Avoir de l'espérance pour son avenir
“Moi, je connais les pensées que je pense à votre égard, dit l’Éternel, pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance”. (Jérémie 29. 11).
Réfléchir au sens de la vie humaine, c’est en particulier réfléchir sur l’avenir. Quelle représentation en avons-nous ? Comment la mort s’intègre-t-elle dans cet avenir
“Mangeons et buvons, car demain nous mourrons” (1 Corinthiens 15. 32). Cette parole, que disent ceux qui ne croient pas en la résurrection, reflète l’esprit de certaines philosophies. Puisque demain est incertain, autant profiter d’aujourd’hui. Courte vue, tragique méprise que cette vision de l’avenir !
Mais, tout change quand on connait le seul vrai Dieu, et quand on place toute notre confiance en Lui. Dieu nous enseigne dans sa Parole, la Bible, qu’il y a un au-delà de la mort et que, pour notre avenir, Il veut nous donner une glorieuse espérance. Pour cela, non seulement Dieu nous a donné le Salut éternel de notre âme en son Fils Jésus Christ, mais aussi une glorieuse perspective vers l’éternité : la Vie Éternelle.
Pour les Juifs, cette espérance est un royaume terrestre ; pour les chrétiens, c'est “un Royaume céleste” (2 Timothée 4. 18). Jésus Lui-même a dit : “Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi” (Jean 14. 3).
L'apôtre Paul, par le Saint-Esprit, parle de l’espérance des chrétiens (voir 1 Corinthiens 15. 51-56)
– Nous attendons “la bienheureuse espérance et l’apparition de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ” (Tite 2. 13).
– Pierre aussi affirme : “Selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habite” (2 Pierre 3. 13).
Nous enfants de Dieu, nous ne sommes pas ignorants sur l’avenir. Tout un livre du Nouveau Testament y est consacré : “Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses esclaves ce qui doit arriver bientôt” (Apocalypse 1. 1). Jésus Lui-même, par son ange, rend témoignage de ces choses dans les églises (Apocalypse 22. 16).
Gardons la parole prophétique dans nos cœurs, prêtons-y attention “comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur – jusqu’à ce que le jour commence à luire et que l’Étoile du matin se lève dans nos cœurs” (2 Pierre 1. 19).
Certes, il peut y avoir, chez les chrétiens, de la lassitude. Mais le vrai chrétien n’est pas inquiet car, pour lui, l’avenir est une espérance certaine et glorieuse. Gloire à Dieu qui nous a donné une espérance et un avenir glorieux ! AMEN !!!
L'Amour de Dieu ne change jamais
Le péché a dressé "un mur de séparation" entre l'être humain et Dieu. Cependant l'Amour de Dieu pour l'être humain n'a pas changé, ni diminué. Dieu veut que ce mur de séparation soit brisé ; Il veut que nous puissions tout à nouveau avoir cette relation intime et personnelle avec Lui. Dieu nous aime d'un Amour parfait, Il nous aime "comme un Père aime ses enfants" (1 Jean 3. 1).
Notre Dieu est le seul capable de nous aimer d'un Amour fidèle quelles que soient les circonstances. "L’Éternel Dieu est Miséricordieux, lent à la colère et riche en bonté et en fidélité" (Exode 34. 6). Dans sa Grâce infinie, Dieu nous offre sa Justice, dont Lui seul est la source. "Dieu nous a envoyé son Fils Jésus-Christ, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui" (Jean 3. 17). Oui, l'Amour de Dieu a été prouvé par le don de ce qu'Il avait de plus cher : son Fils unique Jésus-Christ.
La Bible dit : « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5. 8).
Prenons le temps de méditer un moment sur ce fait : Jésus s'est laissé clouer sur une croix pour satisfaire parfaitement la parfaite Justice de Dieu, et nous permettre d'être éternellement sauvés, vous et moi, lorsque nous croyons fermement en Lui. Prenons conscience de la gravité de nos péchés qui méritent le juste Jugement de Dieu. Réalisons que Jésus-Christ a accepté de mourir pour nous, pour subir la condamnation que nous méritions. Recevons Jésus-Christ comme notre seul Seigneur et Sauveur par un véritable acte de repentance et de foi.
Jésus a accepté de nous aimer jusqu'à un tel sacrifice, jusqu'à une telle souffrance. Jésus est mort sur la croix pour sauver l'humanité et Il est ressuscité. Dieu, qui veut que tous soient sauvés, nous a offert son Fils Jésus qui s'est sacrifié sur la croix pour tout le monde entier, même pour ceux qui n'accepteront jamais Jésus comme Sauveur. Oui Dieu nous aime au point qu'Il a donné son Fils pour nous tous.
L'Amour parfait de Dieu, chacun peut l'accepter ou le refuser. Mais Dieu a laissé l'être humain libre de choisir. Ceux qui l'acceptent ont part à une relation intime et personnelle avec Dieu, dès maintenant sur la terre et durant l'éternité au Paradis ; tandis que tous ceux qui refusent de recevoir l'Amour de Dieu en Jésus seront jetés dès leur décès dans le Séjour de morts, puis, à la fin des temps, dans l'Enfer pour l'éternité, dans les remords éternels.
En Jésus-Christ, l’être humain trouve un Salut total et gratuit : le pardon des péchés, le pouvoir de vaincre le péché... « Car c'est par la Grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. » (Éphésiens 2. 8).
Réponses bibliques à propos de la mort
La mort est un sujet qui fait très peur aux pécheurs non-sauvés au point que la Bible l'appelle le « roi des terreurs » (Job 18. 14). Mais c’est une nécessité d’en parler. Il est donc urgent de considérer sérieusement ce sujet d’une importance capitale qui nous concerne tous sans exception.
