la mort
Des réponses claires
Il existe des questions que l'intelligence humaine ne peut pas répondre et qui sont cependant d'une importance capitale. Dieu seul peut y répondre, et Il le fait dans sa Parole, la Bible.
D'abord, celle-ci : Comment les êtres humains, qui sont tous pécheurs, passibles d'une juste condamnation, peuvent-ils être pardonnés de manière à être en paix avec le seul vrai Dieu trois fois Saint ? – En croyant et se confiant en Jésus-Christ qui “a fait la paix par le sang de sa croix” (Colossiens 1. 20). C'est alors que l'on est né de nouveau à travers le Saint Esprit qui nous scelle de son sceau, on reçoit le pardon de nos péchés et on a une relation personnelle et vivante avec Dieu.
Seconde question : Que se passe-t-il après la mort ? - Dieu seul peut y répondre et Il le fait.
Dieu distingue deux classes d'êtres humains qui sont :
- Ceux qui sont nés de nouveau qui sont sauvés de tous leurs péchés par leur foi au sacrifice parfait de Jésus-Christ le seul Sauveur.- Et ceux qui sont perdus et morts dans leurs péchés parce qu'ils négligent ou n'acceptent pas l'unique don de la vie éternelle en Jésus pour le pardon de leurs péchés.
Dieu connaît ceux qui ont cru en Jésus Christ et ceux qui demeurent incrédules en ne croyant pas en Jésus : toute la différence est là, et c'est capital.
- Pour ceux qui ont cru en Jésus, à la mort, leur âme s'en va près de Jésus, dans la lumière de la Gloire de Dieu au Ciel, en attendant la résurrection de leur corps au Retour de Jésus-Christ. (Hébreux 12. 23). Avec leurs corps glorifiés, il régneront éternellement avec Jésus dans son Royaume de gloire.
- Pour tous les autres qui ne sont pas sauvés, hélas, plus d'espoir de salut, mais dès leur mort, leur âme va et demeure déjà dans les ténèbres et les tourments du Séjour des morts en attendant le Retour de Jésus pour une éternelle condamnation en Enfer (Voir Luc 16. 22b-23).
Le monde voudrait plus de nuances, plus de variété dans les choix offerts. Mais c'est pourtant bien ainsi ; Dieu est Souverain, et aucun penseur ou philosophe ne Lui imposera son système. Le seul vrai Dieu nous a révélé cela parce qu'Il est le Dieu Sauveur qui nous aime tous et nous appelle chacun à “choisir la vie” en croyant en son Fils Jésus Christ.
Tel est l'Amour de Dieu : “Qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle” (Jean 3. 36).
Ne pas avoir peur de la mort
“Et que sert-il à un homme de gagner le monde entier, s’il perd son âme ?” (Marc 8. 36)
Le fait d’avoir peur de la mort montre que l’être humain est conscient qu’il existe une vie après la mort. La Bible révèle que l’être humain est un être spirituel qui habite dans un corps (1 Thessaloniciens 5. 23). Certains ont tout fait pour étouffer de plusieurs manières cette réalité de la mort.
Ecclésiaste 3. 11 nous dit que Dieu a mis dans le cœur de l’être humain la pensée de l’éternité. L’être humain sait alors qu’il aura à rendre compte à Dieu de sa vie terrestre (Romains 14. 12).
La crainte du jugement préoccupe le cœur de l’être humain. Hébreux 10. 27 confirme cela : « Comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois après quoi vient le Jugement ».
Mais, il y a une bonne nouvelle pour tous sans exception, pour ceux qui doivent faire face à une mort imminente, pour ceux qui ont une maladie en phase terminale, pour ceux qui sont condamnés à mort par un tribunal humain ou qui pensent mettre fin à leurs jours. Cette Bonne Nouvelle est que QUICONQUE croit et place toute sa confiance en Jésus-Christ et en Son œuvre parfaitement accomplie sur la croix, est passé de la mort à la vie (Jean 5. 24). Nous les enfants de Dieu pouvons avoir l’assurance au jour du Jugement parce que nous avons cru dans le parfait Amour de Dieu en acceptant et en recevant son Fils Jésus-Christ dans notre cœur comme seul Seigneur et Sauveur.
