Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Dieu s'est révélé à l'humanité‏

21 Août 2022 Publié dans #Divers

Il est assez facile pour l'esprit humain de se créer un dieu à sa convenance, selon son imagination, ayant même ses propres passions. On trouve ainsi beaucoup de croyances prétendant tranquilliser ceux qui y adhèrent, et peut-être aussi apaiser leur conscience, mais tout cela, en réalité, n'apporte ni certitude ni paix. L'Être suprême, Créateur souverain, n'est pas un Dieu vague se révélant d'une manière obscure ou incomplète. Au contraire, sa révélation est claire, à la portée de tout être humain.
L'immensité de la création exprime sa puissance, et sa Parole, écrite dans un livre, la Bible, nous parle de son Amour et de sa Justice.
Ce Livre nous le présente comme un Dieu Juste et Saint qui ne peut voir le mal sans le punir, puis nous le fait connaître comme le Dieu d'Amour qui, tout en ayant horreur du péché, aime le pécheur. La paix découlant de la connaissance d'un tel Dieu n'est pas liée à de l'auto-conviction, comme certains sceptiques pourraient le penser, mais découle du fait que Dieu lui-même nous aime. Cela a été prouvé par la Venue sur la terre de son Fils, Jésus Christ, pour nous sauver, et nous réconcilier avec Dieu. Dieu, que personne n'a jamais vu, s'est ainsi révélé dans sa Justice et dans son Amour en Jésus, mort pour nos fautes, nos péchés, Jésus est ressuscité, vivant pour toujours et prêt à sauver tous ceux qui l'accepte comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie.
C'est la merveilleuse révélation du christianisme. Elle est universelle, concerne tous les êtres humains de toutes races et de toutes conditions. Elle n'exclut personne. Ne la méprisez pas ! Ce ne sont pas des fables ingénieusement imaginées… (2 Pierre 1. 16)

Lire la suite

Futur proche, éternité proche

20 Août 2022 Publié dans #Retour de Jésus

Je m'en vais, et je viens à vous. Jean 14. 28
Le Seigneur est proche. Philippiens 4. 6
Oui, je viens bientôt. Apocalypse 22. 20

Au cours d'une leçon de français, l'enseignant parle à ses élèves des différentes façons d'exprimer un évènement futur. Il donne l'exemple du futur proche, ou futur immédiat : “Je vais venir… nous allons partir...”. Il cite aussi l'emploi possible du présent pour exprimer une action qui est sur le point de se produire : “J'arrive… je suis là dans un instant...” Quand quelqu'un s'exprime ainsi, c'est vraiment que son arrivée est imminente. Dans deux des versets cités, celui qui dit ainsi : “Je viens”, c'est le Seigneur Jésus. Lui, le Fils de Dieu, est déjà venu une fois sur la terre, il y a été crucifié et enseveli ; mais il est sorti du tombeau et remonté au ciel. Mais “encore très peu de temps et Celui qui vient, viendra, et il ne tardera pas” (Hébreux 10. 37). Oui Jésus Christ revient bientôt.
Pour ceux qui ont cru en Lui, qui l'ont accepté comme Seigneur et Sauveur personnel, alors cette promesse est un grand sujet de joie. Notre Seigneur Jésus va prendre le soin de venir chercher personnellement ceux qu'Il a sauvés (les enfants de Dieu) pour les prendre avec Lui dans le ciel.
Mais pour ceux qui refusent encore la Grâce de Dieu, alors la pensée que Jésus revient bientôt, et que le temps où l'on peut être sauvé va finir, est très solennelle. N'attendons pas que le temps de la Grâce ait pris fin ! Car ce jour-là, quand Jésus reviendra chercher les siens, ceux-ci seront enlevés et introduits dans le bonheur éternel, mais les autres seront laissés pour qu'ils attendent le terrible Jugement, “la colère de Dieu” (Éphésiens 5. 6).
Si c'était aujourd'hui, où seriez-vous ce soir ?

Lire la suite

Jésus-Christ est notre parfait Sauveur

19 Août 2022 Publié dans #Salut

« Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c'est par la loi que vient la connaissance du péché » (Romains 3. 20).