QU'EST-CE QUE LA MORT ?
La mort est le Jugement de Dieu à l’égard du péché. Elle est mis en contraste avec « la vie éternelle », « car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus » (Romains 6. 23).
La mort physique est la séparation de l’âme (et de l’esprit) du corps. Le corps retourne à la terre en poussière et l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné (Ecclésiaste 12. 7).
La mort spirituelle est la séparation d’avec Dieu : état de l’être humain pécheur après la chute en Éden, étranger à la vie de Dieu. "Nous étions tous morts dans nos fautes et dans nos péchés" (Éphésiens 2. 1). C’est un état dans lequel il n’y a aucun espoir, à moins que Dieu ne vivifie (Ephésiens 2. 5b).
La mort éternelle est la séparation définitive d’avec Dieu pour les rebelles à Dieu, pour les non croyants en Jésus. Elle est appelée aussi la “seconde mort“ (Apocalypse 20. 14).
POURQUOI LA MORT ?
Quand Dieu créa l’être humain, il le plaça dans le jardin d’Éden (jardin de délices) où il pouvait profiter et manger tout ce qu’il désirait, mais Dieu le mit à l’épreuve en lui défendant de manger du fruit de la connaissance du bien et du mal ; car, dit-Il, « le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2. 17).
En mangeant du fruit défendu, désobéissant ainsi à son Créateur, l’être humain devint pécheur, et toute sa descendance a hérité de cette nature pécheresse. « Car le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23). « C'est pourquoi, comme par un seul homme , e péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi, la mort s’est étendue sur tous les hommes du fait que tous ont péché… » (Romains 5. 12).
QU'Y A T-IL APRÈS LA MORT ?
« Il est réservé aux hommes de mourir une fois… » (Hébreux 9. 27a). Personne ne peut contester cette affirmation biblique, mais le point d’interrogation se trouve après la mort. « L’au-delà, c’est l’inconnu », dites-vous peut-être. En êtes-vous sûr ? Et si c’est l’inconnu, comme vous dîtes, ne trouvez-vous pas irresponsable de ne pas chercher à le connaître ? Ou préférez-vous ne pas y penser ? On a d’ailleurs raison d’avoir peur. Le verset biblique cité plus haut a cette suite : « Il est réservé aux hommes de mourir une fois, ET APRÈS CELA, LE JUGEMENT » (Hébreux 9. 27).
Non, tout n’est pas terminé au moment de la mort. Si le corps retourne à la terre, « l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné » (Ecclésiaste 12. 7), pour y entendre une appréciation et y recevoir une rétribution. Oui, après la mort, chacun ira soit au Paradis dans la vie éternelle avec Dieu, avec Jésus Christ, soit dans le Séjour des morts puis, à la fin des temps, en Enfer dans la mort éternelle en compagnie du Diable.
COMMENT SE PRÉPARER FACE A LA MORT ?
La vie de l’être humain se présente comme un grand compte à rebours. Ces années, ces jours, ces minutes qui passent, et dont le nombre diminue implacablement jusqu’au zéro brutal, et la mort survient. Combien de jours nous en reste-t-il à vivre dans ce monde ? NOUS N’EN SAVONS RIEN, et c’est justement ce qui doit nous inciter à nous préparer aujourd’hui à ce face à face solennel avec le seul vrai Dieu, auquel il faudra rendre compte. Dieu Lui-même nous y invite : « Prépare-toi à rencontrer ton Dieu » (Amos 4. 12). De quelle manière ? En devançant le jugement, c’est-à-dire en confessant spontanément à Dieu nos péchés et en acceptant son pardon, le salut gratuit acquis pour nous par l’Œuvre de Jésus Christ accomplie parfaitement à la croix, car « Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures » (1 Corinthiens 15. 3).
Celui qui a mis sa confiance en Jésus-Christ peut envisager sans aucune inquiétude sa propre mort. Car il est prêt, et n'a pas de crainte concernant la mort. Le Jugement et la condamnation qu’il attendait dans l'au-delà ont déjà été portés par son Sauveur Jésus Christ. Ainsi « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ » (Romains 8. 1). Pour le croyant en Jésus, la mort est l’entrée dans une vie éternelle bienheureuse où il goûtera sans fin le repos, la paix et le bonheur infinis.
Si ce n'est pas encore fait, ne voulez-vous pas, chers lecteurs et lectrices, régler maintenant le grave et grand problème de votre éternité en acceptant simplement le salut que Jésus nous offre et dont Il a Lui-même payé le prix sur la croix ?
Personne ne connaît ni le jour ni l’heure de sa propre mort. Celle-ci peut arriver à tout moment, sans préavis. C’est pourquoi, c’est le moment, maintenant, de s’y préparer, de se mettre en règle avec Dieu, en recevant par la foi, Jésus comme son Seigneur et Sauveur personnel. « Voici, c'est maintenant le temps favorable, voici, c'est maintenant le jour du salut » (2 Corinthiens 6. 2).
L'ÉTERNITÉ EST LA DESTINÉE DE CHAQUE ÊTRE HUMAIN :
La mort est la porte qui s’ouvre sur l’éternité... et le temps favorable de notre vie sur terre est bien court à côté de l’éternité qui ne finira jamais... Éternité de bonheur avec Jésus dans le Paradis pour tous ceux qui, s’étant repentis, ont mis leur pleine confiance en Lui. Éternité de malheur dans l'Enfer éternel en compagnie de Satan et ses anges, à tout jamais loin de Dieu pour ceux qui n’auront pas cru (Voir Matthieu 25. 41).
