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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

salut

(1) Notre parfait Rédempteur

15 Décembre 2020 Publié dans #Salut

Bien que de nombreuses personnes célèbrent de nos jours la naissance de Jésus — certains pour des motivations religieuses et d'autres pour des raisons commerciales - peu d'entre elles ont une connaissance adéquate du but de sa naissance. Car, selon la Parole de Dieu, Jésus Christ est né en ayant dès le commencement une mission spécifique : payer de sa vie pour la rédemption de nos péchés. Comme l'ange le dit à Joseph lorsque Jésus était toujours dans l'utérus de Marie : «... c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1. 21).
« Jésus », Jéhovah en Hébreux, signifie « le Seigneur notre salut ». Et ce fut par Jésus Christ, que l'Éternel, le Jéhovah, apporterait le salut au peuple et les sauverait de leurs péchés. Car la Parole dit en commentant la suggestion de Caïphe, le haut prêtre des Juifs, de crucifier Jésus : «... Jésus devait mourir pour la nation. Et ce n’était pas pour la nation seulement; c’était aussi afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés » (Jean 11. 50-52).
Jésus Christ est né pour mourir pour nous tous sur la croix, et voici certains des effets de sa mort pour nous.

1. Jésus Christ : le Rédempteur de nos péchés

Un des éléments qui est la plupart du temps référencé comme étant la conséquence de la mort de Jésus est la rédemption. « La rédemption » est une œuvre qui assume l'existence du rédempteur, c'est-à-dire, de quelqu'un qui rend la rédemption disponible, et l'existence d'une rançon qu'il paye pour cette dernière. En Tite 2. 14, nous trouvons quel fut l'élément à partir duquel Jésus Christ nous a rachetés ainsi que la rançon qu'il paya. Nous pouvons y lire : « Il [Jésus] s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité ». Jésus Christ nous a rachetés de toute iniquité, et l'obtint en se donnant Lui-même pour nous. Autrement dit, Jésus fut la rançon de notre rédemption de « TOUTE INIQUITÉ ». Car il dit dans Matthieu 20. 28 : « Car le Fils de l'Homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup ».

Jésus vint « pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup ». Et aussi grande que fut la rançon qu'Il paya pour nous, est grande la rédemption qu'Il en obtint. Hébreux 9. 11-12 parlant de cette rédemption nous dit en vérité : « Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création; Il a pénétré une fois pour toutes dans le sanctuaire; il y a offert, non le sang de boucs ou de veaux, mais son propre sang. Il nous a ainsi acquis un salut éternel ».

Les sacrificateurs offrirent des boucs et des veaux par lesquels ils cherchèrent à obtenir la rémission de leurs péchés. Comme nous le verrons plus tard, ce qu'ils firent fut inadéquat. Au contraire, Jésus présenta à Dieu son propre sang par lequel il obtint notre éternelle rédemption. Car Éphésiens 1. 7 nous disent également : « En lui [Jésus] nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés, selon la richesse de sa [Dieu] grâce » ; ainsi que Colossiens 1. 14 « En qui [Jésus] nous avons la rédemption, même le pardon des péchés ».

La rédemption ne se trouve pas dans nos bonnes œuvres et notre comportement. Elle n'est pas dans notre dévotion religieuse. Elle n'est pas dans notre mérite et notre valeur personnelle. Au contraire, elle se trouve EN JÉSUS seul. Et il s'agit d'une rédemption « selon la richesse de la grâce de Dieu », c'est-à-dire, une rédemption abondante, complète et, comme nous le lisons, éternelle.

2. Jésus Christ: le rédempteur des péchés d'Adam

Comme il le fut mentionné dans la dernière section, Jésus Christ fut la rançon qu'il paya pour l'ensemble de nos péchés, pour «TOUTE iniquité», comme Tite 2. 14 le dit. Toutefois, il doit être clair que «L'ENSEMBLE», excepté les péchés qu'un individu commet durant sa vie, comprend également le péché qu'Adam perpétua avec sa chute, et qui passa de génération en génération à l'ensemble des hommes, faisant des pécheurs au moment même où ils naissent. Comme Romains 5. 18-19 nous dit: « Ainsi donc, comme par une [Adam] seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice [Jésus Christ] la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes. Car, comme par la désobéissance d'un seul homme [Adam] beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes ».

La désobéissance d'Adam ne lui coûta pas seulement sa propre chute, mais celle de tous ceux qui sont nés après lui en tant que pécheurs, bien qu'ils n'aient commis aucun péché. Ainsi, il n'existe aucun homme pouvant dire qu'il n'a pas besoin de la rédemption, car même dans le cas hypothétique où il n'a rien fait de mal, le péché d'Adam fait toujours de lui un pécheur au moment de sa naissance. Évidemment, notre rédemption serait complètement inadéquate si elle n'incluait pas le péché d'Adam. Ainsi, Jésus Christ nous a également rachetés du péché d'Adam. Et c'est ce qu'il fit. Comme Romains 5. 19 nous dit : « Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul [Jésus] beaucoup seront rendus justes ».

Bien que le péché d'Adam passe de génération en génération, infectant tous les hommes, c'est à travers l'obéissance et le sacrifice du Seigneur Jésus, que nous pouvons tous nous débarrasser non seulement de ce péché, mais aussi de tout autre péché qui peut avoir infecté nos vies. Car nous lisons dans Tite 2. 14 : « Il [Jésus] s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité ».

Lorsqu'il est dit TOUTE iniquité, cela englobe évidemment le péché d'Adam. De nous jours, un individu à sa naissance est toujours né pécheur. Toutefois, il existe désormais une échappatoire à cette situation, et celui-ci est la croyance dans le Seigneur Jésus. Comme Actes 10. 43 nous dit: « Tous les prophètes rendent de lui [Jésus] le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés ».

C'est tellement simple : croyez en Jésus et tous vos péchés sont pardonnés. Mais cela a tant coûté pour l'obtenir. Cela a coûté le sang précieux du seul fils engendré de Dieu.

Pour conclure donc, bien qu'à notre première naissance, nous sommes tous des pécheurs, à la seconde, la naissance d’En-Haut appelée la Nouvelle Naissance (voir Jean 3. 3-8), qui survient au moment où nous croyons dans le Seigneur Jésus et dans sa résurrection, nous renaissons totalement purs, car la croyance responsable de la seconde naissance nous purifie de L'ENSEMBLE des péchés.

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Être sauvé, la pleinitude de la Rédemption

11 Décembre 2020 Publié dans #Salut

COMMENT POUVONS-NOUS ÊTRE SAUVE ?

Désirons-nous sincèrement être sauvés ? Voulons-nous nous réconcilier avec Dieu quel qu’en soit le prix ou les conséquences
Si cela n'a pas encore eu dans notre vie, nous ferions bien alors de demander à Dieu de nous montrer la vérité.
Chères lecteurs et lectrices, si Dieu nous a révélé clairement notre état et que nous voulons être sauvés, alors faisons une démarche de repentance sincère envers Dieu et ayons foi en notre Seigneur Jésus-Christ (Actes 20. 21). Il nous faut nous repentir. Cela implique un changement radical en ce qui concerne le péché. Notre état d’esprit doit changer. Nous devons admettre que nous avons péché et que nous nous sommes rebellés envers un Dieu Saint et plein d’amour. Notre cœur doit changer : nous devons éprouver une réelle tristesse, de la honte même, en réalisant la bassesse et la souillure de notre péché. Ensuite nous devons renoncer à le pratiquer et modifier complètement le sens de notre vie.

