Jésus-Christ est Vivant, Il nous donne sa Vie
"Pourquoi cherchez–vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est point ici, mais il est ressuscité. Souvenez–vous de quelle manière il vous a parlé, lorsqu’il était encore en Galilée, et qu’il disait : Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. Et elles se ressouvinrent des paroles de Jésus." (Luc 24 : 5-8)
Jésus-Christ est vivant, il est mort à la croix du calvaire pour nos fautes, pour nos péchés, mais la mort n'a pas pu le retenir. "Dieu l’a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’il fût retenu par elle." (Actes 2 : 24)
Oui, Jésus est vivant et Il veut donner sa vie à chaque être humain, cette vie qui dure éternellement, c'est à dire la vie éternelle.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle." (Jean 3 : 16)
"Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui." (Jean 3 : 36)
"C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus–Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs" (1 Timothée 1 : 15)
"Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus–Christ." (Jean 17 : 3)
Jésus est la source de la vie, Jésus est la Vie, venons à Lui. "Jésus, se tenant debout, s’écria : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de lui" (Jean 7 : 37)
Jésus veut sauver chaque être humain de ses péchés et lui donner la vie éternelle. Pour cela, Jésus veut entrer en contact avec chaque être humain, il veut que nous le connaissions personnellement, ouvrons-lui notre cœur et il le remplira d'amour. Jésus dit : "Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi." (Apocalypse 3 : 20)
Nous devons comprendre que à cause du péché, nous avons été séparés de Dieu et ne sommes pas dignes de son Royaume (Romains 3. 23). Mais Dieu a conçu un plan de rédemption. Il a envoyé son Fils unique dans ce monde afin qu’il paye la prix de nos péchés. Lui qui n’a point connu le péché, était Dieu fait chair. Grâce à son sacrifice, nous avons été justifiés. La Bible nous dit clairement que ce n’est que par le Christ que nous pouvons venir au Père. Jésus lui dit : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14. 6).
Grâce à la résurrection de Christ, nous avons le même pouvoir que Dieu a utilisé pour sortir Jésus du tombeau, afin de vivre la vie chrétienne. Il nous est difficile de vivre la vie chrétienne par nos propres efforts. Mais si nous dépendons de Dieu, il nous donnera la force nécessaire. En Christ, nous devenons des créatures nouvelles. Cela est possible lorsque le Dieu Tout-Puissant vient vivre en nous et nous remplit de la puissance de la résurrection.
Nous n’avons plus à craindre l’avenir. "Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts" (1 Thessaloniciens 4. 14).
Non seulement la résurrection de Christ influence notre passé et notre présent, mais c’est la garantie de notre avenir éternel. En tant qu'enfants de Dieu, nous n’avons plus à craindre la mort, parce que nous avons l’espérance qu’un jour nous serons avec Dieu pour toujours. Lorsque nous nous repentons, plaçons notre confiance en Jésus, et lui demandons de nous sauver et de venir vivre dans nos vies, nous recevons le don de la vie éternelle et la certitude d’entrer au ciel.
La coupe de douleurs bue par Jésus
C’est la nuit. Jésus s’est éloigné de ses disciples pour être seul. Il sait que dans quelques instants Il sera livré pour être crucifié. Il sait que dans quelques heures Il boira la coupe de la colère de Dieu contre nos péchés pour les expier. Saisi de tristesse jusqu’à la mort, Jésus tombe sur sa face et supplie son Père par trois fois : « Mon Père, si c'est possible, que cette coupe passe loin de moi ; toutefois, non pas comme moi je veux, mais comme toi tu veux » (Matthieu 26. 39, 42, 44). « Abba, Père, pour toi, tout est possible ; fais passer cette coupe loin de moi ; toutefois non pas ce que je veux, moi, mais ce que tu veux, toi ! » (Marc 14. 35)
Jésus ne pouvait pas désirer boire la coupe de la colère divine car Il n’a jamais commis un seul péché. Et, étant sur la terre, Il a offert à son Père une vie pure et parfaite. Dans sa parfaite obéissance, Jésus se soumet non à sa propre volonté, mais à la volonté de son Père. Était-il possible pour Dieu de faire passer cette coupe loin de son Fils ? Bien sûr, puisque Jésus le dit lui-même : « Père, pour toi, tout est possible » (Marc 14. 36). Mais dans ce cas, nous serions tous restés dans nos fautes et nos péchés, attendant le jugement et la condamnation que nous méritions tous car nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, pas plus qu'un chameau ne peut passer par un trou d'aiguille. Or Dieu nous aime. Il ne veut pas la mort du pécheur, mais qu’il se repente et qu’il vive (Ezéchiel 33. 11). Il veut que tous les hommes soient sauvés (1 Timothée 2. 4) mais pour cela il fallait un sainte victime qui paye pour nous et « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).
Ce qui était possible pour Dieu par sa puissance lui était impossible à cause de son Amour pour nous. Par obéissance au Père et par amour pour nous, Jésus est allé jusqu’à la mort, la mort ignominieuse de la croix.
Lorsqu’il fut devant ceux qui, conduits par le traître Judas, venaient l’arrêter, Jésus dit : « La coupe que le Père m'a donnée, ne la boirai-je pas ? » (Jean 18. 11). « Comment alors pourraient s'accomplir les Écritures, selon lesquelles il faut que cela arrive ainsi ? » (Matthieu 26. 54). « Ne fallait-il pas que le Christ endure ces souffrances, et qu’il entre dans sa gloire » dit-il après sa résurrection (Luc 24. 26). Il le fallait. Il était possible pour Dieu que la coupe passe loin de Jésus, mais il fallait qu’il la boive à cause de son amour pour nous, à cause de son amour pour toi, cher(e) ami(e) qui lis ces lignes.