Les conséquences du péché d'Adam et d'Eve
La désobéissance d'Adam et d'Eve en mangeant le fruit défendu a eu beaucoup de conséquences. Désobéir, c’est ce qu’on appelle péché. Le péché c’est la désobéissance à Dieu. "Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. (de Dieu)" (1 Jean 3. 4).
Dieu les a amené à répondre de leur désobéissance. "Adam répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ?" (Genèse 3. 10-11).
La défense d’Adam et Ève a été de s’accuser et de lancer la faute sur l’autre, (En mettant la faute sur les autres, cela ne nous justifie pas) : "L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé" (Genèse 3. 12-13).
Il s’est produit une transformation dans leur pensée. Le bien et le mal était maintenant écrit dans leur cœur, (jugement de la loi), et depuis ce temps, les gens s’accusent et se défendent chacun leur tour. "ils montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leurs cœurs, leur conscience en rendant témoignage et leurs pensées s’accusant ou se défendant tour à tour" (Romains 2. 15).
QUELLES SONT LES CONSÉQUENCES DE LEUR DÉSOBÉISSANCE À DIEU ?
— Leur désobéissance entraina premièrement la mort spirituelle : "Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur" (Romains 6. 23).
– La conscience du péché et la honte d’être nu : "Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures" (Genèse 3. 7).
— Ils avaient maintenant la peur de se présenter devant Dieu et la peur de son Jugement : "Alors ils entendirent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. mais l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit : où es-tu ? Il répondit : j’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché" (Genèse 3. 8-10).
— L'augmentation des souffrances dans leurs grossesses : "Dieu dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi" (Genèse 3. 16).
— La sueur et les peines pour se trouver de la nourriture : "il dit à l’homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs" (Genèse 3. 17-18).
— Finis la vie facile du jardin, les efforts pour survivre et ainsi la condamnation à la mort physique s'abattit sur eux : "c’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière" (Genèse 3. 19).
— Privation définitive de manger de l’arbre de vie et de vivre éternellement : "L’Éternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement" (Genèse 3. 22).
— Ils ont été chassés du paradis terrestre (jardin d’Éden) : "et l’Éternel Dieu le chassa du jardin d’Éden, pour qu’il cultivât la terre, d’où il avait été pris" (Genèse 3. 23).
— Il y eut une barrière pour les empêcher de retrouver le chemin de l’arbre de vie : "C’est ainsi qu’il chassa Adam ; et il mit à l’orient du jardin d’Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie" (Genèse 3. 24).
— Dieu a aussi prononcé une malédiction sur le serpent : "L’Éternel Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie" (Genèse 3. 14).
— Le diable est devenu quand même spirituellement parlant, le père spirituel des êtres humains pécheurs : "Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge" (Jean 8. 44).
— En prenant le contrôle sur Adam et Ève, Satan a eu le contrôle sur tous les êtres humains vivant sur terre, mais en Christ, nous sommes sauvés. "Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin" (1 Jean 5. 19).
— Toute la gloire de ce monde est maintenant dirigée vers le diable, cela lui a été donné par l’être humain. "Et lui dit : je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux" (Luc 4. 6).
Quelle triste histoire est arrivée à l’être humain. L’Éternel Dieu désirait le meilleur pour l’être humain. Il les avaient placés dans un jardin extraordinaire, où poussait toutes sortes de fruits. L'être humain y jouissait de la présence de Dieu et pouvait vivre éternellement dans ce lieu avec leurs enfants. Dieu avait laissé le choix à l’être humain, mais, plutôt que de croire en ce qu’Il leur avaient dit, ils ont préféré écouter la voix du Diable, ce qui les conduisit à perdre tout ce que Dieu avait préparé pour eux.
La malédiction du sol, l’effort pour en tirer de la nourriture, les douleurs de l’enfantement, les maladies et la mort spirituelle sont les fruits qu’ont récoltés tous les êtres humains, y compris vous et moi. De plus, il devait subir un arrêt de la vie physique (la mort), en retournant dans la poussière. "C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière" (Genèse 3. 19).
Il y a quand même de l’espoir pour l’humanité, offert par (Jésus) le Fils de Dieu. "Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur" (Romains 6. 23). AMEN !!!
Dieu voit tout
"Il n'existe aucune créature qui soit cachée devant Lui (Dieu), mais tout est nu et découvert aux yeux de Celui à qui nous avons affaire" (Hébreux 4. 13).
Dans nos rapports humains, nous ne voyons souvent que l'extérieur : le sourire de commande du commerçant, l'air respectable du professeur, la joie factice du clown... C'est ce que saisit le photographe. Quant au radiologue, grâce à ses appareils (radiographie, échographie, scanner...), il peut déceler ce qui se passe à l'intérieur du corps ; il voit sur son écran l'anomalie cachée dont souffre le patient.
Mais il existe Quelqu'un qui voit au-delà de l'apparence, derrière la façade, au plus profond de l'être. C'est Dieu, le seul Dieu de l'Univers. Dieu est Celui qui « discerne les pensées et les intentions du coeur » (Hébreux 4. 12). Dieu fait un examen complet des actes (y compris ceux qui ont l'approbation de tous), et de leurs motivations. C'est devant le Dieu des cieux et de la terre que chaque être humain devra rendre des comptes. Même si son casier judiciaire est vierge, sa morale impeccable et son comportement correct, il entendra, le jour de l'examen final devant Dieu, le diagnostic de Celui qui connaît absolument toutes ses pensées d'envie, son esprit de revendication, ses entorses à la vérité... Impossible de se soustraire à Dieu, Celui qui sait tout. Oui, Dieu sait absolument tout de vous et de moi, et malgré cela Il nous aime, au point d'avoir donné son Fils unique Jésus-Christ qui a payé pour tous les péchés de l'humanité, pour sauver parfaitement quiconque croit en Lui et le rendre heureux pour l'éternité. Jésus mérite sans réserve toute notre confiance et tout notre amour. Alors, venons à Lui et acceptons Le comme notre seul Seigneur et Sauveur personnel.
