Ce qu'est la Croix de Jésus-Christ
Jésus-Christ de Nazareth est mort crucifié au mont Golgotha et est ressuscité, il y a de cela bientôt 2000 ans. Pourquoi, nous êtres humains, avons-nous crucifié Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Saint et parfait, Lui qui nous a révélé ce qu'est le véritable amour, l'Amour de Dieu.
Jésus Lui-même a dit : "Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent" (Matthieu 5 : 44)
Jésus s'est donné Lui-même en sacrifice à la croix et Il a fait cela afin de subir pour nous le terrible Jugement de Dieu et d'expier tous nos péchés. Jésus a dit : "Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi–même ; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre : tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père." (Jean 10 : 18)
Pourquoi faut-il que nos péchés soient expiés ? Car nous avons tous péchés et le péché met une séparation entre nous et Dieu. "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3 : 23)
La croix nous révèle le grand et parfait Amour de Dieu pour nous. "Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle." (Jean 3 : 16). "Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." (Romains 5 : 8)
Voici ce qu'est la croix : La réconciliation de l'humanité avec Dieu, le don merveilleux de Dieu, le salut pour quiconque croit, la victoire sur la mort, le pardon de nos péchés, la victoire sur l'enfer, la porte ouverte vers le ciel, le voile déchiré qui nous permet d'entrer dans la présence de Dieu et dans l'intimité de Dieu, le bonheur de tous les jours et de chaque instant, notre espérance, notre fondement, notre joie, notre rocher, notre rachat, notre libération, notre délivrance du péché, notre victoire, notre vie, notre rédemption, notre guérison et notre Salut. Oui, voilà ce qu'est la croix pour nous.
Que chaque être humain vienne passer par la croix, c'est le seul moyen d'être réconcilié avec le seul vrai Dieu notre Créateur, de Le connaître personnellement. Jésus-Christ est le seul point de contact entre nous et Dieu : "Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." (Jean 14 : 6)
Merci Seigneur Jésus-Christ pour la croix, pour le prix payé, pour mes péchés effacés ! Jésus a pris notre place à la croix du calvaire. Jésus est mort pour nos péchés et Il est ressuscité, Il est l'Agneau de Dieu donné en rançon pour le parfait Salut de chacun d'entre nous qui croyons en Lui.
Le Chemin vers la Vie Éternelle
Nous êtres humains, nous sommes nous déjà demandés quel est le chemin qui mène vers la vie éternelle ? Avons-nous déjà pensé à ce que nous deviendrons une fois notre vie sur terre terminée ?
En tant qu'enfants de Dieu, nous reconnaissons que nous avons péché contre le seul vrai Dieu trois fois Saint, « car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3 : 23). « Nous savons tous que le salaire du péché, c'est la mort. Nous savons tous que nous devons en passer par là, en tant qu'humain. Mais nous savons aussi tous que le don gratuit de Dieu, c'est la Vie Éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur » (paraphrase de Romains 6 : 23).
« Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5 : 8). Jésus a pris sur Lui la punition que nous méritons mais Il est ressuscité des morts trois jours plus tard. Et c'est justement en ressuscitant qu'Il a prouvé sa victoire sur le péché et sur la mort.
La grande miséricorde de Dieu nous a régénéré pour une espérance vivante par la résurrection de son Fils Jésus d'entre les morts. Notre salut en Jésus c'est non seulement la promesse d'être pardonnés, mais c'est aussi la promesse que nous avons reçu la vie éternelle et que nous vivrons avec Jésus dans le Ciel. N'oublions pas que « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique afin que quiconque qui croit en lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16)
Chaque être humain doit croire de tout son cœur et de toute son âme que Jésus-Christ s'est sacrifié pour Lui sur la croix et que Dieu l'a ressuscité des morts ! Nous devons avoir la foi en Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur ! C'est par la grâce de Dieu et la foi que nous sommes sauvés.
Accepter Jésus comme Seigneur et Sauveur est une décision personnelle, c'est une manière d'exprimer à Dieu notre foi en Lui et notre amour pour Lui. Plaçons notre confiance en Jésus-Christ pour notre Salut et montrons à Dieu notre amour pour Lui.
Oui, Jésus est l'unique, le seul et vrai chemin menant à la vie éternelle.
Ce que nous sommes en Jésus-Christ
« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5 : 17).
Dans le verset biblique ci-dessus, le mot traduit par « nouveau » est kainos, qui signifie « quelque chose qui vient d’être fait mais qui ne ressemble à rien d’autre de déjà existant ». En Jésus-Christ, nous sommes entièrement une nouvelle création, tout comme Dieu le fit lorsqu’il créa à l’origine les cieux et la terre - Il les créa à partir de rien, et il fait de même avec nous. Il ne se contente pas de nettoyer notre ancien ‘moi’, mais Il nous fait totalement nouveau. Quand nous sommes en Christ, nous sommes « participants de la nature divine » (2 Pierre 1 : 4). Dieu Lui-même, en la personne de Son Esprit Saint, vient résider dans nos cœurs. Nous sommes en Christ et Christ est en nous.
