Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1. 16)

Bien finir l'année 2019 qui se termine

31 Décembre 2019 Publié dans #Divers

" Frères, je ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ." (Philippiens 3 : 13-14)

Dans quelques jours, le ballet des bonnes résolutions va commencer. Et prendre de bonnes résolutions est une bonne chose car c'est l'occasion de réfléchir pour adopter de nouvelles habitudes, de prendre un nouveau départ.

Mais il nous faut d'abord bien finir l'année. La Bible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement." (Ecclésiaste 7. 8) et je crois qu'il y a de la sagesse en cela. Considérer que la fin est plus importante que le début, nous donne une autre perspective sur la façon de terminer cette année.

Lorsque vous pensez à ces 12 mois qui se sont écoulés, qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Personnellement, le chemin de chaque jour n'a pas toujours été facile. Il y a eu des moments difficiles, de la fatigue due à nos nombreux engagements, de l'injustice parfois ou de l'incompréhension devant des idées nouvelles mais Dieu a toujours étendu sa main pour nous aider, nous secourir et nous accompagner. Remercions Dieu de tout cœur.

Alors que l'année 2019 va se terminer et que l'année 2020 va commencer, pourquoi ne pas se lever et s'engager dans cette voie ? Avec l'aide de Dieu, oublions notre passé. Cessons de nous torturer pour ce que nous avons fait ou que nous n'avons pas fait…
Cette nouvelle année qui va bientôt débuter est une occasion de ne plus être enchaîné à nos échecs d'autrefois. Dieu nous dit à travers sa Parole : "Décide d'oublier le passé…" ; "Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. Chantez à l'Éternel un cantique nouveau, chantez ses louanges jusqu'aux extrémités de la terre." (Ésaïe 42. 9-10).

Jésus-Christ est mort sur la croix afin de pouvoir nous pardonner. Quand nous devenons enfants de Dieu, ce pardon devient réalité dans nos vies. En recevant le pardon de Christ, l'occasion nous est donnée de nous pardonner à nous-mêmes et d'oublier nos échecs. Peut-être avons-nous besoin en cet instant, que Christ nous pardonne. Voulons-nous accepter son pardon et ensuite voulons-nous nous pardonner à nous-mêmes ?

Lorsque nous vivons dans une dimension de gratitude quotidienne pour les choses que Dieu nous a données, alors, tel un bon père, il les multiplie dans notre vie." Pour bien terminer cette année, il faut le faire avec reconnaissance, avec action de grâce… même dans les temps difficiles.

La Bible nous invite à louer Dieu sans cesse, en toute circonstance. La gratitude doit être une valeur particulièrement chère à notre cœur, et sachons dire toujours "Merci" au Seigneur Jésus. Merci pour toute chose et en toute situation. Nous voulons terminer l'année le cœur plein de reconnaissance !

"Oui, Seigneur Jésus, nous te remercions pour l'année écoulée. Nous ne voulons pas rester sur nos frustrations ou sur ce qui n'a pas marché. Mais nous voulons garder les yeux fixés sur toi. Nous voulons marcher avec gratitude et reconnaissance. Que notre cœur soit rempli d'actions de grâce ! Merci pour tes bontés renouvelées aujourd'hui et pour chaque jour à venir. Au Nom précieux de Jésus ! Amen."

Lire la suite

Où Dieu demeure t-Il ?

30 Décembre 2019 Publié dans #Divers

Avant la Venue de Jésus Christ sur la terre :

Lorsque le roi Salomon eut terminé la construction du Temple de Jérusalem, il adressa une prière à Dieu disant : « Mais quoi ! Dieu habiterait-il vraiment sur la terre ? Voici, les cieux et les cieux des cieux ne peuvent pas te contenir ; combien moins cette maison que j'ai construite ! » (1 Rois 8. 27).
Et bien, oui ! Ce grand Dieu créateur des cieux et de la terre qui « habite la lumière inaccessible » (1 Timothée 6. 16) « le Très-Haut … qui habite dans les lieux élevés et dans la sainteté » (Ésaïe 57. 15) consentit à habiter cette maison, conformément à sa promesse faite à David, père de Salomon (2 Samuel 7. 13).
Ce désir de Dieu d’avoir une demeure sur la terre parmi les hommes date d’avant la fondation du monde. La Sagesse éternelle « se réjouissait dans la partie habitable de la terre » (Proverbes 8. 31).
Mais Dieu est Saint et la terre souillée par le péché. C’est par pure grâce de sa part qu’Il habita parmi les êtres humains et cette habitation ne pouvait durer que si le peuple était fidèle à l’alliance (1 Rois 9. 6-9). Hélas, il ne le fut pas malgré la patience et la miséricorde de Dieu, et ce temple fut détruit environ 400 ans après sa construction par les armées babyloniennes.
Il fut reconstruit plus tard sous la conduite d’Esdras, mais ce temple reconstruit fut-il de nouveau l’habitation de Dieu ? Il était bien un lieu de culte où son nom était invoqué mais l’arche de l’alliance et son propitiatoire ne s’y trouvaient plus.