Un être humain a peur de la mort parce qu’il est conscient d’être un pécheur qui rendra compte à Dieu son Créateur. Oui, nous rendrons tous compte de notre vie au seul vrai Dieu trois fois Saint. Pourtant Dieu, dans Son parfait Amour pour chacun de nous êtres humains, a envoyé Son Fils Jésus-Christ pour mourir à la croix pour nos péchés (Voir 1 Jean 4. 10). Ensuite Jésus est ressuscité et Il vit et règne éternellement. Sachons aussi qu'avant de ressusciter Lazare, Jésus avait dit a Marthe : “ Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort” (Jean 11. 25).
Jésus de Nazareth, ressuscité d’entre les morts, est reconnu dans les Cieux comme Christ et Seigneur de tous. Le croyant en Jésus possède déjà ici-bas la vie éternelle en Jésus. Voilà les deux grands points quant à la délivrance de la crainte de la mort. Pour le croyant en Jésus, la vie éternelle lui a été donnée. Et il a déjà été introduit, réellement, par la foi, dans la présence de Dieu et de Christ. Jésus-Christ, dans la Gloire, du lieu où Il est, s’est fait connaître à nous tous enfants de Dieu comme ayant le pouvoir de nous vivifier et en Jésus, nous avons déjà reçu la vie éternelle. Par contre, celui qui ne connaît pas Jésus Christ ressuscité d’entre les morts n’est pas de Lui et a toutes les raisons d'avoir peur de la mort. Car après la mort, il ira en Jugement pour rendre compte à Dieu de tous ses péchés, dans le Séjour des morts, puis, à la fin des temps, dans l'Enfer éternel.
L’apôtre Paul dit : « Nous sommes pleins de courage et nous aimions quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur » (2 Corinthiens 5. 8).
Les enfants de Dieu sont remplis d’espérance parce qu’ils ont cru dans l’œuvre et dans le sacrifice de Jésus qui est mort à la croix pour leurs péchés et ressuscité afin de les sauver, de les justifier et de les donner la vie éternelle par le moyen de la foi en son précieux Nom. L'apôtre Paul dit aussi : « Je suis pressé de deux cotés, j’ai le désir de m’en aller et d’être avec le Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur » (Philippiens 1. 23).
S’il y a lieu pour les êtres humains d’avoir peur de la mort, c’est surtout de la « seconde mort » qu’il faut vraiment craindre. Mais à propos de nous enfants de Dieu, la Bible dit : « Heureux et saints, ceux qui ont part à la première résurrection car la seconde mort n’a pas de pouvoir sur eux » (Apocalypse 20. 6). Or la seconde mort, c’est l’étang de feu (Apocalypse 20. 15). C'est exister éternellement en Enfer dans d'horribles souffrances et de remords. Et c’est "la où il y aura des pleurs et des grincements de dents" (Mathieu 25. 30).
Cependant, il y a une Bonne Nouvelle pour tous les êtres humains ; et il ne faut pas désespérer. Il faut simplement se repentir de tous ses péchés, s'en détourner, placer toute sa confiance en Jésus-Christ et ne vivre que pour sa Gloire. « Heureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Apocalypse 14. 13). Car le salaire du péché c’est la mort mais le don gratuit de Dieu c’est la vie éternelle en Jésus-Christ (Romains 6. 23).
Tout se résume en cette parole de l’apôtre Paul : « Christ est ma vie, la mort m’est un gain » (Philippiens 1. 21). AMEN !!!
Réponses bibliques à propos de la mort
La mort est un sujet qui fait très peur aux pécheurs non-sauvés au point que la Bible l'appelle le « roi des terreurs » (Job 18. 14). Mais c’est une nécessité d’en parler. Il est donc urgent de considérer sérieusement ce sujet d’une importance capitale qui nous concerne tous sans exception.
QU'EST-CE QUE LA MORT ?
La mort est le Jugement de Dieu à l’égard du péché. Elle est mis en contraste avec « la vie éternelle », « car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus » (Romains 6. 23).
La mort physique est la séparation de l’âme (et de l’esprit) du corps. Le corps retourne à la terre en poussière et l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné (Ecclésiaste 12. 7).
La mort spirituelle est la séparation d’avec Dieu : état de l’être humain pécheur après la chute en Éden, étranger à la vie de Dieu. "Nous étions tous morts dans nos fautes et dans nos péchés" (Éphésiens 2. 1). C’est un état dans lequel il n’y a aucun espoir, à moins que Dieu ne vivifie (Ephésiens 2. 5b).
