la mort
L'Évangile est pour les vivants
« Il est réservé aux hommes de mourir une fois... et après cela le jugement » (Hébreux 9. 27). « Il y a une saison pour tout... Il y a un temps de naître, et un temps de mourir » (Écclésiaste 3. 1, 2).
Bien des gens s'attendent à ce qu'on s'occupe de leur âme après la mort. Quelques uns même, qui ne se sont guère occupés d'elle pendant leur vie, conscients d'une fin prochaine, laissent des instructions au sujet de leur enterrement et même de la cérémonie religieuse. Au cours de celle-ci, il sera tout à fait convenable qu'on évoque les grands sujets habituels : Dieu, l'éternité, le pardon des péchés, la grâce, la vie éternelle. Hélas, de cette prédication, le défunt ne pourra plus profiter. Quant à ceux qui seront venus l'accompagner jusqu'à la tombe, pourquoi raisonneraient-ils autrement que le faisaient autrefois leur ami disparu ? En se disant : "Nous sommes vivants, Dieu soit loué, l'au-delà ne nous concerne pas encore ! l’Évangile, c'est l'affaire des morts ; nous nous en inquièterons quand ce sera notre tour, le plus tard possible, de passer de l'autre côté".
Mais que personne ne s'y trompe, il sera alors trop tard. On lit souvent sur les faire-part mortuaires : "Priez pour lui" ou " Priez pour son âme". C'est une illusion, car si celui qu'on enterre n'a pas accepté le Salut par la Grâce de Dieu, de Jésus, pendant le temps de sa vie sur la terre, il ne lui sera plus donné l'occasion de le faire dans l'au-delà.
L’Évangile n'est pas pour les morts, il est pour les vivants, donc pour vous et pour moi, pour que nous soyons sauvés pour toujours de tous nos péchés en plaçant toute notre confiance en Jésus. Oui, écoutons-Le ; c'est bien à nous que Dieu parle.
Où passerons-nous l'éternité après la mort ?
Jésus a dit à ses disciples : « Dans la maison de mon Père il y a plusieurs demeures.., je vais vous préparer une place. Et... je reviendrai, et je vous prendrai auprès de moi... Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie : nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14. 2-6)
Jésus est mort sur la croix pour effacer tous nos péchés et Il est ressuscité. Quand nous mettons notre confiance en Lui, Il nous donne la Vie Éternelle. Oui pour nous les enfants de Dieu, Jésus nous a préparé notre place dans le Ciel, dans la maison de notre Père Céleste.
Nous sommes-nous posés la question à savoir où passerons-nous l'éternité après la mort de notre corps humain ?
D'après les statistiques, chaque jour en vingt-quatre heures, une immense foule de près de 200.000 êtres humains meurent et quittent cette terre . Et où vont-ils ? « Qu'est-ce que votre vie ? Elle n'est qu'une vapeur paraissant pour un peu de temps et puis disparaissant » (Jacques 4. 14). « La vie n'est qu'un souffle » (Job 7. 7)
À quel âge meurt-on ? Tu dois bien admettre qu'il n'y a pas d'âge, car même des bébés meurent. À quel âge mourras-tu ? Comment le savoir ? Si tu devais mourir aujourd'hui, où irais-tu ? Au ciel avec Jésus, le lieu du bonheur éternel ? Ou loin de lui, dans le lieu les tourments éternels de l'Enfer ? « Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3. 36)
Illustration :
Plus que dix secondes à vivre !
Il regarde sa montre : il est 9 heures. Dans moins d'une demi-heure il sera à la maison.
Ah ! s'il savait qu'il ne lui reste plus que 10 secondes à vivre, que ferait-il ?
9 secondes. Il voyage depuis des heures et se sent très fatigué. Il se frotte les yeux.
8 secondes. Il pleut. La route est détrempée. C'est à peine si on la voit dans la lumière des phares.
7 secondes. Les essuie-glaces n'arrivent plus à évacuer toute cette eau.
6 secondes. Les phares des voitures d'en face éblouissent.
5 secondes. À une vitesse de 80 km/h, la voiture parcourt presque 23 mètres par seconde.
4 secondes. Que se passe-t-il ? Une masse émerge de la pluie et de la nuit : un camion mal éclairé, qui roule lentement.
3 secondes. Il freine désespérément.
