous entendons ce message comme les bergers qui l'avaient entendu au temps de la naissance de Jésus Christ, une Bonne Nouvelle nous est annoncée. Pour nous, un Sauveur est né ! Dieu le Fils s'est fait homme pour révéler l'Amour de Dieu envers les êtres humains pécheurs qui l'ont pourtant crucifié. “Il a souffert... pour les péchés, le juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu” (1 Pierre 3. 18). “Le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui, et par ses meurtrissures nous sommes guéris” (Ésaïe 53. 5).
N'est-ce pas un message merveilleux ? Dans sa bonté, Dieu redit encore à chacun : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).

Jésus-Christ est la porte qui nous fait passer des ténèbres à la lumière. Jésus nous arrache de l'Enfer pour nous amener au Ciel. Rien, ni personne d'autre ne peut nous sauver et nous réconcilier avec le seul Dieu trois fois Saint, ni les œuvres, ni l'argent, ni les sacrifices, mais seul Jésus Christ peut le faire.
En recevant Jésus-Christ dans notre vie comme notre Seigneur et notre Sauveur, nous expérimentons et nous vivons une nouvelle vie dirigée par Dieu et sa Parole, remplit de solutions, de guérison et de bénédictions. (Romains 10. 9 ; Jean 1 : 12)
Nous qui avons reçu par la foi le Seigneur Jésus-Christ, tous nos péchés, toutes nos erreurs sont effacés et pardonnés par Jésus, par sa mort et sa résurrection. Maintenant Jésus nous a libérés et nous pouvons marcher avec Lui en nouveauté de vie (Éphésiens 1. 7 ; Romains 8. 1 ; 1 Jean 1. 9).

Quel glorieux message de la part de Dieu notre Créateur, notre Seigneur et Sauveur !

Lire la suite

La Nouvelle Naissance (2)

25 Mars 2023 Publié dans #Salut

NAITRE UNE FOIS et MOURIR DEUX FOIS ou-bien NAITRE DEUX FOIS et MOURIR UNE FOIS

Nous sommes tous nés une fois pour entrer dans ce monde ; nous avons tous à mourir une fois pour en sortir.
Chacun est d'accord sur ce point ; mais ce que chacun ne sait pas, c'est que, à côté de cette naissance et de cette mort qu'on peut nommer naturelles, il y a une autre naissance et une autre mort qui fixent notre sort pour l'éternité.

- Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu, disait Jésus. (Jean 3. 3).

Par notre naissance, nous entrons dans un monde condamné, perdu, à la condamnation duquel nous participons tous sans exception. Il n'y a point de distinction. Il n'est pas ici question de riches ou de pauvres, de nobles ou de bourgeois, d'honnêtes gens ou de criminels, de protestants ou de catholiques. Tous nous avons en nous-mêmes, par droit de naissance, le principe de la condamnation éternelle".

Voici donc deux morts devant nous : La mort naturelle d'abord, qui termine notre vie sur cette terre ; puis une seconde mort qui est la mort éternelle, la condamnation définitive dans l’Enfer éternelle. C'est de cette situation que Jésus-Christ est venu nous retirer. Fils de Dieu envoyé par Dieu, il se présente à nous comme Celui qui, seul, a la puissance de nous sauver, et Il a donné sa vie pour cette œuvre. C'est par un acte de confiance en lui que nous pouvons être sauvés. Dieu répond à notre foi en mettant en nous le principe d'une vie nouvelle : la Vie Éternelle. Celui qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle . . . Il n'est plus sujet à la condamnation ; il est passé de la mort à la vie ; il ne mourra point.
C'est là un don de Dieu, un acte de puissance, un miracle qui s'appelle la Nouvelle Naissance et sans lequel aucun être humain ne pourra jamais échapper à la condamnation. Ni mérites, ni vertus, ni actes de dévotion, ni bonnes dispositions, ni sacrifices d'aucune sorte, ne peuvent en aucune manière produire ce résultat, ou être substitués à cet acte de la grâce divine qui divise les hommes sur cette terre déjà en deux classes :
- Ceux qui n'ont passé que par une seule naissance, la naissance naturelle ;
- Ceux qui sont nés de Dieu, et qui ont passé par la nouvelle naissance. Ceux-ci sont participants de la nature divine
(1 Pierre 1. 3-4).