En Jésus-Christ, nous sommes régénérés, renouvelés, nés de nouveau et cette nouvelle création est de nature spirituelle, tandis que notre vieille nature est charnelle. La nouvelle nature a une vraie relation avec Dieu, elle obéit à Sa volonté et se consacre à Son service et cela la vieille nature est incapable de le faire ni même de le désirer. La vieille nature est morte aux choses de l’esprit et elle ne peut pas se vivifier elle-même. Elle est « morte à cause des offenses et des péchés » (Éphésiens 2 : 1). Au moment où nous venons à Christ et que nous sommes habités par Lui, Jésus-Christ nous donne une nature complètement nouvelle et sainte ainsi qu’une vie incorruptible. Notre ancienne vie, préalablement morte aux yeux de Dieu à cause du péché, est enterrée ; nous sommes alors ressuscités « pour vivre en nouveauté de vie » avec Lui (Romains 6 : 4).
Si nous appartenons au Christ, nous sommes unis à Lui et nous ne sommes plus esclaves du péché ; nous sommes rendus vivants avec Christ (Éphésiens 2 : 5) ; nous sommes rendus conformes à Son image (Romains 8 : 29) ; nous sommes libres de toute condamnation et nous marchons désormais non selon la chair, mais selon l’Esprit (Romains 8 : 1) ; et nous faisons partie du corps de Christ avec les autres croyants (Romains 12 : 5). Le vrai croyant en Jésus possède maintenant un nouveau cœur (Ézéchiel 11 : 19) ; et il a été béni « de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ Jésus » (Éphésiens 1 : 3).
Nous pouvons alors nous demander pourquoi si fréquemment nous ne vivons pas comme le décrit la Bible, même lorsque nous avons donné nos vies au Christ et que nous sommes sûrs de notre salut. Parce que notre ancienne nature (la chair) et notre nouvelle nature en Jésus résident encore dans nos vieux corps charnels et que ces deux-là sont en guerre l’un contre l’autre. La vieille nature est morte, mais la nouvelle nature doit encore se battre contre la vieille « tente » dans laquelle elle réside. Le mal et le péché sont toujours présents, mais les enfants de Dieu les voit maintenant avec une perspective nouvelle et par conséquent ils ne peuvent plus être contrôlé comme par le passé. Car en Jésus-Christ, nous pouvons maintenant choisir de résister au péché, alors que la vieille nature ne le pouvait pas. Désormais, nous avons le choix : soit de nourrir notre nouvelle nature par la Parole de Dieu, la prière et l’obéissance, soit de nourrir notre chair en négligeant toutes ces choses.
Quand nous sommes en Jésus-Christ, « nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés » (Romains 8 : 37) et nous pouvons nous réjouir en notre Sauveur Jésus, qui rend toutes choses possibles (Philippiens 4 : 13). En Christ nous sommes aimés, pardonnés, et en parfaite sécurité. En Christ, nous sommes adoptés, justifiés, rachetés, réconciliés et élus. En Christ nous sommes victorieux, remplis de joie et de paix, et assurés d’une vie qui a pleinement du sens. Quel merveilleux Sauveur est le Christ !!!
Jésus-Christ est notre Sacrificateur
Jésus-Christ s’est acquitté de ses fonctions de sacrificateur en mourant sur la croix pour les péchés de son peuple et en continuant à intercéder pour eux. On parlent généralement de deux fonctions concernant le sacerdoce de Christ : l’offrande en sacrifice (oblation) et l’intercession ; autrement dit, sa mort et ses prières. Chacune dépend de l’autre. Si sa mort n’avait pas eu lieu, son intercession n’existerait pas non plus. En effet, on peut même parler de l’intercession céleste de Christ comme d’un genre d’oblation continue, par laquelle il revendique sans relâche les mérites de son sacrifice auprès du Père pour que son peuple soit sauvé parfaitement.
Tous les médiateurs ne sont pas des sacrificateurs, mais tous les sacrificateurs sont des médiateurs. Christ, grâce aux mérites de sa vie, de sa mort et de sa résurrection, réclame la bénédiction du Père sur Lui-même et sur son peuple. Il n’a qu’à montrer les paumes de ses mains au Père et il reçoit tout ce qu’il demande, selon les promesses qui lui ont été faites.
Jésus a payé la dette du sang, et il s’est offert pour les autres (Hébreux 9. 26 ; 1 Pierre 2. 24). Dans l’Ancien Testament, le souverain sacrificateur entrait dans le lieu très saint et offrait des sacrifices pour le péché du peuple de Dieu (Hébreux 9. 7). Ces offrandes montraient la voie jusqu’au sacrifice ultime en Christ. Jésus est entré pour offrir un sacrifice pour son peuple, mais pas pour lui-même, car lui-même et son sacrifice étaient « sans tache » (Hébreux 9. 14). Quand le souverain sacrificateur entrait dans le tabernacle, il portait les noms des douze tribus sur ses épaules. Christ aussi a porté le nom de ses brebis sur ses épaules alors que le Père le frappait. Ainsi, nous sommes morts avec Christ (2 Timothée 2. 11).