Jésus Christ sur la terre :

Environ cinq siècles plus tard, Jésus, venu du Ciel sur la terre, ne séjourna pas dans le temple, il le visita pour constater que sa maison de prière était devenue une caverne de voleurs (Matthieu 21. 13).
Dieu était absent du temple construit par les êtres humains, mais Il était « en Christ » (3 Corinthiens 5. 19), « Dieu manifesté en chair » (1 Timothée 3. 16). « En lui (en Jésus) toute la plénitude de la divinité s’est plu à habiter corporellement » (Colossiens 1. 19 et 2. 9).
« La Parole était Dieu … Et la Parole devint chair et habita au milieu de nous » (Jean 1. 1, 14).
Jésus parle lui-même de son corps comme étant le temple : « Détruisez ce temple, et en trois jours, je le relèverai » (Jean 2. 21).
Effectivement, ce temple – le corps de Jésus – fut détruit, brisé, humilié, cloué sur la croix par les hommes qui ne voulaient pas de Lui. Le troisième jour, Dieu le relève en le ressuscitant. Mais le monde ne voulant pas de Lui, après 40 jours pendant lesquels il se montre à ses disciples – à ceux et celles qui ont cru en Lui – il « est élevé au-dessus de tous les cieux » (Éphésiens 4. 10).  « Ayant fait la purification des péchés, il s'est assis à la droite de la Majesté dans les hauts lieux. » (Hébreux 1. 3).

Jésus Christ élevé au plus haut des cieux :

Mais si Dieu n’est plus corporellement sur la terre, il l’est dans la Personne invisible  du Saint Esprit qui, depuis le jour de la Pentecôte, travaille pour former une maison spirituelle, l’Église composée de tous les croyants authentiques, où qu’ils se trouvent.
Par la plume de l’apôtre Paul, Dieu nous dit : « … vous êtes concitoyens des saints et gens de la maison de Dieu, … Jésus Christ lui-même étant la maîtresse pierre de l’angle. En lui tout l’édifice, bien ajusté ensemble, grandit pour être un temple saint dans le Seigneur ; en lui, vous aussi, vous êtes édifiés ensemble, pour être une habitation de Dieu par l’Esprit. » (Éphésiens 2. 19-22).
Ainsi, chacun de ceux et celles qui, s’étant repentis et ayant cru au Seigneur Jésus, sont nés de nouveau est une « pierre vivante » formant une « maison spirituelle » (1 Pierre 2. 5), un temple saint dans lequel Dieu habite par son Esprit.
Toute personne qui naît de nouveau devient une pierre vivante qui s'ajoute à l'édifice et reçoit, dès lors, le Saint Esprit qui habite en lui. Jésus l'avait promis : « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera ; nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure chez lui » (Jean 14. 23).

Lire la suite

Rachetés par le Seigneur Jésus-Christ

29 Décembre 2019 Publié dans #Salut

Nous êtres humains, nous sommes condamnables pour tous les péchés que nous avons commis, et nous ne pouvons jamais nous sauver par nous-mêmes de cette situation.

Le Seigneur Jésus seul peut nous sauver parfaitement et nous pardonner tous nos péchés. Il porte sur Ses mains, sur Ses pieds, et sur Son corps, les marques du prix immense qu’il a payé, pour toi et moi sur la croix. C’est normal d’avoir honte des péchés que nous avons commis, c’est la raison pour laquelle notre conscience nous pousse à vouloir mettre notre vie en règle avec le seul vrai Dieu trois fois Saint. Certaines personnes pensent que leurs bonnes actions peuvent les racheter, et peuvent effacer de leur vie ce qu'ils ont fait de mal. Cependant, seul le sang précieux du Seigneur Jésus qui a coulé à la croix de Golgotha est en mesure de nous délivrer parfaitement de nos péchés, d’effacer notre iniquité. Par le moyen de la foi au parfait sacrifice de Jésus et en son précieux sang versé sur la croix, Dieu nous pardonne et nous devenons ses enfants. En reconnaissant nos manquements, nos faiblesses, en nous repentant sincèrement devant le Trône de la Grâce de Dieu, nous recevons le pardon de Dieu. Nous sommes rachetés et plus aucune accusation ne pèse sur nous. Si nous croyons que Jésus-Christ nous rachète par son sang, la honte fera place à la joie dans notre cœur et nous serons justifiés par Dieu Lui-même.