Ces deux catégories sont absolument distinctes aux yeux de Dieu, bien qu'elles ne soient pas toujours visibles pour les êtres humains ; car beaucoup peuvent avoir l'apparence de la vie sans la vie, les formes de piété sans avoir passé par cette Nouvelle Naissance.

Pour les premiers, la mort qui termine leur vie terrestre, marque seulement la fin des jours que Dieu leur donnait pour se repentir et revenir à Lui. Si, après avoir été mis en demeure d'accepter le salut, ils sont restés sourds aux appels de Dieu, Dieu les retire, et le jugement final ne fait que constater ce qu'ils sont, ce qu'ils ont voulu être : séparés de Dieu pour toujours, voués à la réprobation pour l'éternité ; c'est la seconde mort.

Quant aux seconds, ceux qui sont nés de Dieu, ceux qui sont des enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ, ils savent dès maintenant qu'ils ont à tout jamais échappé à la condamnation, à l’Enfer ; la mort qui termine leur vie sur cette terre ne fait que leur ouvrir la porte du Ciel, et les fait entrer dans la Gloire éternelle.

- Et maintenant, choisissez : que voulez-vous ? Naître une fois et mourir deux fois ? ou Naître deux fois et mourir une fois ?

Lire la suite

La Nouvelle Naissance (1)

24 Mars 2023 Publié dans #Salut

Tous ceux qui sont familiers avec la Bible connaissent l’histoire de Nicodème, ce théologien juif qui vient de nuit rencontrer Jésus. Ce récit se trouve en Jean 3. 1-21. Nous voyons dans le dialogue avec Jésus, que Nicodème est très rapidement perdu. Lorsque Jésus lui dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu », Nicodème  demande « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il une seconde fois entrer dans le sein de sa mère et naître ? ». Il se demande comment un homme peut sortir deux fois du ventre de sa mère, tandis que Jésus parle d’une seconde naissance spirituelle qui vient du Ciel, par le pouvoir du Saint-Esprit de Dieu.

Nous arrivons au cœur du dialogue entre Nicodème et Jésus : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu » (Jean 3. 16-18).

- De celui qui reconnait qu’il est pécheur, qui se repent, confie dans la foi sa vie à Christ et marche avec confiance sur les pas de Christ. Ou - de celui qui veut poursuivre sa route en pensant qu’il est autosuffisant, et qu’il n’a pas besoin de Jésus.

Il y a 4 points essentiels exposés ici :
- Le premier point est que nous sommes aimés de Dieu. Aucun être humain ne peut dire Dieu ne l’aime pas en pensant que « Dieu n’a que faire de lui ». Non, Dieu porte son regard sur chacun d’entre nous. Chacun a une place dans le cœur de Dieu.
- Le second point est que Jésus est le Fils Unique de Dieu le Père et qu’Il a donné sa vie sur la croix du calvaire pour nous sauver de la mort éternelle. Jésus est plus qu’un maitre, Il est plus qu’un simple prophète… Le don de Jésus est un don volontaire. Jésus dira sur la croix « tout est accompli » (Jean 19. 30). Jésus est entrain de dire, à Dieu son Père, alors qu’Il agonise sur la croix : ‘Tout ce que tu m’as demandé de faire pour que les êtres humains te connaissent et connaissent le pardon de leurs péchés a été réalisé exactement comme tu le voulais Père’.
- Le troisième point est que tous les êtres humains sont privés de la Vie Éternelle à cause du péché. « Il n'y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 22b-23a). Le péché, c’est ne pas vouloir de Dieu. Se croire suffisamment fort pour se débrouiller et changer avec son pouvoir ce qui ne va pas dans sa vie. Le péché, c’est imaginé que nous sommes autosuffisants et s’imaginer être libres. Non, tout cela n’est qu’illusion.
- Le quatrième point est que seule la foi nous permet de saisir le pardon de Dieu en Jésus-Christ : « que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle ».

« Il faut que vous naissiez de nouveau » (Jean 3. 7).