Compte tenu de ces considérations, il faut se souvenir que la mort de Christ, et même la période de sa soi-disant « obéissance passive » (de Gethsémané à la croix), n’était pas le début de son oblation. Sa vie entière et son humiliation sur la terre, où il a vécu sous la loi de Dieu (Galates 4. 4), faisaient partie de son sacrifice sacerdotal. Il en va de même de ses rôles prophétiques et royaux. Tout ce que Christ a fait pour le salut de son Église, il l’a fait en tant que Prophète, Sacrificateur et Roi. Aucun aspect de son œuvre ne peut être exclu de son triple office.
Ainsi, dans son intercession, Jésus est apparu dans le lieu très saint et a plaidé la cause de son peuple devant le Père, sur la base des mérites de sa vie, de sa mort et de sa résurrection. En un sens, son « intercession » inclut sa résurrection, son ascension et son intronisation, puisque toutes ces œuvres sont forcément liées en un tout organique. Une relation est nécessaire entre toutes les actions de Christ, mais la pleine justification des élus « dépend particulièrement » de son intercession : « Tout ce qui est divin contribue à la justification, mais il y a cette différence entre l’influence de sa mort et celle de son intercession pour notre salut : sa mort est… l’acte d’acquisition par lequel il a obtenu notre salut ; mais son intercession… le moyen par lequel il l’applique à nos vies. »
En d’autres termes, l’application de la justification découle non seulement de sa mort ou de sa résurrection, mais aussi de son intercession (Hébreux 5. 8-10) qui poursuit forcément la justification des croyants afin que, justifiés une fois (à la conversion), ils le soient toujours. En effet, nous devons notre position continue dans sa grâce à sa position au Ciel et à son intercession pour nous à chaque moment ».
L’auteur de l’épître aux Hébreux souligne la capacité de Christ d’être un Souverain Sacrificateur compatissant parce qu’il a été tenté lui-même en toutes choses, sans commettre de péché (Hébreux 2. 17-18 ; 4. 15). Il a expérimenté de nombreuses tentations qui l’ont conduit à présenter des prières et des supplications avec des cris et des larmes (Hébreux 5. 7). Nous avons déjà souligné que le sacrifice de sa vie n’a pas seulement consisté dans sa crucifixion, mais aussi dans son obéissance volontaire à la loi de Dieu. Jésus s’est livré à la malédiction de la loi de Dieu dans sa mort (Galates 3. 13), mais sa vie a aussi servi « d’oblation » dans le sens où elle a été une offrande remplie de souffrance et de misère. Sa vie entière a été une vie de souffrance sans péché, ce qui fait de lui le sacrifice parfait : « Il a appris, bien qu’il soit Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes » (Hébreux 5. 8). Cette éducation glorieuse s’est accomplie dans le contexte où il a été méprisé et haï des hommes (Ésaïe 53. 3). La croix a été l’acte final de son obéissance (Philippiens 2. 8) et une « fin » appropriée pour celui qui n’a jamais une seule fois désobéi à son Père céleste. Ainsi, la mort de Christ en tant que sacrificateur a été « une offrande et un sacrifice de bonne odeur » (Éphésiens 5. 2) en raison de la beauté de sa sainteté et de la suprême dignité de sa personne. En tant que sacrificateur exalté, il est en mesure de compatir avec son peuple d’une manière qui dépasse de loin notre compréhension, puisque ses souffrances et ses tentations étaient bien plus profondes que celles que nous expérimentons.
Et enfin, il faut mentionner l’ordre sacerdotal de Christ. Bien qu’il ait été nommé à l’office de sacrificateur, il n’était pas un sacrificateur de la lignée d’Aaron. Il appartenait à l’ordre de Melchisédek (Hébreux 5. 6, 10), le sacrificateur royal mentionné dans Genèse 14. 18-20 et dans le Psaume 110. 4. L’ordre de Melchisédek est éternel et immuable, contrairement à l’ordre d’Aaron. Ainsi, les effets de la mort et l’intercession de Christ ont une valeur éternelle (Apocalypse 22. 1-5). Il est, à jamais, le Dieu-Homme entre Dieu et les hommes.
La loi et la grâce
"Tous les hommes ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3. 24a) ; "car celui qui pèche contre un seul commandement pèche contre toute la loi de Dieu" (Jacques 2. 10). Et : « Le salaire du péché – ou si vous préférez, la condamnation du péché – c’est la mort éternelle » (Romains 6. 23). Comprenez la séparation éternelle d’avec le Royaume éternel de Dieu, c’est-à-dire le Ciel, le Paradis.
Voici exprimée clairement la loi divine. Nos péchés nous accusent et nous condamnent à la perdition éternelle, c’est-à-dire la privation du Ciel, la privation éternelle de la présence de Dieu, donc la peine de mort éternelle. Et ce n’est pas là le lot réservé à quelques-uns d’entre nous, les plus mauvais, les corrompus, les dévoyés. Car lequel d’entre nous n’a pas péché contre un seul commandement de Dieu ? Même le meilleur parmi nous restera un pécheur devant Dieu. Cette loi est sévère, mais la loi des hommes ne l’est-elle pas également ? Et parfois, nous pensons qu’elle ne l’est pas assez.