En retour, nous n’aurons qu’à Lui dire merci, et à Lui consacrer entièrement notre vie.

Jésus est la puissance de vie pour quiconque Le reçoit en son cœur et Lui ouvre son être intérieur pour Le suivre. Avons-nous chacun accepté Jésus comme Seigneur et Sauveur de notre vie ?
Si nous l'avons accepté dans notre vie, alors ses promesses et sa paix nous accompagnent durant toute notre vie.
Nous avons déjà la Vie Éternelle en Jésus-Christ et lorsque viendra pour nous le moment crucial du grand passage de la mort d'ici-bas, nous irons directement dans sa merveilleuse gloire au Paradis pour le contempler et l'adorer éternellement.

Lire la suite

Le message de l'Évangile

28 Décembre 2019 Publié dans #EVANGILE

Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ (Romains 3 : 23-24).

Sans le plan de rédemption de Dieu, nous ne pourions jamais être sauvés. Le péché, c'est le mal qu'il y a en chacun de nous. La Bible dit que « le péché est la transgression de la loi» (1 Jean 3 : 4). Ce que la Bible dit aussi, c'est que le péché nous sépare de Dieu. De par nous-mêmes, nous sommes incapables « d'atteindre » Dieu.

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est venu dans le monde, pleinement Dieu et pleinement homme. Il a obéit parfaitement à la loi de Dieu et a parfaitement accomplit la volonté de Dieu. Il est mort sur la croix comme notre substitut, payant pour nos péchés. Il est ressuscité des morts le troisième jour et il est monté au ciel. Un jour Il reviendra sur terre pour établir son royaume.

Dieu a fait cela par Amour pour nous. Il savait qu'il n'y avait aucun espoir pour les êtres humains à moins que Dieu Lui-même prennent l'initiative de les sauver en Jésus-Christ. Le salut commence quand nous admettons qu'il n'y a rien de bon en nous, rien en nous qui puisse contribuer à notre salut. Nous sommes complètement impuissants et incapables de nous sauver par nous-mêmes, mais le Salut vient d'en dehors de nous. Nous confessons que nous avons besoin de l'aide que seulement Jésus-Christ peut fournir.

Dieu nous offre le Salut à une simple et seule condition. Une foi sans réserve en Jésus-Christ, avoir confiance en Lui seul et l'accepter comme Sauveur et Seigneur de notre vie.

Ceux qui ont confiance en Jésus-Christ pour leur salut et en Lui seul, sont sauvés à jamais. Ils sont devenus enfants de Dieu, leurs péchés sont pardonnés, ils sont nés de nouveau, introduits dans la famille de Dieu, déclarés justes. Leurs péchés sont mis sur Jésus-Christ qui a accompli le parfait sacrifice à la croix pour les expier et la Justice de Jésus-Christ leur est créditée. Ils ont reçu la vie éternelle et la garantie qu'ils iront au Ciel, au Paradis, quand ils quitteront cette terre.

Par contre, tous ceux qui rejettent le message de l'Évangile, tout ceux qui négligent ou n'acceptent pas le parfait Salut que Dieu offre en Jésus-Christ, seront un jour condamnés aux tourments éternels en Enfer. 

Lire la suite

Le don de la grâce de Dieu éclate à la croix (2)

27 Décembre 2019 Publié dans #Divers

La grâce opère en nous dans sept domaines, c'est donc beaucoup plus que le salut par grâce :

1) Nous sommes gratuitement justifiés, pardonnés, déclarés justes :
« Ils sont tous gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus » (Romains 3. 24). Tout ceci est par Jésus-Christ donc par l'œuvre de la croix. « En Lui, nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés selon la richesse de sa grâce » (Éphésiens 1. 7).

