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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
Articles récents

Aucune condamnation pour les enfants de Dieu

7 Mars 2020 Publié dans #Salut

Il n’y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ (Romains 8 : 1).
Nous enfants de Dieu qui avons reçu Jésus-Christ et qui croyons en son Nom (voir Jean 1 : 12), nous sommes actuellement et effectivement déclarés non-coupables. Nous sommes conduits hors de la prison du péché. Nous sommes délivrés maintenant des liens de la loi. Nous sommes à jamais libérés, sauvés, rachetés, justifiés. Le Sang de Jésus-Christ, le seul Sauveur, nous a entièrement déchargé de notre dette. Nous avons le droit maintenant de nous approcher du Trône de Notre Père Céleste (Hébreux 10 : 19). Aucune flamme de l'ennemi ne doit nous effrayer maintenant. Nos incapacités ont été enlevées, nous étions autrefois incapables de voir la face de Dieu notre Père, mais nous pouvons la voir maintenant grâce à son Fils Jésus-Christ par qui nous avons accès à Son Trône. Nous ne pouvions pas parler avec Dieu mais maintenant nous pouvons le faire avec une pleine assurance. Autrefois, il y avait dans notre vie la crainte de la mort et de l’enfer, mais plus maintenant, car nous avons déjà la Vie Éternelle et il n'y a aucun châtiment ni aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ (Romains 8 : 1).
Ceux qui croient et se confient en Jésus-Christ ne viennent point à la condamnation et ils ne peuvent être punis de leurs péchés même s'ils en subissent les conséquences. Et plus que tout, les enfants de Dieu jouissent de tous les privilèges que Dieu les accorde maintenant qu'ils sont justifiés à Ses yeux !
Tout l’amour et l’acceptation de la parfaite obéissance peuvent être obtenus maintenant parce que, pour nous sauver, Jésus-Christ était parfaitement obéissant et nous a imputé cette obéissance et ses mérites ; afin que nous puissions être excessivement riche en Lui. Jésus, à cause de chacun de nous, s’est fait extrêmement pauvre (2 Corinthiens 8 : 9). Comme elle est grande la dette d’amour et de reconnaissance que nous devons à notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ !
C’est si bon d’être accepté par toi Jésus,
Dirigé à chaque pas,
C’est si bon d’être accepté par toi Jésus,
C’est si bon parce que tu nous comprends.
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Recevoir le Saint-Esprit

6 Mars 2020 Publié dans #Salut

Recevoir le Saint-Esprit, c’est recevoir Dieu. Jésus-Christ a promis de donner l’Esprit de Dieu à tous ceux/celles qui Lui confient leur vie : « Moi, je prierai le Père et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité… et il sera en vous » (Jean 14. 16-17)
C’est le Saint-Esprit qui nous permet d’expérimenter l’amour et la présence de Dieu. Sans Lui, nous pouvons adhérer intellectuellement aux vérités bibliques, mais notre coeur restera sec. Notre vie sera changée au contraire si nous accueillons l’Esprit de Dieu. Alors, une relation vivante et personnelle avec le seul vrai Dieu de l'Univers va démarrer.
La seule chose qui peut empêcher cela, ce sont nos fautes, ce sont nos péchés, car Dieu est pur, sans mal, sans péché. Nous les êtres humains avons du péché en nous et Dieu, qui est trois fois Saint et qui hait le péché, ne peut donc pas venir à nous et résider en nous. Pourtant, le souhait le plus cher de Dieu est qu'Il vienne demeurer en chaque être humain. C’est pourquoi, Dieu a fait quelque chose d’incroyable pour nous permettre de le recevoir. En Jésus, Dieu nous offre le pardon et la purification de nos fautes (c’est le sens de sa mort sur la croix et de sa résurrection).
Si nous Lui confessons nos péchés et que nous souhaitons sincèrement nous en détourner, Dieu vient les prendre pour les jetter loin de Lui et de nous : « Quel Dieu est semblable à toi, Qui pardonnes l’iniquité, qui oublies les péchés Du reste de ton héritage ? Il ne garde pas sa colère à toujours, Car il prend plaisir à la miséricorde. Il aura encore compassion de nous, Il mettra sous ses pieds nos iniquités; Tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés. » (Michée 7.18-19). « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1. 9)
Dieu nous prend alors dans ses bras d'amour. La Bible dit que nous sommes comme des vases d’or (car nous avons une grande valeur), qui avons besoin d’être vidés des impuretés, pour recevoir l’Esprit et l’Amour de Dieu à la place :

Recevoir le Saint-Esprit

Par le Saint Esprit, nous recevrons l’Amour de Dieu : « l’amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné. » (Romains 5. 5)
Jésus nous guérira des blessures causées par le mal que les autres nous ont fait : « ce sont nos souffrances qu’il a portées ; c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé… c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Esaïe 53. 4-5)
Le Saint-Esprit nous permettra également de comprendre la Bible, car Il nous l’expliquera, nous donnera l’intelligence pour la comprendre, puisque c’est Lui qui l’a inspirée. Sans le Saint Esprit, nous avons du mal à comprendre la Bible : « le consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » (Jean 14. 26)

Voici une prière que chaque être humain peut faire pour recevoir l’Esprit Saint :
« Jésus-Christ, Mon Seigneur et mon Dieu , j’ai besoin de toi, j'ai besoin de ton Esprit Saint dans ma vie. Je reconnais que jusqu’à récemment, je ne t’ai pas confié la direction de ma vie, de toute ma vie. En faisant cela, j’ai péché contre toi et je t’en demande pardon. Je te remercie de m’avoir pardonné mes péchés par ta mort sur la croix et par ta résurrection. Je veux maintenant apprendre à faire ta volonté, je veux te recevoir dans mon coeur et te suivre pour toujours. Prends ma vie, je te la donne entièrement pour que tu en fasses le meilleur que tu veux. Viens en moi par ton Esprit Saint selon ta promesse. Je veux lire la Bible et obéir à ce qu’elle dit. Fais-moi comprendre ta Parole. Remplis-moi de ton Esprit et apprends-moi à te connaître de plus en plus. Merci. Amen«

