Bien finir l'année 2022 qui se termine
" Frères, je ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ." (Philippiens 3 : 13-14)
Dans quelques heures, le ballet des bonnes résolutions va commencer. Et prendre de bonnes résolutions est une bonne chose car c'est l'occasion de réfléchir pour adopter de nouvelles habitudes, de prendre un nouveau départ.
Mais il nous faut d'abord bien finir l'année. La Bible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement." (Ecclésiaste 7. 8) et je crois qu'il y a de la sagesse en cela. Considérer que la fin est plus importante que le début, nous donne une autre perspective sur la façon de terminer cette année.
Lorsque vous pensez à ces 12 mois qui se sont écoulés, qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Personnellement, le chemin de chaque jour n'a pas toujours été facile. Il y a eu des moments difficiles, de la fatigue due à nos nombreux engagements, de l'injustice parfois ou de l'incompréhension devant des idées nouvelles mais Dieu a toujours étendu sa main pour nous aider, nous secourir et nous accompagner. Remercions Dieu de tout cœur.
Alors que l'année 2022 va se terminer et que l'année 2023 va commencer, pourquoi ne pas se lever et s'engager dans cette voie ? Avec l'aide de Dieu, oublions notre passé. Cessons de nous torturer pour ce que nous avons fait ou que nous n'avons pas fait…
Cette nouvelle année qui va bientôt débuter est une occasion de ne plus être enchaîné à nos échecs d'autrefois. Dieu nous dit à travers sa Parole : "Décide d'oublier le passé…" ; "Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. Chantez à l'Éternel un cantique nouveau, chantez ses louanges jusqu'aux extrémités de la terre." (Ésaïe 42. 9-10).
Jésus-Christ est mort sur la croix afin de pouvoir nous pardonner. Quand nous devenons enfants de Dieu, ce pardon devient réalité dans nos vies. En recevant le pardon de Christ, l'occasion nous est donnée de nous pardonner à nous-mêmes et d'oublier nos échecs. Peut-être avons-nous besoin en cet instant, que Christ nous pardonne. Voulons-nous accepter son pardon et ensuite voulons-nous nous pardonner à nous-mêmes ?
Lorsque nous vivons dans une dimension de gratitude quotidienne pour les choses que Dieu nous a données, alors, tel un bon père, il les multiplie dans notre vie." Pour bien terminer cette année, il faut le faire avec reconnaissance, avec action de grâce… même dans les temps difficiles.
La Bible nous invite à louer Dieu sans cesse, en toute circonstance. La gratitude doit être une valeur particulièrement chère à notre cœur, et sachons dire toujours "Merci" au Seigneur Jésus. Merci pour toute chose et en toute situation. Nous voulons terminer l'année le cœur plein de reconnaissance !
"Oui, Seigneur Jésus, nous te remercions pour l'année écoulée. Nous ne voulons pas rester sur nos frustrations ou sur ce qui n'a pas marché. Mais nous voulons garder les yeux fixés sur toi. Nous voulons marcher avec gratitude et reconnaissance. Que notre cœur soit rempli d'actions de grâce ! Merci pour tes bontés renouvelées aujourd'hui et pour chaque jour à venir. Au Nom précieux de Jésus ! Amen."
Le Christ le Messie
Le Christ prophétique
Il est important de connaître ces termes à propos du Christ : Le Christ prophétique, le Christ historique, le Christ vivant ; est-ce la même Personne ? - Voyons donc ce qu'en dit la Parole.
Le mot hébreu « Messie » (oint) a donné « Christ » en grec et en français. C'est un titre de notre Seigneur, tandis que Jésus est un nom personnel.
Ne pensons toutefois pas qu'il soit devenu le Christ à un moment de son existence, comme d'aucuns le prétendent, mais relisons ce qu'en dit Romains 9. 5 : « Le Christ est sur toutes choses Dieu béni éternellement ».
Christ dans la prophétie
Sans le déclarer expressément, Proverbes 8. 23 nous dit au sujet de la Sagesse : « Dès l'éternité je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre ». Le mot « établie » signifie en hébreu « oint », impliquant le Christ.
La « semence » :
Après la chute, l’Éternel Dieu déclare au serpent : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, et entre ta semence et sa semence. Elle (la semence de la femme) te brisera la tête, et toi tu lui briseras le talon » (Genèse 3. 15).
Première promesse expresse au sujet de Celui qui viendrait et aurait la Victoire sur Satan, lui « brisant la tête ».
Le diable « briserait le talon » du descendant de la femme, Christ devenu homme, qui passera par la mort, pour en sortir victorieux, « afin que, par la mort, il rendît impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable » (Hébreux 2. 14).
Tout au long de l'histoire, l'inimitié subsiste entre la semence de la femme et la semence du diable.
A ceux qui contestaient contre Lui, Jésus dit : « Vous, vous avez pour père le diable » (Jean 8. 44). — « Ils prirent donc des pierres pour les jeter contre lui ! » (Jean 8. 59).