2 secondes. Que faire ? Donner un coup de volant ? Non ! des voitures de tous côtés !
1 seconde. Il heurte le poids lourd et ouvre la bouche pour crier ...
Plus une seconde à vivre ! Il meurt, il est entré dans l'éternité !
« Il est réservé à l'homme de mourir une fois, et après cela, le jugement. » (Hébreux 9. 27)
Tout être humain est pécheur, perdu. Et « le salaire du péché, c'est la mort. » La mort ? C'est l'absence de relation entre Dieu et l'être humain, comme un grand gouffre entre les deux. C'est ce que mérite celui qui, par rébellion ou indifférence, tourne le dos à Dieu. « Mais le don de grâce de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur » (Romains 6. 23), c'est une relation d'amour et de vie avec mon Père céleste et son Fils Jésus Christ. Pour qui ? Pour celui qui croit en Jésus ; il « ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie. » (Jean 5. 24)
La mort n'est pas le dernier mot. Elle n'est pas le point final. Elle n'est qu'un passage, vers où ? Vers la lumière ou les ténèbres, selon que tu as ou non écouté et suivi Jésus, le Fils de Dieu :
- Lumière, bonheur et joie infinie pour ceux qui sont du côté de Jésus le Vainqueur, le Ressuscité d'entre les morts, « la mort ne domine plus sur lui » (Romains 6. 9). Car par Lui « la mort a été engloutie en victoire » (1 Corinthiens 15. 54). « Notre Sauveur Jésus Christ a annulé la mort et a fait luire la vie… par l'évangile » (2 Timothée 1. 10)
- Mais ténèbres, nuit, jugement et horreur éternelle en Enfer, pour celui qui ne connaît pas le Fils de Dieu comme son Seigneur et Sauveur : « Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. » (1 Jean 5. 12)
Nous vous en supplions : Choisissez Jésus, choisissez la vie.
Une belle mort !
"Précieuse, aux yeux de l’Éternel, est la mort de ses saints" (Psaume 116. 15).
"La mort a été engloutie en victoire. Où est, ô mort, ton aiguillon ? où est, ô mort, ta victoire ?" (1 Corinthiens 15. 54, 55)
Une belle mort ! : Voici l'appréciation que donnait une personne interviewée à propos du décès d'un de ses amis. Cette personne voulait dire par là que son ami n'avait pas connu une longue agonie à sa mort, mais qu'il était parti soudainement et sans souffrance. Certes, nous préfèrerions tous que nos proches partent sans souffrir. Seulement, le plus important n'est pas la manière dont quelqu'un meurt, mais plutôt sa relation avec le seul vrai Dieu qui s'est révélé en Jésus, au moment où il quitte cette terre.
Quelles que soient les circonstances de son départ, un être humain qui a vécu sur la terre sans se soucier du seul vrai Dieu, sans accepter son don gratuit de la Vie Éternelle en son Fils Jésus, ne peut pas avoir une belle mort. Il s'en va vers le seul Dieu trois fois Saint qu'il a méprisé et négligé pendant toute sa vie sur la terre ; et Dieu lui demandera des comptes.
Et comme pendant sa vie sur la terre, cet être humain n'a pas accepté le pardon de ses péchés que Dieu lui offrait en Jésus, à sa mort son âme va déjà souffrir dans les ténèbres du séjour des morts, loin de Dieu, attendant le Retour de Jésus pour le Jugement dernier.
En revanche, la Bible, qui est la Parole de Dieu, présente la mort des vrais croyants en Jésus comme le résultat d'une Victoire, celle de Jésus Christ. Pour eux, la mort est une porte qui s'ouvre dans le Paradis, car dès leur mort, leur âme va connaître le parfait bonheur éternel d'être dans la présence de Jésus, Celui qui les a aimés jusqu'à donner sa vie sur la croix pour eux. La présence de Jésus dans le ciel fait que les vrais croyants en Jésus y arriveront comme chez eux et ils y habiteront pour toujours. Pendant leur vie terrestre, ils étaient des étrangers sur la terre. Si douloureux que puisse être le départ d'un vrai croyant, la mort et la résurrection de Christ en font une arrivée triomphale dans le repos et une délivrance finale. Que peut craindre alors le vrai croyant en Jésus lorsqu'il quitte cette terre ? - Rien du tout. Si l'on peut trembler à l'idée de se présenter devant un juge, le vrai chrétien ne craint pas de rencontrer le seul vrai Dieu qui est son Père céleste !