Mais écoutons la suite, car nous n’avons pour l’instant, parlé que de la loi. « Dieu nous aime », affirme la Bible, « et il veut que tous les hommes soient sauvés et non condamnés » (voir Jean 3. 16). Doit-il pour cela supprimer la loi, donc la condamnation ? Non, pas plus que pour les lois constitutionnelles, car en le faisant, il supprimerait la justice. Qu’a-t-il donc fait ? Et bien, Dieu a prévu de nous gracier. Tout à l’heure, je vous ai cité un texte biblique : « Tous les hommes ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » Mais ce texte a une suite : « Mais ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par la rédemption qui est en Jésus-Christ ». Maintenant : « Vous n’êtes plus sous la loi, mais sous la grâce » (Romains 6. 14b). Seulement attention : C’est dans la mesure où nous avons la foi en Jésus-Christ et que nous avons mis notre vie en règle avec Lui, que nous bénéficions de cette grâce.
La grâce humaine suspend la peine encourue mais ne supprime pas la faute commise. Le condamné gracié demeure un coupable. La grâce divine, elle, supprime la culpabilité. Un texte biblique dit : « Si vos péchés sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la neige » (Esaie 1. 18b). Ils sont donc abolis. Et comment ? Nous l’avons vu il y a un instant : « Par la rédemption qui est en Jésus-Christ ». Et c’est quoi, la rédemption ? C’est la délivrance par le paiement d’un prix.
Et qui est-ce qui paie ? Pas vous, pas moi, puisque nous sommes justifiés gratuitement. Nous n’avons rien à payer. Pas d’argent, pas de sacrifices, pas d’œuvres expiatoires. C’est gratuit pour nous, mais pas pour le Christ Jésus. C’est Lui qui a payé notre grâce par son parfait sacrifice sur la Croix, avec sa chair, avec son sang, avec tout son amour pour nous. Il est mort pour nous sur la croix, Il s’est chargé de nos péchés, Il les a expiés sur la Croix. Ce n’est pas une amnistie comme la grâce présidentielle, c’est une substitution. Le Christ a pris notre place dans la condamnation. Ainsi, nos péchés sont effacés et nous sommes sauvés.
Mais nous ne sommes pas graciés et sauvés sans notre accord. Cette grâce gratuite, nous pouvons l’accepter mais aussi la refuser. Et elle ne peut entrer en vigueur que si elle est acceptée. « Que nul ne se prive de la grâce de Dieu », (Hébreux 12. 15). Hélas, beaucoup de personnes dans ce monde se privent de cette grâce. Et comment cela ? D’abord, en refusant de croire en Dieu, en son Fils Jésus et en son sacrifice expiatoire. Donc, en refusant de croire en la Grâce de Dieu. Souvenons-nous : « Avant que la foi en Jésus-Christ vienne, nous étions enfermés sous la loi » (Galates 3. 23). Et sous la loi, sans la grâce, on reste un pécheur condamné et perdu.
On peut aussi se priver de cette grâce, en refusant de croire qu’on est coupable et condamné. Et cela, en niant la réalité du péché, l’existence du Tribunal divin et la réalité de la sentence. Cette attitude s’appelle l’incrédulité. Et la Bible nous dit : « Les incrédules n’hériteront pas du Royaume de Dieu. » (Apocalypse 21. 8). Et elle ajoute : « Celui qui croit sera sauvé, mais celui qui ne croit pas sera condamné » (Marc 16. 16).
On peut également court-circuiter Dieu en essayant d’expier soi-même nos péchés, par de bonnes œuvres, afin de se racheter. C’est une manière de faire fi du sacrifice parfait du Christ. C’est gratuitement qu'un être humain est racheté par le Fils de Dieu, et c’est là le don de Dieu pour nous. Alors, comment accepter cette grâce ? Nous l’avons dit : En y croyant, en croyant que nous sommes perdus dans nos péchés et en se repentant et en se détournant de tous nos péchés, c'est ainsi que nous sommes sauvés par le pardon divin de Dieu. Des auditeurs de l’apôtre Pierre, après qu’il eût prêché, lui demandèrent : « Que devons-nous faire ? » Et la réponse fut : « Repentez-vous » (Actes 2. 37-38, 41). Alors, ils confessèrent leurs péchés à Dieu, ils lui demandèrent sincèrement pardon. Ainsi s’engagèrent-ils dans la foi et devinrent-ils chrétiens. Cher ami, recevez la grâce de Dieu en remerciant le Christ pour le salut de votre âme.
Avoir la foi dans le Salut en Jésus-Christ
Bien-aimés, il y a une espérance pour tous ceux qui se trouvent dans une situation difficile, et le Seigneur veut nous révéler de quelle manière nous pouvons recevoir la bénédiction dont nous avons besoin ! Nous savons tous que les bénédictions de Dieu ne peuvent être reçues que par la foi, pour que ce soit par grâce.
Toutes les bénédictions divines nous sont assurées par le sacrifice de notre Seigneur Jésus à la croix. Toutes les promesses de Dieu sont OUI et AMEN en Christ ! Mais nous ne pouvons les recevoir que par la foi !