Des siècles plus tard, l'Ange de l’Éternel s'adresse à Abraham après qu'il a offert son fils unique : « Je multiplierai abondamment ta semence, comme les étoiles des cieux et comme le sable qui est sur le bord de la mer... et toutes les nations de la terre se béniront en ta semence » (Genèse 22. 17-18).
Trois semences dans ces versets : une semence céleste : Abraham est le père de tous les croyants (Romains 4. 16) ; une semence terrestre : Israël ; enfin, « ta semence » en laquelle toutes les nations de la terre te béniront, « semence qui est Christ » (Galates 3. 16).
Il est aussi la semence de David, selon 1 Chroniques 17. 13, cité expressément en Hébreux 1. 5 comme s'appliquant au Fils.
La prophétie de Nathan visait bien sûr Salomon dans l'avenir proche ; mais la vision allait bien au-delà, jusqu'à celui dont l’Éternel pouvait dire : « Je l'établirai dans ma maison et dans mon royaume à toujours, et son trône sera affermi pour toujours ».
L'Oint :
Moise avait annoncé que l’Éternel susciterait à son peuple un prophète comme lui, pris d'entre ses frères (Deutéronome 18. 15-19).
Dieu mettrait ses paroles dans sa bouche et lui donnerait l'autorité. Si quelqu'un ne l'écoutait pas, cela lui serait redemandé. Les Juifs avaient très bien compris qu'il s'agissait du Messie lorsqu'ils demandent Jean le baptiseur : « Toi, qui es-tu ? ». Il nie être le Christ ou Élie ; ils lui demandent : « Es-tu le prophète ? » (Jean 1. 21 ; cf. Actes 3. 22).
Il est aussi le Roi, selon le Psaume 2. 6-8 : « Moi, j'ai oint mon roi sur Sion, la montagne de ma sainteté. —Je raconterai le décret : l’Éternel m'a dit : Tu es mon Fils ; aujourd'hui je t'ai engendré. — Demande-moi, et je te donnerai les nations pour héritage, et pour ta possession les bouts de la terre ».
Le psaume 110 le présente comme sacrificateur : « L’Éternel a juré, il ne se repentira point : Tu es sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchiséclec », ce que Hébreux 2. 17, etc., vient nous confirmer.
Dans la Parole, le prophète, le roi, et le sacrificateur, devaient être « oints ».
Les souffrances et les gloires :
Sur le chemin d'Emmaüs, Jésus rappelait : « Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu'il entrât dans sa gloire ? » (Luc 24. 26).
Les prophètes d'autrefois en avaient été perplexes, « l'Esprit de Christ qui était en eux rendant par avance témoignage des souffrances qui devaient être la part de Christ et des gloires qui suivraient » (1 Pierre 1. 11).
Que de prophéties n'avons-nous pas au sujet de ses souffrances.
Celles si remarquables d’Ésaïe 53, des psaumes 22, 69, 102, et de tant d'autres. A Daniel, il avait été annoncé que le Messie serait retranché et n'aurait rien (Daniel 9. 26).
Mais peu avant, dans la vision, le prophète avait vu la gloire de ce fils d'homme amené à l'Ancien des jours, auquel sont donnés « la domination et l'honneur et la royauté pour que tous les peuples, les peuplades et les langues le servent. Sa domination est une domination éternelle » (17. 13-14).
Ésaïe avait vu sa gloire : Le serviteur abaissé et maltraité, l'homme de douleurs, serait « exalté et élevé et placé très haut » (Ésaïe 52. 13). « Je lui assignerai une part avec les grands, et il partagera le butin avec les forts » (Ésaïe 53. 12).
Que d'heures enrichissantes on pourrait passer à chercher « dans toutes les Écritures » les versets qui parlent et de ses souffrances, et de ses gloires !
(2) Ne pas s'affliger face à la mort comme les autres
(2) Ne pas s’affliger comme les autres :
Quand une personne que nous avons aimée vient à mourir, il est normal de ressentir de la tristesse, car nous éprouvons une sorte de perte. Même si nous ne connaissions pas intimement le défunt, la douleur que nous lisons dans les visages de ses proches peut nous toucher et faire couler quelques larmes. La mort ne représente pour nous chrétiens qu’une séparation temporaire de nos bien-aimés en Christ. En plus, nous trouvons du réconfort dans la confiance que ceux qui nous ont devancés ne souffrent pas; au contraire, ils sont bénis : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent » (Apocalypse 14. 13).
Tout comme notre espérance chrétienne vainc la peur, elle adoucit la tristesse. Mais ce n’est pas simplement parce que nous reconnaissons l’autorité de Dieu que nous pouvons accepter ses décisions concernant la vie et la mort; nous avons, en plus, l’assurance de sa Justice et de son Amour. Quoiqu’il arrive dans notre vie, nous pouvons être certains d’une chose : Dieu nous aime. Il se peut que nous ne comprenions jamais pourquoi tel événement douloureux s’est produit, mais une chose est sûre : Si Dieu ne nous aimait pas, il n’aurait jamais envoyé son Fils unique pour qu’on le maltraite et l’humilie, pour qu’il souffre et meure sur une croix pour nous. Un tel amour est insondable et indéniable.