Deux manières de naître, vivre, mourir, ressusciter
NAÎTRE :
« Si quelqu'un n'est né d'eau et de l'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair; et ce qui est né de l'Esprit est esprit » (Jean 3. 5-6).
C'est une étrange parole, mais une parole vraie, une parole de la Bible, une parole du Seigneur Jésus Christ. Il existe donc bien deux naissances, deux manières de naître.
Nous avons tous fait notre entrée dans le monde de la même façon, par la naissance hors du sein maternel. Jésus, le Fils de Dieu, s'y est lui-même assujetti lorsque, pour nous sauver, il a revêtu notre humanité.
Mais à côté de cette naissance naturelle, le Seigneur Jésus parle d'une "Nouvelle Naissance", celle "de l'Esprit", c'est-à-dire la réception de la vie éternelle et divine par laquelle l'être humain entre dans la famille de Dieu. Que faut-il faire pour l'obtenir ? L'accepter comme un don gratuit que Dieu fait à celui qui se repent et qui croit en Jésus le Sauveur, mort sur la croix pour porter ses péchés.
« Qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3. 36). Vous n'avez pas choisi de naître dans le monde ; par contre votre naissance dans le Royaume de Dieu dépend aujourd'hui de votre acceptation. « Il vous faut être nés de nouveau » (Jean 3. 7).
VIVRE :
« Afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité » (Jésus Christ) (2 Corinthiens 5. 15).
Notre existence se partage entre des obligations et des loisirs, qui varient suivant les milieux, les aptitudes, les goûts de chacun.
En réalité, la Bible ne reconnaît que deux manières de vivre. La première consiste à vivre pour soi, à vivre sa vie. Autrement dit à considérer celle-ci comme un bien personnel, un capital qu'on entend dépenser à son gré sans que cela regarde personne. Faisons le point honnêtement ! Cette vie-là nous a-t-elle apporté tout ce que nous en attendions ?
Mais Dieu nous invite, après avoir cru en Lui, à vivre pour Jésus-Christ. La satisfaction du moi a été remplacée par un nouveau but : En tant que chrétiens enfants de Dieu, Je vis désormais pour Jésus mon Créateur, à qui j'appartiens, que j'aime, et dont par conséquent je désire faire Sa volonté. En m'aimant au point de mourir pour moi sur la croix pour me sauver, Jésus s'est acquis des droits sur mes affections. Si désormais ma propre volonté qui me menait au désastre est remplacée par la sienne, bonne et sage, ce n'est pas comme une pénible servitude mais comme la joyeuse réponse de mon amour au sien. Seule cette vie-là est une vie remplie, une vie heureuse. « Pour moi, vivre c'est Christ », disait l'apôtre Paul (Philippiens 1. 21).
MOURIR :
Jésus leur dit : « C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8. 24). « Bienheureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Apocalypse 14. 13).
Quelles que soient les causes de décès recensées par les statistiques, que l'on meure dans son lit, à l'hôpital, sur la route, à la maison... il n'y a d'après la Bible que deux manières de mourir. La première, effrayante, est réservée aux incroyants. "Si vous ne croyez pas que c'est moi, (Jésus, le Fils de Dieu) vous mourrez dans vos péchés". Mourir dans ses péchés, c'est se présenter devant Dieu, qui est Saint, comme un coupable devant son Juge, avec la certitude de la condamnation. Les péchés oubliés ou minimisés (mais que Dieu a fidèlement enregistrés) seront un jour replacés sous les yeux de chacun. Pas d'avocat devant ce Tribunal, mais seulement un Juge inflexible, et qui sait tout.
Mais la Grâce de Dieu a accordé au croyant en Jésus de pouvoir mourir d'une autre manière. "Mourir dans le Seigneur", c'est être revêtu de Sa parfaite Justice qui seule met à l'abri de la condamnation.
Ce ne sont pas les gens les plus coupables qui iront en Enfer, mais ceux qui n'auront pas voulu croire. Et ce ne sont pas les gens les plus honorables qui auront place au Ciel, ce seront ceux, et ceux-là seuls, qui par la foi en Jésus seront morts dans le Seigneur.