Jésus a parlé du lavage par la Parole de Dieu, de ceux qui croient en Lui, et ce n'est qu'après, que le baptême d'eau prend toute sa signification. « afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifié par le baptême d'eau ». (Éphésiens 5. 26).
Ici, le mot « baptême » n'est pas exact, il n'est pas dans l'original où il est dit ceci : « Il s'est livré Lui-même après l'avoir purifiée par le lavage d’eau ». Ceci veut dire que, par la parole, Dieu nous lave et nous purifie, mais ce n'est pas le baptême d'eau par immersion qui nous purifie.
« Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité » (Jacques 1. 18). Il nous a recréés par la Parole de vérité. « Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité,………puisque vous avez été régénérés………par la Parole vivante et permanente de Dieu » (1 Pierre 1. 22-24).
C'est la Parole de Dieu qui produit en nous ce merveilleux travail, et si nous acceptons la Parole, l’Esprit de Dieu se met aussitôt à 1’œuvre dans nos vies pour nous régénérer, nous recréer, faire de nous une nouvelle créature, un homme nouveau, une femme nouvelle.
Alors, à partir de là, nous demandons à être baptisés. Le baptême d'eau n'est que le signe de notre mort et de notre résurrection.

La foi, c'est croire que Dieu peut faire cela en nous personnellement, qu'Il est actif dans notre vie pour accomplir ces choses ; et bientôt nous allons retrouvé la paix, la tranquillité et le repos éternels. Le diable nous dira : « tu as perdu la vie, tu es mort, tu es sec comme de l'amadou ! » mais n'en croyons rien, continuons à faire confiance au Seigneur Jésus et nous verrons que les choses changeront en nous. Nous verrons les tentations s'éloigner de nous, elles perdront de leur attrait, de leur force ; pourquoi ? parce que nous sommes morts au péché ; et le Jour où nous quitterons ce monde, nous serons libérés de toute influence du mal et de toute tentation.

A SUIVRE...

Lire la suite

Un vide à combler en l'être humain

23 Mars 2023 Publié dans #Divers, #L'être humain

Un des grands problèmes de l'être humain est qu'il est un être qui prend conscience qu'il y a en lui un vide et des désirs profonds à satisfaire, très souvent inexplicables. C'est quelque chose qui le mine et que l'être humain veut à tout prix combler. L'être humain peut nier Dieu, cependant il n'en demeure pas moins qu'il réalise qu'il manque quelque chose. Et c'est très souvent pour fuir cette réalité que l'être humain a tendance à s'adonner à la drogue, à un tourbillon d'activités, à accepter aveuglément toutes sortes de philosophies, d'enseignements sur la réalisation de soi, etc...

Alors, comment combler ce vide ?

Pour combler ce vide, certains sont même prêts à adorer le diable, à se suicider ou à se laisser diriger par un homme qui prend ainsi la position que Dieu seul devrait avoir. On peut également être prêt à gagner le monde avec le désir inavoué de se faire soi-même dieu. Celui qui ne trouve pas Dieu hors de lui, le cherche en lui. Mais une vie sans le seul Dieu véritable est vide de sens, elle est semblable à un navire sans gouvernail ballotté çà et là par des vents contraires sur une mer en furie. Or Dieu connaît l'être humain à fond. Il le sonde et Il connaît ses grands besoins. Dieu n'est-Il pas Celui qui a créé les êtres humains ? C'est pourquoi, Dieu a donné aux êtres humains le seul moyen de Le trouver.

C'est Dieu seul qui peut combler ce vide :

Oui, Dieu seul peut et veut combler le vide qui est en l'être humain ! « Dieu a fait d'un seul sang tous les peuples de l'humanité pour habiter sur toute la face de la terre, ayant fixé des périodes déterminées, ainsi que les bornes de leur habitation, pour qu'ils cherchent Dieu, en s'efforçant si possible de Le toucher comme à tâtons et de Le trouver, quoiqu'il ne soit pas loin de chacun de nous » (Actes 17. 26-27). En fait, Dieu n'est pas si loin. Autour de nous, tout prouve qu'Il est là, car Il est « le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont, lui qui est le Seigneur du ciel et de la terre » (Actes 17. 24).