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Quelle erreur de croire que nous pouvons cacher les choses à Dieu car Il voit tout et entend tout. Il est omnipotent, omniscient et omniprésent. Ce qui est fait dans le secret, loin des oreilles et des regards des autres, est connu de Dieu chez qui tout est en pleine lumière.
Il viendra un Jugement divin, dernier et éternel, où l’être humain pécheur ne pourra plus demander pardon ou espérer changer de vie pour être dans une paix profonde. Que cela ne vous fasse pas peur, mais simplement vous fasse prendre conscience que nous vivons la saison de la grâce divine. Si vous avez fait du mal à quelqu’un ou à vous-même, que vous avez commis un péché si énorme au point que vous avez peur d’être dévoilé, jugé et puni, laissez-moi vous réconforter et vous dire ceci : « N’ayez pas peur. Repentez-vous et détournez-vous du mal que vous avez commis. Dieu vous aime. Il vous connait. Il vous a créé, et Il désire que vous l'appartenez et que vous soyez libres de toute servitude du péché ».
Que chaque être humain se repente maintenant et demande pardon à Dieu d’avoir géré sans Lui sa vie. Après la mort physique, il sera trop tard de trouver la paix. Se repentir est la porte ouverte pour entrer dans la maison de Dieu le Père, Sachons que la repentance est pour notre délivrance.
Repentance vient du grec ‘metanoia’ ; Ce qui signifie un changement de mentalité suite à une prise de conscience. La repentance se fait, dans un premier temps, vis-à-vis de Dieu. Puis dans un deuxième temps, elle se voit, car nos attitudes ne sont plus les mêmes.
Dans le Psaume 14, nous lisons que nous sommes tous pécheurs, aucun ne cherche Dieu, ni ne s’intéresse à Lui. Eloignés de Dieu, nous faisons ce que nous voulons, sans Lui demander. C'est pourquoi, Il est important de se repentir et de confesser ses péchés à Dieu qui connaît toutes choses. Il est important de vivre une transformation authentique : une nouvelle vie en Dieu.
Comme le fils prodigue, qui a dilapidé tout son héritage, mais qui est revenu chez son père, l'être humain doit venir ou revenir vers Dieu son Créateur. Chaque être humain est libre de choisir. Mais que chacun réalise, comme des milliers d’êtres humains sur cette terre, que Dieu veut déjà nous pardonner. Croyons qu’Il veut nous donner une vie meilleure aujourd’hui et éternellement. C’est le temps de changer de cap ! N’ayons pas peur. Si ce n'est pas encore fait, venons recevoir la réconciliation en Jésus-Christ…. car Dieu veut nous voir heureux et L'adorer pour l'éternité.
Le scandale de la croix
"Nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les juifs et folie pour les païens" (1 Corinthiens 1. 23). « Et moi, frères, si je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté ? C'est donc que le scandale de la croix a cessé » (Galates 5. 11).
Il est parfaitement évident que partout où la Croix du Seigneur Jésus-Christ a été prêchée et présentée le plus fidèlement, (tout en apportant l'espoir et une vie nouvelle à beaucoup), elle a presque invariablement été la cause de problèmes.
Partout où la croix de Jésus a été prêchée, elle a suscité une forte opposition. De même que la croix a été une pierre d'achoppement pour les Juifs, et une absurdité pour les Grecs dans les premiers temps, de même, depuis lors, la croix a été inacceptable, non seulement pour les hommes du monde en tant que tels, mais aussi pour les communautés religieuses.
Nous affirmons sans hésiter que cela est toujours aussi vrai aujourd'hui, bien qu'il s'agisse du symbole le plus populaire au monde qu'est la croix. Il n'y a quasiment pas de cité dans la Chrétienté où l'architecture, les galeries d'art, les collections de littérature, les conservatoires de musique et les institutions religieuses ne témoignent pas au monde d'un certain respect, et d'un certain honneur pour la croix.
Aujourd'hui, on voit que dans certaines entreprises ou institutions missionnaires qui se disent chrétiens, il est même conseillé d'éliminer la mention de la Croix, de peur qu'elle n'offense la communauté. Nous voyons aussi qu'une grande partie de la prédication et de l'enseignement dans des églises qui se disent chrétiennes se limite au « Jésus Historique » qui présente un Christ sans Croix, et où l'on donne une signification très modifiée à sa mort.
Et pourtant, la Bible, dont ils disent croire, s'unit dans tout Son message pour déclarer que la Croix est la voie du Salut, la seule voie qui mène vers Dieu. Il est en outre très clair que la Croix est le moyen sur lequel Dieu a fait reposer tout le poids de sa Toute Puissance salvatrice.
Nous nous demandons maintenant pourquoi la Croix a toujours été un tel facteur de trouble, et une telle cause d'offense pour le monde. Et pourquoi est-elle aujourd'hui à l'origine d'une grande partie des bouleversements, même dans des institutions et dénominations se disant chrétiens, dans les foyers Chrétiens, dans les églises locales, et dans les vies chrétiennes individuellement ?