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Jésus nous a sauvés de la condamnation

5 Mars 2020 Publié dans #Salut

Devant le Grand Trône Blanc, toute bouche sera fermée. Les accusés (ceux qui auront refusé ou négligé le parfait Salut en Jésus) seront reconnus, sans exception, tous coupables de leurs péchés, et condamnés par la loi divine à la peine de mort (Romains 3. 19). Car « Tous ont péché et n'atteignent pas à la gloire de Dieu » (Romains 3. 23). C'est pourquoi la sentence terrible : « tu mourras certainement », déjà annoncée par Dieu avant la chute de l'être humain (Genèse 2. 17), va être confirmée : « le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23). Pour l'incrédule, gentil ou juif, ce Jugement est définitif et le Grand Trône Blanc devant lequel tous les non-croyants (les ennemis de Dieu) comparaîtront un jour est une réalité effrayante (Apocalypse 20. 11…).

Mais voici Jésus l'Avocat qui intervient en faveur de tous ceux qui L'ont choisi par la foi. Jésus ne cherche pas à minimiser les fautes qu'ils ont commises, mais Il plaide au contraire en disant pour tous ceux Lui ont fait totalement confiance : La sentence est juste, mais elle a déjà été exécutée ; la dette est acquittée ; car une mort, la mienne, a payé une fois pour toutes l'affreux salaire de leurs péchés. Oui, la Justice de Dieu est satisfaite pour tous ceux qui sont en Jésus-Christ ; car un crime (un péché) expié ne peut être porté en compte une seconde fois. Et comme le seul vrai Dieu Saint est Juste en condamnant le péché, Il est également Juste en justifiant le pécheur « qui a la foi véritable en Jésus » (Romains 3. 26).

Car nous sommes devenus les enfants de Dieu, et Dieu notre Père n'admet pas que nous soyons asservis. Il a Lui-même payé tout ce que nous devions pour que nous soyons libres, ne dépendant plus que de Lui. Dieu nous a affranchis et adoptés dans Sa famille. Oui, voila ce que Dieu a fait pour les êtres humains, souillés et révoltés contre Lui, mais qui se sont repentis de tous leurs péchés et ont cru en Jésus-Christ le seul Sauveur ! Non seulement, Dieu leur a accordé pardon, justice, et pleine délivrance, mais Il en a fait les membres de sa propre famille. Et ils sont scellés de son Esprit Saint, par lequel aussi les enfants de Dieu entretiennent une relation vivante et personnelle avec le Père. « Papa, père » (Abba en hébreu) est souvent le premier mot distinct qu'articule un petit enfant (Romains 8. 15, 16).
En plus de cette certitude que nous donne le Saint-Esprit, Il nous enseigne à faire mourir (c'est-à-dire à ne pas laisser s'accomplir) les actions de la chair
(Romains 8. 13). Et c'est en nous laissant conduire par Lui que nous nous ferons connaître comme enfants de Dieu (Romains 8. 14) en attendant d'être révélés comme tels à toute la création (Romains 8. 19).

Romains 5. 1 à 11. A LIRE

Acquitté, justifié, le vrai croyant en Jésus laisse éclater sa joie (v. 1). La paix avec Dieu est désormais sa part inestimable. Il est réconcilié avec Dieu, le Souverain Juge, et cela par l'acte même qui aurait dû à tout jamais attirer Sa colère : « la mise à mort de Son Fils Jésus » (v. 10), cloué sur la croix par les hommes ! En vérité, l'Amour de Dieu ne ressemble à aucun autre. C'est bien « son Amour à Lui », dont tous les motifs sont en Lui-même. Dieu a aimé de misérables êtres humains qui n'avaient rien d'aimable, avant même qu'ils fassent le moindre pas vers Lui, lorsqu'ils étaient encore sans force, impies (v. 6), pécheurs (v. 8) et ennemis (v. 10). Or c'est ce merveilleux Amour de Dieu qui est maintenant versé dans le cœur de quiconque croit en Jésus-Christ.
En face du monde qui se glorifie de ce qu'il a de passager, le croyant en Jésus, loin d'être honteux (v. 5), peut se prévaloir de son avenir et de son héritage extraordinaire : la gloire de Dieu (v. 2). Qui plus est, le croyant en Jésus est capable de trouver de la joie dans ses tribulations présentes. Car elles produisent des fruits précieux (v. 3, 4) qui rendent son espérance d'autant plus vive et plus fervente. Nous les enfants de Dieu avons le droit de nous glorifier dans les dons que Dieu nous a accordé ; mais avant tout, nous devons nous glorifier en Celui qui nous les dispense : Dieu Lui-même, devenu notre Sauveur par le Seigneur Jésus Christ, son Fils unique, à qui appartient toute la gloire. AMEN !!!

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(2) Jésus-Christ notre Souverain Sacrificateur

4 Mars 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Dans le naturel ou selon la loi de Moïse, Jésus n'aurait pu être souverain sacrificateur. Seuls les descendants de la tribu de Lévi, et plus spécialement les descendants de la famille d’Aaron étaient habilités, choisis par Dieu pour accomplir  cette mission de souverain sacrificateur.
Jésus, sur le plan humain, est descendant ou fils de David qui appartenait à la tribu de Juda. Or, Dieu est au-dessus des lois qu'il institue, il n'en est pas prisonnier.
Jésus a été choisi et déclaré le Souverain Sacrificateur par serment : Car ce témoignage lui est rendu : "Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l’ordre de Melchisédek. les Lévites sont devenus sacrificateurs sans serment, mais Jésus l’est devenu avec serment par celui qui lui a dit : Le Seigneur a juré, et il ne se repentira pas, Tu es sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek ;Mais lui, parce qu’il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n’est pas transmissible". (Hébreux 7. 17, 21-24).