Dieu a le droit d’appeler en jugement n’importe qui à n’importe quel moment. Il n’agit pas injustement quand Il le fait. Supposons que Dieu « fait mourir » (rappelle à Lui) un jeune chrétien qui avait devant lui, à nos yeux, toute une vie de joie et de service à rendre dans l’Église. Nous pouvons être sûrs que ce jeune ne se lamentera pas dans l’au-delà de tout ce qu’il n’a pas eu l’occasion de vivre ici sur la terre. Comme Paul l’a dit: « J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur » (Philippiens 1. 23).
(3) Pèlerins sur cette terre :
Une idée qui revient souvent dans la Parole de Dieu est que nous sommes de passage dans ce monde et que nous ne devons pas trop nous y attacher (1 Pierre 2. 11 ; Hébreux 13. 14 ; Philippiens 3. 19, 20 ; Matthieu 6. 19-21). Nous rappeler que nous sommes là pour peu de temps nous aide à fixer les yeux sur notre destination finale et à supporter les difficultés et les privations de cette vie, sachant que « les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Romains 8. 18).
Conclusion :
Parfois, on entend quelqu’un parler d’une situation où une vie a été en danger. Si la personne n’est pas morte, même si elle a été blessée ou doit se contenter d’une santé qui sera toujours fragile, on se console en disant qu’elle a pu « éviter le pire ». Certes, il y a dans une telle situation de quoi remercier Dieu. En même temps, le chrétien devrait reconnaître que la mort n’est pas du tout « le pire » qui puisse arriver; au contraire, elle permet au fidèle d’entrer dans le bonheur parfait et éternel au Paradis. Le pire, c’est le fait de mourir dans un état de rébellion contre son Dieu. Ce n’est que dans le cas où il vit dans l’infidélité que le chrétien devrait craindre la mort. Ce n’est donc pas la mort qui est l’ennemi; c’est le péché.
La réalité de la mort tout autour de nous devrait nous amener à vivre de telle manière que nous soyons prêts pour le Jugement. La philosophie du monde est « Mangeons et buvons, car demain nous mourrons » (1 Corinthiens 15. 32). L'espérance des chrétiens est que la mort est pour eux un gain, mais elle leur rappelle aussi l’urgence de la mission que Dieu leur confie tant qu’ils sont sur la terre : « Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps. Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes » (2 Corinthiens 5. 8-11).
(1) Ne pas craindre face à la mort
La réalité de la mort :
Il n’y a pas de réalité plus universelle que la mort. Nous devons faire face à la mort de personnes qui nous sont très chères, et chacun de nous doit faire face à la certitude de sa propre mort. Dans certaines cultures, on évite à tout prix d’en parler ou d’y penser. C’est un sujet qui met beaucoup de gens mal à l’aise. La mort provoque souvent la peur, le désespoir, la tristesse profonde et un sens de futilité. Même ceux dont l’existence sur terre est devenue très pénible à cause de la douleur, la solitude, ou d’autres circonstances difficiles souhaitent rarement que la mort vienne plus vite. Ils s’accrochent à la vie de façon tenace. Et quand la mort frappe nos bien-aimés, on réagit tantôt avec des pleurs et d’autres manifestations de détresse émotionnelle, tantôt dans l’engourdissement, tantôt dans la colère ou l’indignation.
Sur le plan émotionnel, le chrétien peut ressentir dans un premier temps les mêmes émotions que quiconque lorsque la mort le menace ou lui arrache, surtout de façon inattendue, une personne qu’il aime. Mais quand sa foi aura repris le dessus, quelle sera son attitude à l’égard de la mort ? Jésus-Christ a-t-il changé de façon fondamentale notre manière de penser et même de réagir émotionnellement à cette réalité universelle qu’est la mort ?
Oui, la résurrection de Jésus a tout changé :
L’apôtre Paul affirma que « notre Sauveur Jésus-Christ… a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile » (2 Timothée 1. 10). Le Christ a détruit, ou aboli, la mort, non en faisant que les êtres humains ne meurent plus, mais en démontrant que la mort n’est pas l’état final de l’être humain. La résurrection de Jésus garantit la nôtre (1 Corinthiens 15. 20-22). Jésus s’est montré plus puissant que la mort, et Il nous dit que « le jour vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement » (Jean 5. 28, 29).
Il est clair que le vrai chrétien enfant de Dieu est très béni par la Victoire de Jésus sur la mort. En parlant de notre résurrection future, l’apôtre Paul écrit en 1 Corinthiens 15. 54-57 : « Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. Ô mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! »
Voyons donc trois attitudes ou comportements, qui n’ont plus vraiment de place en nous qui sommes en Jésus-Christ.