Le seul vrai Dieu notre Créateur est prêt à s'occuper de chacun de nous, à répondre à nos besoins. Notre Seigneur Jésus a dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes » (Matthieu 11. 28-29). C'est en son Fils Jésus que Dieu s'est révélé à l'être humain sur cette terre. Dieu s'est approché de nous en se faisant homme : Jésus-Christ est Dieu manifesté en chair, et Il a habité parmi les êtres humains. Malgré tout, la nature de l'être humain s'est montrée entièrement rebelle, incontrôlable et indisciplinée envers Jésus, ne supportant pas la Sainteté de Dieu en Jésus. La preuve : les êtres humains ont haï sans cause le Seigneur Jésus. Ayant conspiré contre Lui, ils ont délibérément résolu de mettre Jésus à mort par le moyen de la crucifixion afin de faire taire Sa voix qui présentait clairement leur condition.

Malgré toute la haine que les êtres humains pécheurs ont manifesté à l'égard de Jésus jusqu'à Le crucifier pour Le mettre à mort, le Seigneur Jésus est ressuscité le troisième jour et Il a vaincu pour toujours le péché, la mort et l'Enfer. Oui, par sa mort et par sa résurrection, Jésus-Christ a traversé et a vaincu pour toujours la mort pour tous ceux qui Lui appartiennent en croyant véritablement en Lui. JÉSUS SEUL DONNE UN SENS VÉRITABLE A NOTRE VIE parce qu'Il nous offre la Victoire sur tous ceux qui nous enchaînent. Oui, Jésus l'offre à tous ceux qui ont mis leur confiance en Lui ! Pour l'éternité, ils sont au bénéfice de cette glorieuse Victoire. “Notre Sauveur Jésus Christ... a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l'évangile” (2 Timothée 1. 10).

Plus qu'un vide comblé : la vie éternelle :

Alors, cher(e)s lecteurs/trices, si ce n'est pas encore fait, voulez-vous que Dieu comble le vide qui vous oppresse ? Ce chemin aboutit à la vie éternelle avec Dieu qui nous bénit pour toujours. Oubien préférez-vous rester insatisfaits, continuer à remplir ce vide vainement avec les plaisirs du monde, et rester loin de Dieu ? Sachez que ce chemin conduit à l'Enfer loin de Dieu et dans la malédiction éternelle. Mais dès maintenant, Dieu place devant chaque être humain la vie afin que chacun choisisse.

« Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils : celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie » (1 Jean 5. 11-12).

Que chacun choisisse Jésus, le Fils de Dieu, pour avoir la vie éternelle, car Dieu veut que tous les êtres humains soient sauvés. Dieu est prêt à revêtir de sa Justice quiconque se repent de ses péchés, croit en Jésus et se confie entièrement en Lui. C'est risqué, dangereux même, de repousser à demain la Grâce de Dieu en Jésus qui nous est offert dès maintenant. Cher(e)s lecteurs/lectrices, sachez que Dieu veut votre bonheur et que « il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent » (Luc 15. 10).

Lire la suite

(2) Dieu veut que tous soient sauvés

22 Mars 2023 Publié dans #Salut

Dieu veut que tous soient sauvés :
Il est très important de comprendre que Dieu ne veut absolument pas que les êtres humains aillent dans ce lieu horrible qu’est l’Enfer. Non seulement Dieu nous donne de nombreux avertissements dans sa Parole pour que chacun se prépare au jour du Jugement, mais Il a fait ce que nous ne pouvions pas faire : Dieu, par la mort de son Fils unique Jésus sur la croix, a payé le prix de nos péchés qui souillent chacun de nous êtres humains qui sommes responsables de nos actes. « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5. 8).
Soyons certains que Dieu ne veut pas qu’on aille en Enfer. Au contraire, Dieu plaide avec nous de ne pas y aller, car le choix nous appartient. Dieu dit aux Israélites par la bouche du prophète Ézéchiel : « Rejetez loin de vous toutes les transgressions par lesquelles vous avez péché ; faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau. Pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël ? Car je ne désire pas la mort de celui qui meurt, dit le Seigneur, l’Éternel. Convertissez-vous donc, et vivez » (Ézéchiel 18. 31-32). On retrouve ce même sentiment dans le Nouveau Testament : Le Seigneur « use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance » (2 Pierre 3. 9). Dieu « veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2. 4). Jésus a même versé des larmes sur les habitants de Jérusalem à cause leur incrédulité (Luc 19. 41, 42). Il les aimait malgré leur rébellion meurtrière. Aujourd’hui Dieu invite tous les êtres humains à se sauver des flammes de l’Enfer en se repentant de leurs péchés et en croyant en Jésus : « Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10. 12, 13).