Comprenons bien ceci : il ne s’agit pas de pointer du doigt ceux qui n’arrivent pas à saisir ces bénédictions, ou cette guérison dont ils ont besoin, en les accusant de manquer de foi. Cela ne ferait que les plonger encore plus dans leur désespoir. Il faut plutôt les aider à régler leur problème.
Tout d’abord, il est complètement faux de dire à un chrétien né de nouveau qu’il manque de foi, ou qu’il n’a pas la foi pour être guéri ! En effet, puisqu’il est sauvé, il n’a pu l’être que par la foi en l’œuvre de Christ ! Il a donc bien eu la foi pour être sauvé. Il a été convaincu de péché par le Saint-Esprit, et il a cru que Jésus était mort sur la croix pour expier ses péchés. C’est ce qui lui a permis de recevoir un plein pardon, et de passer par une nouvelle naissance spirituelle.
Toutefois, l’ennemi essayera toujours de nous faire douter de notre salut, en nous faisant penser à quel point nous sommes un mauvais chrétien, à cause de ce que nous venons de faire ou de dire.
Et si nous écoutons ses accusations, si nous les acceptons, Satan pourrait alors plonger notre âme dans des affres d’inquiétude, bien que nous soyons effectivement né de nouveau. Il peut nous faire « ressentir » que nous ne sommes pas sauvés au point de nous envahir d’un esprit de condamnation et de culpabilité.
Le Saint-Esprit doit alors s’employer à nous rappeler que le salut ne s’obtient que par la foi seule, sans aucune autre condition que de croire que Dieu sauve tous ceux qui s’approchent humblement de Lui en confessant leur péché, et en recevant Jésus-Christ comme leur Seigneur et Sauveur.
Bien-aimés, nous ne sommes pas sauvés parce que nous « sentons » que nous sommes sauvés, ou parce que nous éprouvons quelque émotion exaltante. Nous sommes sauvés simplement parce que nous avons cru en Christ et en Son œuvre. « Dieu a tant aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).
La foi véritable, c’est tout simplement avoir une certitude dans notre cœur, certitude qui ne s’appuie que sur la Parole ou sur la promesse de notre Dieu.
Par conséquent, puisque nous avons utilisé notre foi pour croire que nous sommes sauvés par la seule foi en Christ, pourquoi n’utilisons-nous pas notre foi de la même manière, pour croire que nous sommes guéris, ou pour obtenir toute autre bénédiction promise par Dieu, par la seule foi en Christ ?
La seule chose que nous devons faire, et RIEN d’autre, c’est croire que ce que Christ a accompli et acquis pour nous sur la croix nous appartient déjà ; et c’est la volonté de Dieu que nous le recevions.
La première chose que nous devons donc vérifier est la suivante : ce que nous demandons au Seigneur est-il conforme à Sa volonté pour nous ? C’est d’abord la Parole de Dieu qui nous révèle quelle est la volonté de Dieu pour nous, et particulièrement tout ce qui est inclus dans ce que le Seigneur Jésus-Christ nous a acquis par Son sacrifice à la croix.
Voici un résumé non exhaustif de tout ce que Christ nous acquis à la croix : un plein pardon et la rémission de tous nos péchés (Éphésiens 1. 7), la nouvelle naissance ou la résurrection de notre esprit, ce qui fait de nous un être nouveau en Christ (Colossiens 2. 13 ; Éphésiens 4. 24), l’accès à la plénitude de l’Esprit et aux dons spirituels (Actes 1. 5 ; 2. 4), la possibilité de marcher selon l’esprit, et non plus selon la chair (Galates 5. 24-25), la délivrance de toute oppression démoniaque (Colossiens 1. 13 ; Actes 10. 38), la victoire sur tous nos ennemis spirituels (Luc 10. 19 ; Marc 16. 17), la guérison de nos maladies et de nos infirmités (Matthieu 8. 16-17 ; 1 Pierre 2. 24), le rachat de toutes les malédictions qui étaient la conséquence du péché (Galates 3. 13, qui annule Deutéronome 28. 15-68), l’accès à la pleine bénédiction d’Abraham (Galates 3. 14), la prospérité à tous égards, mais pas le faux évangile de la prospérité (3 Jean 2), et le salut pour nos familles (Actes 16. 31).
Le faux évangile de la prospérité consiste à dire que nous ne sommes pas de vrai chrétien si nous ne possédons pas toutes sortes de richesses financières et matérielles. Certes, Dieu peut rendre certains chrétiens très riches, mais Il nous demande de ne jamais être attachés aux richesses. Toutefois, la vraie prospérité selon le Seigneur, c’est de savoir que nous avons dans le Ciel un Père aimant, qui veut pourvoir avec abondance à tous nos besoins. « Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre, selon qu’il est écrit : Il a fait des largesses, il a donné aux indigents ; sa justice subsiste à jamais » (2 Corinthiens 9. 8-9).
Tout cela signifie que si, dans l’un des domaines que nous venons d’évoquer, nous trouvons un verset qui nous donne la solution du problème que nous traversons, nous pouvons alors nous approcher du Seigneur avec confiance, en invoquant devant Lui Sa propre Parole, pour nous emparer par la foi de ce que Christ a acquis pour nous tous à la croix, tout simplement parce que Dieu a dit que cela nous appartient déjà.