La mort éternelle est la séparation définitive d’avec Dieu pour les rebelles à Dieu, pour les non croyants en Jésus. Elle est appelée aussi la “seconde mort“ (Apocalypse 20. 14).
POURQUOI LA MORT ?
Quand Dieu créa l’être humain, il le plaça dans le jardin d’Éden (jardin de délices) où il pouvait profiter et manger tout ce qu’il désirait, mais Dieu le mit à l’épreuve en lui défendant de manger du fruit de la connaissance du bien et du mal ; car, dit-Il, « le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2. 17).
En mangeant du fruit défendu, désobéissant ainsi à son Créateur, l’être humain devint pécheur, et toute sa descendance a hérité de cette nature pécheresse. « Car le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23). « C'est pourquoi, comme par un seul homme , e péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi, la mort s’est étendue sur tous les hommes du fait que tous ont péché… » (Romains 5. 12).
QU'Y A T-IL APRÈS LA MORT ?
« Il est réservé aux hommes de mourir une fois… » (Hébreux 9. 27a). Personne ne peut contester cette affirmation biblique, mais le point d’interrogation se trouve après la mort. « L’au-delà, c’est l’inconnu », dites-vous peut-être. En êtes-vous sûr ? Et si c’est l’inconnu, comme vous dîtes, ne trouvez-vous pas irresponsable de ne pas chercher à le connaître ? Ou préférez-vous ne pas y penser ? On a d’ailleurs raison d’avoir peur. Le verset biblique cité plus haut a cette suite : « Il est réservé aux hommes de mourir une fois, ET APRÈS CELA, LE JUGEMENT » (Hébreux 9. 27).
Non, tout n’est pas terminé au moment de la mort. Si le corps retourne à la terre, « l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné » (Ecclésiaste 12. 7), pour y entendre une appréciation et y recevoir une rétribution. Oui, après la mort, chacun ira soit au Paradis dans la vie éternelle avec Dieu, avec Jésus Christ, soit dans le Séjour des morts puis, à la fin des temps, en Enfer dans la mort éternelle en compagnie du Diable.
COMMENT SE PRÉPARER FACE A LA MORT ?
La vie de l’être humain se présente comme un grand compte à rebours. Ces années, ces jours, ces minutes qui passent, et dont le nombre diminue implacablement jusqu’au zéro brutal, et la mort survient. Combien de jours nous en reste-t-il à vivre dans ce monde ? NOUS N’EN SAVONS RIEN, et c’est justement ce qui doit nous inciter à nous préparer aujourd’hui à ce face à face solennel avec le seul vrai Dieu, auquel il faudra rendre compte. Dieu Lui-même nous y invite : « Prépare-toi à rencontrer ton Dieu » (Amos 4. 12). De quelle manière ? En devançant le jugement, c’est-à-dire en confessant spontanément à Dieu nos péchés et en acceptant son pardon, le salut gratuit acquis pour nous par l’Œuvre de Jésus Christ accomplie parfaitement à la croix, car « Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures » (1 Corinthiens 15. 3).
Celui qui a mis sa confiance en Jésus-Christ peut envisager sans aucune inquiétude sa propre mort. Car il est prêt, et n'a pas de crainte concernant la mort. Le Jugement et la condamnation qu’il attendait dans l'au-delà ont déjà été portés par son Sauveur Jésus Christ. Ainsi « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ » (Romains 8. 1). Pour le croyant en Jésus, la mort est l’entrée dans une vie éternelle bienheureuse où il goûtera sans fin le repos, la paix et le bonheur infinis.
Si ce n'est pas encore fait, ne voulez-vous pas, chers lecteurs et lectrices, régler maintenant le grave et grand problème de votre éternité en acceptant simplement le salut que Jésus nous offre et dont Il a Lui-même payé le prix sur la croix ?
Personne ne connaît ni le jour ni l’heure de sa propre mort. Celle-ci peut arriver à tout moment, sans préavis. C’est pourquoi, c’est le moment, maintenant, de s’y préparer, de se mettre en règle avec Dieu, en recevant par la foi, Jésus comme son Seigneur et Sauveur personnel. « Voici, c'est maintenant le temps favorable, voici, c'est maintenant le jour du salut » (2 Corinthiens 6. 2).