Nous te voyons en agonie,
Buvant la coupe des douleurs.
Nous te voyons donnant ta vie,
Toi Jésus, Juste et Saint, pour nous, pécheurs
Touche et pénètre notre cœur,
Tu meurs pour le péché du monde :
Toi seul es notre Dieu Sauveur !
Jésus-Christ s'est sacrifié pour nos péchés
Cher(e)s ami(e)s lecteurs/trices,
Adam a transmis sa nature pécheresse à toute la race humaine. Le péché est entré dans le monde parce que Adam et Eve ont désobéi à Dieu. Adam a transmis sa nature pécheresse à ses enfants et à toute la race humaine. Chaque personne naît avec le péché dans son cœur. Parce que nous avons le péché dans notre cœur, nous faisons beaucoup de mauvaises choses.
Avez-vous déjà haï quelqu'un ? Avez-vous déjà dit un mensonge ? Avez-vous déjà désobéi à vos parents ? Avez-vous déjà pris quelque chose qui ne vous appartenait pas ? Avez-vous déjà été égoïste ou méchant ? Avez-vous déjà haï quelqu'un ? Avez-vous déjà dit des vilains mots ? etc... Toutes ces choses sont des péchés, et Dieu dit que nous avons tous péché.
Certaines personnes pensent qu'elles peuvent se faire pardonner leurs péchés en faisant le bien. Elles pensent que si elles traitent bien les autres et qu'elles font beaucoup de bonnes choses, Dieu leur pardonnera leurs péchés et les laissera entrer au Ciel.
Mais ce n'est pas vrai. Nous avons tous le péché dans notre cœur. Même si nous essayons très fort d'être bons, nous allons quand même continuer à dire et à faire de mauvaises choses. A cause de notre nature pécheresse, nous allons continuer à pécher. Or, le péché doit être puni. La Bible dit : « L'âme qui pèche, c'est celle qui mourra » (Ezéchiel 18. 20).
Mais il y a une Bonne Nouvelle dans la Bible. La Bonne Nouvelle, c'est que Dieu a envoyé son Fils Jésus qui est Saint pour subir la condamnation pour nos péchés. Dieu a envoyé le Seigneur Jésus pour être notre Sauveur. La Bible dit : « Le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde » (1 Jean 4. 14).
Le Seigneur Jésus est né à Bethléhem. Il est Saint et Il vint dans ce monde comme un petit bébé et avait une mère tout comme les autres bébés, mais Il n'avait pas de père humain, comme toi et moi en avons un.
Qui était donc son père ? Son Père, c'était Dieu ! Jésus est vraiment le Fils de Dieu venu dans ce monde.
L'Agneau de Dieu :
Lorsque Jésus devint un homme adulte, Il commença à prêcher et à enseigner. Un jour, Jean-Baptiste vit Jésus et dit : « Voici l'agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29).
Jean appela Jésus « l'Agneau de Dieu » parce qu'Il savait que Jésus allait mourir pour les péchés du monde. Jésus est le seul qui pouvait mourir pour nos péchés parce qu'Il n'avait jamais péché. Il était Pur et Saint. C'est pourquoi Il était capable de subir la punition de nos péchés.
Le parfait sacrifice de Jésus-Christ :
Nous allons maintenant parler de l'événement le plus triste, mais le plus merveilleux, qui ait jamais eu lieu sur terre : c'est lorsque Jésus souffrit et mourut pour nos péchés.
Jésus fut emmené chez le gouverneur romain, Ponce Pilate. Pilate dit aux soldats d'emmener Jésus dehors et de le fouetter. Il fut terriblement battu. Certains Lui arrachèrent des poils de sa barbe. Ils Lui placèrent un bandeau sur les yeux et Le frappèrent tour à tour au visage. Certains crachèrent même sur Lui et se moquèrent de Lui.
Ils firent une couronne pour Jésus, pas une couronne en or, mais une couronne d'épines. Ils emmenèrent ensuite Jésus au Calvaire et Le crucifièrent.
Ses mains et ses pieds furent cloués à la croix. Deux bandits furent crucifiés en même temps que Lui, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche. Ces hommes avaient fait beaucoup de mal. Mais Jésus, Lui, n'avait jamais rien fait de mal. Jésus, le Fils de Dieu, est Saint et Il mourait pour nos péchés.
Pendant que Jésus était cloué sur la croix, Il pouvait voir ceux qui L'avaient frappé. Il pouvait voir ceux qui L'avaient cloué sur la croix. Jésus leva les yeux au Ciel et dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font ». Jésus pria pour ses ennemis. Il voulait qu'ils soient sauvés.
Un des bandits, qui était crucifié avec Jésus, crut en Lui et accepta le Seigneur Jésus comme son Seigneur et Sauveur. Cet homme a été sauvé. Il est allé au Ciel avec Jésus. L'autre bandit ne crut pas en Jésus. Il n'est pas allé au Ciel. Il est perdu pour toujours en Enfer.
Nous arrivons maintenant à une question très importante : Pourquoi Jésus est-Il mort sur la croix ? Il est mort pour nos péchés. La Bible dit que Dieu a pris tous nos péchés et les a mis sur son Fils. Nos mensonges, nos désobéissances, nos mauvaises paroles, nos sautes d'humeur, notre égoïsme, tous nos péchés ont été mis sur Jésus. La Bible dit : « L'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité (les péchés) de nous tous » (Esaïe 53. 6).
Quand un être humain croit que Jésus est mort pour ses péchés et qu'Il Le reçois comme son Seigneur et Sauveur, Dieu lui pardonne tous ses pechés et Il fait de Lui son enfant. Ainsi, Il est sauvé pour l'éternité. La Bible dit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16. 31).