Nous trouvons Melchisédek dans le livre de la Genèse. Il nous est présenté comme une figure de Christ qui remplit parfaitement son office de souverain sacrificateur.
"C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur" (Hébreux 7. 25).
"Et Christ ne s’est pas non plus attribué la gloire de devenir souverain sacrificateur, mais il la tient de celui qui lui a dit : Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui !" (Hébreux 5. 5).

En effet, la loi établit souverains sacrificateurs des hommes sujets à la faiblesse ; mais le serment de Dieu qui a été fait après la loi établit comme Souverain Sacrificateur Jésus le Fils qui est parfait, pour l’éternité. (Hébreux 7. 28).
"Le point capital de ce qui vient d’être dit, c’est que nous avons un tel Souverain Sacrificateur, qui s’est assis à la droite du Trône de la Majesté divine dans les cieux, comme Ministre du sanctuaire et du véritable tabernacle, qui a été dressé par le Seigneur Dieu et non par un homme. Tout souverain sacrificateur est établi pour présenter des offrandes et des sacrifices ; il est donc nécessaire que celui–ci ait aussi quelque chose à présenter. S’il était sur la terre, il ne serait même pas sacrificateur, puisque là sont ceux qui présentent les offrandes selon la loi." (Hébreux 8. 1-4).

Mais Jésus-Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est–à–dire qui n’est pas de cette création ; et il (Jésus) est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle" (Hébreux 9. 11-12).

"Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, demeurons fermes dans la foi que nous professons. Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. Approchons nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins" (Hébreux 4. 14-16).

Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide ; elle pénètre au–delà du voile, là où Jésus est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek. (Hébreux 6. 19-20).

L’ancre, dans le naturel, sert à stabiliser les bateaux. L’ancre est constituée par une pièce de métal qui se termine par deux crochets. Elle est reliée au bateau, soit par des cordages ou des chaînes. Il existe plusieurs sortes d’ancres : l’une d’elles se nomme l’ancre de miséricorde.

Qu’est ce qu’une ancre de miséricorde ?

Au temps de la marine à voile, cette ancre, appelée aussi ancre de salut ou ancre maîtresse, était l'ancre la plus grande et la plus pesante à bord. Elle était utilisée pour les mouillages de longue durée ou dans des endroits peu sûrs. À cause de son poids, elle était aussi utilisée en dernier recours dans les cas désespérés.

Cette ancre est en quelque sorte la dernière planche de salut. Les marins la jettent à l’eau en recommandant leur sort à Dieu : c’est l’ancre de miséricorde.

Sur le plan spirituel, devant Dieu, nous étions dans une situation désespérée comme ces marins : condamnés à la mort éternelle. Jésus notre Souverain Sacrificateur est devenu notre ancre de miséricorde. Il nous offre un point d’ancrage infaillible dans les lieux célestes et plus précisément dans le lieu Très-Saint, là où se tient le Trône du Père. La corde ou la chaîne qui relie notre âme à cette ancre se nomme la foi.

Quand Jésus mourut sur la croix, son sacrifice n'était pas seulement destiné au pardon, à la délivrance et à la purification du péché, mais le voile de sa chair fut déchiré pour que nous entrions dans le lieu Très Saint où Dieu siège sur son Trône. Là où se trouve le Trône de Dieu est le lieu de la plus profonde intimité et adoration offert à tous les croyants.

De même que nous voyons des symboles dans l'Ancien Testament quand nous étudions le temple ; nous constatons que ses trois différentes parties destinés à l'adoration et aux sacrifices sont une image des cieux. Nous pouvons désormais passer du parvis extérieur au lieu le plus saint du sanctuaire de Dieu : Le lieu Très-Saint. Sans exclure le fait que le Saint-Esprit habite en nous dans le lieu le plus saint de nos cœurs.

Nous sommes appelés à l’adoration dans le lieu Très Saint.

"Quand les êtres vivants rendent gloire et honneur et actions de grâces à celui qui est assis sur le trône, à celui qui vit aux siècles des siècles, les vingt-quatre vieillards se prosternent devant celui qui est assis sur le trône et ils adorent celui qui vit aux siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant: Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées » (Apocalypse 4. 9-11).

Dieu nous offre un privilège, par grâce. Il nous met au bénéfice du sacrifice de Jésus sur la croix. Maintenant, nous sommes invités à rentrer dans le lieu Très-Saint pour adorer Dieu, notre Seigneur Jésus, sans limites et partout où nous sommes, jusqu'à notre entrée dans la gloire, dans le Paradis céleste. Oui, notre privilège trouve sa source dans ces versets. "Et de la part de Jésus–Christ, le témoin fidèle, le premier–né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !" (Apocalypse 1. 5-6).

Par la Nouvelle Naissance, Jésus, notre Souverain Sacrificateur, nous donne la capacité de devenir des sacrificateurs, un royaume de sacrificateurs pour Dieu son Père, et de rentrer dans le lieu Très-Saint, chaque jour. Les fils d’Aaron, le souverain sacrificateur de l’Ancien Testament, bien qu’étant fils et sacrificateurs n’avaient pas l’autorisation d’aller au-delà du voile, sous peine de mort. Leur mission s’arrêtait dans le lieu saint. Mais, quant à nous, nous sommes appelés à vivre ce privilège en nous présentant devant le Trône de Dieu par la voie nouvelle que Jésus a inauguré. Oui, Jésus nous a ouvert l’accès au Trône de la grâce de Dieu. (Hébreux 9. 12 ; Hébreux 10. 20-22).