1) Ne pas craindre :
Avant la mort et la résurrection de Jésus, Satan avait comme arme « la puissance de la mort », mais Jésus est venu dans le monde afin « de délivrer tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2. 14, 15).
D’où vient cette crainte de la mort ? Peut-être qu’on a peur de l’inconnu; peut-être qu’on a peur de perdre ce qu’on aime : ses conforts, ses proches, son activité dans le monde, les choses pour lesquelles on a tant lutté pendant sa vie ; peut-être qu’on a peur de la condamnation au Dernier Jugement. Le chrétien fidèle sait que, grâce au Seigneur Jésus, il a la promesse de la vie éternelle avec Dieu. Car « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1). Jésus dit : « En vérité, en vérité, je vous dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement (sous la condamnation), mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24). Si nous croyons vraiment à cette Bonne Nouvelle que nous prêchons, nous pourrons avoir l’attitude exprimée par l’apôtre Paul dans Philippiens 1. 21-24. Paul n’avait peur ni de ce que la vie lui réservait, ni de la mort. Mais à cause de sa foi aux promesses de Dieu, il était convaincu que la mort était préférable. Au lieu de l’éviter à tout prix, il était prêt à accueillir la mort avec joie quand le Seigneur Jésus déciderait que le moment était venu.
Dans un autre passage, il exprime la même confiance, celle que tout chrétien fidèle devrait démontrer dans sa vie : « Nous savons, en effet, que, si cette tente ou nous habitons sur la terre (notre corps) est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste… Nous sommes donc toujours pleins de confiance, et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur » (2 Corinthiens 5. 1, 2, 6, 7).
A SUIVRE...
Jésus-Christ a vaincu la puissance des ténèbres à la croix
Jésus-Christ a gagné son plus grand combat spirituel à Sa mort sur la croix et à Sa résurrection. Il a remporté une Victoire totale devant Dieu pour tous. Lors de Sa mort et de Sa résurrection, Jésus à remporter plusieurs Victoires, que ce soit pour le monde céleste et pour le monde terrestre.
Dans le monde spirituel, il existe maintenant de nouvelles lois spirituelles, la loi de Christ.
Avant sa mort, Jésus a annoncé que tout a été accompli. "Quand Jésus eut pris le vinaigre, Il dit : Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit" (Jean 19. 30).
LA VICTOIRE DE JÉSUS A CHANGÉ BEAUCOUP DE CHOSES DANS LE MONDE DES ESPRITS
Jésus-Christ avant sa crucifixion a annoncé la chute de Satan : "Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors" (Jean 12. 31).
Satan a été précipité du Ciel sur la terre. Depuis le Seigneur Jésus a une pleine autorité sur tout : "Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l’autorité de son Christ; car il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit" (Apocalypse 12. 9-10).
Jésus a anéanti celui qui avait la puissance de la mort, le diable : "Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c’est-à-dire le diable" (Hébreux 2. 14).
Jésus a vaincu et enlevé toutes les armes de l’armée de l’ennemi : "Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix. (Colossiens 2. 15).
Jésus a maintenant les clés de la mort et du séjour des morts. "J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts" (Apocalypse 1. 18).
Grâce à sa mort et à sa résurrection, Jésus détruit la mort et il a prouvé qu’il y existe une vie et l’immortalité après la mort. "Et qui a été manifestée maintenant par l’apparition de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile" (2 Timothée 1. 10).
Suite à sa résurrection, Jésus a reçu l’autorité suprême et Il a obtenu le Nom au-dessus de tout nom. "C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père" (Philippiens 2. 9-11).
Suite à sa résurrection, tout pouvoir a été donné à Christ. "Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre" (Matthieu 28. 18).
SA VICTOIRE A CHANGÉ BEAUCOUP DE CHOSES DANS LE MONDE DES HUMAINS.
Après sa résurrection Jésus est monté dans les cieux présenter son sang pour le rachat les croyants. "Et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle" (Hébreux 9. 12).
Jésus a accompli un sacrifice tellement efficace qu’il peut pardonner à toute l’humanité. "Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier" (1 Jean 2. 2).
Par ses souffrances nous pouvons maintenant obtenir la délivrance du péché et des maladies. "Mais il était blessé pour nos péchés, brisés pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris" (Ésaïe 53. 5).
Cette promesse prophétique a été confirmée comme une vérité spirituelle du Nouveau Testament. "Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guérit" (1 Pierre 2. 24).
Grâce à sa résurrection, Jésus peut maintenant rendre juste ceux qui veulent se tourner vers Lui. "Lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification" (Romains 4. 25).
Grâce à son sacrifice, il nous est devenu possible de maitre de nouveau, de repartir à zéro, d’enlever la dette qui provenait de nos péchés. "Vous qui étiez morts par vos offenses et par l’incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses ; il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a détruit en le clouant à la croix" (Colossiens 2. 13-15).
Suite à sa résurrection, Jésus a emmené des captifs et il a fait des dons aux hommes. "C’est pourquoi il est dit : Étant monté en haut, il a emmené des captifs, et il a fait des dons aux hommes. (Éphésiens 4. 8).