1) La Croix condamne le monde
Par sa Croix, le Christ a créé un grand fossé entre l'ancien monde et le nouveau monde, un fossé qui ne peut être comblé. Deux systèmes distincts, des échelles de valeur, des critères de jugement, des ensembles de lois, prévalent des deux côtés de la Croix, le système de chacun étant non seulement entièrement différente, mais irréconciliable et à jamais opposé de l'autre.
La Croix exige une distinction absolue des intérêts, des objectifs, des relations et des ressources. Elle établit la distinction finale entre les sauvés et les non sauvés, entre les vivants et les morts.
La Parole de Dieu déclare avec insistance que l'époque est mauvaise, que « le monde entier git dans le méchant » (1 Jean 5. 19), que ses voies, ses motifs, ses buts, ses idées, ses imaginations sont tous opposés à ceux de Dieu, et qu'il est totalement incapable de recevoir la révélation de l'Esprit divin, de grandir de lui-même à l'image divine, de jouir et d'apprécier une véritable communion avec Dieu, ou de se voir confier le privilège de coopérer avec Dieu.
Il s'agit là uniquement de la conscience, des capacités et des relations de l'âme nouvellement née ou régénérée. C'est ce verdict, cette condamnation et cette exigence de la Croix qui sont inacceptables et irritants pour ceux qui appartiennent au monde, et même pour un très grand nombre ceux qui se disent chrétiens. En outre, c'est la présence de ce que l'on appelle la « mondanité » dans leur vie qui neutralise absolument leur efficacité dans la réalisation des objectifs essentiels de la Croix.
2) La Croix condamne la chair.
Par la croix, la Parole de Dieu déclare que « notre vieil homme a été crucifié avec le Christ » (Romains 6. 6). « Un seul est mort pour tous, c'est pourquoi tous sont morts en lui, afin que ceux qui vivent vivent désormais non plus pour eux-mêmes, mais pour lui » (2 Corinthiens 5. 15).
L'histoire de la race déchue s'est achevée, en ce qui concerne Dieu, au Calvaire, sur la croix de Jésus. À partir de ce moment-là, Dieu s'est entièrement consacré à la nouvelle création créée en Christ. Même pour nous enfants de Dieu, nos capacités humaines comme nos infirmités, ce que nous appelions notre meilleur côté humain comme notre pire, notre bonté et notre méchanceté ont été incluses dans cette mort. Désormais, nous sommes appelés à vivre non pas sur le plan humain, mais sur le plan divin. Humainement, nous ne possédons rien qui soit acceptable pour Dieu.
Considérer non seulement nos péchés, mais aussi nous-mêmes, comme ayant été portés à la Croix par le Christ, est le seul moyen par lequel les desseins de Dieu peuvent s'accomplir dans nos vies. Nous devons accepter notre crucifixion avec le Christ, et le fait que nous portions la Croix jusqu'à notre mort, afin que la vie du Christ puisse se manifester en nous.
3) La Croix chasse le diable.
Nous touchons là, peut-être, la cause la plus profonde de l'offense, car le monde et la chair ne sont que les instruments et les armes par lesquels la grande hiérarchie de Satan maintient son emprise et son existence en tant que force dominante.
En s'approchant de la Croix, le Christ a dit : « Maintenant, le prince de ce monde est jeté dehors » (Jean 12. 21b). Paul, réfléchissant à cette Croix, a dit que par elle « le Christ a dépouillé les principautés et les puissances, en les montrant ouvertement, et qu'il a triomphé d'elles » (Colossiens 2. 16).
Il est donc parfaitement naturel que la grande hiérarchie du diable cherche par tous les moyens et toutes les ressources à rendre la Croix sans effet. Par la « pensée », elle diluera le message de la Croix ; en adoptant les méthodes, les moyens et l'esprit du monde, elle ébranlera la vitalité spirituelle de l'Église ; en attisant la chair, le moi et le vieil Adam, elle provoquera le schisme, la tension et la désintégration ; ou en faisant grand cas de l'élément humain dans son aspect artistique, esthétique, héroïque et humanitaire, elle s'aveuglera sur le besoin de régénération.
La réputation, la popularité, la grandeur, les critères mondiaux de réussite sont tous contraires à l'Esprit du Christ, mais ce sont les jouets avec lesquels l'ennemi absorbe l'esprit de beaucoup, même de ministres chrétiens.
Si donc la Croix est prêchée dans sa pleine Victoire sur le monde, sur la chair et sur le diable et dans son affranchissement de ceux-ci, il faut s'attendre à ce que les forces intelligentes du mal ne laissent aucune pierre non retournée pour l'arrêter, et qu'elles suscitent toutes les causes d'offense pour le porter au compte de la Croix.
En conclusion, n'oublions pas que la jouissance de la pleine vie de Dieu, l'expérience de la victoire et la coopération exécutive avec Jésus, Celui qui est assis sur le Trône dans la réalisation sûre que Ses desseins éternels sont les nôtres dans la mesure où nous sommes un avec la signification pleine et essentielle de la Croix telle qu'elle est exposée dans la Parole de Dieu. « J'ai été crucifié avec le Christ, désormais... ce n'est plus moi qui suis crucifié, c'est le Christ » (Galates 2. 20). « Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas considéré leur vie comme chère jusqu'à la mort » (Apocalypse 12. 11).