Dieu nous engage à pratiquer des « œuvres dignes de la repentance » (Actes 26. 20). Nous savons ce que nous avons à faire. Dieu ne pardonnera aucun péché auquel nous ne voudrons pas renoncer de nous-même. Lorsque nous nous repentons, nous modifions nos choix, sans restriction, pour que notre vie plaise parfaitement à Dieu. Nous devons avoir foi en Christ. D’abord, cela veut dire accepter que Jésus est « le Christ, le Fils du Dieu vivant » (Matthieu 16. 16) et qu’il « est mort pour des impies » (Romains 5. 6). Ensuite, cela veut dire croire que, dans sa puissance et dans son Amour, Christ veut et peut nous sauver. Enfin, cela veut dire mettre notre confiance en Christ et ne compter que sur Lui pour nous réconcilier avec Dieu.

Notre nature pécheresse et fière combattra ce désir de rejeter la valeur de notre propre bonté ou de notre religion. Cependant, nous n’avons pas le choix. Nous devons cesser de mettre notre confiance dans tout le reste et croire que Christ « peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui » (Hébreux 7. 25).
Si Dieu nous a révélé notre besoin et nous a donné le désir de nous tourner vers Christ, alors faisons-le maintenant ! Il serait idéal que nous prions à haute voix, car cela nous aidera à prendre réellement conscience de ce que nous faisons.

Confessons que nous avons péché et que sans Jésus-Christ; nous sommes impuissants, perdus et coupables, demandons de tout notre cœur à Christ de nous sauver et de prendre sa juste place de Seigneur dans notre vie, afin qu’il nous permette de nous détourner du péché et de vivre pour Lui. La Bible dit que « si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé » (Romains 10. 9), car « quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10. 13). Si nous avons vraiment mis notre confiance en Christ notre Sauveur et que nous le reconnaissons comme notre Seigneur, nous pouvons nous approprier ces promesses !

 LA PLÉNITUDE DE LA RÉDEMPTION

 « Cela importe d’autant plus que vous savez en quel temps nous sommes : c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru » (Romains 13. 11).
L’expression : « le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru », n’est pas toujours bien compris et a donné lieu à de multiples erreurs. Tout s’éclaire quand on comprend que Paul emploie ici le mot « salut » dans son sens général, on pourrait dire « total ».
On restreint très souvent le « salut », en n’en considérant qu’une seule partie, un de ses aspects : le pardon de nos péchés, avec ses conséquences dans notre destinée personnelle.
Avec cette manière d’envisager le salut, ce verset apparaît très troublant. Comment est-il possible d’être plus ou moins près du salut ? Cela ne contredit-il pas l’affirmation sur laquelle repose notre assurance ? La vérité; c'est qu'on est sauvé, ou on ne l’est pas ! Et encore : on n’est pas sauvé à moitié ou aux trois quarts !

Mais la pensée de Paul devient claire, en nous rappelant que le salut est quelque chose d’infiniment plus vaste que beaucoup le pensent.
Nous sommes actuellement délivrés de la condamnation et de la puissance du péché, mais il est toujours présent, nous enveloppant, nous assiégeant, cherchant le point faible pour pénétrer.
C’est pourquoi nous avons à veiller constamment et à lutter sans relâche. Mais, un jour viendra, où nous serons totalement délivrés de sa présence même. Nous n’aurons plus rien à redouter de lui.
De plus, nous revêtirons un nouveau corps, un corps spirituel ; nous serons alors rendus semblables à Christ et entrerons en possession de tout notre héritage céleste.

Ainsi le salut, dont nous n’avons encore que les arrhes, sera pleinement manifesté avec tous ses effets. Alors aussi, la création cessera de soupirer et de gémir. Entièrement affranchie, elle redeviendra ce qu’elle était avant que la chute de l’homme l’entraîne dans « la servitude de la corruption ».

Rendons-nous compte que le salut doit avoir des résultats beaucoup plus nombreux et étendus que nous ne pouvons l’imaginer.
Maintenant donc, nous jouissons de ses premiers effets, mais nous attendons avec une pleine confiance tout le développement de ses conséquences pour la terre et le ciel.
C’est dans ce sens que l’apôtre peut écrire que le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru.
L’heure du Retour en gloire de Jésus qui réalisera la plénitude de la rédemption, approche. AMEN !!!

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L'oeuvre achevée de Jésus-Christ notre Sauveur

7 Décembre 2020 Publié dans #Salut

Tout est accompli

Dieu a accompli l’œuvre de la Rédemption dans la mort et la résurrection de Son Fils Jésus-Christ pour que l’être humain qui se repent de ses péchés et qui met sa confiance en Jésus, en jouisse pleinement. La Parole infaillible de Dieu nous dit : « Tout est à vous » (1 Corinthiens 3 : 21). Cette œuvre, Jésus-Christ l’a résumée en trois mots : « tout est accompli » (Jean 19 : 30). L’apôtre Paul l’a résumée en un seul verset, mais combien riche : « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ » (Éphésiens 1 : 3).
Dieu nous a tout donné en nous donnant son Fils Jésus. Le Père a mis en Jésus « toute la plénitude de la divinité » (Colossiens 2 : 9) et « il a voulu que toute plénitude habitât en Jésus » (Colossiens 1 : 19). Puis Dieu le Père a fait pour nous ses enfants le don extraordinaire et unique de son Fils Jésus avec toutes « les richesses insondables » (Éphésiens 3 : 8).
« Comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez en lui » (Colossiens 2 : 6).
L’apôtre Paul l’exprime dans de puissants petits mots : « Christ est tout et en tous » (Colossiens 3 : 11), « Christ remplit tout en tous » (Éphésiens 1 : 23), « Tout est à vous et vous êtes à Christ » (1 Corinthiens 3 : 21). Ce dernier point « vous êtes à Christ », Jésus Lui-même l’avait annoncé un peu différemment en insistant sur notre union à lui-même : « Vous êtes en moi et je suis en vous » (Jean 14 : 20).
« Dieu nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions » (1 Timothée 6 : 17). Tout a été accompli à la croix y compris nos bénédictions. Dieu nous a déjà tout donné en son Fils Jésus-Christ, et nous les recevons par la foi et en obéissant à la Parole de Dieu.
La Grâce de Dieu pourvoit non seulement au Salut, mais aussi à chaque besoin de notre vie. Il a déjà pourvu à TOUT selon sa volonté ! Dieu a anticipé tous les besoins que nous aurons et y a pourvu au travers de Jésus avant même que nous n’existions. C’est cela la Grâce de la Rédemption en Jésus-Christ. La foi est le moyen de recevoir le don gratuit de la Vie Éternelle que Dieu nous offre en son Fils Jésus-Christ.
L’auteur de l’épître aux Hébreux souligne que, par sa mort sacrificielle sur la croix, Jésus a pourvu de manière entière, parfaite et complète à chaque besoin de chaque être humain en tout temps et en tout lieu, et cela à jamais.
Proclamons que l’œuvre achevée de Jésus-Christ donne droit à toutes bénédictions.