RESSUSCITER :
« L'heure vient en laquelle tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix; et ils sortiront, ceux qui auront pratiqué le bien en résurrection de vie, et ceux qui auront fait le mal en résurrection de jugement » (Jean 5. 28, 29).
Que la résurrection des morts heurte ou non la raison humaine, elle est un fait prouvé par la résurrection de Jésus Christ et une vérité fondamentale de la Parole de Dieu (1 Corinthiens 15). Ce qui est encore moins compris et accepté, c'est qu'il ne se produira pas une, mais deux résurrections.
La résurrection de vie est promise à ceux qui ont reçu par grâce la vie éternelle : (qui permet seule de pratiquer le bien). Quand retentira, bientôt, le cri de commandement du Seigneur Jésus Christ, la mort devra Lui rendre ceux qui Lui appartiennent. Ils sortiront du tombeau avec un corps glorieux et s'en iront "à la rencontre du Seigneur dans les airs", pour être "toujours avec le Seigneur" (1 Thessaloniciens 4. 17).
La seconde résurrection aura lieu beaucoup plus tard. Elle est appelée résurrection de Jugement parce que tous ceux qu'elle concernera auront à comparaître devant le Trône du Juge Souverain (le Grand Trône Blanc) pour y répondre de leurs péchés et entendre leur condamnation.
Deux manières... qui caractérisent deux catégories de personnes et deux seulement. De laquelle ferez-vous partie ?
(2) Ne pas s'affliger face à la mort comme les autres
(2) Ne pas s’affliger comme les autres :
Quand une personne que nous avons aimée vient à mourir, il est normal de ressentir de la tristesse, car nous éprouvons une sorte de perte. Même si nous ne connaissions pas intimement le défunt, la douleur que nous lisons dans les visages de ses proches peut nous toucher et faire couler quelques larmes. La mort ne représente pour nous chrétiens qu’une séparation temporaire de nos bien-aimés en Christ. En plus, nous trouvons du réconfort dans la confiance que ceux qui nous ont devancés ne souffrent pas; au contraire, ils sont bénis : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent » (Apocalypse 14. 13).
Tout comme notre espérance chrétienne vainc la peur, elle adoucit la tristesse. Mais ce n’est pas simplement parce que nous reconnaissons l’autorité de Dieu que nous pouvons accepter ses décisions concernant la vie et la mort; nous avons, en plus, l’assurance de sa Justice et de son Amour. Quoiqu’il arrive dans notre vie, nous pouvons être certains d’une chose : Dieu nous aime. Il se peut que nous ne comprenions jamais pourquoi tel événement douloureux s’est produit, mais une chose est sûre : Si Dieu ne nous aimait pas, il n’aurait jamais envoyé son Fils unique pour qu’on le maltraite et l’humilie, pour qu’il souffre et meure sur une croix pour nous. Un tel amour est insondable et indéniable.
Dieu a le droit d’appeler en jugement n’importe qui à n’importe quel moment. Il n’agit pas injustement quand Il le fait. Supposons que Dieu « fait mourir » (rappelle à Lui) un jeune chrétien qui avait devant lui, à nos yeux, toute une vie de joie et de service à rendre dans l’Église. Nous pouvons être sûrs que ce jeune ne se lamentera pas dans l’au-delà de tout ce qu’il n’a pas eu l’occasion de vivre ici sur la terre. Comme Paul l’a dit: « J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur » (Philippiens 1. 23).
(3) Pèlerins sur cette terre :
Une idée qui revient souvent dans la Parole de Dieu est que nous sommes de passage dans ce monde et que nous ne devons pas trop nous y attacher (1 Pierre 2. 11 ; Hébreux 13. 14 ; Philippiens 3. 19, 20 ; Matthieu 6. 19-21). Nous rappeler que nous sommes là pour peu de temps nous aide à fixer les yeux sur notre destination finale et à supporter les difficultés et les privations de cette vie, sachant que « les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Romains 8. 18).