L'ÉTERNITÉ EST LA DESTINÉE DE CHAQUE ÊTRE HUMAIN :
La mort est la porte qui s’ouvre sur l’éternité... et le temps favorable de notre vie sur terre est bien court à côté de l’éternité qui ne finira jamais... Éternité de bonheur avec Jésus dans le Paradis pour tous ceux qui, s’étant repentis, ont mis leur pleine confiance en Lui. Éternité de malheur dans l'Enfer éternel en compagnie de Satan et ses anges, à tout jamais loin de Dieu pour ceux qui n’auront pas cru (Voir Matthieu 25. 41).
La mort est vaincue
Par Amour pour les êtres humains, Dieu a décidé de mettre un terme à cette spirale infernale qu'on appelle la mort, la mort éternelle, pour quiconque croit au sacrifice parfait de Jésus sur la croix et reçoit Jésus Christ dans sa vie comme seul Seigneur et Sauveur personnel. Il fallait que Dieu Lui-même s'engage à mettre un terme à cette situation qu'aucun être humain ne peut maîtriser.
À la croix, Jésus, le Fils de Dieu, a décidé d'affronter notre pire ennemi qui est la mort. "Jésus Christ s'est livré pour nos péchés afin de nous arracher à ce monde du mal" (Galates 1. 4). Vrai Dieu et vrai homme, Jésus entre dans la situation d'abandon total, dans le désespoir dernier qui était jusque là notre seul sort à cause de nos péchés. Sur la croix, Jésus porta nos péchés et accepta d'affronter la mort et Il la subit seul. Plus encore, Jésus combattit la mort et l'anéantit complétement et définitivement. Le matin de Pâques proclame la Victoire parfaite du Christ : Jésus-Christ a vaincu la mort. La mort est morte et n'a plus de pouvoir pour tous ceux qui sont en Jésus-Christ. La vie n'est plus limitée par la mort, mais c'est la mort qui est à présent limitée par la vie.
A l'absence totale de relation avec le seul vrai Dieu qu'engendre le péché, succède, pour tous ceux qui deviennent enfants de Dieu par la foi en Jésus, une création nouvelle dont Jésus-Christ est le premier-né. La mort n'est plus car elle est éternellement vaincue par notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Oui, avec le Seigneur Jésus-Christ, toute situation de péché à expier et de mort est arrêtée et annulée au profit de la Vie nouvelle et éternelle qu'Il accorde à tous ceux qui croient véritablement en Lui. La croix, à l'origine lieu de mort et de condamnation, devient maintenant symbole de Victoire et d'espérance vivante pour tous ceux qui ont cru au sacrifice parfait de Jésus-Christ. Alors la mort devient objet de railleries : "la mort a été engloutie dans la victoire. Mort où est ta victoire ? Mort où est ton aiguillon ?" (1 Corinthiens 15. 54 et suivants).
Être prêt pour la mort
Nous êtres humains, ne sommes-nous jamais posé cette question de savoir ce qu’il y a après la mort ? Y a-t-il une autre vie, ou bien est-ce la fin ? Et si il y a une vie après la mort, alors où irons-nous ?
Peut-être pensons-nous avoir le temps avant de nous occuper de notre salut, mais si la mort arrivait tel un voleur, où irons-nous ? Sommes-nous sauvés et lavés de tous nos péchés pour que nous puissions aller au Paradis après la mort ? Savons-nous que si nous ne sommes pas nés de nouveau en recevant le Seigneur Jésus dans notre vie, c'est l'Enfer qui nous attend après la mort de notre corps humain ?
L’être humain est un être à part dans la création, il a été créé en 3 dimensions : corps, âme et esprit. Notre corps est appelé à mourir un jour que ce soit de vieillesse, d’une maladie, d'un meurtre, d'un accident ou encore d'un suicide. Cependant l’âme et l’esprit ne peuvent mourir : la maladie, la vieillesse ou tout autre chose ne peut détruire notre âme et notre esprit car ils sont éternels.
Quand Dieu créa l’être humain, Il le créa pour avoir une communion et une relation vivantes et personnelles avec lui tel un père avec son enfant. Dieu créa l'être humain avec une intelligence et surtout avec libre arbitre. Ce libre arbitre causa la perte d’Adam et de Eve qui choisirent de désobéir à Dieu.