Croyons en Dieu qui veut nous sauver parfaitement
Malgré le désir de l'être humain pécheur de vouloir vivre sans le seul vrai Dieu notre Créateur, Dieu, Lui, est Amour et étant Lui-même la source de cet Amour, Il ne souhaite qu’une chose : que l’on partage avec Lui les immenses richesses de sa bonté par notre retour dans sa Sainte Présence. Cependant, même si Dieu connait parfaitement le grave danger qu’il y a à vivre loin de Lui en suivant ses propres voies, Dieu laisse la liberté à chaque être humain de choisir et Il ne s’imposera jamais ; car le véritable amour est opposé à toute formes de dictature. Le danger de vivre sans Dieu est visible dans l’état dramatique du monde actuel et dans la vie de tellement de personnes dont la souffrance morale est palpable. Plus grave encore : ce choix de vivre hors de la présence de Dieu sera respecté par Dieu, mais se poursuivra après la mort dans un lieu qui n’est que la conséquence du choix volontaire de rejeter la Vie que Dieu nous propose.
Dieu est Lumière et en dehors de Lui, ce sont les ténèbres. Malgré toutes nos fautes aussi nombreuses et graves soient-elles, Dieu demeure le Père de la miséricorde. Dieu veut et peut pardonner chacun d’entre nous et nous faire découvrir l’immensité de son Amour. En Jésus, par son sacrifice sur la croix et par sa résurrection, Dieu a tout accompli. Nous étions éloignés de Dieu par nos mauvaises actions et nos mauvaises œuvres mais Jésus s’est chargé de nos fautes et nous a ouvert l’accès à Dieu en les payant pour nous. A cause de nos fautes et de la Justice parfaite de Dieu, nous étions condamnés. Mais grâce à Jésus, la Justice de Dieu est satisfaite et son Amour infini est démontré car Dieu a donné ce qu’Il avait de plus cher pour nous sauver. Il suffit simplement d’avoir foi en Jésus pour bénéficier de cet immense cadeau. Voilà le coeur de la Bonne Nouvelle en Jésus. C’est pour cela qu’aujourd’hui, plus que jamais, Dieu appelle tous les êtres humains à se détourner du mal et à se tourner vers son Fils Jésus-Christ.
Il faut Croire en Dieu ! Qu'est-ce que cela veut dire de Croire ?
La clé pour appliquer ces vérités ci-dessus est de les croire et les laisser modeler nos vies. Regardons de plus près ce qu'est le concept de croire tel qu'il est utilisé dans la Bible. Le mot "croire" est utilisé plus de 200 fois !
Croire n'est pas une douce illusion ou un espoir non fondé. Il ne s'agit pas de gagner une relation avec Dieu. Il ne s'agit pas non plus de faire de bonnes oeuvres ou d'être simplement une "bonne personne". On ne devient pas chrétien en adhérant à une institution religieuse, en suivant la tradition ou en naissant dans une famille chrétienne.
Comment Croire ?
Croire c'est placer notre confiance dans quelqu'un ou quelque chose. C'est un verbe d'action qui implique une décision délibérée. On choisit de croire, ou on choisit de ne pas croire. Les deux impliquent donc une décision.
Au sens biblique, le mot croire engage les profondeurs de notre coeur, et pas seulement de nos esprits. Lorsque nous croyons en Dieu, nous lions les réalités mentionnées plus haut avec l'engagement d'ancrer notre espérance dans la Personne de Jésus.
Lorsque nous croyons, nous répondons à l'Amour de Dieu pour nous. Cet Amour est si profond, qu'il englobe tout ce que Dieu a fait pour nous et tout ce qu'Il attend de nous. Jésus désire passionnément que nous soyons entiers dans notre relation avec Lui.
Comment faire cet acte de foi et apprendre à connaître Dieu ?
Tout d'abord, il faut comprendre que nous sommes séparés de Dieu par nos propres péchés. Le gouffre nous séparant de Dieu est à la fois large et profond. C'est le résultat du péché d'Adam et d'un défaut fatal hérité dès la naissance. A cause de cela, nous avons vécu notre vie indépendamment de Dieu. La Bible souligne cette triste réalité : "Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3. 23). C'est pourquoi nous avons besoin d'un Sauveur !
Deuxièmement, il faut comprendre qui est Jésus, et ce qu'Il a fait pour nous. Jésus a construit un pont au-dessus de ce gouffre qui nous sépare de Dieu. Il est venu sur terre en tant que Fils de Dieu. Il est né d'une vierge. Il a vécu une vie sans péché, est mort et a été enseveli. Il est revenu à la vie le troisième jour et quarante jours après Il est monté au Ciel où Il est devenu à la fois Christ et Seigneur.
Jésus-Christ est le seul qualifié pour être le parfait remède à nos péchés. Ce qu'Il a fait satisfait pleinement aux exigences du seul Dieu trois fois Saint. Comme l'apôtre Jean a dit : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).
Se repentir et croire :
Et pour finir, il faut se repentir et croire ! Nous démarrons une relation nouvelle et personnelle avec Dieu lorsque nous nous repentons et croyons en Lui.
Se repentir sincèrement, c'est dire à Dieu : "Dieu, aide-moi. Je veux me tourner vers toi et me détourner de la vie que j'ai vécue indépendamment de toi. Je regrette qui j'ai été et ce que j'ai fait, et je désire changer de façon permanente. Je reçois le cadeau du pardon de mes péchés et de la vie éternelle que tu m'offres".
Croire, c'est affirmer pour nous-mêmes la réalité que Jésus est le Fils de Dieu, Celui qui est mort pour nos péchés et ressuscité pour notre justification. C'est recevoir Jésus comme Seigneur et Sauveur personnels.
Voici une promesse de Dieu pour tous ceux qui croient en Lui : "Mais à tous ceux qui l'ont reçu, à ceux qui croient en Son nom, il a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu" (Jean 1. 12).
(2) Jésus Christ nous suffit pleinement
« Que le Seigneur de la paix vous donne lui-même la paix... » (2 Thessaloniciens 3. 16).