Conclusion :
Parfois, on entend quelqu’un parler d’une situation où une vie a été en danger. Si la personne n’est pas morte, même si elle a été blessée ou doit se contenter d’une santé qui sera toujours fragile, on se console en disant qu’elle a pu « éviter le pire ». Certes, il y a dans une telle situation de quoi remercier Dieu. En même temps, le chrétien devrait reconnaître que la mort n’est pas du tout « le pire » qui puisse arriver; au contraire, elle permet au fidèle d’entrer dans le bonheur parfait et éternel au Paradis. Le pire, c’est le fait de mourir dans un état de rébellion contre son Dieu. Ce n’est que dans le cas où il vit dans l’infidélité que le chrétien devrait craindre la mort. Ce n’est donc pas la mort qui est l’ennemi; c’est le péché.
La réalité de la mort tout autour de nous devrait nous amener à vivre de telle manière que nous soyons prêts pour le Jugement. La philosophie du monde est « Mangeons et buvons, car demain nous mourrons » (1 Corinthiens 15. 32). L'espérance des chrétiens est que la mort est pour eux un gain, mais elle leur rappelle aussi l’urgence de la mission que Dieu leur confie tant qu’ils sont sur la terre : « Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps. Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes » (2 Corinthiens 5. 8-11).
(1) Ne pas craindre face à la mort
La réalité de la mort :
Il n’y a pas de réalité plus universelle que la mort. Nous devons faire face à la mort de personnes qui nous sont très chères, et chacun de nous doit faire face à la certitude de sa propre mort. Dans certaines cultures, on évite à tout prix d’en parler ou d’y penser. C’est un sujet qui met beaucoup de gens mal à l’aise. La mort provoque souvent la peur, le désespoir, la tristesse profonde et un sens de futilité. Même ceux dont l’existence sur terre est devenue très pénible à cause de la douleur, la solitude, ou d’autres circonstances difficiles souhaitent rarement que la mort vienne plus vite. Ils s’accrochent à la vie de façon tenace. Et quand la mort frappe nos bien-aimés, on réagit tantôt avec des pleurs et d’autres manifestations de détresse émotionnelle, tantôt dans l’engourdissement, tantôt dans la colère ou l’indignation.
Sur le plan émotionnel, le chrétien peut ressentir dans un premier temps les mêmes émotions que quiconque lorsque la mort le menace ou lui arrache, surtout de façon inattendue, une personne qu’il aime. Mais quand sa foi aura repris le dessus, quelle sera son attitude à l’égard de la mort ? Jésus-Christ a-t-il changé de façon fondamentale notre manière de penser et même de réagir émotionnellement à cette réalité universelle qu’est la mort ?
Oui, la résurrection de Jésus a tout changé :
L’apôtre Paul affirma que « notre Sauveur Jésus-Christ… a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile » (2 Timothée 1. 10). Le Christ a détruit, ou aboli, la mort, non en faisant que les êtres humains ne meurent plus, mais en démontrant que la mort n’est pas l’état final de l’être humain. La résurrection de Jésus garantit la nôtre (1 Corinthiens 15. 20-22). Jésus s’est montré plus puissant que la mort, et Il nous dit que « le jour vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement » (Jean 5. 28, 29).
Il est clair que le vrai chrétien enfant de Dieu est très béni par la Victoire de Jésus sur la mort. En parlant de notre résurrection future, l’apôtre Paul écrit en 1 Corinthiens 15. 54-57 : « Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. Ô mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! »
Voyons donc trois attitudes ou comportements, qui n’ont plus vraiment de place en nous qui sommes en Jésus-Christ.
1) Ne pas craindre :
Avant la mort et la résurrection de Jésus, Satan avait comme arme « la puissance de la mort », mais Jésus est venu dans le monde afin « de délivrer tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2. 14, 15).
D’où vient cette crainte de la mort ? Peut-être qu’on a peur de l’inconnu; peut-être qu’on a peur de perdre ce qu’on aime : ses conforts, ses proches, son activité dans le monde, les choses pour lesquelles on a tant lutté pendant sa vie ; peut-être qu’on a peur de la condamnation au Dernier Jugement. Le chrétien fidèle sait que, grâce au Seigneur Jésus, il a la promesse de la vie éternelle avec Dieu. Car « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1). Jésus dit : « En vérité, en vérité, je vous dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement (sous la condamnation), mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24). Si nous croyons vraiment à cette Bonne Nouvelle que nous prêchons, nous pourrons avoir l’attitude exprimée par l’apôtre Paul dans Philippiens 1. 21-24. Paul n’avait peur ni de ce que la vie lui réservait, ni de la mort. Mais à cause de sa foi aux promesses de Dieu, il était convaincu que la mort était préférable. Au lieu de l’éviter à tout prix, il était prêt à accueillir la mort avec joie quand le Seigneur Jésus déciderait que le moment était venu.