Mais Dieu dans son Amour, voulant établir une nouvelle relation avec sa création, donna en sacrifice parfait son Fils unique Jésus Christ qui porta sur Lui tous les péchés du monde à la croix et les expia pour nous. Pour nous tous qui avons placé notre confiance en Jésus et en son parfait sacrifice, le sang précieux de Jésus versé sur la croix nous purifie de tout péché.
Dieu, notre Créateur qui nous aime, veut que nous ayons une relation personnelle et vivante avec Lui, une relation d’un père à son enfant. Cette relation est possible aujourd’hui grâce au sang de Jésus qui a coulé à la croix et qui a payé largement le prix de tous nos péchés passés, présents et futurs. Le sang précieux de Jésus nous purifie de tous nos péchés (1 Jean 1. 7b).
Aujourd’hui, Dieu notre Créateur donne le choix à chaque être humain :
- ou bien nous pouvons choisir d’accepter ce que Jésus a fait sur la croix pour nous sauver et de le recevoir dans notre vie pour que nous puissions être prêts pour la mort sachant que nous irons au Paradis, dans le bonheur éternel ;
- ou bien quiconque néglige ou refuse de recevoir le Seigneur Jésus dans sa vie pour le pardon de ses péchés ira après la mort dans l'étang ardent de feu qu'est l'Enfer, pour y subir éternellement la Colère du seul vrai Dieu trois fois Saint qui hait le péché. Tous ceux qui subiront cette seconde mort en Enfer y seront horriblement tourmentés physiquement, et spirituellement.
Sachons que c’est le choix entre la vie éternelle et la mort éternelle, et que c'est en croyant et en plaçant notre confiance en Jésus-Christ que l'on peut recevoir son Salut, c'est-à-dire la Vie Éternelle auprès de Lui.
Alors chers lecteurs, êtes-vous chacun prêt pour la mort de votre corps humain ? Êtes vous prêts à entrer dans l'éternité ? Le jour est venu pour chaque être humain, avant qu'il ne soit trop tard, de choisir d'accepter Jésus et aller au Paradis pour l'éternité, ou de le rejeter et aller en Enfer pour l'éternité.
La porte de l'éternité
La perspective de la mort devrait conduire chaque être humain à se mettre, sans délai, en règle avec le seul vrai Dieu de l'Univers envers qui chaque être humain a contracté une dette si lourde qu'il ne peut l'acquitter.
Pour être débarrassé de la dette de nos péchés, il suffirait pourtant, nous le savons, de croire en Jésus, d'accepter qu'Il a payée parfaitement pour nous sur la croix. C'est de cette manière que nous recevons la quittance définitive du paiement de tous nos péchés et être ainsi en règle avec Dieu.
Mais, quand la mort frappera à la porte d'un être humain sans qu'il ne soit en règle avec Dieu, ce sera trop tard pour lui : il faut obligatoirement qu'il aille devant le Grand Trône Blanc, pour qu'il comparaîsse devant Jésus le Juge suprême pour y répondre de ses péchés et l'entendre prononcer une condamnation sans appel. Oui, pour celui qui n'appartient pas à Jésus, cette condamnation sera une éternité de souffrances et de remords éternels en Enfer.
Pour le vrai croyant en Jésus, la mort revêt plutôt l'aspect d'une porte qui s'ouvre pour le faire entrer dans la Gloire éternelle de Dieu auprès de Jésus, dans le Paradis, dans la glorieuse Demeure de Dieu. À la mort, le corps du vrai croyant en Jésus est déposé en terre, mais son âme et son esprit sont introduits dans le Paradis, dans la présence de Jésus, attendant la résurrection de son corps qui aura lieu au Retour de Jésus Christ pour enlever son Eglise.
Le vrai chrétien devenu enfant de Dieu qui vit par la foi en Jésus n'éprouve pas de terreur à se présenter à la porte de l'éternité. Il sait aussi que la présence de Jésus le bon Berger, ses soins et sa miséricorde l'accompagneront toujours.