N'aimeriez-vous pas remercier tout de suite le Seigneur Jésus parce qu'Il est mort pour vos péchés ? Courbez donc la tête et dites Lui de tout votre coeur : « Seigneur Jésus, je te remercie de m'avoir tant aimé. Je te remercie infiniment d'être mort pour mes péchés et d'être ressuscité pour me justifier. AMEN !!! »
Pourquoi Jésus est-il mort sur la croix ?
Dieu nous aime, c'est la raison fondamentale de la mort de son Fils Jésus-Christ sur la croix. Dans la Bible, l'apôtre Paul le résume en deux formules "choc" : « Le Christ est mort pour nos péchés » (1 Corinthiens 15. 3-4) ; « Il m'a aimé, et c'est pourquoi il s'est livré pour moi » (Galates. 20).
Nous sommes par nature sous l'esclavage du péché.
Le péché, c'est pas d'enfreindre un règlement, c'est une blessure infligée à Dieu, aux autres et à nous mêmes. « Quiconque se livre au péché est esclave du péché. », dit Jésus dans l'évangile de Jean 8. 34. On peut être complètement dominé par la colère, la jalousie, l'arrogance, l'orgueil, l'égoïsme etc..etc... En définitive, « le salaire du péché c'est la mort » (Romains 6. 23). Non seulement la mort spirituelle, qui aboutit à une séparation éternelle d'avec Dieu lors du jugement dernier; c'est la mort éternelle en Enfer.
La Bonne Nouvelle écrite dans la Bible, c'est que Dieu nous aime et qu'Il ne nous abandonne pas au gâchis que nous avons nous-mêmes causé dans nos vies à cause du péché. Il est venu sur terre, en la personne de son Fils Jésus, pour mourir pour nous. C'est ce qu'annonce, plusieurs siècles avant la naissance du Christ, la prophétie d’Ésaïe, qui décrit sa passion et sa mort : « Or c'était nos souffrances qu'il portait, et nos douleurs dont il était accablé. ...Il a été transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes. Le châtiment qui nous rend la paix s'est abattu sur lui et dans ses blessures nous trouvons la guérison » (Ésaïe 53. 5).
"Par sa mort nous sommes justifiés"
« Justification », c'est un terme judiciaire. Vous êtes devant un tribunal, accusé d'un délit et acquitté à la fin, vous êtes justifié. Dieu doit être juste, il ne peut pas dire : « vos fautes n'ont pas d'importance ». Mais dans son Amour infini, Il est venu en la Personne de son Fils Jésus-Christ « pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Matthieu 20. 28). En réalité, c'est Dieu Lui même qui est cloué au bois de la croix : « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui » (2 Corinthiens 5. 19). Avec Jésus, Dieu nous parle en personne, du sein de notre condition humaine, après en avoir éprouvé toute la souffrance.
Comment la mort de Jésus en croix il y a 2000 ans peut-elle avoir un effet sur notre vie aujourd'hui ?
Jésus est mort pour tous. Tous, c'est vous et c'est moi. Même si vous aviez été seul au monde, Jésus serait mort pour vous. C'est notamment ce qu'Il explique dans la parabole de la brebis perdue : « Si un homme possède cent brebis et qu'une d'elles vienne à s'égarer, ne va-t-il pas laisser les 99 autres sur les montagnes pour s'en aller à la recherche de l'égarée ?. Ainsi on ne veut pas, chez votre Père qui est aux cieux, qu'un seul de ces petits ne se perde » (Matthieu, 18, 12-14).
Quand nous considérons la croix dans cette optique, tout change. La vie, nous-mêmes, les choses, les évènements, tout se transfigure à nos yeux. Chaque êtres humains est libre d'y associer, ou de dire : « Non, merci, je préfère ne pas y croire ». Nous avons aussi ce choix de dire oui à Dieu pour le Cadeau qu'Il nous offre à travers la mort de Jésus pour le pardon des nos péchés. Dieu ne nous sauve pas sans notre « oui ». A nous de nous dire oui à son offre.
PRIONS :
La prière de repentance est simplement une manière de déclarer à Dieu que nous nous en remettons à Jésus-Christ comme notre seul Seigneur et Sauveur. Il n'y a pas de mots "magiques" qui amènent au salut. Croire en la mort et la résurrection de Jésus est la seule chose qui puisse nous sauver. Si nous comprenons que nous sommes pécheur et avons besoin d'être sauvé par Jésus-Christ, voici une prière de repentance que l'on peut faire à Dieu :
Dieu, je sais que je suis pécheur. Je sais que je mérite les conséquences de mes péchés. Merci d'avoir envoyé Jésus mourir pour moi sur la croix pour le pardon de tous mes péchés. Je crois qu'Il est mort et ressuscité pour moi, pour le pardon de mes péchés. J'ai dirigé jusqu'à présent ma propre vie et j'ai péché contre toi en ne te reconnaissant pas comme le Dieu de ma vie, mais maintenant je m'en repends et veux la vivre pour toi, veuille m'aider à me consacrer à toi et à vivre pour te plaire. Monte sur le trône de ma vie. Fais de moi la personne que tu désires que je sois. Merci de m'avoir donné la vie nouvelle, sur la terre comme au ciel. Au Nom de Jésus-Christ. Amen."
Le Salut obtenu par le moyen de la foi en Jésus
Le Salut en Jésus-Christ est effectif, il est accessible à tous et il est à la portée de tous ceux qui possèdent la véritable foi en Jésus en plaçant toute leur confiance en Lui. « Nous sommes sauvés par le moyen de la foi », nous dit Éphésiens 2. 8.
Comment sommes-nous sauvés ?