Dans un autre passage, il exprime la même confiance, celle que tout chrétien fidèle devrait démontrer dans sa vie : « Nous savons, en effet, que, si cette tente ou nous habitons sur la terre (notre corps) est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste… Nous sommes donc toujours pleins de confiance, et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur » (2 Corinthiens 5. 1, 2, 6, 7).
A SUIVRE...
Échappée sur l'au-delà
"En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie. En vérité, en vérité, je vous dis : L'heure vient, et c'est maintenant, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront" (Jean 5. 24-25).
Dans le récit de l'homme riche et de Lazare, (Luc 16 : 19-31) Jésus lève un coin du voile qui nous cache l'au-delà. Il n'y est pas question du moyen de salut que le riche a négligé et que Lazare a saisi. Il ne s'agit pas non plus d'une rétribution basée sur le faux principe que plus nous souffrons sur la terre, plus nous aurons de mérites pour entrer au ciel.
Par ce récit, le Seigneur Jésus nous apprend qu'à la mort, soit notre âme entre dans le repos près de Jésus au Paradis, dans un bonheur parfait et éternel, soit elle s'en va loin de Lui dans les regrets et les tourments éternels en enfer.
Ensuite, Jésus nous montre que rien ne pourra plus changer notre condition après la mort : “Un grand gouffre est fermement établi” entre le séjour bienheureux des vrais croyants en Jésus le seul Sauveur, et le séjour des morts où se trouvent tous ceux qui auront refusé ou négligé le salut gratuit que Dieu offre en Jésus seul. Ni les prières, ni les offrandes des vivants ne peuvent plus rien pour les morts, pas plus que les souhaits des morts ne peuvent aider les vivants. Quand l'âme d'un être humain quitte le corps, elle entre dans le domaine de l'éternité.
Un troisième enseignement est que l'incroyant aura conscience du bonheur éternel de ceux qui sont sauvés ; il regrettera et mesurera ainsi sa folie d'avoir rejeté le salut gratuit que Dieu lui offrait gratuitement en Jésus Christ. Autrement dit, si l'existence d'un lieu de purification n'a pas de fondement biblique, l'enfer par contre est une réalité effrayante plusieurs fois mentionnée dans la Bible, pour quiconque n'aura pas accepté le Salut gratuit que Dieu offre en Jésus seul.
C'est dans son Amour que Jésus nous a révélé ces vérités, car le sort éternel de notre âme se décide pendant notre vie sur la terre : “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé” (Actes 16. 31).
Attitude devant la mort
La vie d'ici-bas ? C'est une brume passagère, une fleur qui s'épanouit, sèche et tombe ! La mort ? Certains veulent l'occulter, éviter d'y penser. Et pourtant, personne ne pourra s'y soustraire. D'autres y pensent avec angoisse et épouvante. Ce sentiment est naturel : la mort n'est-elle pas appelée “le roi des terreurs" ? (Job 18. 14).
Si nous la craignons tant, est-ce parce que nous devons quitter ce monde, tout laisser, et en particulier ceux que nous aimons ? Ou bien suscite-t-elle la peur de l'inconnu, de ce qu'il y a après la mort ? Car tout ne s'arrête pas à la mort, comme beaucoup pourraient le croire !
Qui pourrait répondre à toutes les questions que se posent ceux qui sont préoccupés par l'au-delà ? La Bible, Parole de Dieu, déclare : « Le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don de la grâce de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus » (Romains 6. 23). Ainsi, Jésus ressuscitera celui qui a mis sa confiance en lui et en son sacrifice, pour qu'il soit toujours avec Lui au Paradis, car Christ a fait “luire la vie” ; il est mort pour nous donner la vie. Dieu l'a ressuscité pour que nous soyons déclarés justes (Romains 4. 25). C'est une certitude pour ceux qui ont accepté le salut que Dieu offre en son Fils Jésus Christ. Aujourd'hui encore, Dieu accorde à ceux qui acceptent sincèrement Jésus dans leur vie, le pardon et le salut, la paix de l'âme et une espérance vivante (1 Pierre 1. 3). Tous ceux qui sont sauvés par la foi véritable en Jésus-Christ et en son parfait sacrifice à la croix n'ont pas à craindre la mort, ni ce qu'il y a après la mort.