Au reste, le vrai croyant en Jésus n'attend pas la mort, mais il attend le Seigneur Jésus-Christ Lui-même, son Sauveur qui vient bientôt chercher tous ceux qui Lui appartiennent, pour les faire entrer dans Sa gloire. Alors vivons réellement dans cette attente, en nous réjouissant, mais aussi en pensant à la joie du Seigneur Jésus rassemblant enfin pour l'éternité ceux qu'Il aime.
Ne plus craindre la mort
La crainte est une peur qu'on ressent face à une personne ou à un élément plus fort que soi. De toutes les craintes, celle de la mort est la plus angoissante. D'ailleurs, elle est appelée « le roi des terreurs » (Job 18. 14).
En réalité, cette épouvante (cette crainte de la mort) en cache une autre, consciente ou non : celle du Jugement du péché. Dieu révèle en effet que la mort définitive d'un être humain est l'épreuve symbolique d'une « seconde mort » : la mort éternelle que les êtres humains pécheurs méritent de souffrir en Enfer à cause de leurs péchés. Ceux qui osent affronter leur conscience morale entendent alors ces vérités de la Bible, la Parole de Dieu : - « Tous ont péché » (Romains 3. 23a), et - « le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23a). - « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27).
L'idée du Jugement après la mort terrifie les êtres humains pécheurs qui ne placent pas toute leur confiance en Jésus. Ils cherchent à l'éviter en oubliant leur mortalité. Mais les distractions qu'ils inventent échouent. Alors, ils se créent des vertus : c'est-à-dire ils se rendent esclaves de cette crainte par toutes sortes de règles morales ou religieuses. Ils tentent d'obtenir par leurs propres efforts la justification ainsi que le pardon de leurs péchés qui ne peuvent s'obtenir que par la Grâce de Dieu. En vain, les êtres humains pécheurs essaient et essaient encore, se plaçant ainsi « sous le joug de la servitude ». Ils cherchent à se sauver eux-mêmes alors que Dieu leur propose de les gracier gratuitement par le sacrifice de son Fils Jésus-Christ qui a déjà tout accompli.
Victoire sur la mort : délivrance de la servitude
Satan use et abuse de sa « puissance de mort », mais il est déjà vaincu par Jésus-Christ. Satan est le terrible procureur qui réclame la peine capitale et le jugement éternel sur le pécheur. Mais la Grâce de Dieu innocente totalement celui qui accepte par la foi le don gratuit du Salut en Jésus. La Grâce de Dieu s'est manifestée par Jésus-Christ qui « a détruit les conséquences spirituelles de la mort et a mis en évidence la vie et l'immortalité par l'Évangile » (2 Timothée 1.10). « La mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15. 54). Cette Victoire, c'est la résurrection de Jésus-Christ, le Fils de Dieu ; et par elle, Jésus nous délivre de notre servitude pour que nous vivions la liberté chrétienne (Galates 5. 1).
« Ainsi donc, puisque les hommes participent au sang et à la chair, Christ y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable, et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2. 14-15).
Grâce à Jésus, la mort n'a plus aucun pouvoir sur nous :
Pour nous tous qui croyons réellement en Jésus et qui sommes devenus des enfants de Dieu, nous ne craignons donc pas la réalité spirituelle de la mort, car, ayant déjà reçus le Seigneur Jésus dans notre vie ainsi que le pardon de tous nos péchés, nous sommes en règle avec Dieu pour toujours, nous sommes passés de la mort à la vie et la seconde mort n'a plus aucun pouvoir sur nous. Nous ne perdons plus jamais notre temps à mériter notre justification devant Dieu, puisque celle-ci nous a été gratuitement donnée grâce à l'oeuvre parfaite de Jésus-Christ sur la croix. Par la foi, nous les enfants de Dieu savons que nous sommes désormais divinement aimés et protégés par la toute Puissance de Jésus-Christ qui vit aux siècles des siècles et qui a l'autorité finale sur la mort (Apocalypse 1. 18). Oui, nous ne vivons plus sous la crainte du Jugement, puisque l'Amour parfait de Dieu, prouvé à la Croix, nous assure de notre glorieuse éternité avec Dieu dans sa Gloire au Paradis éternel. « L'amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment » (1 Jean 4. 18).