Nous n’avons pas besoin de supplier Dieu de nous donner ce qu’Il nous a déjà accordé en Son Fils Jésus-Christ. Nous devons donc bien connaître tout ce qui est compris dans l’héritage que Christ nous a acquis, afin de savoir ce qui nous appartient déjà.
La foi est une pleine assurance dans notre cœur, qui ne s’appuie que sur la Parole de Dieu, sans tenir aucun compte des choses visibles contraires. Ces choses visibles ou sensibles disparaîtront, si nous persévérons dans la foi. Et c’est Dieu qui se chargera Lui-même de les faire disparaître, cela ne doit plus être notre problème.
Si nous espérons que nous « recevrons un jour » notre guérison, ce n’est pas de la foi, cela reste de l’espérance. La foi, c’est la ferme assurance que nous possédons maintenant la guérison que nous espérons, et que nous la verrons s’accomplir. Oui la foi véritable, répétons-le, c’est croire que nous possédons MAINTENANT ce que nous avons demandé, ou ce que nous avons saisi par la foi, sans aucune autre condition que croire que nous l’avons déjà reçu.
L'être humain est destiné au bonheur
Dès ses premières pages, la Bible nous raconte comment Dieu a tout fait pour que l'être humain soit heureux. Dieu l'a créé et l'a mis dans un environnement merveilleux, avec tout à sa disposition, et la possibilité de communiquer librement avec Lui son Créateur. Dieu a même laissé à l'être humain la responsabilité d'obéir ou de désobéir à sa volonté ; mais l'être humain a désobéi à Dieu et c'est ce qu'il fait encore aujourd'hui. Et depuis ce jour, l'être humain est devenu pécheur. C'est pour cela que l'être humain libre et heureux voulu par Dieu, ayant fait le choix de désobéir, est devenu l'être humain malheureux d'aujourd'hui, assujetti aux larmes, à la mort, au deuil, aux cris, aux peines…
Mais la Bible dit aussi que celui qui veut vivre en prenant pour guide la Parole de Dieu, avec le Dieu Créateur et Sauveur à ses côtés, peut trouver aujourd'hui le véritable bonheur. L'être humain reste dans un monde où le malheur est présent partout. Mais s'il se repend de tous ses péchés et se confie entièrement à Dieu, Dieu devient son Père céleste. Alors l'être humain trouve les ressources pour être véritablement heureux, malgré tout.
La Bible se termine avec une espérance merveilleuse pour tous ceux qui sont délivrés de leur péché par le parfait sacrifice de Jésus Christ. Ils seront un jour débarrassés du mal sous toutes ses formes, et de ses conséquences. Dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre, Dieu habitera avec les êtres humains rachetés par le parfait sacrifice de Jésus à la croix.
Amis, quels sont les soucis et les peines de votre vie ? Ne voulez-vous pas les vivre avec Dieu à vos côtés, pour être, malgré tout, heureux ? Car, ne l'oubliez jamais, c'est à cela que vous êtes destiné !
Au Ciel, au Paradis « le tabernacle de Dieu est avec les êtres humains, et il habitera avec eux ; ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toutes larmes de leurs yeux, et la mort ne sera plus : il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les premières choses sont passées" (Apocalypse 21. 3, 4)
La vie des êtres humains pourrait-elle être mieux résumée que par cinq mots qui se détachent du verset cité ci-dessus : larme, mort, deuil, cri, peine ?
Des larmes de faim du bébé aux larmes de regret du vieillard, il y a toutes celles que, les uns et les autres, nous versons à tout âge. Jésus a vu tous les ravages du péché dans ce monde. Il a pleuré (Jean 11 : 35). Il est allé à la croix pour nous délivrer de l'esclavage du péché, et il essuiera bientôt toute larme de nos yeux.
La mort ! L'être humain fait tout pour l'oublier, alors que la mort fait tout pour se rappeler à notre souvenir. Jésus dit : “Ne crains pas ; moi, je suis le premier et le dernier, et le vivant ; et j'ai été mort, et voici, je suis vivant aux siècles des siècles ; et je tiens les clefs de la mort” (Apocalypse 1. 17-18).
Le deuil. Quand nous ne sommes pas tenaillés par la peur de notre propre mort, nous sommes accablés par celle d'un voisin ou d'un proche. Mais pour le vrai croyant en Jésus, à la croix “la mort a été engloutie en victoire” (1 Corinthiens 15. 54).
Les cris, les peines : ceux que l'on entend dans notre entourage, dans notre quartier, ceux qui se devinent dans le regard des malheureux de la terre que les médias nous montrent à flots, ou que nous croisons chaque jour. Jésus veut porter nos douleurs et se charger de nos langueurs : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28).
Mais tout cela va passer car le jour vient où “Dieu sera tout en tous” (1 Corinthiens 15. 28b). Oh Bonheur infini, inexprimable, ineffable !