2) Sauvés de la mort éternelle :
« Car c'est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu » (Éphésiens 2. 8).
La grâce, non seulement nous sauve, mais elle est une puissance qui nous garde et nous permet de demeurer dans le salut. Elle préserve une personne en péril. Sauver = "sozo" en grec, signifie délivrer, protéger, guérir, préserver, faire le bien, restaurer la personne dans son ensemble, garder en sécurité, sauver de la destruction.
Car Dieu, à cause du sacrifice de Jésus et de l’abondance de la grâce qui en découle, désire nous restaurer, nous rétablir complètement dans notre esprit, notre âme, notre corps.

3) Nous sommes héritiers :
« Afin que justifiés par sa grâce nous devenions héritiers dans l'espérance de la vie éternelle » (Tite 3. 7).
Nous sommes devenus héritiers des promesses faites à Abraham. « Nous sommes héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ » (Romains 8. 17).

4) Nous sommes fortifiés par la grâce :
« Toi donc, mon enfant, fortifie-toi dans la grâce qui est en Jésus Christ, ou puise ta force dans la grâce qui est en Jésus Christ » (Timothée 2. 1).

5) Nous croyons par grâce :
« Mais c'est par la grâce du Seigneur Jésus Christ que nous croyons être sauvés, de la même manière qu'eux » (Actes 15. 11).

6) La grâce nous donne le pouvoir de régner :
« Si par l'offense d'un seul la mort à régné par lui seul, à plus forte raison, ceux qui reçoivent l'abondance de la grâce et du don de la justice, régneront-ils dans la vie par Jésus Christ lui seul ».  (Romains 5. 17).
Nous avons été créés pour donner. Elle nous donne le pouvoir de régner sur les circonstances, sur le péché.
« Car le péché n'aura pas de pouvoir sur nous, puisque vous êtes non sous la loi, mais sous la grâce » (Romains 6. 14).
« Afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régna par la justice pour la vie éternelle, par Jésus notre Seigneur » (Romains 5. 21).
La vraie liberté nous rend capable de ne plus pécher.

7) La grâce me donne la capacité d'accomplir les œuvres de la foi, préparées pour moi par Dieu :
« Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis et sa grâce n'a pas été vaine envers moi. Loin de là j'ai travaillé plus qu'eux tous, non par moi, toutefois, mais la grâce de Dieu qui est avec moi » (1 Corinthiens 15. 10).
Comme pour Paul, la grâce de Dieu est avec nous pour accomplir les œuvres préparées par Dieu pour nous. Ainsi, ces œuvres deviennent des fruits de la grâce. « Ma grâce te suffit » dit Dieu à Paul, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse (2 Corinthiens 12. 9).
Nous devons annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu c'est-à-dire le salut par grâce, la vie éternelle par grâce ainsi que la guérison.
Tout cela s’obtient par le moyen de la foi dans le sacrifice de Jésus, et nous est offert par grâce (sans mérite). C’est également par sa grâce que Dieu nous choisit pour annoncer la bonne nouvelle de l’Évangile.

La grâce est parfois mal comprise :

Il en a coûté à Dieu le Père, pour que nous soyons pardonnés, rendus justes à ses yeux, par le sacrifice de son Fils unique.

"Le salaire du péché, c’est la mort" (Romains 3. 23a). C’était vrai au temps de la loi, c’est encore vrai au temps de la grâce, à la seule différence que Jésus a déjà subi cette mort à notre place. Il a payé pour nous car nous en étions incapables.

Aujourd’hui, nous devons plaider coupable chaque fois que cela est nécessaire : haïr le péché et nous éloigner de tout ce qui pourrait ou voudrait nous y entraîner. Certains pensent et enseignent que sous la grâce, Dieu change son attitude à l’égard du péché. Ils encouragent le laxisme moral et entraînent dans la voie de la perdition.

Pour eux, le salut final est acquis et certain de toute façon, peu importe ce qu’ils font, donc notre conduite n’a pas d’importance. Ceux-là montrent qu’ils n’ont rien compris ni ne savent de quoi ils parlent, quand ils parlent de la grâce de Dieu. La vraie liberté consiste à haïr le péché et à être capable de ne plus pécher.

Nous avons accès à la grâce de Dieu par Jésus :

« C'est par lui (Jésus) que nous devons d'avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Dieu » (Romains 5. 2).

Il est bon que le cœur soit affermi par la grâce :

« Ne vous laissez pas entraîner par des doctrines diverses et étrangères ; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, et non par  des aliments qui n’ont servi à rien à ceux qui s’y sont attachés » (Hébreux 13. 9).