Jésus-Christ est assis à la droite de Dieu et nous aussi

« Jésus, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu » (Hébreux 10 : 12).
Dieu nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus Christ (Éphésiens 2 : 6)
Jésus s’est assis parce qu’Il a complètement et parfaitement accompli son œuvre, l’œuvre de Grâce de la rédemption. Jésus n’a plus rien à faire pour que nous puissions bénéficier des bénédictions découlant de la rédemption. Par amour et par grâce, Dieu le Père nous a fait asseoir avec Jésus à sa droite et dans les lieux célestes. Nous sommes maintenant « assis avec Jésus » au-dessus de toute autorité et de tout nom qui se puisse nommer.
Qu’est-ce que cela veut dire pour nous ? Être assis avec Jésus dans les lieux célestes est une place de repos, une place d’autorité et une place de gloire. L’œuvre de Jésus-Christ a été complètement accomplie et durant l'éternité, nous ne cesserons de Le remercier et de Lui rendre gloire pour tout ce qu'Il a fait pour nous sauver parfaitement.
En Jésus-Christ, nous avons une place d’autorité car nous avons déjà vaincu le monde par notre foi en l’œuvre
achevée de Jésus, achevée par Jésus pour nous. De plus à cette place, nous sommes conscients que Dieu est avec nous. Cette place, « assis dans les lieux célestes », c’est le repos dans la foi, et « la foi est la ferme assurance des choses qu'on espère » (Hébreux 11 : 1).
Nous avons une place de gloire, car Dieu nous a créés pour la gloire, nous sommes son héritage glorieux. Dieu nous transforme de gloire en gloire dit l’apôtre Paul. « Ceux qu’il a prédestinés...il les a aussi glorifiés » (Romains 8 : 30). « C’est à quoi il vous a appelés par notre évangile, pour que vous possédiez la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ » (2 Thessaloniciens 2 :14).
Nous n'avons pas « à faire des oeuvres » pour bénéficier de cette œuvre de rédemption parfaitement accomplie par Jésus-Christ. Il a donné sa vie pour que quiconque croit soit sauvé. C’est une merveilleuse vérité. Il ne nous reste « rien » à faire, si ce n’est recevoir Jésus-Christ dans notre vie simplement par la foi et de vivre pour sa gloire. Reposons-nous dans l’œuvre achevée de Christ : « pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos » (Hébreux 4 : 3). Pour cela, nous arrêtons de dépendre de nos propres efforts pour gagner et mériter les bénédictions de Dieu dans notre vie. Nous faisons confiance à Jésus-Christ, notre parfait Sauveur. Jésus nous dit : « sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jean 15 : 5). Toutefois, pour nous êtres humains, nous reposer entièrement sur l’œuvre rédemptrice de Jésus-Christ est tellement contraire à notre nature humaine, à notre éducation, à nos habitudes. C'est pourquoi, nous devons nous abandonner totalement à Jésus-Christ et mettre toute notre confiance en Lui.
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Jésus-Christ sauve parfaitement

4 Décembre 2020 Publié dans #Salut

- Jésus-Christ sauve, mais qui est Jésus-Christ ?
Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il est Dieu fait homme
(Jean 1 : 1, 14). Jésus-Christ est Dieu, venu en chair sur la terre, comme un être humain (1 Jean 4 : 2) tout en étant Saint, sans péché. Oui, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est venu dans ce monde pour nous sauver. Cela nous amène aux questions suivantes.

- Jésus-Christ sauve, mais pourquoi avons-nous besoin d’être sauvés ?
La Bible déclare que tous les êtres humains ont péché
(Ecclésiaste 7 : 20 ; Romains 3 : 23). Pécher, c'est de faire quelque chose - que ce soit en pensée, en parole ou en œuvre - qui contredit le caractère parfait et saint de Dieu. En raison de notre péché, nous méritons tous le jugement de Dieu (Jean 3 : 18, 36). Dieu est parfaitement Juste, Il ne peut pas accepter le péché et le mal ne peut pas rester impuni. Puisque le seul vrai Dieu est infini et éternel, et que tout péché est commis contre Lui (Psaume 51 : 4), seul un châtiment infini et éternel est suffisant. La mort éternelle en Enfer est la seule punition juste pour le péché. C'est pourquoi nous avons tous besoin d'être sauvés de tous nos péchés en recevant dans notre vie Jésus-Christ notre Sauveur. Nous devons nous repentir de nos péchés et mettre notre confiance en Jésus pour pouvoir aller au Ciel, au Paradis.

- Jésus sauve, mais comment peut-Il sauver ?
Tous les êtres humains ont besoin d'être sauvés, parce que nous avons péché contre le seul vrai Dieu infini. Étant des êtres humains finis et pécheurs, nous méritions de payer pour nos péchés pour un temps infini en Enfer, mais une personne infinie (Jésus-Christ, le Fils de Dieu) a du payer pour nos péchés une fois pour toutes lorsqu'Il fut cloué sur la croix. Il n'y a pas d'autre option. Jésus-Christ nous sauve parfaitement en mourant pour nous sur la croix et en ressuscitant. Oui, Jésus-Christ le Fils de Dieu s'est sacrifié pour notre compte en payant pour le salaire infini et éternel du péché (qu’est la mort éternelle) que Lui seul pouvait payer ainsi car Il est Saint
(2 Corinthiens 5 : 21; 1 Jean 2 : 2). Jésus a pris la punition que nous méritons, afin de nous sauver d'un destin horrible, éternelle et juste en Enfer pour le salaire de nos péchés. En raison de son Grand et Parfait Amour pour nous, Jésus a donné sa vie volontairement (Jean 15 : 13), a payé la rançon que Lui seul pouvait payer. Mais, Jésus est ressuscité, démontrant ainsi que sa mort était en effet pleinement suffisante pour payer le salaire de nos péchés (Hébreux 9 : 26b).

- Jésus-Christ sauve, mais qui sauve-t-il ?
Jésus-Christ sauve tous ceux qui reçoivent son merveilleux don du Salut. Jésus sauve tous ceux qui viennent à Lui en ayant une foi véritable en Lui, tous ceux qui ont pleinement confiance en Lui, en son sacrifice, comme le paiement pour le péché
(Jean 3 : 16, Actes 16 : 31). Bien que le sacrifice de Jésus-Christ étant parfaitement suffisant pour payer pour les péchés de l'humanité tout entière, Jésus-Christ sauve que ceux qui l'ont personnellement reçu, ceux qui croient en son Nom, et qui sont devenus enfants de Dieu (Jean 1 : 12).

- Nous sommes sauvés ? Mais de quoi ?

Sauvés des péchés eux-mêmes
Les péchés (le vol, le mensonge, l'adultère, etc.) sont des faits, des réalités négatives, mis au passif de l'individu. Mais "l'Éternel a fait retomber sur lui (sur Christ) l'iniquité de nous tous... Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités... Ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé" (Ésaïe 53. 4-6).

Sauvés du jugement et de la condamnation éternelle
Le péché appelle un jugement sévère de la part du seul vrai Dieu Juste et Saint. Mais "le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui" (Ésaïe 53. 4-6), sur Jésus Christ. Jésus-Christ a donc pris sur lui à la fois le péché et la juste condamnation que nous méritions. En conséquence, "nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ" (Romains 5. 1). En outre, le péché a fait sortir l'être humain de la volonté et du plan de Dieu, et l'a placé sous la Colère de Dieu. Mais Christ a pris sur Lui le mal et ses conséquences, et ainsi "il nous délivre de la colère à venir" (1 Thessaloniciens 1. 10).

Sauvés de l'inconnu de la mort
La crainte de la mort est due à la crainte de l'inconnu, à l'ignorance de ce qu'il y a "après" la mort. Mais la résurrection de Christ prouve qu'il y a bien une existence après la mort. Sinon Christ ne serait pas non plus ressuscité. En outre, celui qui a placé sa confiance en Christ, qui croit que Jésus a porté ses péchés et l'a délivré de la Colère à venir sait où il va après la mort. L'apôtre Paul affirme : "J'ai le désir de m'en aller et d'être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur" (Philippiens 1. 23).