Bien que cela puisse paraître paradoxal, Dieu n'a pas donné les dix commandements pour rendre les gens meilleurs. Au contraire, les commandements servaient à démontrer au peuple son péché et son besoin d'un sauveur. La nature pécheresse du peuple était amplifiée par la présence de la loi, et leurs péchés évidents. La loi illustrait la séparation entre Dieu qui est parfait, et l'être humain qui n'est pas parfait mais qui est pécheur.
L'être humain ne pouvait accomplir pas la loi entière. Lorsqu'il brisait un seul commandement, il était coupable d'avoir transgressé toute la loi (Jacques 2. 10). Alors, les malédictions, les maladies, la condamnation, la culpabilité et les châtiments s'abattaient sur lui.
(Deutéronome 28. 15-68). C'est pourquoi, les juifs devaient sacrifier des animaux, dont le sang couvrait temporairement leurs transgressions. Mais cela ne remplissait pas le fossé entre Dieu et les êtres humains (Hébreux 9. 11-29)
La loi est bonne, juste et parfaite, car elle vient de Dieu qui est bon, juste et parfait (Romains 7. 7-14). Mais la loi ne peut pas nous rendre bonnes. Au contraire, elle expose constamment nos défauts, nos incapacités, et nos péchés.
Mais disons Merci au seul vrai Dieu pour son Fils unique Jésus-Christ, notre seul Sauveur ! « Lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous recevions l'adoption » (Galates 4. 4-5).
Sur la croix, Jésus a volontairement donné sa vie comme sacrifice parfait et ultime pour nos péchés et ayant une valeur éternelle
(Hébreux 9. 13-14). Jésus, qui nous aime d'un Amour parfait, a pris sur Lui le jugement et la punition de Dieu pour l'humanité. En d'autres mots, Il a pris notre place. À présent, nous sommes éternellement aimés et pardonnés à cause de Jésus-Christ, Lui le seul pont entre nous êtres humains et le seul vrai Dieu, Saint et Parfait. Jésus-Christ est venu sur terre comme l'incarnation de la grâce et de la vérité. À son arrivée, le péché et la mort régnaient sur terre, mais grâce à son parfait sacrifice à la croix, la Grâce et la Vérité règnent !

« Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? » (Romains 6. 1-2)
Est-ce que cette vérité nous donne le droit de vivre dans le péché sans conséquence ? Certainement pas ! Le péché provoque des conséquences et nous enlève la joie de la communion dans notre relation avec Dieu. Le péché nous fait sentir coupables et condamnables, et nous pousse à nous éloigner ou à nous cacher de Jésus. Heureusement, la Grâce de Dieu est suffisante, et nous donne la force de ne plus pécher. La Grâce et l'Amour de Dieu nous détourne du péché et nous aide à vivre une vie de sainteté.
Le sacrifice éternel de Jésus nous a aussi donné accès à un puissance : la présence du Saint Esprit en nous. Lorsque nous devenons enfants de Dieu, le Saint Esprit vient habiter en nous et répand son amour dans notre coeur (Romains 5. 5). Il est notre guide, et lorsque nous nous abandonnons à sa volonté, nous n'avons plus ce désir de pécher. Le sacrifice éternel de Jésus nous a libérés de la loi pour toujours ! Celui que le Fils a libéré est vraiment libre. Amen !!!
Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit (2 Corinthiens 3. 18).

Lire la suite

Le Seigneur Jésus châtie celui qu’il aime

18 Août 2022 Publié dans #Divers

"Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils" (Hébreux 12. 5-6).

Pour plusieurs personnes, le terme châtiment paraît être une chose de véritablement terrible, ils considèrent cela comme étant un malheur ou un jugement avec lequel ils ne peuvent rien y faire. Parmi ceux-ci, nous pouvons considérer Caïn. C’est lui qui, après avoir tué son frère Abel et avoir entendu de Dieu la conséquence de son péché, a démontré sa mauvaise compréhension du châtiment que Dieu lui imposait en affirmant « Mon châtiment est trop grand pour être supporté » (Genèse 4. 13).

Ce que Caïn a retenu du verdict de Dieu est le côté punitif, pourtant le sens même du mot châtiment comporte un élément plus important, celui de reprendre afin de corriger, de redresser.

En faisant la comparaison du passage d’Hébreux 12. 5 avec différente traduction francophone de la Bible, nous remarquons que le mot traduit par la majorité des traducteurs francophone par « châtiment » a été le terme « discipline » et dans la version du Semeur le mot « correction » a été préféré.

"Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre" (2 Timothée 3. 16-17).

En fait, pour bien comprendre le sens que l’Esprit Saint a jugé bon d’utiliser, nous pouvons le considérer dans d’autres passages des Écritures ou il a été utilisé. Dans l’épître aux Éphésiens, Paul a utilisé ce mot lorsqu’il s’est adressé aux pères de famille pour leur dire de ne pas irriter leurs enfants, mais de les élever en les corrigeant (Éphésiens 6. 4). Également, Paul utilise de nouveau ce mot grec dans sa deuxième lettre à Timothée lorsqu’il a affirme que « Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile… pour instruire » (2 Timothée 3. 16). Donc, en regardant l’utilisation du mot grec dans le Nouveau Testament, nous comprenons que le mot châtiment à la même signification que les mots correction ou instruction.  