Affermi signifie : stable, solide, fortifié, renforcé.

Un cœur affermi, c'est un cœur qui reconnaît que je suis juste en Jésus, par la justice de Dieu, un cœur où la grâce coule. Un cœur affermi, c'est un cœur droit qui croit à ce que Dieu dit. Un cœur de foi est un cœur où la grâce est établie

La grâce (capacité) de Dieu agit dans le cœur pour se répandre dans tout l'être. L’état du cœur est ce qui compte le plus pour recevoir la grâce et qu’elle agisse en nous. Les œuvres de la chair l’empêchent de couler. Dieu regarde au cœur et nous sommes en relation avec Lui par le cœur. Il est essentiel que nous tenions compte de cet avertissement : « Garde ton cœur plus que tout autre chose, car de lui  coule les sources de la vie » (Proverbes 4. 23).
Les œuvres de la chair empêchent la grâce de couler : la colère, le rejet, l’amertume, le manque de pardon, le manque de repentance. Il faut traiter tout cela, abandonner, renoncer, recevoir la guérison.

Lire la suite

Le don de la grâce de Dieu éclate à la croix (1)

26 Décembre 2019 Publié dans #Divers

La Venue de Jésus sur terre n’était pas suffisante pour nous sauver. La grâce n’est pas seulement l’effet de la miséricorde d’un Dieu prêt par bonté à tout pardonner à toute âme. Sa Sainteté et sa Justice absolues devaient être satisfaites en même temps que son Amour. Il a fallu pour cela, le parfait sacrifice expiatoire de Jésus à la croix.
"Mais celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronnée de gloire et d’honneur à cause de la mort qu’il a soufferte, ainsi par la grâce de Dieu, il a souffert la mort pour tous" (Hébreux 2. 9).
Car tous, nous sommes pécheurs et tous nous méritons la mort. "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Et ils sont gratuitement justifiés, par sa grâce (Charis) par le moyen de la rédemption, qui est en Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné à être par son sang pour ceux qui croiraient, victime expiatoire ou propitiatoire (ce qui rend propice" (Romains 3. 23-25).

La grâce de Dieu résulte de l’obéissance de Jésus :

Dès son enfance, la Bible nous montre Jésus comme étant obéissant et soumis.
Dans Luc 2. 51-52, nous constatons que la soumission (ou l’obéissance) de Jésus précède sa croissance en sagesse, en stature et en grâce devant Dieu et les hommes. Dans la vie de Jésus, l’obéissance vient toujours en premier. Nous aussi, pour croître, nous avons besoin d’avoir un cœur obéissant à Dieu, un caractère qui accepte l’obéissance et d’être repris quand c’est nécessaire.
« Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce (Charis) et de vérité. Et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du fils unique venu du Père » (Jean 1. 14). Nous remarquons là encore que la grâce vient avant la vérité ; la grâce lui donne la capacité d’être vérité.

L’obéissance de Jésus libérait la grâce dans sa vie et celle-ci le rendait capable d’obéir. Car, c’est la puissance de la grâce qui produisait en Lui l’obéissance à la volonté du Père. La grâce met aussi en nous l’amour pour obéir et demeurer, c'est-à-dire habiter dans les commandements du Père, comme Jésus.
Que signifie : « Garder les commandements de mon Père ? », Sinon y obéir. Du fait que Jésus obéissait à son Père, il demeurait dans son Amour.

L’amour éveille l’amour en retour, et l’amour une fois éveillé, désire plaire. Autrement dit, l’Amour du Père éveillait en Jésus le désir de Lui plaire, de Lui être agréable (ou d’être gracieux) et de Lui obéir.

Oui cette attitude le rendait gracieux aux yeux du Père. Nous aussi, nous serons gracieux si nous demeurons dans l’obéissance et dans l’amour du Père.

Jésus y trouvait là l’autorité, la capacité ou la grâce d’exercer l’autorité, car la grâce donne la capacité d’exercer l’autorité manifestée dans l’obéissance.

La grâce ne peut être reçue que par la foi et l’obéissance.

"Car c’est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres afin que personnes ne se glorifie" (Éphésiens 2. 8-9).

Dans l’Ancien Testament, nous remarquons que Dieu accordait sa miséricorde à quelques personnes. La grâce est pour tous ceux qui croient par le moyen de la foi en Jésus. Elle nous est donnée par le sacrifice de Jésus. Dans le « tout est accompli ».