Quelle certitude merveilleuse : être avec Christ pour l'éternité au Paradis après la mort de notre corps humain ! Mais que celui qui ne croit pas en Jésus et qui n'a pas reçu son parfait Salut pendant sa vie sur la terre sache aussi qu'il ira en Enfer après la mort. Car "celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui" (Jean 3. 36).

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Jésus-Christ seul nous amène à Dieu

29 Novembre 2020 Publié dans #Salut

Pourquoi Jésus-Christ était-il mort sur la croix ? Pourquoi avait-t-il tant souffert ? – C'était pour nous amener à Dieu. C'était le but suprême de la Venue de Jésus sur la terre. Mais quel était l'obstacle qui a fallu cela ? Ce sont nos péchés, bien sûr, notre égoïsme, notre impureté, notre haine, notre cupidité, notre mesquinerie, notre orgueil, et toutes les autres fautes qui entachent nos vies. Ces péchés s'élevaient comme un grand mur entre nous et Dieu. Nous ne pouvions voir de l'autre côté. Nous n'étions pas même sûrs qu'il y ait un autre côté, et qu'il y ait quelqu'un de cet autre côté. Mais Jésus-Christ a souffert sur la croix pour abattre définitivement ce mur de péchés. Jésus y est parvenu en acceptant que le mur tombe sur Lui. Oui Lui, le Juste, a pris notre place, à nous les injustes ; Il a payé nos dettes, porté notre fardeau, purgé notre peine. Jésus l'a fait pour que, en plaçant toute notre confiance en Lui, nous puissions être pleinement pardonnés par Dieu, sans que rien ne porte atteinte à sa Justice, Justice qui ne pouvait pas passer sur nos péchés sans les punir.

Jésus-Christ nous a-t-il aimé personnellement et aimé chaque être humain ? Oui bien sûr, sa croix le prouve. Comme Paul, le rebelle devenu disciple et apôtre, nous pouvons désormais nous écrier : “Le Fils de Dieu... m'a aimé et… s'est livré lui-même pour moi” (Galates 2. 20). Nous pouvons être sûr que, chacun de nous qui avons reçu Jésus-Christ dans notre vie et qui avons cru à son sacrifice parfait sur la croix, nous sommes pardonnés de tous nos péchés. Cela s'est décidé une fois pour toutes sur cette croix cruelle, et pourtant infiniment glorieuse, car c'est à la croix que brille tout l'Amour de Dieu pour vous et pour moi. AMEN !!!

Comme un agneau, tu te laissas meurtrir
Pour nos péchés, toi, le Sauveur du monde.
Ô tendre Amour, ô charité profonde !
Pour nous sauver, Jésus, tu vins mourir.

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Dieu aime les êtres humains et veut les sauver

26 Novembre 2020 Publié dans #EVANGILE, #Salut

La Bible nous dit : « De loin l'Éternel se montre à moi : (Dieu nous dit) Je t’aime d’un amour éternel, c’est pourquoi je te conserve ma bonté » (Jérémie 31 : 3). La Bible nous affirme aussi, à de nombreuses reprises que Dieu ne veut pas seulement être notre Créateur. Ainsi pour chacun de nous êtres humains qui recevons véritablement Jésus-Christ dans notre vie, Dieu est notre Père Céleste qui nous aime infiniment et qui nous offre dès maintenant et pour l'éternité notre bonheur éternel avec Lui. Le seul Dieu d'Amour, le Dieu de l'Univers, est notre Sauveur à travers l'oeuvre parfaite de son Fils Jésus-Christ.

Lorsque Dieu créa Adam et Ève, l'être humain était en harmonie avec Dieu. Il y avait alors une relation intime entre Dieu et l'être humain. Mais Adam et Ève ont désobéi à Dieu parce que l'être humain, par orgueil, a voulu être comme Dieu. Cette relation intime entre l'être humain et Dieu a été brisée. La Bible dit dans Ésaïe 59 : 2 : « Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l'empêchent de vous écouter ».

C'est pour cette raison que les êtres humains sont malheureux. Il sont éloignés, chacun par sa faute, de leur Père Céleste. Ils rejettent Celui qui les aime ! Ils sont ennemis de Dieu ! Ils vivent loin de ce pour quoi ils ont été créés.

L’être humain a été créé intelligent et responsable. Après la chute, il a acquis la connaissance du bien et du mal, c’est-à-dire une conscience qui le juge. Il sait très bien qu’il fait ce qui est mauvais : c’est cela être pécheur. Il est conscient des actes qu’il commet et il sait aussi que le jugement de Dieu est selon la vérité car « Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui comment de telles choses,...» (Romains 1 : 32).

Dieu est miséricordieux, lent à la colère et riche en bonté. Dans sa grâce infinie, Il nous offre une justice, dont lui seul est la source. Il nous a envoyé son Fils Jésus-Christ, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. La Bible dit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3 : 16).

Cette justice n’apparaît pas pour juger et condamner, mais elle vient en grâce et en amour pour rassurer l'être humain, le faire sortir de son état d’angoisse et d’inquiétude, pour le prendre par la main et le conduire dans la présence même de Dieu, présence dont nous étions bannis. Dieu donc fait une offre qui répond au grand besoin de l’être humain.

« Justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus » (Romains 3 : 24). Nous avons tous besoin d’un « racheteur » pour qu’il paye pour nous le prix qui correspond à notre état. Celui qui a cette capacité, c’est le Seigneur Jésus Christ. C’est donc par l’œuvre de Jésus-Christ que la justice nous est gratuitement accordée ; nous disons bien gratuitement car l'être humain est entièrement absent dans cette œuvre. Il n’a rien fait pour mériter cette justification. La justification lui est donnée par pure grâce.

L’Évangile est véritablement la Bonne Nouvelle de Dieu qui nous trouve dans notre état désespéré et nous offre une justice divine qui vient du cœur de Dieu et qui a de grands résultats. Désormais, tout être humain peut l’avoir car elle est pour tous et est donnée gratuitement.

La Bible le dit clairement, que chaque être humain doit mettre sa confiance en Jésus qui a porté nos péchés, qui est mort pour nous, qui a été enseveli et que Dieu a ressuscité. C'est le sang de Christ et sa résurrection qui nous assurent de la vie éternelle lorsque nous Lui demandons d’être notre Seigneur et Sauveur.
C'est pourquoi, si un être humain comprend qu'il est un pécheur et s'il croit que Jésus-Christ est venu comme seul et unique Rédempteur de ses péchés, alors qu'il se repent de ses péchés et qu'il Lui consacre le reste de sa vie, acceptant Jésus comme Seigneur et Sauveur de sa vie.

La Bible nous dit : « Nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !  » (2 Corinthiens 5 : 20).

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Propitiation, Substitution et Réconciliation

23 Novembre 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #Salut

Car aussi Christ a souffert une fois pour les péchés, le juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu. (1 Pierre 3. 18). Ce verset contient trois pensées remarquables.