Si un être humain croit en Jésus le Fils de Dieu, s'il se repent et se détourne de ses péchés, s'il place toute sa confiance en Jésus, il est scellé du sceau du Saint-Esprit. Il obtient le pardon de ses péchés et il est justifié devant Dieu. Il est un enfant de Dieu, se trouvant désormais sur le Chemin du Ciel, du Paradis. Oui quiconque croit en Jésus est éternellement sauvé de l’Enfer et ira vivre éternellement au Paradis éternel auprès du seul vrai Dieu de l'univers.

Le besoin de prêcher sur l’Enfer :
Que l'Enfer nous plaise ou pas importe très peu. Nous avons besoin de l’enseigner pour plusieurs raisons. D’abord, parce que Dieu veut que chaque être humain soit sauvé pour l'éternité, et étant donné que le Fils de Dieu Lui-même l’a enseignée, l'Enfer est vrai. Les apôtres inspirés l’ont enseignée également. La réalité du châtiment éternel en Enfer qui attend les êtres humains perdus nous fait apprécier davantage le merveilleux Salut que Jésus nous offre par le moyen de la foi en Lui. On néglige trop souvent la bonne nouvelle quand on ne saisit pas la mauvaise nouvelle de notre condition en tant que pécheurs. La doctrine de l’Enfer motive très souvent à l’obéissance à la loi de Dieu. Il peut être vrai que l’amour est une motivation plus noble que la crainte de la punition, mais Jésus Lui-même n’a pas hésité de motiver les êtres humains en leur parlant du Jugement à venir. Cette doctrine de l'Enfer doit nous donner plus de zèle et de l’urgence dans la prédication de l’Évangile. « Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes » (2 Corinthiens 5. 11).

Conclusion :
Pour être honnête, beaucoup de personnes rejettent la doctrine de l’Enfer parce que la simple idée qu'il y ait un Enfer éternel leur paraît trop injuste et contraire à la nature d’un Dieu qui aime ses créatures et veut qu'ils soient sauvés. Mais le seul vrai Dieu d’Amour est aussi le Dieu de Justice. Sa parole nous dit : « Considère la bonté ET la sévérité de Dieu » (Romains 11. 22). Ces deux qualités se confondent dans la croix de Christ, là où Dieu a puni nos péchés et en même temps a « prouvé son amour envers nous » (Romains 5. 8). Quelle tragédie que tant de personnes dans ce monde auront à subir la punition éternelle dans l’Enfer alors qu'ils pouvaient y échapper en mettant simplement toute leur confiance en Jésus-Christ qui l’a déjà subie pour eux à la croix du Calvaire ! S’il nous semble que le châtiment éternel en Enfer est trop injuste et sévère, il se peut que nous ne saisissons ni la Sainteté et la Justice de Dieu, ni la gravité du péché et la Sainte Colère du seul vrai Dieu trois fois Saint. Quoi qu’il en soit, acceptons que Dieu sait mieux que les êtres humains pécheurs ce qui est juste et véritable. A nous êtres humains de nous repentir et de saisir le parfait Salut que Dieu nous offre en son Fils Jésus-Christ avant que ce ne soit trop tard.

Lire la suite

(1) Éviter l'Enfer à tout prix !