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(1) Le voile déchiré, Jésus notre Souverain Sacrificateur

3 Mars 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

"Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l’esprit. Et voici, le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent" (Matthieu 27. 50-51).

Le voile intérieur représente l'image du corps humain de Christ fermant l'entrée du lieu très saint. Ce voile nous montre qu’il est impossible à quiconque de se présenter devant Dieu sans passer par Jésus. Mais le corps de Jésus devait être brisé pour que le voile se déchire. Ce voile était le symbole le plus représentatif de cette vérité biblique : Nulle chair ne sera justifiée devant lui par les œuvres de la loi. "Car personne ne sera justifié devant lui par les œuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché" (Romains 3. 20).
Le Saint–Esprit montrait par là que le chemin du lieu Très Saint n’était pas encore ouvert, tant que le premier tabernacle existait. (Hébreux 9. 8).

Le voile ayant été déchiré du haut en bas par une action divine lors de la mort de Jésus-Christ sur la croix, maintenant, le libre accès à Dieu est rendu possible à tous ceux qui s’approchent de Lui dans la foi en Jésus. Ce voile déchiré marque la fin du régime de la loi et des ordonnances. Le voile de la chair de Jésus déchiré symbolise la mise à mort de notre chair pécheresse qui nous empêchait de nous approcher de Dieu et de Lui être agréable. Maintenant, avec le corps brisé de Jésus mis à mort sur la croix, nous pouvons, nous les croyants en Jésus, pénétrer dans le sanctuaire céleste et dans la présence du Père.

Dans le Temple, le voile qui se déchira séparait le lieu saint du lieu très-saint où accédait le souverain sacrificateur au grand jour des expiations. Il est l’image du corps humain revêtu par Christ. Ainsi une voie nouvelle est ouverte par le sacrifice de Jésus. Elle permet à tous les croyants en Jésus d'accéder à la présence même du Père, sans aucun autre sacrifice que celui de Jésus et sans autre sacerdoce que le sien. Le voile déchiré nous révèle que le voile qui nous empêchait de comprendre la Parole de Dieu est enlevé. En Jésus, nous avons maintenant accès à la révélation de la Parole de Dieu. "Ainsi donc, frères, nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire, par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est–à–dire de sa chair"  (Hébreux 10. 19, 20).

Jésus a été désigné et choisi par Dieu pour devenir Souverain Sacrificateur : Seul Jésus a la capacité de se présenter devant Dieu, dans les lieux célestes, afin d'offrir son propre sang, Lui l'Agneau immolé et Fils de Dieu, pour le pardon de nos péchés. Remarquons que le souverain sacrificateur, selon la loi de Moïse, offrait ce qui ne lui coûtait rien : Le sang d'un animal. Jésus, Lui s'est présenté devant le Père avec son propre sang, en qualité de victime expiatoire et comme Souverain Sacrificateur.
"Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, demeurons fermes dans la foi que nous professons. Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché" (Hébreux 4. 14-15).

Jésus s'est présenté avec son sang offert pour chacun d'entre-nous personnellement. Maintenant, voyons notre situation quand nous péchons et demandons pardon : Dieu le Père voit Jésus qui plaide pour nous... : « Oui, je suis son Seigneur ; il m'appartient, j'ai versé mon sang pour lui » dit Jésus ; et ainsi Dieu le Père nous pardonne. Jésus demeure dans sa position d'Intercesseur entre le Père et nous. La position de Jésus constitue notre garantie auprès du Père. Il est notre assurance. Là où Il est, là nous sommes aussi. Jésus n'a pas eu besoin de se présenter avec un sacrifice d'expiation pour Lui-même. Étant Homme Saint et Dieu, Jésus s'est présenté Lui-même, avec son propre sang pour chacun d'entre-nous. Maintenant, il nous appartient de croire et de nous approprier l'œuvre de Jésus en qualité de Souverain Sacrificateur.

La mission de Jésus n'est pas terminée après sa résurrection ?

Dans Jean 20, nous trouvons Marie de Magdala qui pleure devant le sépulcre vide de Jésus. Elle voit deux anges assis à la place où avait été couché le corps de Jésus. Elle veut retrouver son corps et l’emporter. Elle voit un homme qu’elle prend pour le jardinier. Elle lui demande qui a enlevé le corps.
En fait, c’est Jésus qui se tient à côté d’elle, mais elle ne le reconnaît pas. Elle cherche un mort… et pourtant Jésus se tient vivant, ressuscité à ses côtés. Jésus ouvre la bouche et lui dit : Marie. Là, ses yeux s’ouvrent et elle le reconnaît. Certainement qu’à ce moment précis, Jésus était revêtu de sa robe de Souverain Sacrificateur.

Comment l’a-t-Il reçue ?

Ce vêtement était sûrement prêt dans les lieux célestes, dès la fondation du monde ; et l'ange qui roula la pierre du tombeau de Jésus pour l'ouvrir a été chargé de cette mission : Apporter ce vêtement à Jésus afin que Jésus s’en revête. "Jésus lui dit : (Marie Magdala) ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères et dit leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu" (Jean 20. 17).

Pourquoi Jésus devait Il monter vers Dieu et le Père ?

Pour offrir son sang expiatoire devant Dieu : pour « mon Dieu et votre Dieu ». Jésus est monté en qualité de Fils de Dieu et Homme Saint. C’est la raison pour laquelle, Il dit aussi : Vers mon Dieu, et votre Dieu. Cela prouve que Jésus se présente pour nous. « Mon Dieu » : Jésus sous entend par ses paroles qu’Il se présente devant Dieu afin d’accomplir une mission, qui doit être agréée.