Le châtiment a donc le but de nous redresser, de nous corriger, il ne peut pas être considéré comme étant un jugement. En fait, Dieu utilise le châtiment comme un outil pour nous transformer afin que nous devenions conformes à sa volonté en suivant le modèle que Jésus nous a fait découvrir. Dans l’exemple de Caïn, l’attitude négative de celui-ci n’a fait en sorte que de démontrer sa rébellion envers Dieu.

Le fait que Dieu s’attarde ainsi à nous reprendre est une démonstration manifeste de l’amour qu’il a pour nous, il nous considère comme ses propres enfants.  C’est ce que la lettre aux Hébreux affirme.  Dieu nous considère comme des fils (Hébreux 12. 7). Si, comme nous l’avons souligné, Paul encourage les pères à corriger leurs enfants, il est normal que notre Père céleste nous châtie pour notre bien afin que nous participions à Sa Sainteté.

Dieu utilise l’image de “frapper avec la verge” pour démontrer comment parfois il nous faut un traitement-choc pour que nous nous redressions.  Soulignons au passage quelques versets du livre des Proverbes qui nous font comprendre l’utilité de la chose et que cela ne se fait pas par cruauté, mais bel et bien dans l’objectif de nous instruire : "Celui qui ménage sa verge hait son fils" (Proverbes 13. 24). "En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour des morts" (Proverbes 23.14). "La verge et la correction donnent la sagesse" (Proverbes 39.15).

Notons que bien qu’il soit mentionné d’utiliser la verge pour reprendre un enfant, cela ne veut surtout pas dire que c’est la chose à faire dans toutes les circonstances. En fait, il s’agit d’une mesure disciplinaire extrême qui doit être faite qu’après avoir utilisé les autres ressources disponibles. Le texte d’Hébreux nous démontre que c’est une discipline faite avec un amour réfléchi et non pas une violence gratuite et cruelle.

"Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience" (Jacques 1. 2).

Ne soyons pas rebelles à Dieu comme Caïn. Lorsque des épreuves se présentent dans nos vies, ayons le réflexe de chercher à comprendre la leçon que Dieu désire nous transmettre. C’est avec une telle attitude que Jacques a écrit qu’il nous faut « regarder comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés ».  En effet, par l’épreuve nous pouvons voir la confiance que Dieu nous accorde.

Paul, lui qui a été éprouvé de tant de manières, a écrit dans sa lettre aux Romains « que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains 8. 28). Humainement parlant, cela semble insensé, mais avec la connaissance de Dieu, nous savons qu’en Lui nous n’avons pas à avoir de crainte, car il ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de nos capacités, mais qu’avec l’épreuve, Dieu prépare le moyen de nous en sortir afin que nous puissions la supporter (1 Corinthiens 10. 13).

Les épreuves ne sont que des outils dans les mains de Dieu afin que nous soyons instruits et transformés par Lui. Alors gardons à l’esprit l’exhortation d’Hébreux 12. 5 qui nous rappelle qu’il ne faut pas mépriser le châtiment du Seigneur et de ne pas perdre courage lorsqu’il nous reprend. À première vue, tout châtiment semble être un sujet de tristesse, mais plus tard, il produit un fruit paisible de justice (Hébreux 12. 11).  Ayons donc à l’esprit que dans l’épreuve nous savons que Dieu nous garde dans son Amour et qu’en Lui nous avons toutes les ressources nécessaires pour affronter les leçons de la vie.

Lire la suite

Être crucifiés et être ressuscités avec Jésus-Christ

17 Août 2022 Publié dans #Divers

« Je suis crucifié avec Christ, et si je vis, ce n'est plus moi, mais c'est Christ qui vit en moi ; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi du Fils, le Dieu unique qui s'est sacrifié pour moi, et qui s'est donné lui-même pour moi » (Galates 2. 20).