Il a donné aux disciples des capacités spirituelles pour perfectionner les croyants. "Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ. Éphésiens 4: 11-12).
Il a répandu son Esprit sur ses disciples et Il a distribué des dons spirituels. "Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père le Saint-Esprit qui avait été promis, et il l’a répandu, comme vous le voyez et l’entendez" (Actes 2. 33).
Toutes les promesses de Dieu sont maintenant oui et amen ! "car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c’est en lui qu’est le oui; c’est pourquoi encore l’Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu (2 Corinthiens 1. 20).
Dieu s'est manifesté humblement
Dieu s'est manifesté à nous en son Fils Jésus-Christ. Jésus est né dans la pauvreté, au milieu des plus humbles. Marie, sa mère, déclare que Dieu, son Sauveur, « a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante » (Luc 1. 48). A Bethléem, elle doit coucher le petit enfant dans la crèche parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie. C'est comme si le monde ne voulait pas donner de place à son Sauveur. « Il vint chez lui ; et les siens ne l'ont pas reçu » (Jean 1. 11). Plus tard Jésus dira : « Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des demeures ; mais le fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête » (Matthieu 8. 20).
Dieu s'est plu à se manifester aux êtres humains de la manière la plus humble. Aucun faste royal n'entoure le petit enfant Jésus, aucune garde ne tient les hommes à distance, de sorte que même de simples bergers trouvent accès auprès de Lui. Oui, Dieu apporte la Grâce à tous et tous peuvent y bénéficier, quelque soit leur condition.
Les bergers avaient entendu un ange leur annoncer un grand sujet de joie, la naissance du Sauveur, du Messie tant attendu, celui qui devait apporter la délivrance. Quel signe leur avait été donné pour le reconnaître ? Un beau palais ? Un berceau en or ? Non, un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche ! Quoi de plus émouvant ! Et quel abaissement de la gloire du ciel à la crèche de Bethléem ! Voilà qui nous parle avec force de la grandeur de Dieu, de la grandeur de sa Grâce.
« Le Père a envoyé le Fils, Sauveur du monde » (1 Jean 4. 14). Le Nom même de Jésus en est la révélation : l’Éternel Sauveur. L'ange a annoncé aux bergers : « Un Sauveur vous est né ». Les Samaritains de Sichar en ont rendu témoignage : « Nous-mêmes nous l'avons entendu et nous connaissons que celui-ci est véritablement le Sauveur du monde » (Jean 4. 42). Et 2 Timothée 1. 10 en affirme toute la réalité : « Notre Sauveur Jésus-Christ a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l’Évangile ».
Jésus-Christ est venu pour nous apporter la paix
Lorsque Jésus vint sur la terre sous la forme d’un homme naissant dans une étable où Il fut emmailloté et couché dans une mangeoire destinée au bétail, une multitude d’anges louait Dieu disant : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir parmi les hommes ! » (Luc 2. 13-14)
Un tel événement est unique dans les annales de l’éternité : Dieu le Fils, Créateur de l’Univers s’abaissant si bas en venant dans ce monde. Les anges éclatent de joie et célèbrent cet incomparable mystère : Dieu manifesté en chair … il a été vu des anges (1 Timothée 3. 16). Le Messie promis depuis longtemps par les prophètes est là ! « On appellera son nom : …Prince de paix » (Ésaïe 9. 6). Le voilà le Prince de paix ! L’enfant emmailloté et couché dans une crèche est le Fils du Très-haut, Emmanuel : Dieu avec nous !
Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ! Jésus le Fils de Dieu est venu sur la terre, donc : Sur la terre, paix ! Oui, Jésus s'est fait homme parmi les hommes pour nous apporter la paix.
Mais où sont cette paix et ce plaisir dans les êtres humains ? Rien n’a changé dans ce monde. Tout au long de l’histoire humaine, les rivalités, les violences, les guerres, etc... n’ont jamais cessé. La multitude de l’armée céleste se serait-elle trompée ? Non, car ce petit enfant couché dans une crèche était bien le Prince de paix qui, de toute éternité « se réjouissait en la terre et ses plaisirs étaient parmi les fils des hommes » (Proverbes 8. 31)
Mais les êtres humains n’ont pas voulu de Lui ! Déjà à sa naissance, il n’y avait pas de place pour Jésus à l’hôtellerie (Luc 2. 7) et plus tard, il a été haï, rejeté et crucifié ! Comment la paix peut-elle régner dans un monde ayant commis le crime le plus ignoble de tous les temps : la mise à mort du Prince de la paix ?
« Jésus vint chez les siens, et les siens ne l’ont pas reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu » (Jean 1. 12). Aux enfants de Dieu, Jésus dit : « Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix. Que votre cœur ne soit pas troublé ni craintif » (Jean 14. 27)
Chers amis lecteurs, avez-vous reçu cette paix que Jésus donne ? Avez-vous la paix du cœur, étant en paix avec Dieu en vertu du sacrifice sanglant de Jésus-Christ qui « a fait la paix par le sang de sa croix » (1 Colossiens 1. 20) ?