Par son sang, Jésus ouvre une voie nouvelle. "Le désert et le pays aride se réjouiront ; La solitude s’égaiera, et fleurira comme un narcisse." (Ésaïe 35. 1).

Entre Dieu et nous, il y avait un désert, sans chemin d'accès, un  désert infranchissable. Notre vie était un désert, une terre aride, une terre de solitude, une terre desséchée, stérile. Aucune œuvre des religions, ni aucun fondateur de religions, n'a pu ouvrir cet accès vers Dieu, ni tracer ce chemin vers Dieu. Entre Dieu et nous, il y avait autrefois plein de sacrifice d'animaux. Mais tous ces obstacles disparaissent pour toujours sur cette parfaite voie ouverte par Jésus-Christ grâce à son sacrifice sur la croix. AMEN !!!

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Être prêts pour l'éternité

2 Mars 2020 Publié dans #Choix

Une invitation EXCEPTIONNELLE
Jésus-Christ se sert de la parabole en
Matthieu 22. 1-4 pour nous présenter l’invitation que Dieu offre à tous les êtres humains. Dans son Amour immense, Dieu offre à quiconque croit en Jésus Christ, le pardon de ses péchés, la vie éternelle et une place dans le Ciel.

Une décision capitale
Dieu nous laisse libres de notre choix. Nous pouvons accepter ou refuser ce qu’Il nous offre. Mais nous aurons tous à Lui rendre compte car à notre mort (que notre corps retourne à la terre, qu’il soit brulé ou qu’il ait disparu), notre âme retourne à Dieu.
Notre avenir éternel est donc lié au choix que nous allons faire pendant notre vie sur la terre.

Se préparer dès aujourd’hui
Tout au long de la Bible, Dieu nous interpelle avec beaucoup d’insistance afin que nous soyons prêts à Le rencontrer. Pourquoi ? La Parole de Dieu nous l’explique ainsi : « Dieu donc, ayant passé par-dessus les temps de l’ignorance, ordonne maintenant aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent ; parce qu’il a établi un jour où il doit juger en justice la terre habitée, par un Homme qu’il a désigné (Jésus Christ), ayant donné une preuve certaine à tous, l’ayant ressuscité d’entre les morts » (Actes 17. 30-31)
La parfaite Justice de Dieu qui exige la condamnation des « coupables » nous paraît parfois contradictoire avec son Amour et sa Grâce infinis. Mais la Bible nous montre que ces caractères de Dieu peuvent cohabiter car sur la croix, Jésus Christ a enduré pour nous le Jugement que méritaient tous nos péchés.
C’est pourquoi Dieu nous dit : « Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus » (Romains 3. 24).
Notre responsabilité est totalement engagée car : « Celui qui croit en lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu… la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean 3. 18, 36).
Devant ces conséquences aussi dramatiques, que PERSONNE ne néglige de se préparer pour rencontrer le seul vrai Dieu de l'Univers qui est trois fois Saint !

Comment être prêt ? Comment être lavés de tous nos péchés et être déclarés justes devant Dieu ?
Nous êtres humains, nous nous
trompons totalement si nous imaginons que nos bonnes actions pourront compenser nos fautes et qu’ainsi Dieu sera « satisfait » à tel point que nous serons épargnés du Jugement. Car « Toutes nos justices [sont] comme un vêtement souillé » (Ésaïe 64. 6).
Mais Dieu nous offre l’unique moyen d’être « lavés » de nos péchés et de pouvoir ainsi être admis dans sa présence : CHACUN doit se repentir, lui confesser personnellement ses fautes, placer toute sa confiance en Jésus seul et en son parfait sacrifice à la croix, et croire qu’il est purifié par Jésus Christ, le Fils de Dieu, mort et ressuscité. « Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7).
Certains trouvent trop facile cette façon d’être « lavé » de sa culpabilité et d’être déclaré juste et digne de se tenir dans la présence de Dieu.
Avouons qu’à cause de notre fierté et de notre orgueil, il nous est difficile – parfois même impensable – de reconnaître notre propre culpabilité. Acceptons de voir les choses comme Dieu les voit, reconnaissons que nous sommes coupables d'avoir péché, et croyons en Jésus Christ. « Celui qui entend ma parole et qui croit… a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24).

Quand faut-il être prêt ?
La Bible insiste : C’EST AUJOURD’HUI !
Nous ne maîtrisons absolument pas le moment de notre mort. Hélas, si une personne qui ne croit pas en Jésus-Christ venait à mourir à l’instant, elle aurait à endurer immédiatement les tourments éternels, loin de Dieu. C’est une situation irréversible car dans l’au-delà, il n’existe pas de « deuxième chance ».
Pour illustrer cette situation, la Bible donne cet exemple : « Dès que le maître… aura fermé la porte, quand vous vous tiendrez dehors… Là seront les pleurs et les grincements de dents. » (Luc 13. 25-28).
C’est pourquoi, il est IMPORTANT d’être prêt MAINTENANT, car à tout instant, ça peut être ÉTERNELLEMENT TROP TARD !

Être prêt, c’est la situation de tous ceux qui ont cru en Jésus Christ. Ils ont placé toute leur confiance en Jésus et ils ont la certitude que leurs péchés sont tous effacés par le sang précieux de Jésus-Christ. S’ils meurent, leur âme rejoindra immédiatement Jésus Christ dans le Paradis, attendant la résurrection de leur corps qui aura lieu au Retour de Jésus. Et dès maintenant, ils savourent au plus profond de leur cœur, la paix, la grâce et l’Amour de Dieu qui les a sauvés de leurs péchés.
« Ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi » (Galates 2. 20).
Ne désirez-vous pas être chacun prêt dès aujourd'hui ?