Voilà le salut qui s'obtient au moyen de la foi. C'est ce grand Salut que l'ange a annoncé à Joseph avant que Dieu envoie son Fils bien-aimé dans le monde : « Tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1. 21). En d'autres mots, "son peuple", ce sont « tous ceux qui croient en Jésus-Christ » (Romains 3. 22). Jésus nous sauve de tous nos péchés que nous commettons soit en pensées, en paroles ou en actions. Et par le moyen de la foi que nous avons en Jésus, nous sommes sauvés du péché et de la puissance que le péché exerçait dans notre vie. Être sauvé de tous ses péchés, c'est être sauvé du Jugement Dernier et de la Condamnation à venir.
Mes frères et soeurs en Christ, la mort de Jésus-Christ sur la croix et sa résurrection nous ont fait revivre. Il a été condamné pour nous à mourir sur la croix afin que nous puissions être reconnus justes devant Dieu en croyant véritablement en Lui. Jésus a porté nos péchés et a subi pour nous leur châtiment, afin que nous puissions être libérés de la puissance que le péché exerçait dans nos vies. Oui, Jésus est mort et est ressuscité pour notre justification et afin que nous puissions vivre éternellement. Il a souffert afin de nous racheter de l'esclavage du péché. Jésus « qui était sans péché, Dieu l'a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous puissions bénéficier de l'oeuvre par laquelle Dieu nous rend justes à ses yeux » (2 Corinthiens 5. 21).
Pourquoi avons-nous besoin d'être sauvés ?
Car, « autrefois vous étiez spirituellement morts à cause de vos péchés... Mais maintenant Dieu vous a fait revivre avec le Christ. Dieu nous a pardonné tous nos péchés. Il a annulé le document qui nous accusait... Il l'a supprimé en le clouant à la croix » (Colossiens 2. 13-14).
Avant que quelqu'un vienne à Jésus-Christ, la Parole de Dieu dit que cette personne est morte à cause de ses offenses et dans ses péchés. Sa vie a peu ou aucune signification face à l'éternité. Alors que lorsqu'une personne vient à Christ, il est écrit que le Saint-Esprit vivifie ou donne une nouvelle vie à cette personne. Cette nouvelle vie est reçue par grâce par le moyen de la foi, et ce, sans accomplir aucune oeuvre ou quoi que ce soit pour l'obtenir. En naissant de nouveau, non seulement les enfants de Dieu reçoivent la vie éternelle, mais ils ont et ils développent une vie qui est centrée vers un seul but : celle d'honorer et de glorifier le seul vrai Dieu de l'Univers.
Oui, en Jésus, nous sommes sauvés :
« Il n'y a donc maintenant plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ » (Romains 8. 1). « Jésus-Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous » (Galates 3. 13). Non seulement nous sommes délivrés de la culpabilité, mais nous sommes aussi délivrés de toute crainte : de la crainte qui cause de la peine, de la crainte d'une punition méritée à cause du péché, de la crainte de subir la Colère de Dieu. Oui, « Êtant donc justifiés par la foi, nous avons la paix par notre Seigneur Jésus-Christ... Et ce qui nous donne de la joie, c'est l'espérance d'avoir part à la gloire de Dieu » (Romains 5. 1-2). « Cette espérance ne nous déçoit pas, car Dieu a versé son amour dans nos coeurs par le Saint-Esprit qu'il nous a donné » (Romains 5. 5).
Mes frères et soeurs en Christ, 1 Jean 3. 1-2 nous invite à voir de quel Amour Dieu le Père nous a témoigné pour que nous soyons appelés enfants de Dieu, et c'est ce que nous sommes réellement... Non seulement nous sommes maintenant enfants de Dieu mais aussi "nous sommes citoyens des cieux" (Philipiens 3. 20a), et ce que nous serons ne nous a pas encore été clairement révélé. Cependant, nous savons ceci : quand le Christ paraîtra nous deviendrons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est.
"Jésus-Christ transformera notre misérable corps terrestre et le rendra semblable à son corps glorieux, en utilisant la puissance qui lui permet de soumettre toutes choses à son autorité" (Philippiens 3. 20-21). "Quiconque a cette espérance en Jésus-Christ se purifie comme Jésus-Christ Lui-même est pur" (1 Jean 3. 2).
Qu’est-ce que le péché impardonnable ?
Y a-t-il des péchés trop graves pour être pardonnés ? Si tel est le cas, quels sont-ils ? Qu'enseigne la Bible sur le péché impardonnable ?
Le but du sacrifice de Jésus est de nous permettre d'être réconciliés avec Dieu, d'être « devant Lui saints, sans défaut et sans reproche » (Colossiens 1. 22). Jésus a payé un prix énorme en notre nom pour nous sauver du péché. Mais est-il possible qu'il y ait un péché que même le sang de Jésus-Christ ne puisse couvrir ? De nombreuses personnes craignent d'avoir commis le péché impardonnable. Vous êtes-vous déjà posé cette question ?
Bien que l'expression péché impardonnable n'apparaisse pas dans la Bible, il y a trois passages dans lesquels nous sommes prévenus au sujet du péché qui ne peut être pardonné. Comprendre ces passages, peut nous empêcher de commettre une telle transgression, et parallèlement nous donner l'assurance que celle-ci n’a pas eu lieu.
Le blasphème contre le Saint-Esprit
Dans Matthieu 12. 31-32, Jésus-Christ avertit les pharisiens que « le blasphème contre le [Saint] Esprit ne sera point pardonné [aux hommes] dans ce siècle ou dans le siècle à venir ». Qu'est-ce que le blasphème contre le Saint-Esprit ? Les versets 22 à 30 nous donnent le contexte de cette déclaration. Jésus avait guéri un homme possédé par un démon. Les personnes qui avaient été témoins de ce miracle se sont rendu compte que c'était la preuve que Jésus était le Messie (verset 23). Mais dans une tentative de discréditer Jésus et de tromper intentionnellement le peuple, plutôt que de reconnaître que Jésus est le Sauveur, les pharisiens l'ont sciemment et faussement accusé de guérir l'homme par le pouvoir de Satan (Belzébul).