Aujourd’hui, seuls les enfants de Dieu connaissent cette paix divine que Jésus donne. Bientôt, la terre entière sera inondée de cette paix quand le Seigneur Jésus, après avoir enlevé son Église, « viendra du ciel avec les anges de sa puissance, en flammes de feu, exerçant la vengeance sur ceux qui ne connaissent pas Dieu, et sur ceux qui n’obéissent pas à l’évangile de notre Seigneur Jésus Christ. Ils subiront le châtiment d’une perdition éternelle loin de la face du Seigneur et loin de la gloire de sa force » (2 Thessaloniciens 1. 8-9) tandis que les Juifs qui reconnaîtront à ce moment-là Jésus comme étant leur Messie qu’ils ont crucifié seront pardonnés et jouiront sur la terre du règne de paix. Satan étant lié pour une période de mille ans (Apocalypse 20. 2-3).
Tandis que nous, les croyants actuels et ceux qui nous ont précédés, serons déjà avec le Seigneur Jésus jouissant de la paix éternelle, et nous régnerons aussi avec Lui (Apocalypse 5. 10)
La parfaite humanité de Jésus
"Vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, comment, étant riche, il a vécu dans la pauvreté pour vous, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis" (2 Corinthiens 8. 9). "Voici, la vierge concevra et elle enfantera un fils, et appellera son nom Emmanuel" (Ésaïe 7. 14).
Voici un peu plus de deux mille ans, une mère appelée Marie prit le bébé qu'elle venait de mettre au monde, l'emmaillota et le coucha dans une crèche parce qu'il n'y avait "pas de place pour eux dans l'hôtellerie" (Luc 2 : 7). C'est ainsi que Jésus a commencé sa vie d'homme sur la terre. Par amour, le Créateur s'était fait semblable à sa créature. Il est entré dans le monde à la manière de tous les humains, par la naissance. Il l'a quitté d'abord en entrant dans la mort pour expier les péchés de tous ; mais celle-ci ne pouvait pas le retenir : il l'a vaincue, ce que proclame sa résurrection.
Jésus, dans la crèche, était sans apparence. Mais l'ange Gabriel avait déclaré : 'Il sera grand" (Luc 1 : 32). Grand, parce qu'Il est le Fils de Dieu, le Créateur, le Messie, le Sauveur du monde. Grand, parce que par amour pour nous pécheurs, Jésus a voulu quitter les splendeurs célestes, et a accepté d'être le méprisé des êtres humains. Il a franchi la distance qui séparait le plus haut des cieux de la créche de Bethléem, puis celle qui descendait jusqu'au Calvaire ! L'apôtre Paul a écrit : "Il s'est anéanti lui-même (en devenant un homme)... Il s'est abaissé lui-même (en acceptant de mourir sur la croix). C'est pourquoi aussi Dieu l'a haut élevé et lui a donné un nom au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus se ploie tout genou... et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père" (Philippiens 2 : 7-11).
Dix raisons pour lesquelles Jésus est venu sur la terre
Il y a plus de 2000 ans, le Dieu Vivant venait sur la terre en la Personne de son Fils Jésus-Christ, pour effectuer la mission de sauvetage la plus dangereuse de l’histoire du monde : nous sauver, toi et moi du péché et de ses horribles conséquences. Oui Jésus a fait ce que personne ne pouvait faire. Il a accompli l’impossible. Il nous a délivré de la puissance des ténèbres et nous a reconnectés à notre Source, notre Abba Père !
Alors que nous célébrons la Naissance de Jésus cette fin d’année, prenons le temps de méditer sur le vrai sens de Noël et de nous assurer que le prix qu’Il a payé ne soit pas en vain dans nos vies !
Jésus est venu sur la terre pour :
1/ Accomplir la volonté de Dieu :
– "En effet, je suis descendu du ciel pour faire non pas ma volonté, mais celle de celui qui m’a envoyé. [Or, la volonté du Père qui m’a envoyé,] c’est que je ne perde aucun de tous ceux qu’il m’a donnés, mais que je les ressuscite le dernier jour" (Jean 6. 38-40).
Voici la volonté de Dieu pour toi, bien-aimé : c’est que tu aies la vie éternelle ; c’est que Dieu te ressuscite au dernier jour. Ce monde passe avec sa vanité et nous allons tous passer, nos jours sont comptés. Le cadeau le plus important que tu puisses recevoir de ton vivant, ici-bas, c’est la vie éternelle. Cette vie éternelle, Jésus-Christ la donne gratuitement à quiconque croit en Lui. Crois-tu au Seigneur Jésus ? As-tu déjà donné ta vie à Jésus ? Sinon, fais une pause dans ta lecture pour lui ouvrir ton cœur.