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Deux aspects de la croix de Jésus-Christ

1 Mars 2020 Publié dans #La croix

Christ a fait la paix par le sang de sa croix. (Colossiens 1. 20)

Loin de moi la pensée de me glorifier d'autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde. (Galates 6. 14)

Le fondement de notre paix avec Dieu

Sur la croix, Jésus-Christ a donné sa vie pour nous tous, il a porté le châtiment que méritent nos péchés. Ainsi la croix est le fondement de notre paix avec Dieu. Nous y voyons Dieu comme Celui qui “a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique” (Jean 3. 16a). À la croix, Dieu s'est révélé à la fois comme Celui qui nous aime, et Celui qui est Juste. Il condamne le péché et justifie le pécheur qui se repent (Romains 3. 26). À la croix, la Grâce de Dieu nous touche, nous relève et nous sauve parfaitement. Elle nous réconcilie avec Dieu, fait de nous ses enfants et nous place dans sa présence. Elle nous remplit de paix, de reconnaissance et de louange.

Le fondement de notre témoignage journalier

Si la croix nous lie à Dieu, elle nous sépare aussi moralement du monde. “Je suis crucifié avec Christ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi” (Galates 2. 20). Nous sommes donc, comme Jésus-Christ, rejetés par le monde. Ces deux choses vont ensemble : si la croix est venue se placer entre nous et nos péchés, elle se place aussi entre nous et le monde. Dans le premier cas, elle nous met en paix avec Dieu ; dans le second, elle nous met en opposition avec le monde, où nous devons pourtant vivre et faire le bien, imiter Christ dans notre vie et témoigner de Lui dans ce monde.

Retenons ces deux aspects de la croix : À la croix, Dieu nous invite à entrer dans “le royaume du Fils de son amour” (Colossiens 1. 13), mais aussi à sortir moralement de ce monde dont Satan est le chef.

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Le pardon se reçoit pendant notre vie sur la terre

29 Février 2020 Publié dans #Pardon des péchés

Là où le péché abondait, la grâce a surabondé. (Romains 5. 20)

Maintenant… la justice de Dieu est manifestée…, la justice de Dieu par la foi en Jésus Christ envers tous, et sur tous ceux qui croient. (Romains 3. 21, 22)

On raconte qu'un prince parcourait les rues de sa ville, en Inde, lorsqu'il aperçut un attroupement. On lui amena alors un homme surpris en flagrant délit de vol afin qu'il le punisse. Le prince répondit simplement : “En ce moment, je ne suis pas au tribunal, c'est pourquoi je fais grâce à cet homme”. Puis il conseilla au voleur de changer de conduite. Cet homme, heureux d'être laissé en liberté, avait une belle occasion de devenir honnête, mais il préféra continuer à voler et finit même par tuer. Arrêté et emprisonné, il fut à nouveau conduit devant le prince qui était le juge, mais au tribunal cette fois-ci. Il avait espéré avoir encore le pardon, mais il fut condamné à la pendaison. Peut-être comprit-il, malheureusement trop tard, qu'il avait abusé de la grâce dont le prince lui avait déjà bénéficié.

La Bible déclare que nous sommes tous injustes et pécheurs devant le Dieu Saint (Romains 3. 10, 23). Mais Dieu est aussi Amour (1 Jean 4. 8) et il nous révèle sa grâce merveilleuse accordée par Jésus, mort pour nos fautes et pour nos péchés (1 Corinthiens 15. 3). Ne méprisons pas sa bonté. Dieu nous assure que "celui qui entend sa parole et qui croit en Jésus-Christ le Sauveur, a la vie éternelle. Il ne viendra pas en jugement, mais il passe de la mort à la vie" (Jean 5. 24). Jésus Christ est le seul Sauveur du monde, et c'est pendant notre vie sur la terre que l'on peut recevoir le pardon de tous nos péchés. Si un être humain meurt sans avoir reçu le pardon de ses péchés par la foi en Jésus-Christ, après la mort, ce sera trop tard. Bientôt, le Seigneur Jésus-Christ reviendra pour prendre avec Lui tous ceux qui l'on accepté et reçu comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie ; et Il les fera entrer au Paradis. Par contre, au Retour de Jésus à la fin des temps, Jésus sera le Juge de tous ceux qui auront refusé ou négligé son parfait pardon et le Salut qu'Il offre gratuitement. “Méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longue attente, ignorant que la bonté de Dieu te pousse à la repentance?” (Romains 2. 4)

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Jésus-Christ mourut sur la croix

28 Février 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

A) L'IMPORTANCE DE LA MORT DE JÉSUS-CHRIST
La mort de Jésus-Christ est mentionnée plus de 175 fois dans le Nouveau Testament. L’Ancien Testament contient aussi de très nombreuses références prophétiques de cette mort. « Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, lui aussi, d’une manière semblable y a participé, afin d’écraser par sa mort celui qui détenait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable...» (Hébreux 2 : 14). La mort de Jésus-Christ n’était pas fortuite. C’était le but suprême de sa vie. Jésus s'est fait Homme afin de pouvoir mourir pour les êtres humains en tant qu’Homme Saint et parfait
(Matthieu 20 : 28).