Le parfait sacrifice de Jésus Christ
“La mort du Seigneur Jésus sur la croix est l'événement le plus sombre et le plus lumineux de l'histoire de l'humanité. Sombre parce qu'il révèle l'étendue du péché de l'être humain, lumineux parce qu'il fait éclater l'Amour du Dieu Sauveur.
Le Dieu de Sainteté dont “les yeux sont trop purs pour voir le mal” (Habakuk 1. 13) pouvait-il regarder favorablement son Fils Jésus chargé du péché du monde, de tous nos péchés ? Quoique Saint et Innocent, le Christ Jésus se présentait devant le divin Juge comme s'Il était, Lui, le responsable de nos péchés, comme s'Il les avait commis Lui-même, comme s'Il portait devant Dieu ses propres péchés, comme s'Il incarnait le péché. Alors, Jésus-Christ a subi pour nous le châtiment qui aurait dû nous atteindre, vous et moi qui sommes coupables de nos péchés.
Jésus-Christ, par sa mort sur la croix, a réglé tout le prix de notre réconciliation avec Dieu. Dieu n'attend rien de nous si ce n'est de recevoir Jésus-Christ et d'accepter pour soi-même le parfait sacrifice de Jésus. Oui, Jésus le Fils de Dieu, Saint et sans péché, a volontairement payé de sa vie, de son sang, pour tous nos péchés. Il est le Substitut Innocent frappé mortellement pour que nous soyons épargnés de la mort éternelle en Enfer. Mais Jésus-Christ est ressuscité, Il vit éternellement. Et pour nous qui mettons notre confiance en Lui, notre dette envers Dieu est bien réglée. Mais à quel prix ! Le Ciel nous est ouvert par le Christ Sauveur, il nous appartient d'y entrer librement en acceptant Jésus comme seul Seigneur et Sauveur de notre vie, car selon la Bible, nous avons “une pleine liberté pour entrer” dans sa présence (Hébreux 10. 19).
Le Dieu Souverain attend que nous nous tournions vers Lui en plaidant coupable, en nous repentant de nos péchés et en Lui abandonnant notre vie entière. Laissons-nous juger intérieurement par l'évocation de ce parfait sacrifice. Franchissons ce pas, acceptons de vivre désormais pour le seul vrai Dieu et Il nous comptera parmi ses enfants. “Nous vous en supplions au Nom de Christ, soyez réconciliés avec Dieu !” (2 Corinthiens 5. 20).”
Les dimensions de l'Amour de Dieu, de Jésus
Dieu nous aime d'un Amour parfait et notre âme est précieuse pour Lui ? Dieu aime chaque être humain au monde. Dieu a manifesté son parfait Amour pour nous en envoyant dans ce monde son Fils unique Jésus-Christ qui vint dans ce monde pour nous montrer le seul Chemin du Salut, nous sauver parfaitement de nos péchés à travers son sacrifice à la croix et nous donner la Vie Éternelle. Oui, Jésus-Christ aussi nous aime d'un Amour parfait, infini. Il l'a démontré en acceptant de venir dans ce monde de misère et en expiant nos péchés et en mourant pour nous sur la croix, tout cela pour nous pécheurs qui ne le méritons pas. Nous pouvons considérer l'Amour de Dieu, de Jésus, pour nous en quatre dimensions sans limites qui sont sa hauteur, sa profondeur, sa largeur et sa longueur.
Sa parfaite hauteur nous indique que l'Amour vient du Ciel, c'est Dieu, c'est Jésus qui nous aime, nous qui sommes pécheurs et opposés à Lui. Et Dieu vient nous sauver et nous élever jusqu'à Lui.
Sa parfaite profondeur nous rappelle l'abaissement, l'humiliation du Seigneur Jésus. Par amour pour nous, Jésus est descendu du Ciel et Il est allé jusqu'à mourir sur une croix. Il a souffert terriblement, atrocement à cause de nos péchés, pour nous sauver. Ensuite Il est ressuscité, vivant pour toujours.
Sa parfaite largeur nous montre que cet amour s'adresse à tous les êtres humains, quelles que soit leur race et leur condition. Tous les êtres humains sans exception sont aimés de Dieu et sont sauvés s'ils acceptent sincèrement le Seigneur Jésus dans leur coeur et se confient en Jésus qui est le seul Sauveur du monde.
Enfin, sa parfaite longueur nous parle d'un amour éternel. Dieu nous aime depuis toujours et pour toujours. La Bible dit que l'Amour n'aura pas de fin. Pendant l'éternité, tous les enfants de Dieu, tous ceux qui sont sauvés par Jésus parce qu'ils auront cru sincèrement en Lui, adoreront l'Amour éternel, infini, insondable, de Dieu, de Jésus Christ, au Ciel, au Paradis.
Alors, comment ne pas accepter un tel Amour ?
L'Évangile est la puissance de Dieu
Les paroles de Dieu sont Esprit et Vie
Nous aimons prêcher l'Évangile sans déformation. L'Évangile n'a ni besoin d'être modifié, ni besoin d'être actualisé. L'Évangile est la puissance de Dieu, et les paroles de Jésus-Christ resteront les mêmes jusqu'à la fin. Les paroles de Dieu sont Esprit et Vie, et ces paroles demeureront éternellement.