Au verset 31, le mot grec traduit par blasphème signifie injurier ou dire du mal de quelqu’un. Jésus a dit ailleurs que le péché de blasphème venait des profondeurs d'un cœur mauvais de l'être humain (Marc 7. 21-23). Un blasphème, tel qu'il est, est une chose, mais le blasphème contre le Saint-Esprit amène celui-ci à un autre niveau.
Dans Matthieu 12. 32, Jésus reformule cette pensée, déclarant que « quiconque parlera contre le Fils de l'homme » peut être pardonné. Cette expression « parler contre » signifie être opposé ou être en conflit avec quelqu’un d’autre. La plupart des gens, dans leur ignorance, rejette Jésus-Christ, mais il y a parmi eux ceux qui auront l'occasion de se repentir durant leur vie. Ce que les pharisiens ont dit n'était pas seulement un commentaire désinvolte ou un malentendu. C'était une accusation intentionnelle, scandaleuse et impensable, attribuant la puissance de Dieu à Satan. C'est ce mensonge flagrant et prémédité que Jesus-Christ a qualifié de blasphème contre le Saint-Esprit.
Les êtres humains peuvent être en danger de commettre le péché de blasphème contre le Saint-Esprit si, tout en sachant que Dieu a accompli quelque chose par la puissance de son Saint-Esprit, ils l'attribuent intentionnellement à l'action de Satan. Le Saint-Esprit est la puissance de Dieu, c'est ainsi qu'Il travaille pour accomplir sa volonté. Ainsi, rejeter l'action de son Saint-Esprit, ce n'est pas seulement désavouer l’identité de Dieu, mais c’est nier sa Puissance, son œuvre et sa nature mêmes. Quelqu'un ayant effectivement commis un blasphème contre le Saint-Esprit ne pourra donc pas être pardonné.
Que signifie « tomber » dans la Bible ?
Hébreux 6. 4-6 est un puissant avertissement contre l'abandon de la compréhension de la Parole de Dieu, des instructions et des promesses de Dieu : « Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie ».
Ce passage décrit une personne qui en était venue à se repentir, qui avait compris et accepté le pardon des péchés, de Dieu par Jésus-Christ, et avait reçu le don du Saint-Esprit ; mais qui par la suite, en toute conscience et intentionnellement, avait rejeté Jésus-Christ. C'est une personne qui, même si elle connaît l'autorité divine, a volontairement décidé de rejeter le don du Saint-Esprit de Dieu et de renier Jésus qui est le seul par qui le repentir est possible. Se repentir veut dire rechercher le pardon de Dieu pour le péché, par le sacrifice de Jésus-Christ, et s'engager à une vie d'obéissance, en abandonnant un mode de vie antérieur. Lorsque nous nous repentons, nous recevons le don du Saint-Esprit de Dieu par lequel nous avons une compréhension de la bonté divine et des promesses éternelles.
Selon le dictionnaire grec-anglais Louw & Nida, cetre expression biblique « qui sont tombés » signifie « qui ont abandonné leur relation avec Dieu ». Ce passage avertit qu'il n'y a aucun moyen de renouveler le repentir une fois qu’on l’a rejeté. Si les gens rejettent consciemment et intentionnellement ce que Jésus a fait pour eux par son sacrifice ultime, ils « le bafouent publiquement » (verset 6). Et ayant rejeté sa crucifixion, il n'y a pas d'autre sacrifice par lequel ils puissent être sauvés (Actes 4. 12). Le péché qui ne peut être pardonné est un péché dont une personne a refusé de see repentir jusqu'à sa mort. C'est l'acte de refuser le sacrifice du Christ et de choisir délibérément le péché plutôt que le repentir, le pardon et l'obéissance.
Il est donc important de noter que ce n'est pas la même chose que de trébucher ou de traverser une période de faiblesse dans notre vie. Cela peut arriver à toute personne, mais on peut se repentir et reprendre le chemin de la Voie de Dieu (ou la ligne de vie divine). « Tomber » est ici un rejet beaucoup plus conscient du sacrifice de Jésus-Christ, doublé d’une décision préméditée d'embrasser volontairement un mode de vie pécheur. Quelqu'un qui en arrive à ce point, comprend parfaitement les conséquences de ce qu'il fait et d’ailleurs il s'en moque tout simplement. De toutes façons, il n'a pas l'intention de changer.
Qu’est-ce qu’un péché volontaire ?
Le troisième passage qui mentionne un péché qui ne peut être pardonné est celui d’Hébreux 10. 26-27. Il dit : « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles ».
Pécher « volontairement » dénote une personne qui a placé sa volonté (son esprit) contre Dieu et choisit consciemment de Le rejeter. C'est quelqu'un qui refuse totalement de se conformer à la loi divine, même s'il comprend qu'il devrait le faire. En effet, c'est une personne qui choisit Satan plutôt que Dieu. Son caractère, sa volonté et son désir sont opposés à la volonté divine. Il n'y a pas de pardon parce qu'il rejette le sacrifice de Jésus, qui est le seul moyen par lequel les péchés peuvent être pardonnés. Tout ce qui reste pour une personne dans cet état, c’est l'étang ardent de feu et de souffre (Apocalypse 20. 15). L’apôtre Paul a également mentionné cet aspect du péché volontaire dans 1 Timothée 4. 1-2, où il montre que certains ne ressentent plus de culpabilité ni de honte parce qu'ils ont permis que leur conscience soit, selon cette expression, « brûlée au fer rouge ».