PROPITIATION :
La première est celle-ci : “Christ a souffert une fois pour les péchés”. C’est une bonne chose de contempler, par la foi, “l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde” (Jean 1. 29). Jésus-Christ a fait “propitiation pour les péchés du peuple” (Hébreux 2. 17). Tous les péchés qui ont été commis sont un affront et une insulte à Dieu qui est Saint; et sa nature sainte réclame qu'un juste jugement s'exerce à leur égard. Jésus-Christ a précisément subi ce jugement lorsqu'il a souffert “une fois” pour les péchés. Cette expression “une fois” est de la plus haute importance. Arrêtons-nous un instant pour la considérer de plus près.
Christ est venu “une fois” pour ôter les péchés par le sacrifice de Lui-même; ce “une fois” est en contraste avec les sacrifices qui étaient offerts continuellement sous la Loi, mais ne pouvaient jamais ôter les péchés (voir
Hébreux 10. 4). Le sacrifice de Jésus n'exige aucunement d'être répété ; il est valable et parfait à perpétuité. Christ était l'Agneau de Dieu, envoyé pour faire sa volonté. Il a pu dire : “Je t'ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l’œuvre que tu m'as donnée à faire” (Jean 17. 4). Et Dieu a appliqué son juste Jugement contre les péchés sur l'Agneau qu'Il avait Lui-même donné pour ce sacrifice. Dieu ne peut qu'accepter, avec une entière et heureuse satisfaction, ce qu'Il a Lui-même fourni. Du fait que Jésus a souffert “une fois” pour les péchés, Il a satisfait les saintes exigences de la souveraineté de Dieu au sujet de tous nos péchés commis. Et Dieu, en retour, a glorifié Jésus, Celui qui L'avait tant glorifié, en le faisant asseoir sur son propre Trône, à cette place de suprématie incontestée. Voilà ce qu'est la propitiation !
Le voile qui nous cachait Dieu et qui nous fermait l'entrée dans sa présence a été déchiré. Maintenant Dieu resplendit dans toute sa gloire dans la face de Jésus Christ. Dieu est lumière et Il est amour. Tout ce que Dieu est, et tout ce qui peut être connu de Lui, a été révélé. Par conséquent, il nous convient de nous jeter à ses pieds et de Lui rendre hommage !

SUBSTITUTION :
La seconde pensée de ce verset est que Jésus-Christ a souffert, “le juste pour les injustes”. C’est une vérité des plus bénies ! Jésus le Juste “n’a pas connu le péché”, dit Paul (2 Corinthiens 5. 21); Il “n’a pas commis de péché”, dit Pierre (1 Pierre 2. 22); et “il n’y a pas de péché en Lui”, dit Jean (1 Jean 3. 5). Jésus est allé à la croix où Il a pris la place des injustes, des pécheurs. Christ “est mort pour des impies” (Romains 5. 6), oui pour des pécheurs, pour des ennemis de Dieu, alors que Lui-même Jésus était sans tache, sans péché. Jésus seul qui est Saint était ainsi qualifié pour être leur Substitut. Non seulement Jésus était le seul capable et compétent pour expier nos péchés, mais Il était aussi volontaire pour porter tous nos péchés “en son corps sur le bois” (1 Pierre 2. 24). Merveilleux Sauveur !
Oui, le Christ Jésus s’est abaissé en grâce jusqu'à nous, là où nous étions, afin de nous élever et de nous donner une place avec lui là-haut, là où il est maintenant, pour que nous puissions demeurer avec Lui pour toujours.

RÉCONCILIATION :
La troisième pensée dans ce verset nous donne le grand but, le point culminant ! Il n’y a rien qui aille au-delà. Nous sommes “amenés à Dieu”, au Dieu que nous avions repoussé avec mépris et contre lequel nous avions péché ! Un grand gouffre s’était creusé (voir
Luc 16. 26); il nous était impossible de le traverser pour aller à Dieu. Or maintenant nous sommes “approchés par le sang du Christ” (Éphésiens 2. 13). Y a-t-il quelque chose de plus grand et de plus merveilleux ? Nous ne sommes plus des ennemis de Dieu; le retour à Dieu nous a amenés plus près de lui que nous ne l’étions avant que le péché ne nous en éloigne; la distance qui nous séparait de Dieu a été réduite à néant. Maintenant, nous appelons Dieu notre Père, parce qu’une relation nouvelle et étroite a été établie: dans le Fils, nous sommes aussi proches de Dieu et aussi chers à son cœur qu’il l’est, lui.
Notre éloignement de Dieu et les ténèbres de notre condition de pécheurs devant lui sont décrits de la manière la plus nette en
Romains 3. 9-18 : “Il n’y a pas de juste, non pas même un seul; il n’y a personne qui ait de l’intelligence, il n’y a personne qui recherche Dieu; ils se sont tous détournés, ils se sont tous ensemble corrompus… la destruction et le malheur sont dans leurs chemins, et ils n’ont pas connu le chemin de la paix; il n’y a pas de crainte de Dieu devant leurs yeux”. C’est de là, de ce lamentable état de ruine, que Jésus-Christ nous a sauvés et que nous sommes maintenant amenés si près du cœur de Dieu.
"Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création: les choses vieilles sont passées; voici, toutes choses sont faites nouvelles; et toutes viennent du Dieu qui nous a réconciliés avec lui-même par Christ, et qui nous a donné le service de la réconciliation: c’est-à-dire que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs fautes et mettant en nous la parole de la réconciliation. Nous sommes donc ambassadeurs pour Christ – Dieu, pour ainsi dire, exhortant par notre moyen –, nous supplions pour Christ: Soyez réconciliés avec Dieu !" (2 Corinthiens 5. 17-20)

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Qu'est-ce que la conversion ? (2)

19 Novembre 2020 Publié dans #Salut

LA CONVERSION – DE L’AVEUGLEMENT AU RECOUVREMENT DE LA VUE
Car c’est le Dieu qui a dit que, du sein des ténèbres la lumière resplendit, qui a relui dans nos cœurs pour faire luire dans nos cœurs la connaissance de la gloire de Dieu dans la face de Christ. (1 Cor. 4. 6).
Dans l’évangile de
Jean au chapitre 9, nous lisons l’histoire d’un homme né aveugle. Il n’avait jamais vu la beauté de la nature autour de lui, ni le visage de quelque personne que ce soit. Le Seigneur a fait de la boue en crachant sur le sol, en a enduit les yeux de l’aveugle et l’a l’envoyé se laver au réservoir de Siloé. L’homme est revenu, voyant parfaitement clair, au grand étonnement de sa famille et de ses voisins. Jésus avait quitté la scène, mais Il est revenu un peu plus tard pour Se révéler à l’homme qu’Il avait guéri. Quelle joie cela a dû être pour cet homme de contempler la face de Celui qui lui avait miraculeusement rendu la vue !
Nous étions tous des habitants du royaume des ténèbres spirituelles. Nous ne voyions rien des choses comme Dieu les voit. Mais, au moment de sa conversion, une personne est « appelée des ténèbres à sa merveilleuse lumière » (1 Pierre 2. 9) et il lui est donné une faculté spirituelle de discernement qui correspond à « la pensée de Christ » (cf.
1 Corinthiens 2. 9-15). Cela nous rend capables d’apprécier les vertus du Sauveur – un motif de profonde joie, car Il a glorifié Dieu dans Sa vie et dans Sa mort. Notre aveuglement concernant la déité est ainsi transformé en la capacité de prendre conscience de la Sainteté de Dieu et de la gloire dans laquelle Il demeure. Ce que nous discernons maintenant sera de beaucoup surpassé lorsque nous serons appelés dans la présence du Seigneur pour Le voir « comme il est » (1 Jean 3. 3).