Avons-nous besoin de pain ? Nous n’allons pas dans un salon de coiffure ! Désirons-nous acheter un vêtement ? Nous n’entrons pas dans la boutique d’un fleuriste. L’état de notre voiture nécessite t-il une réparation ? Nous ne prenons pas rendez-vous chez un pâtissier.
Chers amis lecteurs et lectrices, Jésus-Christ notre Seigneur se suffit à Lui-même. Rien ne Lui manque. Il n’est pas servi par des mains humaines comme s’il avait besoin de quelque chose. Au contraire, c’est Lui Jésus qui donne à tous les êtres humains la vie, le souffle et tout le reste. Le monde et tout ce qu’il contient est à Jésus.
Pour ce qui concerne les richesses spirituelles, non seulement Dieu les possède, mais Il est tout ce dont nous avons besoin. Toute sa Personne n’est que splendeur et magnificence. Sa beauté parfaite illumine les cieux des cieux.
Il est Amour (1 Jean 4. 8), Lumière (1 Jean 1. 5). Il est le Dieu de toute consolation (2 Corinthiens 1. 3), le Dieu de l’espérance (Romains 15. 13), le Dieu de la persévérance (Romains 15. 5).
La méconnaissance de Dieu était le vêtement qui couvrait de honte la vie chétive de certains membres de l’église de Corinthe. Que ce soit par insouciance, paresse ou négligence, la chrétienté titube sous l’effet ennuyeux de l’illusion et de la cécité spirituelle.
Apprenons donc à connaître parfaitement notre Seigneur Jésus-Christ. Que notre foi s’empare des innombrables richesses de Sa nature divine. Avons-nous besoin de paix ? Approchez-vous de Jésus, le Dieu de paix (Romains 15. 33).
Oui recevons de Jésus-Christ cette grâce qui, en ce jour, comblera notre besoin. Jésus le Fidèle et le Véritable sera à nos côtés aujourd’hui, demain et chaque jour.
Jésus est « le Seigneur de la paix ». Âmes fragiles, Christ nous veut près de Lui. Buvons de cette eau paisible, intarissable que notre Bon Berger réserve à ses brebis. Souvenons-nous de sa promesse, elle est pour nous : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix…Que votre cœur ne soit ni troublé, ni craintif » (Jean 14. 27).
Le Saint-Esprit est un Esprit de paix (Galates 5. 22). Il fera germer son fruit en nous enfants de Dieu. Il le fera croître jusqu’à sa pleine maturité.
La Bonne Nouvelle est un Évangile de paix (Éphésiens 6. 15). Plongeons donc nos regards dans la Parole de Dieu venue d’En-Haut, source merveilleuse, abondante et surnaturelle. « La paix soit avec vous ! » (Jean 20. 21), dit le Christ ressuscité.
(1) Le Don de la paix
« Que le Seigneur de la paix vous donne lui-même la paix... » (2 Thessaloniciens 3. 16).
« Point de paix, a dit mon Dieu, pour les méchants » (Esaïe 57. 21).
Paul, apôtre de la Nouvelle Alliance, s’écrie : « Détresse et angoisse pour toute âme d’homme qui commet le mal » (Romains 2. 9).
La paix ne jaillit pas sur les montagnes de l’orgueil et de l’arrogance ; elle ne coule pas sur les pentes de la haine ; elle n’arrose pas les plaines du vice et de la corruption. Mais la véritable paix règne dans les âmes purifiées de toute souillure. A quiconque se repent et se détourne de ses mauvaises actions, Jésus le Sauveur lui adresse aujourd’hui encore ces paroles de grâce : « Tes péchés sont pardonnés… ta foi t’a sauvée, va en paix » (Luc 7. 48, 50).
La véritable paix est un don de Jésus Christ pour les êtres humains de bien. Elle n’est pas la médaille du mérite chrétien, mais elle est le fruit de la miséricorde divine. L’homme religieux irait-il à la citerne crevassée de sa propre justice ? Elle ne peut produire aucune paix. S’approcherait-il du torrent des bonnes œuvres ? C'est sec et aride.
Quelqu'un qui croit en l'existence de Dieu chercherait-il la paix dans le chemin des abstinences et des mortifications religieuses ou mondaines ? Il le mène dans un désert où règnent le dessèchement, la nudité, la flétrissure, et la mort.
C'est Jésus Christ, le Seigneur de la paix, qui donne Lui-même la paix. Elle ne peut nous être offerte par l’un de nos semblables. Je vous en supplie, ne la cherchez pas auprès de ceux qui ne la possèdent pas ! Certes, au sein de la famille de Dieu, au milieu des enfants de paix, vous trouverez de la tranquillité, de quoi remplir votre cruche d’un peu de repos.
Mais la pleine paix, constante, surnaturelle vient du cœur de Jésus-Christ le Seigneur et le Sauveur du monde. C’est une bonne mesure, tassée, secouée, débordante que votre Seigneur Jésus versera dans votre cœur.
N’est-ce pas déjà mettre un pas dans le chemin de la paix que d’attendre ce don de la part du Seigneur Jésus ? Il ne confie cette charge à personne : ni à un ange, ni à un archange, ni à un chérubin, ni à un séraphin. JÉSUS donne Lui-même la paix, parce que cette paix n’est pas hors de Lui, mais en Lui-même, Lui seul la possède. Elle est son essence même, l’un des traits de sa Personne, l’un des reflets de son caractère, l’une de ses richesses incommensurables. En nous donnant la paix, Jésus se donne Lui-même.
Ô mon âme, vis en Christ ! Sois inondée de sa paix en ce jour !