Ai-je commis le péché impardonnable ?
Tout le monde pèche occasionnellement, par faiblesse ou par ignorance. Il y a des moments où nous nous efforçons de contrôler ou de surmonter des habitudes ou des schémas profondément enracinés que nous savons être des péchés, retombant parfois, même si nous essayons de les surmonter.
Paul décrit avec éloquence cette bataille en cours dans Romains 7. 14-25. Il écrit au verset 15 : « Aussi je n’approuve pas ce que je fais ; car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je hais ». Il conclut le passage en reconnaissant que notre seul espoir de faire face à notre nature humaine et de nous efforcer d'obéir, réside en Jésus-Christ (versets 24-25). Proverbes 24. 16 dit : « Car sept fois le juste tombe, et il se relève ».
Le Psaume 37. 23-24 nous dit que « L’Éternel affermit les pas de l’homme, et il prend plaisir à sa voie ; s’il tombe, il n’est pas terrassé, car l’Éternel lui prend la main ». Dans ces deux versets, « tomber » ne signifie pas abandonner, mais trébucher ou glisser. En d'autres termes, même une personne juste trébuchera et tombera. La clé consiste à se relever et à continuer d’essayer. Dieu soutient et fortifie ceux qui continuent de s'efforcer d'obéir et de suivre la voie divine, même s'ils trébuchent parfois.
Cher(e)s lecteurs/trices, si vous luttez contre le péché et que vous craignez de commettre le péché impardonnable, c'est que vous n'avez pas commis le péché impardonnable. Sachez que ceux qui ont vraiment commis ce péché sont tellement endurcis par une attitude pécheresse et rebelle qu'ils ne se soucient tout simplement pas du pardon de Dieu ou des conséquences de leur attitude et de leur mode de vie.
Un avertissement et une assurance
Il y a un avertissement sévère dans la Bible concernant le genre de péché qui ne peut être pardonné. Pécher de cette manière signifie nier intentionnellement la puissance divine, abandonner consciemment la grâce et l'appel de Dieu ou rejeter délibérément le sacrifice de Jésus-Christ en fixant intentionnellement votre esprit, votre cœur et votre volonté dans le péché plutôt que dans la soumission à Dieu.
Mais ces passages bibliques nous assurent aussi que tant que nous nous repentons sincèrement de nos péchés, tant que nous cherchons sincèrement le pardon de Dieu et que nous persévérons dans un effort diligent pour obéir à Dieu, nous pouvons être sûrs que nos péchés sont pardonnés en Christ. Comme Jean nous le rappelle : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1. 9).
Sachez avec certitude que si vous mettez en pratique ce verset biblique dans votre vie, si vous confessez vos péchés à Dieu et recherchez son pardon, vous n'avez pas commis le péché impardonnable.
Ne plus craindre la mort
La crainte est une peur qu'on ressent face à une personne ou à un élément plus fort que soi. De toutes les craintes, celle de la mort est la plus angoissante. D'ailleurs, elle est appelée « le roi des terreurs » (Job 18. 14).
En réalité, cette épouvante (cette crainte de la mort) en cache une autre, consciente ou non : celle du Jugement du péché. Dieu révèle en effet que la mort définitive d'un être humain est l'épreuve symbolique d'une « seconde mort » : la mort éternelle que les êtres humains pécheurs méritent de souffrir en Enfer à cause de leurs péchés. Ceux qui osent affronter leur conscience morale entendent alors ces vérités de la Bible, la Parole de Dieu : - « Tous ont péché » (Romains 3. 23a), et - « le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23a). - « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27).
L'idée du Jugement après la mort terrifie les êtres humains pécheurs qui ne placent pas toute leur confiance en Jésus. Ils cherchent à l'éviter en oubliant leur mortalité. Mais les distractions qu'ils inventent échouent. Alors, ils se créent des vertus : c'est-à-dire ils se rendent esclaves de cette crainte par toutes sortes de règles morales ou religieuses. Ils tentent d'obtenir par leurs propres efforts la justification ainsi que le pardon de leurs péchés qui ne peuvent s'obtenir que par la Grâce de Dieu. En vain, les êtres humains pécheurs essaient et essaient encore, se plaçant ainsi « sous le joug de la servitude ». Ils cherchent à se sauver eux-mêmes alors que Dieu leur propose de les gracier gratuitement par le sacrifice de son Fils Jésus-Christ qui a déjà tout accompli.
Victoire sur la mort : délivrance de la servitude
Satan use et abuse de sa « puissance de mort », mais il est déjà vaincu par Jésus-Christ. Satan est le terrible procureur qui réclame la peine capitale et le jugement éternel sur le pécheur. Mais la Grâce de Dieu innocente totalement celui qui accepte par la foi le don gratuit du Salut en Jésus. La Grâce de Dieu s'est manifestée par Jésus-Christ qui « a détruit les conséquences spirituelles de la mort et a mis en évidence la vie et l'immortalité par l'Évangile » (2 Timothée 1.10). « La mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15. 54). Cette Victoire, c'est la résurrection de Jésus-Christ, le Fils de Dieu ; et par elle, Jésus nous délivre de notre servitude pour que nous vivions la liberté chrétienne (Galates 5. 1).
« Ainsi donc, puisque les hommes participent au sang et à la chair, Christ y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable, et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2. 14-15).