Chèr(e)s ami(e)s lecteurs, il ne faut pas rejeter le don de Dieu, celui de la Vie Éternelle en son Fils Jésus-Christ !
L'au-delà / Pour être prêt pour l'au-delà
On trouve déjà les expressions « shéol » dans l’Ancien Testament et « hadès » dans le Nouveau Testament. Elles désignent le lieu invisible où vont les âmes des êtres humains après la mort. Dans l’Évangile, le Seigneur Jésus lève Lui-même le voile sur l’Au-delà et montre la situation de deux hommes après leur mort. L’un est dans une position d’intimité avec Abraham (dans le sein d'Abraham), ce qui est le plus grand bonheur pour un Juif ; l’autre est dans les tourments (dans le séjour des morts), n’ayant pensé qu’à profiter de la vie sans s’inquiéter ni de Dieu, ni de son avenir (voir Luc 16).
Ce n’est qu’après la mort et la résurrection de Jésus-Christ que l’au-delà s’illumine d’une clarté particulière ; en effet, le Nouveau Testament nous parle de la part bienheureuse des vrais croyants en Jésus (des enfants de Dieu) après la mort : « Déloger et... être avec Christ, ... cela est de beaucoup meilleur » (Philippiens 1 : 23) ; « absents du corps... présents avec le Seigneur » (2 Corinthiens 5 : 8).
Déjà au brigand repentant sur la croix, Jésus dit : « Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 : 43). Étienne, le premier martyr chrétien a vu le ciel ouvert, la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu (Actes 7). L’apôtre Paul dit qu'il connaît un homme qui a été enlevé jusqu’au troisième ciel et y a entendu des paroles merveilleuses que le langage humain n’est pas capable d’exprimer (2 Corinthiens 12). Le troisième ciel nous parle de la demeure de Dieu, de Dieu révélé dans sa plénitude, comme Père, Fils et Saint Esprit. Dans le premier ciel, nous pouvons voir le ciel créé, le ciel des astres ; dans le deuxième ciel se trouvent les lieux célestes, le monde invisible où sont les anges.
L’au-delà est donc caractérisé par deux endroits bien différents qui sont : - le Paradis, le Ciel, la maison du Père, et aussi - l'Enfer, les ténèbres de dehors, un lieu de tourments, la seconde mort.
- La mort :
Le corps retourne à la poussière et « l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné » (Ecclésiaste 12 : 7). La mort ne règle rien. De nombreuses personnes cherchent à se persuader que tous leurs problèmes prendront fin lorsqu’elles mourront, mais la mort ne règle pas la question du péché, et elle ne met pas non plus fin à la misère du pécheur. Elle met un terme à l’orgueil et aux prétentions de l’être humain. C’est donc sur la terre que l’être humain est responsable de se mettre en règle avec Dieu. S’imaginer qu’il aura encore une possibilité de le faire après la mort est une illusion du diable. Au moment où un être humain expire, meure, quitte ce monde, son sort est définitivement fixé (soit il va au Ciel, soit il va en Enfer).
- Recevoir le Salut, la Vie Éternelle, pour être prêt pour l'au-delà :
Il n’y a pas de remède contre la mort, mais le Dieu d’amour, le seul Dieu Vivant et Vrai, offre, sans exception, à tous ceux qui croient en Lui, un moyen de Salut : Jésus Christ. « Il n’y a de salut en aucun autre, car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel... par lequel il nous faille être sauvés » (Actes 4 : 12). Seul le Dieu trois fois Saint, Celui contre lequel nous avons péché, peut nous délivrer parfaitement du fardeau et du châtiment de notre péché. Seule la mort de Jésus-Christ sur la croix pouvait payer la dette écrasante du péché et nous acquérir le pardon divin. N'oublions pas que Jésus est aussi ressuscité, Vivant éternellement.
Aucune souffrance, aucune pénitence, aucun pèlerinage que fait un être humain, ne peut effacer un seul péché. « Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1 : 7).