C'est pourquoi, comme Jésus-Christ a triomphé des plus terribles angoisses de la mort, nous sommes conviés à ne pas demeurer dans l'anxiété. Face à la mort et à ce qu'elle représente, nous les enfants de Dieu s'appuyons sur notre foi en Christ Jésus : nous vivons en paix. Et même malgré les épreuves de la vie, nous avons l'assurance de la présence de Dieu en nous, grâce à Jésus notre Sauveur : « Parce qu'il a lui-même souffert dans l'adversité, il peut aider ceux qui traversent une épreuve. » (Hébreux 2. 18, traduction libre)
« Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent. » (Psaumes 23. 4)
La mort spirituelle
Dieu avait formellement interdit à Adam et Eve de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal sous peine de mort (Genèse 2. 7). Cependant, la proposition du serpent était tellement alléchante que nos premiers parents n’ont pas pu y résister. « Dieu sait, leur dit il que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le ma » (Genèse 3. 5). Eve prit de son fruit et en mangea, elle en donna aussi à son mari qui était à côté d’elle et il en manga. Dès lors, la mort est entré dans le monde, et s’est répandue sur toute la race humaine.
Même si la mort physique n’a pas été immédiate, puisque Adam a vécu plus de neuf cent ans après cet évènement ; cependant, la mort spirituelle les a frappé de plein fouet au moment de leur désobéissance.
La mort peut être physique, c’est l’état définitif du cœur qui cesse de battre, l’arrêt irréversible des fonctions vitales de l’être humain. Mais elle peut être aussi spirituelle.
La mort spirituelle, c’est l’état de l’être humain naturel, séparé de Dieu par sa désobéissance. C’est une conséquence du péché, une cessation de vie entre l'être humain et Dieu. C’est la raison pour laquelle Adam et Eve vont fuir la présence de Dieu le Créateur après l'avoir désobéi. Le péché en effet, nous éloigne de Dieu. Il occasionne une perturbation dans notre relation avec Dieu.
Selon l’apôtre Paul, dans son épître aux Romains 8. 6, la mort consiste surtout dans le fait de vivre pour la chair. La chair, c’est notre nature humaine, elle a de gros appétits, et lorsque l’on cède à ses caprices, cela nous entraîne vers une déchéance morale mais surtout spirituelle.
Dans l’épître de Paul aux Galates, il nous donne un échantillon des aliments dont raffole la chair (Galates 5. 19…).
"On ne peut servir deux maîtres à la fois, car ou on haïra l’un, et aimera l’autre, ou on s’attachera à l’un et méprisera l’autre" (Matthieu 6. 24). Nourrir la chair de tous les vices, et autres plaisirs qu’elle réclame, c’est un mépris à l’égard du seul Dieu trois fois Saint. La chair a simplement des désirs tout à fait contraires à ceux de l’Esprit Saint de Dieu.
L’être humain pécheur y prend du bon temps, il n’y voit rien de mal à vouloir profiter de la vie. La mort ne semble pas avoir d’incidence sur lui, car pour lui, il pense que les mises en garde du Seigneur Jésus ne le concernent pas. Tant qu’il respire, tant qu’il a le souffle de vie, il ne réalise pas que la mort spirituelle a déjà commencé son œuvre de destruction dans sa vie.
La mort spirituelle c’est une rupture de communion avec Dieu. Même si nous gardons les signes extérieurs d’une vie chrétienne sans intimité avec Dieu, c’est la mort. Outre la séparation d’avec Dieu, la mort spirituelle a d’autres conséquences, dont la fermeture de tout accès à la gloire de Dieu (Romains 3. 23).
La mort spirituelle nous éloigne de Dieu de façon définitive, aussi bien maintenant dans cette vie, mais pour l’éternité dans l'Enfer éternel. Être privé de la gloire de Dieu, de sa présence et de ses bienfaits, ce sont les conséquences de la mort spirituelle qui conduit à la mort éternelle dans l'horrible Enfer.
Avons-nous conscience de ce que nous perdons pour bénéficier d’un court instant de plaisir sur cette terre. Le prix à payer pour notre péché est considérable. Cependant, Dieu n’a pas voulu que nous demeurions dans la mort éternellement, il a prévu un moyen pour que nous reprenions éternellement vie en Jésus-Christ.
Le péché étant la cause de cette séparation d’avec Dieu le Créateur, Dieu Lui-même nous propose d’en être lavé et pardonné. Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous les pardonner. Puissions-nous saisir cette main tendue du Seigneur Jésus pour échapper aux conséquences irréversibles de la mort spirituelle dans notre vie.