Grâce à Jésus, la mort n'a plus aucun pouvoir sur nous :
Pour nous tous qui croyons réellement en Jésus et qui sommes devenus des enfants de Dieu, nous ne craignons donc pas la réalité spirituelle de la mort, car, ayant déjà reçus le Seigneur Jésus dans notre vie ainsi que le pardon de tous nos péchés, nous sommes en règle avec Dieu pour toujours, nous sommes passés de la mort à la vie et la seconde mort n'a plus aucun pouvoir sur nous. Nous ne perdons plus jamais notre temps à mériter notre justification devant Dieu, puisque celle-ci nous a été gratuitement donnée grâce à l'oeuvre parfaite de Jésus-Christ sur la croix. Par la foi, nous les enfants de Dieu savons que nous sommes désormais divinement aimés et protégés par la toute Puissance de Jésus-Christ qui vit aux siècles des siècles et qui a l'autorité finale sur la mort (Apocalypse 1. 18). Oui, nous ne vivons plus sous la crainte du Jugement, puisque l'Amour parfait de Dieu, prouvé à la Croix, nous assure de notre glorieuse éternité avec Dieu dans sa Gloire au Paradis éternel. « L'amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment » (1 Jean 4. 18).
C'est pourquoi, comme Jésus-Christ a triomphé des plus terribles angoisses de la mort, nous sommes conviés à ne pas demeurer dans l'anxiété. Face à la mort et à ce qu'elle représente, nous les enfants de Dieu s'appuyons sur notre foi en Christ Jésus : nous vivons en paix. Et même malgré les épreuves de la vie, nous avons l'assurance de la présence de Dieu en nous, grâce à Jésus notre Sauveur : « Parce qu'il a lui-même souffert dans l'adversité, il peut aider ceux qui traversent une épreuve. » (Hébreux 2. 18, traduction libre)
« Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent. » (Psaumes 23. 4)
Une Bonne Nouvelle
« Ce jour est un jour de bonnes nouvelles » (2 Rois 7. 9). « Repentez-vous et croyez à l'Évangile » (Marc 1. 15).
Quand on regarde l'histoire, on ne peut que s'affliger des comportements destructeurs renouvelés par toutes les générations, et s'inquiéter de l'avenir que l'être humain d'aujourd'hui prépare à notre planète. Certaines personnes reconnaissent que la nature humaine renferme en elle quelques mauvais penchants, mais elles persistent à penser que cette nature peut cependant être améliorée. C'est le propos de bien des religions et idéologies dans ce monde. Mais les efforts des humanistes ont surtout montré l'impuissance de l'être humain à sortir du mal par lui-même.
Heureusement, la Bonne Nouvelle annoncée par Jésus Christ est toujours actuelle. Jésus, étant Lui-même Dieu et homme à la fois, est venu rencontrer l'être humain plongé dans son terrible situation dont il ne peut pas se sauver par lui-même. La Bonne Nouvelle, c'est que Dieu ne demande pas aux êtres humains de faire des efforts stériles pour se sauver eux mêmes, mais c'est Dieu qui est venu pour nous sauver en nous donnant son Fils Jésus, pour délivrer tous ceux qui se confient en Lui. La Bonne Nouvelle, c'est la main de Dieu qui saisit celle de l'être humain repentant pour l'arracher à sa condition désespérée, en lui donnant une nouvelle vie et une nouvelle nature d'origine divine. Dieu, en Jésus Christ, nous fait connaître cette Bonne Nouvelle ; Il se révèle à ceux qui ont reconnu leurs limites, qui savent qu'il n'y a d'espoir qu'en Jésus Christ, le Fils de Dieu, et qui L'acceptent par la foi comme seul Seigneur et Sauveur personnel.
Cher(e)s lecteurs/lectrices, avez-vous chacun reçu par le moyen de la foi cette Bonne Nouvelle du Salut en Jésus-Christ ?
Les dimensions de l'Amour de Dieu
Peut-on, avec nos intelligences limitées, mesurer les dimensions de l’Amour de Dieu ? L’apôtre Paul fléchissait les genoux devant le Père et priait que nous soyons enracinés et fondés dans l’amour pour être capables de comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et de connaître l’amour du Christ qui surpasse toute connaissance (Ephésiens 3. 18-19).
LA LARGEUR : L’Amour de Dieu embrasse tous les êtres humains de la terre sans aucune exception ni condition de vie, du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est, autant ceux et celles qui vivent dans la ville ou capitale que les habitants de la campagne ou d'un village. « Notre Dieu Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la Vérité » (1 Timothée 2. 4). « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique... » (Jean 3. 16).
LA LONGUEUR : Qui peut l’évaluer ? L’Amour de Dieu est éternel. Mystère insondable : Il nous a aimés « avant la fondation du monde » (Ephésiens 1. 4), qu’il s’agisse de l’éternité passée « avant les temps éternels » (2 Timothée 1. 9c) ou de l’éternité future « dans les siècles à venir » (Ephésiens 2. 7). Dieu nous a aimés, nous aime et nous aimera toujours. Son amour n’est pas seulement un de ses caractères, Il est l’essence même de son être. La Bible déclare : « Dieu est amour » (1 Jean 4. 8, 16).
LA PROFONDEUR : L’Amour de Dieu le fit descendre du Ciel jusqu’à nous, en son Fils Jésus-Christ qui se fit Homme, et prit la forme de serviteur. "Jesus s’est humilié lui-même, s’abaissant jusqu’à la mort, jusqu’à la mort de la croix" (Philippiens 2. 7-8). Par Amour pour nous, « Jésus est descendu dans les parties inférieures de la terre » (Ephésiens 4. 9), pour y récupérer les clés de la mort et du séjour des morts (Apocalypse 1. 18). Jésus ne pouvait pas descendre plus bas et Il y est allé volontairement par Amour pour que des pécheurs tels que nous soyons sauvés éternellement de l'Enfer éternel.