LA CONVERSION – DE L’INFIRMITÉ À LA MARCHE
Comme donc vous avez reçu le christ Jésus, le Seigneur, marchez en lui. (Colossiens2. 6).
Quand la Parole de Dieu parle de notre marche, c’est de notre conduite qu’il s’agit. Les personnes incrédules se conduisent « selon la façon de vivre de ce monde… accomplissant les volontés des pensées charnelles »
(Éphésiens 2. 2 et 3). Ceux qui se sont tournés vers Christ pour être sauvés sont désormais identifiés avec Lui et appelés à « marcher en nouveauté de vie » (Romains 6. 4). Auparavant, ils n’avaient aucune aptitude à vivre une vie qui plaise à Dieu. La puissance de la vie éternelle était absente. Mais les choses changent quand Christ entre dans notre vie.
C’est l’expérience qu’ont faite deux hommes en particulier, lorsque le Seigneur était sur la terre. Le premier, malade depuis environ 38 ans, était infirme ; il a obéi au commandement de Jésus lui disant : « Lève-toi, prends ton brancard et marche » (Jean 5. 8). Il a été guéri immédiatement. Le second, paralysé, est porté jusqu’au lieu où Jésus enseignait. La maison étant remplie par la foule, le seul chemin d’accès au Sauveur était depuis le toit. Mais sa foi, et celle de ceux qui le portaient sur son petit lit, a été récompensée. Et lui, « à l’instant, se leva… et s’en alla dans sa maison, glorifiant Dieu » (Luc 5. 25).
L’objectif du croyant en Jésus-Christ, c’est de glorifier Dieu. Tous ceux qui les entourent remarquent leur comportement et ils sont jugés en fonction de ce qu’ils manifestent. Dans ses épîtres, l’apôtre Paul exhorte les croyants à marcher d’une manière digne de l’Évangile, de leur appel, de Dieu, et du Seigneur ; il met souvent en contraste ce qui est attendu d’eux maintenant avec ce qui les caractérisait autrefois, eux et ceux qui n’avaient pas cru en Jésus Christ.

LA CONVERSION – DU MUTISME À LA PAROLE
Ne crains pas, mais parle, ne te tais pas. (Actes 18. 9).
Annonce ce qui convient au sain enseignement. (Tite 2. 1).
Le langage est le moyen de communication majeur entre les êtres humains. Qu’il serait difficile de transmettre nos pensées aux autres, si nous étions incapables de parler ! Et pourtant, les personnes qui sont malheureusement muettes se trouvent continuellement devant cet obstacle.
En parlant de Dieu, le roi Salomon a écrit : « La prière des hommes droits lui est agréable » (Proverbes 15. 8). Les hommes droits, ce sont ceux dont les péchés ont été pardonnés et qui vivent de manière juste. Les inconvertis ne pourraient jamais être comptés parmi eux. Si, à l’occasion, ils expriment leur soulagement en invoquant Son Nom, Dieu n’écoutera ni la louange, ni l’adoration, même sincères et reconnaissantes de leur part. Dans ce sens-là, les personnes non converties sont muettes devant Dieu.
En contraste, les chrétiens, nés de nouveau, ont conscience de ce qu’ils doivent à leur Seigneur et Sauveur, et Lui expriment spontanément leur gratitude pour leur salut. Le jeune homme de Naïn qui a été ramené à la vie, « commença à parler » (Luc 7. 15). Au sujet du « sourd qui parlait avec peine » (Marc 7. 32 à 35), nous apprenons que « ses oreilles s’ouvrirent… et il se mit à parler correctement ». Employons-nous suffisamment cette capacité pour proclamer la bonne nouvelle du salut et les vertus du Sauveur ?
Au démoniaque que le Seigneur avait guéri, Il dit : « Va dans ta maison, auprès des tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi, et comment il a usé de miséricorde à ton égard » (Marc 5. 19). Les versets ci-dessus insistent sur l’importance de répandre l’Évangile et les vérités scripturaires par la parole orale.

LA CONVERSION – DE LA SOUILLURE À LA PURIFICATION
Je répandrai sur vous des eaux pures, et vous serez purs ; je vous purifierai de toutes vos impuretés et de toutes vos idoles. Et je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau. Ezéchiel 36. 25 et 26.
Le péché souille ; il nous affecte à la fois mentalement et physiquement. Le Seigneur Jésus a montré cela de façon absolument claire quand Il a jugé les pharisiens et les scribes – qui se vantaient de leur prétendue pureté – en parlant de souillure, en citant de nombreux péchés qui la causent : « c’est du dedans, du cœur des hommes, que sortent mauvaises pensées, fornications, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, impudicité, œil méchant, injures, orgueil, folies » (Marc 7. 21 et 22).
Ces choses résument le caractère naturel du cœur humain. Quel soulagement de faire l’expérience que « le sang de Jésus Christ… nous purifie de tout péché » (1. Jean 1. 7) ! La mort du Seigneur est le moyen employé par Dieu pour purifier l’humanité, mais la purification est une question individuelle et pas générale ; on l’obtient seulement par la repentance et la foi.
Le lépreux guéri par le Seigneur Jésus en Luc 5. 12 et 13, illustre bien ce fait. C’était un cas désespéré, car il était « plein de lèpre » et avait devant lui une mort certaine. Mais il fit appel à la bonne volonté du Seigneur pour qu’Il le guérisse, et fut purifié instantanément.
Bien que les croyants aient été complètement purifiés, ils peuvent encore être souillés par le péché dans leur marche pratique. Leur vie éternelle est sans péché, mais leur vie terrestre est affectée par leur chair de péché (pécheresse). L’apôtre Pierre a appris cette leçon quand le Seigneur lui a dit : « Celui qui a tout le corps lavé n’a besoin que de se laver les pieds » (Jean 13. 10). Nous aussi, nous avons besoin de confesser les péchés commis après notre conversion (cf. 1 Jean. 1. 9), et de faire appel à l’action en grâce du Seigneur pour être préservés, afin de nous purifier « de toute souillure de chair et d’esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu » (2 Corinthiens 7. 1).

LA CONVERSION – DE L’IDOLÂTRIE À LA VÉRITABLE ADORATION
Vous, vous adorez vous ne savez quoi. Nous savons, nous, ce que nous adorons… Mais l’heure vient, et c’est maintenant, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; et en effet le Père en cherchent de tels qui l’adorent. Jean 4. 22 et 23.
Dans les temps bibliques, les nations avaient leurs propres idoles, qu’ils adoraient sans les connaître. Certains, pourtant, n’étaient pas sans connaître le seul vrai Dieu. Les fils d’Israël, en contraste, jouissaient d’un grand privilège, ayant été choisis, et retirés des idolâtres par Dieu Lui-même pour être Son peuple. Cependant, même eux, par moments, se tournaient vers d’autres dieux. Au puits de Jacob (Jean 4), le Seigneur Jésus mit bien en évidence l’ignorance de la femme samaritaine concernant l’adoration. La question n’était pas l’endroit d’où l’on adorait, ni ce qu’on adorait, mais qui l’on adorait : le Père.
C’était là le fondement de l’adoration chrétienne, qui aurait lieu, dès lors, « en esprit et en vérité ». Cela indique que seuls les vrais croyants sont en état de pouvoir adorer, car le caractère d’une telle adoration exige une juste compréhension de la nature de Dieu. Ayant été régénérés, ils sont devenus « participants de la nature divine » (2 Pierre 1.4). Notre adoration doit être conforme à la sainteté de Dieu, à Sa justice, et à Sa grâce. Sans la vie éternelle donnée par Dieu, cela est impossible.
Quelle heureuse réaction que celle de l’aveugle-né (Jean 9) comme celle du Samaritain lépreux (Luc 17), quand ils prirent conscience de la bénédiction qu’ils avaient reçue et qui était Celui qui avait répondu à leur misère ! Ils ont rendu au Seigneur l’hommage qui lui était dû.
Les croyants sont devenus une « sacrificature royale » pour annoncer les vertus de Celui qui les a appelés des ténèbres à Sa merveilleuse lumière (cf. 1 Pierre 2. 9). Cette adoration implique la communion avec le Père concernant les vertus et l’œuvre de Son Fils bien-aimé. C’est cela que le Père cherche. Puissions-nous ne pas négliger cet aspect des plus importants de notre vie chrétienne.