La Grâce Souveraine de Dieu dans le Salut
LE PLAN PARFAIT DE DIEU
La mort de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, sur la croix et sa Résurrection vise à donner un fondement d'espérance vivante pour le pire des pécheurs ; et les circonstances qui les entourèrent suivirent un dessein sagement conçu pour confirmer cette vérité.
Jésus-Christ, le Prince de la vie, fut « mis au nombre des malfaiteurs » (Ésaïe 53. 12). Il ne mourut pas simplement sur la croix de la mort la plus horrible, mais aussi Jésus fut entouré de la pire des compagnies, crucifié entre deux brigands.
Cela ne se produisit pas par hasard. L’Éternel Dieu l'avait planifié depuis l'éternité et annoncé dans l'Ancien Testament. Dans sa Grâce, il l'avait voulu ainsi pour nous faire savoir que les pécheurs les plus mauvais peuvent être sauvés s'ils se repentent sincèrement de leurs péchés, et reçoivent dans leur vie le seul Dieu Sauveur.
La mort du Seigneur Jésus ne visait donc pas les couches les plus respectables de l'humanité, ou des gens qui se pensent déjà assez bons en eux-mêmes. Si cela était le cas, quel espoir resterait-il pour les criminels notoires, et ceux qui se considèrent comme coupables et dénués de tout mérite ? Il ne leur resterait plus qu’un désespoir complet.
Essayons d'imaginer que des hommes en possession d'une grande réputation de sainteté, tels que Noé, Daniel et Job, aient été crucifiés avec le Seigneur Jésus, il aurait été tout aussi vrai que Jésus serait mis au nombre des malfaiteurs. Cependant, cela n'aurait été d'aucun encouragement pour ceux qui ne sont pas seulement condamnés par la loi de Dieu, mais dont les actions encourent aussi la désapprobation de la société.
De telles personnes pourraient conclure que leur situation est totalement dénuée d'espoir, et finir leur vie dans le désespoir et à la recherche de leurs plaisirs coupables.
La Grâce souveraine de Dieu ne veut pas que cela se produise. C’est pourquoi, Jésus-Christ, le Saint Fils de Dieu, mourut pour tous les êtres humains pécheurs en étant crucifié entre deux criminels. Le meilleur des êtres humains n'a aucun fondement solide pour espérer d'être sauvé en dehors du sang de Jésus versé sur la croix. Et le pire des pécheurs, tant qu'il vit sur la terre, n'a aucune raison de sombrer dans le désespoir. Il n'a qu'à se repentir, abandonner ses péchés, et recevoir le parfait Salut que Dieu offre par le moyen de la foi en Jésus-Christ, .
Sur la croix, nous voyons Jésus-Christ, le Seigneur de la Vie, mourir entre deux criminels, et même emmener avec Lui au Ciel celui qui s'est repenti et qui a placé sa foi en Lui !
Chaque être humain pécheur se tient au même niveau que ce brigand sur la croix en ce qui concerne l'acceptation par Dieu. En réalité, la personne la plus droite qui vive sur terre n’a rien de plus à invoquer devant son Créateur que ce brigand.
Le Salut est tout par grâce, et la Grâce de Dieu est une faveur inconditionnelle. En conséquence, la Grâce de Dieu ne se soucie pas de la moindre différence entre les êtres humains. La Parole de Dieu déclare que tous les êtres humains ont péché (Romains 3. 24). Quiconque cherche le Salut par n'importe quelle autre grâce que celle de la Grâce de Dieu qui sauva le brigand sur la croix sera éternellement déçu.
LE SALUT PAR GRACE
"Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu." (Éphésiens 2. 8).
"Que dirons-nous donc ? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi, tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi. Pourquoi ? Parce qu'Israël l'a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des œuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement, selon qu'il est écrit : Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement Et un rocher de scandale, Et celui qui croit en lui ne sera point confus" (Romains 9. 30-33).
Soit nous croyons que Jésus-Christ est le Don de Dieu pour notre Salut, soit nous croyons qu'un autre moyen peut nous sauver !
Dans ces versets ci-dessus, deux choses sont en opposition : le salut par le moyen de la foi est Jésus-Christ crucifié et ressuscité ; et l'acquisition du salut par la pratique des œuvres de la loi.
La Bible nous montre l'incapacité de l'être humain à se changer lui-même (Jérémie 13. 23). Ce n'est jamais par nos œuvres que nous pouvons être sauvés, mais c'est par la Grâce de Dieu, par le moyen de la foi et cela est un Don de Dieu (Éphésiens 2. 8) ! La foi, c'est autre chose que de croire simplement que Dieu existe, que d'appartenir à une religion. La foi vient de la Parole de Dieu (voir Romains 10. 17).
Ce qui nous sauve, ce n'est pas le fait d'avoir été baptisé, car le Salut doit précéder le baptême (Marc 16. 16 ; 1 Pierre 3. 21). La volonté de Dieu, c'est que vous parveniez à la repentance et à la foi (2 Pierre 3. 9 ; Romains 10. 8).
La foi nous amène à Dieu, elle nous amène dans la grâce et nous détache de toute notion de mérite. Chers lecteurs et lectrices, croyez-vous au Seigneur Jésus ! Voulez-vous de Jésus-Christ aujourd'hui ? Si ce n'est pas encore fait, acceptez-vous de Lui confier dès maintenant votre vie entière pour qu'Il vous purifie de tous vos péchés et pour qu'Il sauve votre âme perdue ? Je prie pour que vous ayez déjà reçu dans votre vie Jésus Christ comme votre seul Seigneur et Sauveur. AMEN !!!