B) LE BUT DE LA MORT DE JÉSUS-CHRIST SUR LA CROIX
Ésaïe 53 : 5 ; Ésaïe 53 : 8-12 ; 1 Pierre 3 : 18 ; Romains 4 : 25 ; 1 Corinthiens 15 : 3 ; 1 Pierre 2 : 24.
Jésus-Christ mourut sur la croix pour pour porter nos péchés et effacer le péché du monde. Ce sont les péchés des êtres humains qui a rendu cette mort nécessaire. Jésus-Christ s’est substitué a nous : Lui le Saint et Juste qui méritait de vivre, mourut pour nous des êtres humains injustes et pécheurs qui méritaient de mourir. Jésus-Christ a donné sa vie en rançon. Par sa mort sur la croix, le prix a été payé pour racheter de la mort les êtres humains qui croient
(Ésaïe 53 : 10). Jésus-Christ s’est offert en ablation. À travers sa mort, le pardon a été accordé aux pécheurs qui se repentent sincèrement (Hébreux 9 : 22 ; 9 : 29 ; 1 Jean 4 : 10 ; Romains 3 : 25). Jésus-Christ a été destiné par Dieu pour être la victime expiatoire par son sang. Par l’effusion de son sang précieux, pour nous pécheurs, nous obtenons le rachat, le rédemption. Le pécheur doit donc subir les conséquences de son péché, mais Jésus-Christ s’est substitué à nous en mourant sur la croix. Pour quiconque place toute sa confiance en Jésus, Il le rachète de la malédiction de la loi, en portant Lui-même cette malédiction (Galates 3 : 10-13). Jésus-Christ est devenu par sa mort notre sacrifice pascal.
Le sang de Jésus versé nous a épargné le châtiment divin réservé à tout pécheur non-repentant. Jésus-Christ est mort pour racheter ceux qui étaient sous la loi, afin que nous puissions être adoptés comme enfants de Dieu. La mort de Jésus-Christ est la base sur laquelle les êtres humains peuvent être délivrés des exigences de la loi et ainsi devenir enfants de Dieu par la foi
(Colossiens 2 : 14-15 ; Galates 4 : 4-5). Nous étions esclaves de ce siècle présent par le péché et la loi, mais par la mort de Jésus-Christ nous avons été libérés pour devenir les citoyens des cieux (Philippiens 3 : 20). Jésus-Christ est mort pour nous emmener à Dieu. Sa mort a effacé l’infranchissable gouffre qui séparait le seul vrai Dieu trois fois Saint de l’être humain pécheur (Matthieu 27 : 50-51 ; Hébreux 10 : 19-20 ; Hébreux 9 : 1- 10).

C) POUR QUI CHRIST FÛT-IL MORT ?
a. Jésus-Christ mourut pour chacun de nous qui croyons en Lui.
b. Jésus-Christ mourut pour l’Église qui est son Épouse
(Ephésiens 5 : 25-27).
c. Jésus-Christ mourut pour chaque croyant individuellement ; non simplement pour l’Église en tant que Corps, mais pour chaque individu de ce corps. Tout croyant en Jésus peut dire : « il m’a aimé et s’est donné Lui-même pour moi ». (Galates 2 :20).
d. Jésus-Christ mourut pour le monde entier
(Jean 1 : 29). La dette du péché de tous les êtres humains a été acquittée par Jésus sur la croix. Chaque être humain au monde peut être pardonné, tout ce qui leur reste à faire c’est d’accepter par la foi en Jésus ce pardon et d’en prendre possession. Par la mort de Jésus Christ, la séparation entre les juifs et « gentils » n’existe plus. C’est la loi qui sépare le juif du gentil. Mais Jésus a aboli cette loi en sa chair et maintenant en Jésus-Christ, "il n’y a ni juif ni grec (...) mais tous sont un en Jésus-Christ" (Galates 3 : 28). Son sang est le lien qui réunit toutes les nations en une seule (Colossiens 1 : 20-22 ; Ephésiens 1 : 7).

Par le sang de Jésus, les croyants en Jésus ont déjà la rédemption, le pardon de leurs offenses. C’est quelque chose que le sang de Jésus leur a acquis et qu'ils se l'ont approprier par la foi (1 Jean 1 : 7 ; Romains 5 : 9).
Par le sang ou dans le sang de Jésus-Christ, les enfants de Dieu sont justifiés
(2 Corinthiens 5 : 21 ; Romains 8 : 33-34). Ils ne sont plus condamnés car Jésus-Christ a payé le prix; (Romains 8 : 1-3 ; 1 Corinthiens 6 : 20).
Nous appartenons désormais à Dieu : ni le diable, ni le monde ni nous mêmes n’ont plus le droit sur nous
(1 Pierre 2 : 9). Son sang nous a sanctifiés (Hébreux 10 : 14). La mort du Christ et Sa résurrection a été la fin du pouvoir de Satan sur les enfants de Dieu. Il ne peut plus se servir de la puissance de la mort sur ceux qui se sont mis au bénéfice de la mort du Christ (Colossiens 2 : 14-15 ; Hébreux 2 : 14).

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La réalité de l'Enfer et du Jugement

27 Février 2020 Publié dans #Enfer

Jésus-Christ affirme que la réalité du Jugement et de l’Enfer constitue un véritable sujet d’inquiétude. Quant à « craindre » quelque chose ou quelqu’un, il vaut mieux craindre Dieu, Celui qui tient entre ses mains notre destinée éternelle : « Craignez celui qui a le pouvoir de jeter dans la géhenne » (Luc 12. 5).

L'Enfer : Une source de réflexion

Cet enseignement soulève de nombreuses questions pour plusieurs d’entre nous. L’idée qu’un Dieu d’amour puisse envoyer des individus dans un lieu de tourments infinis est difficile à comprendre. Qu’en est-il de la paix, de l’amour et de la compassion ? À quoi Jésus pensait-Il en tenant de tels propos ? La réponse est simple et fondamentale. Jésus enseigne que chaque être humain a une destinée éternelle et passera l’éternité dans l’un ou l’autre de ces deux lieux (dans le Paradis ou dans l'Enfer). Dans ces versets, Jésus insiste sur ce que les Écritures appellent l’Enfer. Ses paroles incitent à la réflexion. Jésus affirme que chaque être humain qui ne croit pas en Lui, a une raison légitime d’être profondément inquiet et angoissé quant à son avenir éternel. Jésus dit cela parce qu’il nous aime.