Toussaint ?
Peut-être honorons-nous la mémoire d'un de nos proches en nous rendant régulièrement au cimetière. Celui dont nous fleurissons la tombe a probablement lui-même honoré la mémoire de ses ancêtres. Ces soins témoignent de notre fidélité et de notre respect pour le mystère de la vie et de la mort. Mais nous ne pouvons rien changer au sort de celui qui nous a quitté... Dieu seul l'appréciera dans sa parfaite justice. Par contre pour nous qui vivons sur la terre, tout n'est pas réglé puisque nous avons la possibilité de nous mettre en règle avec Dieu si ce n'est pas encore fait. Car plus tard, à une échéance plus ou moins brève, c'est notre mémoire qu'on honorera peut-être. En effet nous n'irons pas toujours aux enterrements des autres. Lorsqu'on entretiendra notre tombe, plus personne ne pourra rien pour notre salut. Le choix que nous aurons fait durant notre vie sera définitif. Aucune cérémonie n'y changera rien.
Si un être humain quitte ce monde sans avoir accepté pour lui-même le salut que Dieu lui offre en Jésus Christ, alors il passera l'éternité loin de Lui dans l'Enfer éternel. "Celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu" (Jean 3 : 18).
Mais si un être humain meurt en paix avec Dieu, alors s'appliquent pour lui les promesses de la Parole de Dieu : "Il n'y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ" (Romains 8 : 1). Après avoir quitté ce monde, il ira directement au Ciel, au Paradis, dans la présence de son Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Oui, notre position éternelle dans l'éternité se décide pendant notre vie. Il est essentiel de régler notre avenir par rapport à Dieu. Nous avons besoin d'un Sauveur plutôt que d'une religion. Recevons Jésus comme seul Seigneur et Sauveur de notre âme.
A quelle date ça sera ?
Nous savons, bien sûr, la date de notre naissance. Mais il est deux dates que nous ne connaissons pas : la date de notre mort et celle du Retour du Seigneur Jésus Christ. Et pourtant, ces deux échéances sont d'une importance majeure, car l'une ou l'autre marquera la fin de notre temps sur la terre et le début de notre avenir éternel qui sera soit au Ciel, au Paradis, soit en Enfer.
Que tout être humain doive mourir un jour peut paraître certaine ou banal pour certains, mais quelles que soient les contradictions de la philosophie à la mode, nous devons nous rappeler avec force cette déclaration de la Bible : “Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après cela le jugement” (Hébreux 9. 27). La seconde partie de cet avertissement est aussi certaine que la première. Mais Dieu ne s'en tient pas là, et nous voulons nous rappeler son message de grâce. Jésus a dit : “Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5. 24). Maintenant, nous entendons l'appel de Jésus. Au moment où nous lui répondons simplement, mais de tout notre cœur en lui disant : “Oui, je crois en toi, en ton sacrifice à la croix pour mes péchés et je t'accepte comme mon Sauveur et Seigneur”, alors Jésus nous donne la Vie Éternelle. Naître de nouveau, c'est passer de la mort à la vie. Alors, d'un jour à l'autre, pour ceux qui n'auront pas cru en Jésus, prendra fin le temps favorable, le temps de croire en Jésus, car il sera dit : «Et la porte fut fermée» (Matthieu 25. 10). .
L'autre événement dont nous ne connaissons pas la date, c'est le Retour du Seigneur Jésus lorsqu'Il reviendra pour prendre auprès de Lui tous ceux qui l'ont reçu comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie. Jésus les introduira dans le Paradis éternel où les vrais croyants de tous les temps y régneront éternellement et prendront part à tous ce que Dieu a préparé pour son peuple. Tout sera parfait, la Cité Céleste sera tellement glorieuse et éclatante de beauté que l'on ne peut l'imaginer.
Jésus reviendra aussi une seconde fois à la fin des temps pour juger tous ses ennemis devant le Grand Trône Blanc. Ainsi, Jésus condamnera dans l'Enfer éternel tous ceux qui s'opposent à Lui, tous ceux qui, pendant leur vie sur la terre, ne l'ont pas accepté ou reçu comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie.
Nous, êtres humains, sommes-nous chacun prêts pour le Retour de Jésus ?