La grâce est à la disposition de tous ceux qui plaident coupables sans chercher à se justifier devant Dieu ou en accusant les autres comme l’ont fait Adam et Eve. Nous ne devons pas craindre de plaider coupable à 100% pour obtenir grâce devant le Père sans chercher des circonstances atténuantes.

A présent, avançons au Trône de la grâce avec assurance par le sang de Jésus, car c’est Lui qui en a ouvert l’accès. C’est Jésus qui a ouvert cette voie nouvelle. Il nous met au bénéfice de la réconciliation qu’Il a obtenu du Père en notre faveur et de la grâce qu’Il a obtenu.

Aujourd’hui, Dieu le Père nous attend au Trône de la grâce, pour nous pardonner, chaque fois que nous en avons besoin. Pour nous présenter devant Lui, nous avons à reconnaître sa Sainteté. Il est Dieu.

La grâce est beaucoup plus qu’un cadeau non mérité ou même le moyen d’obtenir le Salut. Elle est une puissance de Dieu qui gouverne nos vies. Nous devons être gouvernés par le pouvoir de la grâce divine.

Elle nous donne le pouvoir de dire « non » au péché et de le dominer. La grâce de Dieu nous rempli de zèle pour accomplir les bonnes œuvres, préparées d’avance. Elle nous donne la capacité d’obéir à la Parole de Dieu, à ses commandements. "Sans moi, vous ne pouvez rien faire" (Jean 15. 5 b), dit Jésus.

Nous avons vu que la grâce, c’est Jésus, par son obéissance et sa relation permanente d’amour avec Dieu le Père. Autrement dit, sans la grâce, nous ne pouvons rien faire, puisque sans elle, nous sommes sous la loi.

A SUIVRE... / CLIQUEZ ICI

Lire la suite

L'Amour qui donne

25 Décembre 2019 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus, #La Venue de Jésus

Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. (Jean 3. 16) 
Voici Noël. Depuis très longtemps, les êtres humains célèbrent ce jour : pour les uns, c'est un rappel merveilleux du Dieu d'Amour fait homme dans la personne de son Fils Jésus Christ. Pour les autres, c'est un jour de fête qui permet d'oublier le quotidien. Et malheureusement, pour tant d'autres dans ce monde, c'est un jour de solitude.

Noël est aussi le moment des cadeaux, chacun voulant être un signe d'amitié et d'affection envers son prochain. Mais, nous ne devons jamais oublier que c'est Dieu qui nous a donné la plus grande preuve d'amour : Il a donné Jésus son Fils unique. Jésus a complètement renoncé à Lui-même, et nous a ainsi montré son Amour, un Amour vrai, absolu, sans retour. Jésus a prouvé son Amour de façon définitive en donnant sa vie, en mourant pour nous à la croix.

Aujourd'hui, nous nous rappelons du jour de la naissance de notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, du jour de sa Venue dans le monde. Car le message que Dieu nous adresse à chacun reste toujours capital et permanent : Dieu a aimé, Dieu a même tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique pour le salut de celui qui croit (Jean 3. 16). Jésus-Christ le Fils de Dieu “nous a aimés et s'est livré lui-même pour nous” (Éphésiens 5. 2). Les anges ont proclamé ces mots le jour de la naissance de Jésus : “Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et paix sur la terre parmi les hommes qu'il agrée !” (Luc 2. 14).

Acceptons l'Amour gratuit et désintéressé de Dieu pour chacun de nous. Croyons entièrement en son Fils Jésus-Christ pour être pardonnés de toutes nos fautes, pour recevoir la paix et nous réjouir pour toujours en l'Éternel Dieu et pour vivre éternellement dans sa Gloire, dans le Paradis. Entretenons cet amour par la lecture de sa Parole, la Bible. Proclamons-la inlassablement. Vivons ce jour de Noël en pensant à ceux qui, à cette époque de l'année, éprouvent aussi une grande solitude.

Lire la suite

Joyeux Noël !

25 Décembre 2019 Publié dans #Divers

Bonjour/bonsoir cher(e)s lecteurs/trices, je souhaite Joyeux Noël à tous les lecteurs/trices de mon blog parlant du Message de l'Évangile. Soyez abondamment béni(e)s en Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur.

Joyeux Noël !