L’Enfer : une réalité généralement rejetée par notre société

En dépit de la corruption évidente en nous et de la mort présente partout autour de nous, les êtres humains ont tendance à nier leur propre finitude et la réalité de la mort. Ils sont même passés maîtres dans l’art de nier ou d’étouffer le fait qu’ils vivent dans un monde moral créé par un Dieu personnel et parfait, à qui chacun devra rendre compte. Cette vérité est énoncée dans des termes très simples dans les Écritures : « […] il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement […] » (Hébreux 9. 27). Cette manière de penser n’est pas très répandue de nos jours. La plupart des gens comptent échapper au Jugement ou ils ont complètement éradiqué cette croyance de leur esprit et la traitent comme la relique dépassée d’une superstition culturelle, fausse et culpabilisante.

Or, l’Être le plus aimant qui ait vécu sur la terre, c’est-à-dire Jésus, est aussi celui qui, dans la Bible, parle le plus souvent de la réalité de l’Enfer (voir Luc 13. 22-28 ; Matthieu 13. 47-50 ; Matthieu 25. 30, 46).

Jésus atteste l’existence réelle d’un lieu au-delà de la mort où l’on est complètement séparé de Dieu : c'est l’Enfer, un lieu horrible avec une condition irréversible. Dans un sens littéral, le terme « enfer » désigne une décharge située à l’extérieur de Jérusalem où les cadavres et les ordures brûlaient jour et nuit. En hébreu, ce lieu porte le nom de « géhenne ».

Le bien-fondé de l’Enfer

Jésus-Christ parle de l’Enfer sans détour, et cela est salutaire pour nous. Car sans l’honnêteté de la Bible, nous pourrions supposer que tout va bien et que nous n’avons pas à nous inquiéter quant à l’éternité. Mais Jésus nous aime trop pour nous laisser dans l’ignorance. Notre délivrance de l’Enfer lui importe plus que notre tranquillité d’esprit.

Pour quelle raison Jésus tient-Il absolument à enseigner à ce sujet ? D’abord, l’existence de l’Enfer nous rappelle que Dieu s’est engagé à régler tous les torts et toutes les injustices commises au cours de l’histoire de l’humanité. Le jour viendra où chacun devra rendre compte à Dieu. Aucune œuvre mauvaise n’échappera à son Jugement et ce Jugement sera en complète harmonie avec son caractère. Sachons que Dieu qui est Amour est également Juste, Compatissant et Parfait.

En outre, la nature même de l’Enfer entre en ligne de compte. Avez-vous déjà réfléchi au fait que tous les êtres humains qui vont en Enfer choisissent eux-mêmes l’Enfer comme destination ? Ce lieu dépourvu de l’Amour de Dieu est réservé à ceux qui choisissent de vivre sans l’Amour de Dieu en Jésus durant leur vie sur la terre. L’existence de l’Enfer révèle, en réalité, la trajectoire finale de la vie d’une personne chargée de ses propres péchés et qui est déterminée à vivre pour elle-même.

Le but de l’enseignement de Jésus sur l’Enfer

Jésus-Christ veut nous donner un sujet légitime d’inquiétude causé par nos péchés ! Le jour viendra où chaque être humain se présentera devant le seul Dieu de l’univers qui est trois fois Saint pour Lui rendre compte de ses actes. L’existence de l’Enfer n’est pas une doctrine sans valeur d’un christianisme que les non-croyants estiment ancien et dépassé. Mais, sachant que nous avons péché, l’Enfer est une réalité qui devrait nous causer une angoisse profonde, nous garder éveillés, et nous pousser à nous repentir en plaçant toute notre confiance en Jésus. Sachons que notre destinée finale à cause de tous nos péchés serait l’Enfer si nous n'étions pas sauvés par le moyen de notre foi en Jésus. Désormais, ce ne sera plus le cas pour nous enfants de Dieu, mais autrefois sans Jésus, la destination pour l'Enfer était réelle.

La bonne nouvelle à propos de l’Enfer

L’enseignement de Jésus sur l’Enfer contient-il au moins une bonne nouvelle ? Bien sûr ! Jésus révèle un sujet d’inquiétude réelle causé par nos péchés, mais Il donne également le moyen d’en être délivré une fois pour toutes. Jésus expose son enseignement sur l’Enfer, mais Il ajoute du même souffle les préceptes de la bonne nouvelle de la grâce rédemptrice de Dieu. Jésus ne veut pas que nous finissions comme l’homme riche, c'est pourquoi Il rappelle à ses auditeurs que Dieu se soucie d’eux et qu’Il aime son peuple bien plus qu’Il n’aime les passereaux. Dieu nous connaît au point de compter le nombre de cheveux sur notre tête ! Il affirme enfin que le pardon des péchés se trouve à notre portée. Jésus affirme clairement ceci : "Je vous le dis, quiconque se déclarera publiquement pour moi, le Fils de l’homme se déclarera aussi pour lui devant les anges de Dieu" (Luc 12. 8).

Comprenons-nous le sens de ces paroles ? Les mêmes anges qui jetteront les méchants en Enfer (Matthieu 13. 47-50) accueilleront également dans la présence de Dieu ceux qui auront reconnu que Jésus-Christ est le Roi éternel, Souverain et Sauveur.

Revenons à l’épître aux Hébreux citée brièvement auparavant : "Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s’est offert une seule fois pour porter les péchés de beaucoup d’hommes, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l’attendent pour leur salut" (Hébreux 9. 27-28). En d’autres termes, la Venue de Jésus avait pour but de résoudre deux problèmes : l’angoissante réalité du Jugement de Dieu sur le péché et la nature horrible de l’Enfer. Jésus explique ce qu’on doit craindre, puis Il enlève la nécessité de s’inquiéter. Grâce à Jésus, Il est donc très bien possible d’être délivré de toutes ces inquiétudes concernant la mort et l’Enfer.

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