L'enseignement de ce passage glorieux nous dit que notre Dieu, le Seigneur Jésus-Christ, s'est sacrifié Lui-même comme notre Substitut, et sa mort sur la croix représente la mort de tout son peuple. Alors en Jésus, tous ses saints ont rendu à la Justice de Dieu ce qui lui était dû, et ont fait l'expiation à la vengeance divine pour tous leurs péchés. Puisque tous les élus sont crucifiés avec Christ, que nous sommes enveloppés avec Lui en sa mort, et que cela est un fait déjà accomplis une fois pour toutes, il est évident qu'il n'y a plus aucune condamnation pour nos péchés. Quoique le péché fasse encore ses ravages dans notre corps mortel car « le corps est bien mort à cause du péché » (Romains 8. 10) et que nous devons le combattre tous les jours de notre vie, nous ne sommes plus sous sa condamnation car notre esprit est vivant à cause de l'Esprit de Christ qui habite en nous (Romains 8. 10-11). En d'autres mots, nous sommes sauvés en l'esprit et non en la chair, qui elle, périra à cause de ce qu'elle demeure sous l'emprise de la mort occasionné par le péché. C'est pour cela que l'apôtre Paul a pu écrire : « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l'Esprit » (Romains 8. 1). La nature de notre corps charnel est de pécher, tout comme la nature d'un poisson est de nager dans l'eau, il ne peut faire autrement et à cause de cela nous pécherons encore inévitablement (1 Jean 1. 8-10). Toutefois, comme nous dit l'apôtre Paul, « nous ne sommes point endettés à la chair, pour vivre selon la chair » (Romains 8. 12), nous n'avons aucune dette envers la chair, nous ne lui devons rien, nous sommes libérés de sa culpabilité et de sa condamnation qui recherche constamment à nous réduire à l'esclavage de ses principes par l'obéissance à la loi, car « la loi est la puissance du péché » (1 Corinthiens 15. 56) et nous sommes mort à la loi puisque Christ l'a entièrement accompli comme notre substitut et « l'a entièrement annulée... en triomphant d'elles par son sacrifice sur la croix » (Colossiens 2. 14-15).

Nous ne vivons plus selon l'esprit de la loi morale qui nous retenait dans la captivité, mais selon l'Esprit de la grâce qui nous en a libéré par la foi qui nous est accordée dans les mérites du sacrifice de Christ qui nous sont attribués gratuitement et sans aucune condition. Lorsque nous vivons dans la lumière de cette vérité d'un fait déjà accomplis « le sang de Jésus-Christ, le Fils lui-même, nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7). Pour nous enfants de Dieu, tous les péchés accomplis par notre corps de chair mortel, qu'ils soient commis dans un temps passé, présent, ou à venir, nous sont pardonnés et purifiés avant même que nous naissions en ce monde, car Christ en avait déjà payé pleinement le prix et nous étions déjà en lui par anticipation en sa mort sur la croix comme notre substitut. Depuis avant la fondation du monde lorsque nous avons été élus en Christ pour notre rédemption (Éphésiens 1. 4-9), Dieu a tout déterminé d'avance dans son plan d'élection selon sa volonté souveraine et toute-puissante pour le rachat de nôtre âme. En d'autres mots, tout a été accomplit à la croix et rien que nous fassions ou ne fassions pas va n'en changer le moindre détail, on ne peut rien y contribuer autrement le salut ne serait plus par la grâce mais par les œuvres. L'apôtre Paul, était heureux de penser qu'en tant que membre du peuple élu de Christ, il était mort sur la croix avec Christ. Il a reconnu et accepté cette révélation avec confiance, reposant tout son espoir sur cette certitude. Il a cru qu'en raison de la mort de Christ, la justice divine était satisfaite à son égard, il réalisa qu'il avait trouvé la réconciliation avec Dieu en Christ et par Christ. Il ne se reposait plus sur la justice des œuvres de la loi comme tous les pharisiens, mais sur la justice de la foi comme tous les vrais disciples de Christ. Paul avait compris que ceux qui persistaient à se justifier par les œuvres de la loi étaient déchus de la grâce, et ceux qui dans la grâce persistaient à se justifier par la foi de Christ en lui faisant confiance en toutes choses avaient la promesse de la gloire éternelle.

Ainsi, ce verset est un fondement magnifique et solide de la foi chrétienne pour tous les élus en ce monde. Autant peu qu'ils soient, ils peuvent dire avec la pleine assurance de la foi de Christ qu'ils ont reçu dans le don de la grâce : « Il a tout renoncé pour moi, il s'est livré lui-même en ma faveur et comme mon substitut il m'a placé avec lui dans sa mort. Je suis crucifié avec Christ, et Christ vit en moi » Pour un élu, dire : « Je suis crucifié avec Christ », ce n'est pas parler en l'air. Ce n'est pas croire quelque chose par conjecture. Ce n'est pas dire quelque chose dont on n'est pas certain. Ce n'est pas chercher une expérience à revivre. Chaque élu en ce monde peut dire en toute vérité et sincérité : « Je suis crucifié avec Christ », c'est la simple reconnaissance d'un fait, la reconnaissance d'une chose déjà accomplie, car cette parole est l'énoncé d'un fait qui s'est produit environ 2.000 ans passés et qui est toujours actuel par la Sainte Présence de Christ qui nous habite.