Ésaie 9 : 5

Lire la suite

Le plus grand et le plus merveilleux des cadeaux

24 Décembre 2019 Publié dans #La Venue de Jésus

Noël ! Quelle joie pour les enfants qui reçoivent un cadeau tant attendu ! Nous n'avons pas de peine à l'imaginer. De même, nous, adultes éprouvons cette joie lorsque nous recevons un cadeau de quelqu'un à qui nous sommes chers.

Avez-vous reçu le plus grand et le plus merveilleux des cadeaux qui est offert à tous et à chacun ? Aujourd'hui encore, il vous est présenté. L’avez-vous accepté ? Vous vous demandez peut-être de quoi il s’agit et de la part de qui.

Et bien, c’est un cadeau si grand et qui a coûté si cher au donateur qu’aucun homme, même le plus riche, le plus grand milliardaire de la terre entière et de tous les temps ne pourrait offrir. Ce plus grand et plus merveilleux des cadeaux est celui du Créateur et Maître de l’univers. Oui, Dieu donne.

Un jour, il y a un peu plus de 2000 ans, à Bethléem, un enfant naquit dans une étable et fut couché dans une crèche. Mais qu’est-ce qu’un petit enfant né dans une étable et couché dans une mangeoire pourrait-il apporter, dira-t-on.

Mais pour attester la grandeur et l'importance de ce fait unique, au même moment, un ange apparut à des bergers gardant leur troupeau dans la nuit et dit : « Voici, je vous annonce un grand sujet de joie qui sera pour tout le peuple : car aujourd'hui, dans la cité de David, vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur ! En voici pour vous le signe : vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche. » puis une multitude d’anges louait Dieu disant : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir dans les hommes ! » (Luc 2. 10-14).

Le prophète Ésaïe en avait parlé plus de 700 ans auparavant : « Voici, la vierge sera enceinte et donnera naissance à un fils, et appellera son nom Emmanuel » (Emmanuel signifie : Dieu avec nous) « Car un enfant nous est né, un Fils nous a été donné ; et le gouvernement sera sur son épaule ; et on appellera son nom: Merveilleux, Conseiller, Dieu fort, Père éternel, Prince de paix. » (Ésaïe 7. 14 ; 9. 5).

Oui, cet enfant emmailloté et couché dans une crèche parce qu'il n'y avait pas de place pour lui dans l'hôtellerie, n'était autre que le Fils de Dieu qui nous a été donné. « Car Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).

Pouvait-il y avoir un plus grand cadeau que celui-là, le don du Fils unique de Dieu ? Car qui est plus grand que Jésus ? L'avez-vous reçu ?... ou votre cœur serait-il comme cette hôtellerie où il n'y avait pas de place pour lui ?

 En nous donnant Jésus, Dieu nous a tout donné :
- le pardon des péchés et la vie éternelle,
- un parfait Sauveur, un Ami suprême,
- pour le cœur, une source de joie permanente,
- pour l'esprit, des certitudes,
- pour la conscience, une paix parfaite,
 - pour l'avenir, une assurance pour l'au-delà, une espérance vivante, un  héritage céleste.

Ces dons vous font-ils envie ? Vous pouvez les posséder aujourd'hui, maintenant. A quel prix ? Gratuitement puisque, nous le répétons, ce sont des dons. Encore faut-il les accepter en croyant Dieu sur parole.

Que penseriez-vous d'une personne que vous aimez qui vous refuserait votre cadeau que vous avez acquis chèrement ? Refuser un don est une offense à l’égard du donateur, et il n’y a pas d’offense plus grave quand il s'agit du don suprême du Fils de Dieu !

Et que penseriez-vous d’une personne bien-aimée qui vous dise : “Je ne peux pas accepter ce cadeau si cher ; je ne le mérite pas, je vais te le payer !”

C’est pourtant la réaction de beaucoup qui veulent “mériter” le ciel en payant par des œuvres, par une bonne conduite, par des prières et des fréquentations aux offices religieux... mais aucune des œuvres que nous pourrions faire, aussi grandes, aussi bonnes et aussi nombreuses qu’elles soient, ne peut ôter un seul de nos péchés qui nous ferment l’accès au ciel (Apocalypse 21. 27). La seule Œuvre qui nous apporte le salut gratuit est celle qui a été parfaitement accomplie à la croix par Jésus Christ.

Aussi, nous vous en supplions, si vous ne l'avez pas encore fait, acceptez aujourd'hui même ce don gratuit de Dieu. Demain, il pourrait être trop tard !