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Qu'est-ce que la conversion ? (1)

18 Novembre 2020 Publié dans #Salut

"Repentez-vous donc et vous convertissez, pour que vos péchés soient effacés" (Actes 3. 19).
"Vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai" (1 Thessaloniciens 1. 9).

Nous connaissons le mot conversion dans le sens de modifier ou d’améliorer la forme ou l’usage d'une chose, d’un bâtiment. Un changement est alors opéré. C’est aussi ce qu’implique le sens biblique de ce mot. Le mot grec original signifie le fait de se tourner d’une chose vers une autre, comme on le voit dans le second verset cité. Quand nous nous tournons vers Dieu, notre vie connaît une transformation complète. Nous tournons le dos au chemin que nous suivions jusque-là, et nous nous engageons dans une nouvelle direction, dans laquelle nous pouvons trouver l’approbation de Dieu.
Les chrétiens de Thessalonique avaient adoré des idoles, mais la bonne nouvelle du salut avait touché leurs consciences et ils avaient pris conscience qu’ils étaient des pécheurs, « sans espérance et sans Dieu dans le monde » (Éphésiens 2. 12). Aussi, Ils s’étaient alors tournés vers le Dieu vivant, afin d’obtenir le pardon de leurs péchés. C’était une réelle conversion.
Ce qui est merveilleux quant à la conversion, c’est que, non seulement Dieu pardonne nos péchés, mais qu’ils sont « effacés ». Dieu dit trois fois dans les Saintes Écritures : « Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés, ni de leurs iniquités » (Jérémie 31. 34b ; Hébreux 8. 12 et 10. 17). Tous nos méfaits, une fois confessés et pardonnés, ne seront plus jamais relevés contre nous. Comme nous devrions être reconnaissants pour une telle grâce !
Cependant, notre conversion implique quelque chose de plus, dont jouit le croyant comme résultat de sa conversion. Mais, pour faire l’expérience de la bénédiction de ces privilèges, nous avons besoin de nous souvenir que nous devons notre conversion à l’Amour et à la grâce du Seigneur Jésus Christ, qui a porté le châtiment de notre culpabilité sur la croix.

LA CONVERSION – DE LA CULPABILITÉ À LA JUSTIFICATION
"Le publicain, se tenant loin… se frappait la poitrine, disant : O dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !… celui-ci descendît dans sa maison justifié" (Luc 18. 13-14).
La parabole que Jésus Christ a narrée en
Luc 18 dit que « deux hommes montèrent au temple pour prier » (v. 10). L’un était un pharisien, qui adhérait strictement à la loi, l’autre un publicain (collecteur d’impôts), toujours prêt à tromper les autres. La prière du pharisien exprimait sa satisfaction quant à sa propre justice, et une critique sévère du publicain. Ce dernier ne trouvait rien de bon à dire de lui-même, mais ne pouvait que faire appel à la miséricorde de Dieu. Le Seigneur Jésus ajoute son commentaire au récit : le publicain quitta le temple en étant justifié ; par contre, le pharisien fut humilié à cause de sa fierté et de son exaltation de lui-même.
"Jésus Christ a le pouvoir de pardonner les péchés" (Luc 5. 24). Quiconque se tourne vers Lui pour obtenir Son pardon est « justifié sur la base de la foi » (Romains 5. 1). Quelle transformation ! La culpabilité est expiée par la mort de Christ sur la croix. Ceux qui confessent leurs péchés devant Lui peuvent dès lors être déclarés justes. Ils ont appris quelle est l’horreur du péché, et cherchent à mener une vie juste afin de glorifier Jésus Celui qui est mort pour eux.
Ce désir, cependant, ne peut se réaliser que dans la dépendance de Sa grâce. La volonté de vivre justement est bien là, mais combien souvent, les forces manquent pour la réaliser ! Mais cette puissance se trouve dans le Sauveur Lui-même. L’apôtre Jean a écrit : « Que personne ne vous égare : celui qui pratique la justice est juste, comme lui (Christ) est juste » (1 Jean 3. 7).
Qu’Il nous accorde les forces nécessaires pour vivre pour Lui ! C’est un puissant témoignage devant le monde qui nous entoure !

LA CONVERSION – DE LA MORT À LA VIE
"Tenez-vous vous-mêmes pour morts au péché, mais pour vivants à Dieu dans le christ Jésus" (Romains 6. 11).
La conversion apporte des changements radicaux. Le passage de la mort à la vie en est probablement l’élément majeur. Quand le Seigneur Jésus était sur la terre, Il a ramené à la vie trois personnes qui étaient mortes : une jeune fille de 12 ans
(Marc 5. 35-43) – et Il a ordonné qu’on Lui donne à manger ; puis un jeune homme qu’on se préparait à aller enterrer, et qui s’est mis aussitôt à parler (Luc 7. 11-15) ; et enfin un homme nommé Lazare, dont le corps était déjà dans la tombe (Jean 11. 1-46). Ce dernier cas était un signe pour ceux qui refusaient de Le reconnaître comme le Fils de Dieu.
Nous qui avons été amenés de la mort spirituelle à la vie éternelle, nous avons besoin de nourriture spirituelle pour alimenter la vie nouvelle qui nous a été donnée. Nous trouvons cette nourriture dans la Parole de Dieu, la Bible. De plus, nous pouvons témoigner de notre nouvelle vie par nos œuvres, manifestant la puissance du Fils de Dieu dans notre conduite de chaque jour.
La mort physique est « le salaire du péché » (Romains 6. 23). Personne ne peut y échapper, car « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 23). Mais le Seigneur Jésus Christ est venu sur la terre afin que nous ayons la vie, et que nous l’ayons « en abondance » (Jean 10. 10). La vie qu’Il nous donne est une puissance qui nous rend capables de vivre d’une manière qui Lui plaise, en surmontant le mal. Le Seigneur Jésus a dit à Nicodème, un docteur des Juifs, qu’il lui fallait être « né de nouveau » (Jean 3. 3). C’est la manière de « passer de la mort à la vie » (Jean 5. 24).