Le salut, la vie éternelle, est un don du Dieu d’Amour ; il ne s’acquiert ni par l’argent, ni par des œuvres méritoires, mais par la repentance et la foi au Seigneur Jésus-Christ. Il est donc à la portée de tous. Pour celui qui a confessé ses péchés et mis sa confiance dans le Seigneur Jésus, la mort, vaincue par Jésus Christ qui est devenu son Sauveur, n’est plus qu’une servante qui l’introduit dans la présence de Jésus où il attend en paix la résurrection. Celle-ci aura lieu quand Jésus reviendra. Les bienheureux rachetés, revêtus d’un corps glorieux, seront alors pour toujours avec le Seigneur.
- Nous supplions pour Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !
Dans l’Au-delà, le monde avec tous ses intérêts, son agitation et ses illusions aura passé. Pour celui qui ne connaît pas le Seigneur Jésus-Christ comme son Seigneur et son Sauveur personnel, après la mort, c’est l’attente de la résurrection et du Jugement éternel en Enfer. Selon Apocalypse 21 : 8, tous les pécheurs qui ne se seront pas repentis auront leur part « dans l’étang brûlant de feu et de soufre, qui est la seconde mort ». « Là seront les pleurs et les grincements de dents » (Matthieu 24 : 51).
Jésus Christ désire sauver chaque être humain de ses péchés et de l'Enfer. « Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19 : 10). Et le bon Berger dit de ses brebis : « Je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 : 10). « Le Fils de l’homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés » (Marc 2 : 10). « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé » (Actes 16 : 30, 31).
Pour toujours avec toi dans la maison du Père,
Jésus Christ, mon Seigneur et mon Sauveur, qui t’es livré pour nous !
Avec toi dans l'éternité, Dieu de paix, d’amour et de lumière ;
Oh, quel repos Céleste !
(1) Que savez-vous de la mort ?
« Y a-t-il un homme qui puisse vivre et ne pas voir la mort ? » (Psaume 89 : 49)
« Tout va dans un même lieu ; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière » (Écclésiaste 3 : 20)
Chaque être humain doit savoir que tôt ou tard, son corps humain devra mourir et que son âme va aller vivre dans l'au-delà, dans l'éternité ; soit au Paradis, soit en Enfer. Le corps s’arrêtera de fonctionner et sera enterré dans un cercueil, ou d'une autre manière selon les coutumes.
Depuis toujours, les êtres humains ont essayé d'éclaircir et de connaître ce mystère qu'est la mort : juste quelques années à vivre et puis plus rien, ou bien qu'arrive-t-il après la mort ?
Jésus, le Fils de Dieu, nous l'explique tout simplement : « Ne vous étonnez pas de cela; car l'heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront, ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement » (Jean 5 : 28-29)
Pour nous qui sommes enfants de Dieu, qui vont être ressuscités pour la Vie Éternelle auprès de Dieu dans la gloire, « il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son corps » (2 Corinthiens 5 : 10).
Tous ceux qui sont morts dans leurs péchés (tout homme, femme ou enfant qui ait jamais vécu sur la terre) vont être ressuscités des morts pour le Jugement et seront jugés par Dieu pour tout ce qu'ils auront fait durant leur vie : « Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts (la tombe) rendirent les morts qui étaient en eux ; et chacun fut jugé selon ses œuvres » (Apocalypse 20 : 12-13). « Car il est écrit : Je suis vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, et toute langue donnera gloire à Dieu. Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même » (Romains 14 : 11-12).
Jésus nous dit ce qui arrivera à ceux qui auront fait le mal : « Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges » (Matthieu 25 : 41). « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang (ardent) de feu » (Apocalypse 20 : 15).
Ceci est la Parole de Dieu. Elle est ferme et elle est conséquente ! Beaucoup de personnes dans ce monde disent que tout cela est ridicule, mais nous ne devons pas être trompés par eux – notre vie éternelle dans l'éternité est en jeu.
La Bible dit que tous ont péché (Romains 3 : 23). Également, quiconque ne reçoit pas le parfait pardon de Dieu en Jésus-Christ récoltera le fruit de ses péchés. Tous les êtres humains qui ne mettent pas leur confiance en Jésus pour être sauvés vont subir éternellement la mort éternelle (c'est la seconde mort). Ils vont exister éternellement en Enfer en étant tourmentés de siècles en siècle, en Enfer, « leur ver ne meurt point, et le feu ne s'éteint point » (Marc 9 : 44).
A SUIVRE...