2/ Sauver les pécheurs :
– "Cette parole est certaine et digne d’être acceptée sans réserve : Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver des pécheurs. Je suis moi-même le premier d’entre eux, mais il m’a été fait grâce afin que Jésus-Christ montre en moi le premier toute sa patience et que je serve ainsi d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour la vie éternelle" (1 Timothée 1. 15-16).
Luttez-vous avec des péchés chroniques? Jésus-Christ est venu sur la terre pour vous ! Il ne vous condamne pas. Il est venu vous sauver, vous délivrer de vos péchés, de toute forme de culpabilité et de mal-être intérieur. Il te tend la main aujourd’hui. La saisiras-tu ?
3/ Nous libérer du péché :
– "Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n’y a point en lui de péché" (1 Jean 3. 5).
Jésus n’est pas venu couvrir les péchés. Il est venu les effacer, s’assurer que Dieu ne se souvienne plus de nos péchés. (Hébreux 10. 17) C’est radical. C’est fort. Merci Jésus !
4/ Éclairer un monde plongé dans les ténèbres :
– "Moi, la lumière, je suis venu dans le monde afin que quiconque croit en moi ne reste pas dans les ténèbres" (Jean 12. 46).
Dieu veut que vous soyez éclairés, remplis de sagesse, de connaissance, de discernement… que vous soyez libres de tout emprise ou contrôle des ténèbres, dans tous les domaines de votre vie. Le croyez-vous ? Alors déclarez-le sur votre vie !
5/ Rendre témoignage à la vérité
– "Pilate lui dit : « Tu es donc roi ? » Jésus répondit : « Tu le dis, je suis roi. Si je suis né et si je suis venu dans le monde, c’est pour rendre témoignage à la vérité. Toute personne qui est de la vérité écoute ma voix » (Jean 18. 37).
Yes ! La Vérité, c’est Jésus. Il est le Chemin et la Vie. Tout a été créé par Lui et pour Lui. (Colossiens 1. 16, Jean 10. 3) C’est en Lui que ta vie prend tout son sens. Nous existons pour Sa gloire !
6/ Annoncer la bonne nouvelle du Royaume :
– "L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés, Pour publier une année de grâce du Seigneur" (Luc 4. 18-19).
Si ce matin, vous avez le cœur brisé, l’âme chargée et fatiguée par la culpabilité, la honte, le rejet, l’amertume, si vous êtes opprimés, sachez que Jésus-Christ est venu pour vous ! Il est venu vous libérer et vous donner la paix.
Commence simplement à déclarer Luc 4. 18-19 sur votre vie, dites merci à Jésus pour tout ce qui y a été listé, et attendez-vous à voir la manifestation de la Grâce de Dieu dans votre vie. Jésus est venu sur terre pour cela !
7/ Détruire les œuvres des ténèbres :
– "Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable" (1 Jean 3. 8).
Prenez le temps de bénir Dieu aujourd’hui, de remercier Jésus d’être venu. Eh oui ! Sa Venue annonce une délivrance certaine dans votre vie de toutes chaînes, de tous liens ! Jésus-Christ est venu pour que les prisonniers soient relâchés, pour défaire les liens et libérer les captifs. Alléluia ?
8/ Donner sa vie en rançon pour beaucoup :
– "Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs" (Marc 10. 45).
Jésus est venu sur terre pour faire un échange avec vous. A la croix, Il a pris sur Lui vos péchés et vous a donné Sa Justice. Il a pris votre honte et vous a donné un double honneur. Il a pris sur Lui le rejet dont vous faisiez l’objet pour que vous soyez acceptés. Il a été meurtri, pour que vous soyez guéris ! Il s’est fait pauvre pour que vous soyez enrichis. Wow ?… quel Amour !
9/ Révéler l’amour de Dieu pour les pécheurs :
– "Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).
Dieu vous aime. Il ne vous aime pas parce que vous avez fait quelque chose de particulier pour être agréable à Ses yeux. Il vous aime parce que vous avez du prix à Ses yeux. Vous avez de la valeur. Il veut vous voir expérimenter pleinement tout ce qu’Il a prévu d’avance pour vous aussi bien sur la terre que dans l’éternité. Il vous veut libre, épanoui, et non déprimé et esclave de l’ennemi !
10/ Appeler les pécheurs à la repentance :
– "Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs" (Marc 2. 17).
Jésus n’est pas venu appeler les parfaits. Il est venu pour les personnes imparfaites comme toi et moi, bien-aimé. Il est venu pour ceux qui ont veulent être justes devant Dieu et ne savent pas comment y parvenir… pour ceux qui veulent plaire à Dieu et n’y arrivent pas. A tous ceux-là, il a donné un magnifique vêtement de justice et la capacité surnaturelle de plaire à Dieu et vivre dans Sa présence, quotidiennement.
Wow… Dieu est bon ! Il est absolument merveilleux. Ne laissez pas la folie des festivités de Noël vous détourner du focus de Noël, de l’essentiel, Jésus n’est plus dans la crèche. Il est ressuscité, Il est vivant !!! ?