LA CONVERSION – DE L’ESCLAVAGE À LA LIBERTÉ
"Quiconque pratique le péché est esclave du péché… Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres" (Jean 8. 34 ; 36).
Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant. (Galates 5. 1).
Aussi énergiquement qu’il puisse contester ce fait, l’être humain naturel trouve qu’il ne peut résister à la contrainte de commettre des péchés. Tôt ou tard, il y succombe. Cela démontre la vérité de ce que le Seigneur Jésus affirme en disant que les gens sont esclaves de Satan et du péché.
Les Saintes Écritures nous donnent une illustration bien appropriée de cet état, dans l’homme possédé du démon, qui était Gadarénie.
(Marc 5. 1-20). Rien ne pouvait l’empêcher de se détruire lui-même, ni le maîtriser, jusqu’à ce qu’il rencontre le Seigneur Jésus Christ. Mais alors, quel changement se produisit ! Il est trouvé « assis, vêtu et dans son bon sens » (v. 15).
Dans notre condition naturelle, nous sommes peu conscients à quel point Satan nous tient en esclavage. L’œuvre et la Personne du Seigneur Jésus nous apprennent la vérité sur nous-mêmes, et la vérité nous affranchit (cf.
Jean 8. 31-32). Accepter le salut par la foi en Sa mort expiatoire au Calvaire, par laquelle Il a aussi vaincu la puissance de Satan, nous introduit dans « la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (Romains 8. 21).
Des esclaves ne pouvaient être libérés que si un bienfaiteur payait pour leur rachat. C’est exactement ce que le Seigneur Jésus a fait pour nous sur la croix (cf.
1 Pierre 1. 18-19). Ce changement de position est une autre bénédiction qui résulte de la conversion. Puissions-nous, par Sa grâce, demeurer fermes sur ce fondement de la liberté !

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Le chemin du Salut en Jésus-Christ

16 Novembre 2020 Publié dans #Salut

La Bible nous enseigne que Dieu nous aime, car : « Dieu est amour » (1 Jean 4. 8). « Voyez combien le Père nous a aimés. Son amour est si grand que nous sommes appelés enfants de Dieu » (1 Jean 3. 1)
Le Seigneur Dieu est notre Créateur et Il se soucie de nous. Dieu veut que nous ayons une vie heureuse. « Car je connais les projets que j’ai formé sur vous, dit le Seigneur, des projets de paix et non de malheur, pour vous donner un avenir et une espérance » (Jérémie 29. 1).
La Bible nous dit qu'il y a le Dieu d'Amour et compatissant qui a créé le monde et qui nous a créés afin que nous ayons une relation vivante et joyeuse avec Lui. Notre planète a été initialement créée parfaitement. Il n'y avait pas de mort ni de douleur ; et aucune larme n’a été versée à cause d’une relations brisée. Tout fonctionnait avec une parfaite harmonie.

Un ennemi du nom de Satan est venu dans notre monde pour tenter le premier homme et la première femme (Adam et Ève). L'ennemi les a convaincus de croire que Dieu n'a pas été juste. Ils ont choisi de se détourner de Dieu et croire en Satan. C’était une grave erreur, car ils se sont coupés de la source de toute lumière et de la vie. Ce choix a donné à Satan la gouvernance de la terre.
Ainsi, le péché a brisé notre relation avec Dieu. « Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l'empêchent de vous écouter »- (Ésaïe 59. 2). Tout le monde a violé la loi parfaite de Dieu. « ... Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 23). Sans l’intervention divine, nous sommes tous condamnés à mourir. « Car le salaire du péché c’est la mort ... » (Romains 6. 23). Le péché c’est se détourner de la loi de Dieu et le résultat de ce choix c’est la mort. Jésus-Christ, qui est Dieu, a volontairement donné sa vie, en mourant pour les péchés du monde entier. Maintenant, pour nous tous qui croyons en Jésus, Il nous offre sa Vie et les bénéfices de son sacrifice parfait contre nos vies pécheresses et brisées.

Même si Adam et Ève s'étaient détournés de Dieu et avaient cru au mensonge de Satan, le Seigneur Dieu a fourni le moyen pour nous de nous en sortir, un plan pour sauver les êtres humains de la destruction et de la mort éternelle. Parce que Dieu est Amour, son Fils Jésus-Christ vint dans ce monde, envoyé par Dieu le Père. Et sur la croix, Jésus porta tous nos péchés et Dieu le Père L'abandonna et déversa sur Lui toute Sa Colère contre nos péchés. Oui, Jésus a volontairement pris sur Lui le péché du monde pour en payer à la croix le salaire qui est la mort, la séparation d'avec Dieu. Christ est mort sur la croix et ressuscité pour que nous puissions vivre éternellement dans sa Gloire. Pour nous enfants de Dieu, à travers son sacrifice, Jésus, qui est Saint et Juste, efface tous nos péchés par son sang précieux, afin que nous puissions avoir le salut éternel. Car la mort du Christ a été acceptée par Dieu comme le paiement intégral de tous nos péchés passés, présents et futurs. « Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » (2 Corinthiens 5. 21).

Maintenant, Jésus offre le don du salut gratuitement. Ce n’est pas quelque chose que nous pouvons acheter mais seulement accepter. Nous êtres humains méritons la mort parce que nous avons tous péché et sommes privé de la gloire de Dieu, mais Jésus propose la vie éternelle à tous. Les êtres humains n’ont plus à vivre une vie sans but résultant dans le désespoir et la mort. Car Dieu désire restaurer l'humanité et donner un cœur nouveau à chaque être humain. Que tous les êtres humains se tournent donc vers le Seigneur Jésus pour qu'ils aient la Vie Éternelle.
Si quelqu'un nous donne un cadeau, il ne nous appartient pas jusqu'à ce que nous l’ayons reçu. Jésus nous propose le don du salut éternel, mais comment pouvez-nous l’obtenir ? La Bible nous dit que nous devons d'abord prendre conscience de notre dépendance de Jésus Christ. Cela vient au moment où le Saint-Esprit parle à notre conscience et nous dévoile nos péchés qui nous ont séparés de Dieu. Ensuite, nous sommes amenés à nous repentir de nos péchés, ce qui signifie que nous reconnaissons dans nos cœurs que nos mauvais choix ont été placés sur le Christ et détruit sa vie sur la croix.
La repentance signifie être tellement dégoûté de notre ancienne façon de vivre, que nous nous détournons de notre passé et cherchons une nouvelle façon de vivre en Jésus. Nous confessons nos péchés à Dieu dans la prière et nous disons au Seigneur que nous voulons vivre entièrement pour Lui. Quand nous venons devant Dieu, le cœur brisé à cause de nos choix, et lorsque nous confessons nos péchés, nous pouvons réclamer la promesse du Seigneur de nous pardonner et de nous purifier. Nous pouvons être restauré et retrouver la relation avec Dieu, une relation qui nous apporte la vie, l'amour et de la joie. Nous pouvons savoir que nous avons reçu ce don du salut lorsque nous l’acceptons par la foi.

« Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Corinthiens 5. 17).
Lorsque nous acceptons Jésus Christ, Il nous donne une nouvelle vie spirituelle. Alors les véritables enfants de Dieu détestent l'ancienne vie de péché. Le poids de leur culpabilité s’évade et ils se rendent compte que leur vie sans Christ était vide.
Après avoir confessé nos péchés de manière sincère à Dieu et avoir demandé au Seigneur de laver nos cœurs, nous devons croire que Dieu l’a accompli pour nous. Nous devons avoir la foi en Dieu et dire personnellement : « Dieu a promis de prendre mon péché. Je crois que cela a eu lieu et je remercie maintenant Jésus pour le travail qu'Il fait dans notre cœur ». Même si notre foi en Dieu est faible ou minuscule, le Seigneur nous veut exercer notre foi dans le don du salut. Comme nous marchons dans cette nouvelle croyance, notre foi se renforce chaque jour.
Pour que toute relation reste forte, nous devons maintenir notre relation avec Dieu. Cela passe par l'étude de la Bible, le principal moyen dont le Seigneur Jésus se révèle à nous. Nous pouvons également parler avec Dieu dans la prière et réfléchir sur la façon dont Jésus conduit notre vie. Nous pouvons également rencontrer d’autres chrétiens et dire comment Dieu agit de notre vie.

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