VOICI LE MERVEILLEUX CADEAU QUE DIEU VOUS OFFRE :
« Si tu connaissais le don de Dieu » (Jean 4. 10).
« Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique » (Jean 3. 16).
« Le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur » (Romains 6. 23).
« C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu » (Éphésiens 2. 8).
« A tous ceux qui l'ont reçu (Jésus), il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à-dire à ceux qui croient en son nom » (Jean 1. 12).
« Voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu » (1 Jean 3. 1).
 « Grâces à Dieu pour son don inexprimable ! » (2 Corinthiens 9. 15).

Lire la suite

Un Sauveur nous est né !

23 Décembre 2019 Publié dans #La Venue de Jésus

Lire Luc 2 : 1-19

Jésus-Christ, le Roi de gloire, s’abaissa profondément pour revêtir notre humanité et vivre au milieu des êtres humains pécheurs. Il dut voiler sa gloire pour que la majesté de sa forme extérieure n’attirât pas les regards. Seule la beauté de la vérité céleste doit captiver ceux qui désirent le suivre. Longtemps à l’avance, le caractère du Messie avait été décrit dans la prophétie (Ésaïe 53) et il voulait être accepté des êtres humains sur le simple témoignage de la Parole de Dieu. Joseph et Marie ne sont ni reconnus, ni honorés dans leur cité royale. Fatigués et sans abri, ils parcourent la longue rue étroite, depuis la porte de la cité jusqu’à son extrémité orientale, cherchant en vain un lieu de repos pour la nuit. Il n’y a pas de place pour eux dans l’auberge encombrée. Sous un grossier hangar servant d’abri au bétail, ils trouvent enfin un refuge, et c’est là que naîtra le Rédempteur du monde. Les cieux s’emplissent de joie. Un intérêt plus profond et plus tendre attire vers la terre les anges qui peuplent le monde de la lumière. L’univers tout entier est illuminé de la présence du Sauveur. Une multitude d’anges annoncent la bonne nouvelle de la naissance du Sauveur.
Des rayons de splendeur, émanant du trône de Dieu, resplendiront sur ceux qui sont à la recherche de la lumière et disposés à l’accepter avec bonheur.
Dans les champs, des bergers veillaient la nuit. « Un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux. Ils furent saisis d’une grande crainte. Mais l’ange leur dit : Soyez sans crainte; car je vous annonce la bonne nouvelle d’une grande joie pour tout le peuple: aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2. 8-11). L’ange les prépare à reconnaître leur Sauveur dans la pauvreté et l’humiliation. «Et ceci sera pour vous un signe: vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une crèche » (Luc 2 : 12).
Maintenant la joie et la gloire ne pouvaient pas rester cachées plus longtemps. Toute la plaine fut illuminée par le resplendissement des armées divines. La terre fit silence, et le ciel se pencha pour écouter le chant : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » (Luc 2 : 14).
Oh ! si la famille humaine pouvait aujourd’hui reconnaître ce chant ! La proclamation faite alors, la mélodie entonnée, retentira jusqu’à la fin des temps et jusqu’aux extrémités de la terre. Et quand le Soleil de justice se lèvera, ayant la guérison sous ses ailes, ce chant sera entonné à nouveau par la grande multitude, dont la voix pareille au bruit des grosses eaux dira: “Alléluia ! Car le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, a établi son règne.” (Apocalypse 19. 6)

Y a-t-il quelque chose qui puisse surpasser l'incarnation (Dieu prenant la forme humaine) ? Celui qui “habite la lumière inaccessible, lui qu’aucun des hommes n'a vu, ni ne peut voir” (1 Timothée 6. 16), “a été manifesté en chair… vu des anges” (3. 16). Ses disciples, le cœur rempli d'adoration, ont pu dire : “Ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la Parole de la vie… nous vous l'annonçons” (1 Jean 1. 1, 3).

De plus, la manière dont a eu lieu cette incarnation est aussi merveilleuse que le fait lui-même. Nous lisons en effet: “Vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche”. Dieu s'est approché de nous, au plus profond de notre faiblesse et de notre pauvreté. Dieu a choisi Bethléhem, bien que “petite entre les milliers de Juda” (Michée 5. 2). Et même ainsi, Il n'est pas descendu dans une humble hôtellerie de village, mais a choisi un abri dans une étable de Bethléhem. Et là, Jésus vint au monde et couché dans une crèche. Oui, un Sauveur nous né.

Lire la suite
1 2 3 4 > >>