L'apôtre Paul dit dans Romains 1:16, qu'il n'a pas honte de l'Évangile. Devant les généalogies sans fin des érudits religieux, devant la multiplication des doctrines compliquées du pharisianisme, Paul n'a pas honte d'avoir un message qu'un simple enfant peut comprendre.
Qu'est-ce que l'Évangile ?
Nous pouvons lire dans Marc : "Commencement de l’Évangile de Jésus-Christ, Fils de Dieu" (Marc 1 : 1).
Qu'est-ce que l'Évangile ? Pour le connaître et le comprendre, il faut le lire ! L'Évangile, c'est la Bonne Nouvelle qui avait été promise par Dieu, par l'intermédiaire de ses prophètes dans l'Ancien Testament. Elle concerne Jésus-Christ, qui est né homme, né d'une vierge par la puissance du Saint-Esprit.
Jésus est le Fils de Dieu
Nous comprenons en lisant l'Évangile que Jésus est le Fils de Dieu, qu'il a reçu de Dieu l'autorité de chasser les démons, de guérir les malades, et de pardonner les péchés des hommes. Nous comprenons qu'il a vécu sans aucun péché et qu'il a démontré un Amour parfait, qu'il a sacrifié sa vie par cet Amour sans limites en livrant son corps et en mourant sur la croix, donnant sa vie pour le salut de quiconque met sa confiance en Lui, en Dieu. Nous comprenons aussi que Jésus est ressuscité des morts, qu'il se tient à la Droite de Dieu, et que le jour viendra où Dieu jugera les actions secrètes de toute l'humanité, en toute justice, par Jésus-Christ. Or, pour échapper à ce Jugement, l'être humain doit se repentir de ses péchés, car « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu'ils aient la vie éternelle. En effet, Dieu a envoyé son Fils dans le monde non pas pour condamner le monde, mais pour qu'il soit sauvé par lui. Celui qui met sa confiance en lui n'est pas condamné, mais celui qui n'a pas foi en lui est déjà condamné, car il n'a pas mis sa confiance en la personne du Fils unique de Dieu. Et voici en quoi consiste sa condamnation : c'est que la lumière est venue dans le monde, mais les hommes lui ont préféré les ténèbres, parce que leurs actes sont mauvais. En effet, celui qui fait le mal déteste la lumière, et il se garde bien de venir à la lumière de peur que ses mauvaises actions ne soient révélées » (Jean 3. 16-20).
"Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé" (Romains 10. 9) Dieu ne fait aucune différence entre les êtres humains. Sa justice est parfaite, et quiconque invoquera le nom du Seigneur Jésus sera sauvé. Quiconque aura, jusqu'à la fin, cru, accepté, accueilli et obéi à la Bonne Nouvelle sera sauvé sans équivoque. C'est pourquoi, la première étape pour être en paix avec Dieu, pour être pardonné et accueilli à toujours dans sa présence, est de reconnaître ses péchés et de lui demander sincèrement, de tout son coeur, pardon pour tous ses péchés, mais également de faire une alliance personnelle avec Dieu. Cette alliance se résume ainsi : nous devons décider de vivre pour Dieu toute notre vie jusqu'à la mort, et renoncer à tout ce que nous étions auparavant. Nous devons décider que Dieu prenne maintenant le contrôle total de notre vie quotidienne et de lui obéir.
Le fruit de cette alliance, le fruit de l'Évangile, c'est avant tout le Salut éternel, le pardon des péchés, la paix et l'intimité avec Dieu. Tout à coup, par la puissance de Dieu, nous voici en paix avec Dieu ! Tout à coup, par notre décision personnelle, nous voici devenus enfants de Dieu ! En un instant, plus de lois religieuses ou humaines : un seul homme, Jésus-Christ Fils de Dieu, nous assura la vie éternelle. Son Esprit, le Saint-Esprit, vient habiter en nous et se tient également à nos côtés pour nous diriger dans les moindres aspects de notre vie.
L'Évangile manifesté
L'Évangile, puissance de Dieu, se manifeste autour de nous et des êtres humains sont guéris de leurs maladies, libérés d'influences et d'oppressions démoniaques. Jésus-Christ est assurément le Nom au-dessus de tout nom, et à la mention de son Nom tout genou fléchira.
En mettant notre foi dans cet Évangile, des gens sont pardonnés de leurs péchés en une minute seulement. Ils ont reçu la paix de Dieu dans mon cœur, une paix et une joie extraordinaires, exceptionnelles, uniques ! Une paix que personne ni aucun bien n'avait jamais pu me donner.
Gloire à Jésus-Christ !
Il est temps pour vous aujourd'hui d'être sauvé, de renoncer à vos péchés et d'abandonner votre vie entière entre les mains de Dieu ! Il est temps pour vous aujourd'hui d'être pardonné de vos péchés, guéri de vos maladies et libéré de toute influence satanique et démoniaque. Soyez aujourd'hui libéré du pouvoir de Satan par la puissance du Saint-Esprit que Dieu a répandu sur tous ceux qui lui appartiennent !