LA HAUTEUR : Mais Jésus-Christ n’est pas resté dans la mort. Il est ressuscité le troisième jour et Dieu l’a élevé Très Haut (Philippiens 2. 9). « Ayant fait la purification des péchés, il s'est assis à la droite de la Majesté divine dans les lieux très-hauts » (Hébreux 1. 3). et dans ces lieux élevés, Jésus va bientôt introduire tous ses rachetés pour qu'ils soient avec Lui toujours. Quel Amour ! Du bas état dans lequel nous étions à cause de nos péchés, Dieu, dans la Personne de son Fils Jésus, est descendu plus bas que nous pour nous élever jusqu’à Lui ! « De la poussière l'Éternel retire le pauvre, du fumier il relève l'indigent, pour les faire asseoir avec les grands. Et il leur donne en partage un trône de gloire » (1 Samuel 2. 8).
Déjà maintenant, « alors que nous étions morts à cause de nos fautes, Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause de son grand amour dont Il nous a aimés, nous a vivifiés ensemble avec le Christ (c’est par la grâce que nous sommes sauvés), nous a ressuscités ensemble et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes dans le Christ Jésus, afin de montrer dans les siècles à venir les immenses richesses de sa grâce, dans sa bonté envers nous dans le Christ Jésus. » (Ephésiens 2. 4-7).
C’est ainsi que Dieu nous voit : « assis ensemble dans lieux célestes en Christ » et bientôt nous le serons effectivement. Qui pourrait sonder cet amour ? Et pourrait-on y rester insensible ?
L'âme reste confondue
Devant cet Amour béni,
Plus vaste que l'étendue,
Profond comme l'infini;
Aussi notre cœur désire
Jésus ton prochain Retour,
Pour voir, pour sonder et pour dire
Les grandeurs de ton amour.
Nos yeux contempleront ta suprême beauté
Sur ta face adorable, toi notre Sauveur et notre Époux ;
Et nous pourrons sonder le mystère insondable
De ta grâce sans borne et de ton Amour infini.
Représentants et ambassadeurs du Royaume de Dieu
Qu'est-ce que le Royaume de Dieu, et comment pouvons-nous y entrer ?
Savez-vous qu’il existe un royaume hors de ce monde qui est le Royaume de Dieu dans le Ciel ? C'est un Royaume qui n’est pas de ce monde.
Savez-vous qu’il y a présentement sur cette terre des représentants du Royaume du Ciel ? Jésus a dit : "Mon royaume n’est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs; mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas" (Jean 18. 36).
Le Ciel est un Royaume que nous ne pouvons pas voir physiquement, mais Son Envoyé « Jésus » est venu nous annoncer clairement son existence.
"Pilate dit à Jésus : tu es donc roi ? Jésus répondit : tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix" (Jean 18. 37).
Dans ce monde, il y a beaucoup de fausse information qui circule sur le Ciel, mais tout le Nouveau Testament nous parle du Ciel, du Royaume de Dieu, du Royaume des cieux ou le Paradis. Savons-nous que Jésus nous annonce que les portes du Royaume céleste sont ouvertes ? "Dès ce moment Jésus commença à prêcher, et à dire : repentez-vous, car le royaume des cieux est proche" (Matthieu 4. 17).
Jésus a aussi dit que ce n’est pas tout le monde qui va entrer au Ciel. "Jésus leur dit encore : Je m’en vais, et vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché; vous ne pouvez venir où je vais. Sur quoi les Juifs dirent : Se tuera-t-il lui-même, puisqu’il dit : vous ne pouvez venir où je vais ? Et il leur dit : vous êtes d’en bas; moi, je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde; moi, je ne suis pas de ce monde. C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés" (Jean 8. 21-24).
Le Ciel, le Paradis, la Vie Eternelle appartienent à Dieu ! Pour l’obtenir, il faut le demander à Dieu. "Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains 10. 12-13).
Lorsque quelqu’un se repent et met sa foi en Jésus, la Bible dit qu’il naît de nouveau. Cela lui permet d’entrer dans le Royaume de Dieu. "Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit : comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit : en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Seulement ceux qui sont sauvés font dorénavant partie du royaume des cieux". (Jean 3. 3-5).
"Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui" (Jean 3. 36).
Nous sommes des représentants et ambassadeurs du Royaume de Dieu :
En tant que nés de nouveau, nous sommes maintenant devenus des représentants du Royaume de Dieu. C’est notre nouvelle position en Jésus ! "Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation." (2 Corinthiens 5. 17-18).
Nous devons maintenant chercher à réconcilier les gens à Dieu. "… Dieu a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : soyez réconciliés avec Dieu !" (2 Corinthiens 5. 19-20).
Sans le travail des représentants, les gens ne pourront être sauvés. Car "comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés ?" (Romains 10. 14-15).
Nous sommes les porteurs du message qui ouvre la porte du Ciel au gens. Prions pour l’efficacité du message de l'Evangile que nous prêchons, afin que nous l’annoncions avec assurance. "Priez pour moi, afin qu’il me soit donné, quand j’ouvre la bouche, de faire connaître hardiment et librement le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes, et que j’en parle avec assurance comme je dois en parler" (Éphésiens 6. 19-20).
En tant qu’ambassadeur de Royaume de Dieu, nous devons prendre notre rôle à cœur et vivre de façon à ne pas déshonorer notre Dieu Tout-Puissant et son Royaume céleste qui est notre destination. "Afin que nous soyons irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle nous brillons comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie" (Philippiens 2. 15-16).
Pour ceux qui entendent ce message et qui se sentent interpellés, répondez à l’appel de Dieu. "Car selon ce que dit le Saint-Esprit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs…" (Hébreux 3. 7-8).