21 Mars 2023 Publié dans #Enfer

Jésus rappelait toujours à ces auditeurs qu’il y aura un jour de Jugement où sera prononcé le sort éternel de chaque être humain. Rien n’est plus urgent que de se préparer pour ce jour. Pour ceux qui font la volonté de Dieu et qui meurent en Jésus-Christ (c'est-à-dire pour ceux qui croient en Jésus et placent toute leur confiance en Lui), Jésus leur promet une place dans le Royaume des cieux (dans le Paradis), le bonheur et la paix infinis, le privilège de voir Dieu, une « grande récompense dans les cieux », et bien sûr, la Vie Éternelle (Jean 3. 16 ; 14. 2, 3). Par contre, ceux qui ne font pas la volonté de Dieu et qui meurent dans leurs péchés (ceux qui rejettent, négligent ou ne placent pas leur confiance en Jésus) seront exclus, privés de toutes ces bonnes choses, jetés et condamnés éternellement en Enfer par le seul vrai Dieu trois fois Saint, à qui ils ne se sont pas soumis durant leur vie sur la terre.

Jésus dit à ceux qui n’avaient pas cru en Lui : « Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, et que vous, étant dehors, vous commencerez à frapper à la porte, en disant : ‘Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! Il vous répondra : Je ne sais d’où vous êtes. Alors vous vous mettrez à dire : Nous avons mangé et bu devant toi, et tu as enseigné dans nos rues. Et il répondra : Je vous le dis, je ne sais d’où vous êtes ; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers de l’iniquité. C’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors » (Luc 13. 25-28).

Mais Jésus ne présente pas le sort des condamnés comme étant le simple fait de se voir exclure du Paradis. Jésus a souvent parlé du châtiment éternel en Enfer (Matthieu 25. 46a), des ténèbres du dehors où il y aura des pleurs et des grincements des dents (Matthieu 8. 12 ; 22. 13 ; 25. 30), d’une fournaise et du feu éternel (Matthieu 13. 42, 50 ; 25. 41).
En parlant de l'Enfer dans
Matthieu 10. 28, Jésus se réfère à un endroit appelé « la géhenne » comme étant une image de la destination des êtres humains qui sont éternellement perdus et séparés de Dieu en Enfer. Le mot traduit par "géhenne" est le mot grec « gehenna » (c'est-à -dire « la vallée d’Hinnom » qui se trouvait au Sud de Jérusalem et qui était la décharge publique de Jérusalem). Que "gehenna" soit une décharge publique explique pourquoi Jésus la décrivit comme un endroit où le ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint jamais. Dans la vallée d'Hinnom, on jetait continuellement des déchets, des carcasses d’animaux et toutes sortes d’autres détritus qui y brûlaient continuellement. Oh ! quelle doit être l’horreur de l'Enfer, de la géhenne, pour que Jésus choisisse de la décrire de cette façon ?
L'horrible châtiment des perdus en Enfer est décrit par le même mot que celui qui décrit le bonheur infini des justes (des élus) : tous les deux seront éternels
(Matthieu 25. 46). Enfin, tandis que la Bible dit « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur… afin qu’ils se reposent de leurs travaux » (Apocalypse 14. 13), voici la description du sort de celui qui ne croit pas en Jésus et qui n’est pas sauvé : « il sera tourmenté dans le feu et le soufre… et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n’ont de repos ni jour ni nuit » (Apocalypse 14. 10, 11). Apocalypse 20. 10 dit que le diable sera « jeté dans l’étang de feu et de soufre » où il sera « tourmenté jour et nuit, aux siècles des siècles ». Tous les êtres humains qui se sont laissés séduire par Satan le Diable et se sont détournés
du seul vrai Dieu partageront également ce sort horrible avec le diable. Jésus-Christ leur Juge leur dira : « Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges » (Matthieu 25. 41).

Ce sort horrible est à éviter à tout prix par les êtres humains, ayant tous péché. Et pour échapper à l'Enfer éternel, Il faut se repentir et se détourner de ses péchés, il faut placer toute sa confiance en Jésus qui s'est sacrifié sur la croix pour le pardon de tous nos péchés en les expiant et qui est ressuscité pour notre justification. Jésus seul nous arrache de l'Enfer qui était notre destiné pour nous amener au Ciel, dans son Royaume de Gloire. Ainsi, à travers le Saint-Esprit de Dieu qui nous scelle éternellement de son sceau, Jésus vient vivre en chaque être humain qui croit véritablement en Lui ; Jésus lui donne la Vie Éternelle pour que, après avoir quitté ce monde, il aille vivre éternellement au Paradis, dans Sa présence au Ciel.

LIRE AUSSI : (2) Dieu veut que tous soient sauvés

Lire la suite