Cinq formes de grâce dans la Bible
La Grâce de Dieu, c’est la puissance de Dieu en action dans la vie de celui qui reconnaît vraiment que sans Jésus, il ne peut rien faire. La grâce est décrite de cinq manières différentes dans la Bible.
La Grâce « générale » :
L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur. (Luc 4. 18).
La grâce « générale », c’est la grâce qui a été rendue accessible à tous les êtres humains. En effet, nous sommes dans la nouvelle alliance et dans la dispensation de la grâce. Une dispensation, c’est une « saison » caractérisée par la manière dont Dieu interagit avec les êtres humains.
Avant la croix, Dieu entrait en relation avec les êtres humains sur la base de la loi, où il fallait faire un certain nombre de choses pour être béni par Dieu. Mais depuis la résurrection de Christ, une année ou saison de grâce a commencé. Désormais, nous sommes bénis non plus en récompense de nos propres efforts, mais à travers l’œuvre achevée de Christ à la croix. La Grâce de Dieu a été étendue gratuitement à tous les êtres humains. Maintenant, libre à chacun de la recevoir, ou pas. Dieu veut que tous les êtres humains soient sauvés, mais ne force personne à recevoir le salut.
Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance (2 Pierre 3. 9).
La Grâce pour le salut :
Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie (Éphésiens 2. 8-9).
La grâce pour le salut, c’est la dimension de la grâce de Dieu qui nous procure le salut. Le salut que nous avons en Dieu – qui inclut la vie éternelle, la santé divine, la paix avec Dieu, etc... – est un cadeau de Dieu. Il y a pensé. Il l’a exécuté et nous l’offre gratuitement. Le salut que Dieu nous donne est parfait. Il n’y a rien à faire pour le « compléter ». Personne ne peut le mériter pour avoir respecté les commandements de Dieu. C’est une faveur qui émane de l’amour extravagant de Dieu envers nous… un amour qui couvre tous les péchés !!!
Mais c’est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés, de la même manière qu’eux (Actes 15. 11).
La Grâce pour la sanctification :
Ce que je suis à présent, c’est à la grâce de Dieu que je le dois, et cette grâce qu’il m’a témoignée n’a pas été inefficace. Loin de là, j’ai peiné à la tâche plus que tous les autres apôtres non pas moi, certes, mais la grâce de Dieu qui est avec moi. (1 Corinthiens 15. 10).
La grâce pour la sanctification, c’est la grâce de Dieu qui opère en tous ceux qui croient en Jésus-Christ pour les conformer à l’image de Christ. C’est la dimension de la grâce de Dieu qui nous fait croître spirituellement (1 Corinthiens 3. 6) et nous conduit à une réelle maturité spirituelle.
Dieu veut que nous soyons parfaits. Mais c’est Lui exprime Sa vie en nous pour nous rendre parfaits. Nous comptons sur Lui pour nous rendre semblables à Lui. Nous ne pouvons pas nous sanctifier par nos efforts personnels. Mais c’est le sang de Jésus et la Parole de Dieu qui nous communiquent la grâce dont nous avons besoin manifester la vie de Dieu au quotidien.
"Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu" (2 Corinthiens 3. 5). "Car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir" (Philippiens 2. 13). "C’est à quoi je travaille, en combattant avec sa force, qui agit puissamment en moi" (Colossiens 1. 29).
La Grâce pour le service :
C’est la dimension de grâce que l’on reçoit de Dieu pour le servir de manière efficace et pour être utile aux autres. Dieu nous a fait des dons qu’Il nous appelle à utiliser, à mettre au service des autres.
"Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. Et une grande grâce reposait sur eux tous" (Actes 4. 33). "Cependant, à chacun de nous la grâce a été donnée à la mesure du don de Christ" (Éphésiens 4. 7). "Comme de bons intendants des diverses grâces de Dieu, mettez chacun au service des autres le don que vous avez reçu" (1 Pierre 4 :10).
La Grâce qui fortifie :
C’est le type de grâce qui nous est communiquée par Dieu dans les moments difficiles, pendant l’adversité ou la souffrance.
Et il m’a dit: « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse ». Aussi, je me montrerai bien plus volontiers fier de mes faiblesses afin que la puissance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car quand je suis faible, c’est alors que je suis fort. (2 Corinthiens 12 :9-10).
Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce afin d’obtenir compassion et de trouver grâce pour être secourus au moment opportun. (Hébreux 4 :16).
Voilà donc pour les cinq formes de grâce que la Bible nous présente.
La grâce nous a cherché et nous a trouvé. La grâce nous protège, nous garde en sécurité. La grâce nous rend capable de servir et supporter les tests et épreuves de la vie. La grâce nous sanctifie et nous conduit à la gloire. La grâce de Dieu nous rend prospères à tous égards et nous permet de manifester Christ sur la terre. La grâce, c’est Christ en action en nous et à travers nous. Du commencement à la fin, tout n’est que grâce et nous sommes le produit de la Grâce de Dieu.