Nous sommes ressuscités avec Jésus :

"Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus Christ" (Éphésiens 2 : 4).

La bénédiction de la puissance divine de la résurrection est une bénédiction que nous partageons collectivement. C'est individuellement que Dieu nous sauve, mais nous vivons ensemble la réalité de la résurrection inscrite dans nos cœurs. En Jésus, nous sommes nés de nouveau, nous sommes ressuscités pour une vie nouvelle. Dès l'instant que nous donnons notre cœur à Jésus, un puissance de résurrection entre en nous, et bien que notre corps humain continue à vieillir et se dirige vers la mort, notre esprit est déjà ressuscité. C'est le miracle de la résurrection. Nous recevons la puissance de la vie de Dieu et nous vivrons éternellement dans sa Gloire en ayant la vie éternelle.
Il y a la mort physique et la mort spirituelle. Sans Jésus, les êtres humains sont morts spirituellement dès leur vie ici-bas. En recevant le Salut offert par Jésus, nous sommes déjà ressuscités et éternellement vivant. Nous vivons dès maintenant la vie de résurrection en Jésus. Notre corps humain sera transformé, sera glorifié, par le pouvoir de la résurrection.

Lire la suite

Satan le diable est notre ennemi

16 Août 2022 Publié dans #Divers

Avant sa révolte originelle, Satan était un chérubin protecteur aux ailes déployées. L’Éternel dit : « Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées » (Ézéchiel 28. 4). Il se tenait dans la présence du Tout-Puissant, sur sa « montagne sainte » : « Je t'avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu. » (Ézéchiel 28. 14). C'était un « astre brillant, fils de l'aurore ». Le prophète Ésaïe dit : Te voilà tombé du ciel, astre brillant, fils de l'aurore ! (Ésaïe 14.12).

Lorsque l'orgueil fut trouvé en lui, il fut chassé de la montagne sainte, résidence du Dieu des cieux : « Tu disais en ton cœur: Je monterai au ciel, j'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, à l'extrémité du septentrion; je monterai sur le sommet des nues, je serai semblable au Très Haut. Mais tu as été précipité dans le séjour des morts, dans les profondeurs de la fosse » (Ésaïe 14. 13-15) ; et encore : L’Éternel déclare : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. Par la grandeur de ton commerce tu as été rempli de violence, et tu as péché; je te précipite de la montagne de Dieu, et je te fais disparaître, chérubin protecteur, du milieu des pierres étincelantes » (Ézéchiel 28. 15-16).

Le diable entraîna alors dans sa rébellion une légion d'anges que le symbolisme d'Apocalypse 12 assimile à des étoiles : « Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre ». A ne pas confondre avec les douze étoiles dont la femme est couronnée.

Des légions d'anges (pouvons-nous parler du tiers des armées célestes originelles ?) ont donc été entraînés par le dragon dans sa révolte ; ces anges ont perdu leur dignité pour exercer désormais une influence malfaisante, et causer toutes sortes de désordre sur la terre.

Dans sa seconde épître, l’apôtre Pierre écrit Dieu n'a pas épargné les anges qui ont péché, mais il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement (2 Pierre 2. 4).

Jude déclare que le Seigneur « a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés éternellement par les ténèbres, les anges qui n'ont pas gardé leur dignité, mais qui ont abandonné leur propre demeure » (v.6). Ces légions d’anges déchus se sont dès lors réfugiés dans les lieux célestes et qu’il ne faut pas confondre avec la « montagne sainte » du Tout-Puissant.

Que sont-ils alors devenus ? Ce que l’apôtre Paul nomme dans sa lettre aux Éphésiens comme « les dominations, les autorités, les princes de ce monde de ténèbres, les esprits méchants » (Éphésiens 6. 12). C'est donc bien à cette révolte originelle de Satan que fait allusion la phrase d'Apocalypse 12 : 4a : « Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel ».

Il est à remarquer que les anges déchus seront chassés des lieux célestes en même temps que le diable : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui » (Apocalypse 12. 9). Finalement, ils seront jetés « dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges », dont parle Jésus en Matthieu 25. 41.

Ce sera la défaite finale de Satan. Présentement, nous, les enfants de Dieu, nous pouvons remporter la victoire contre tous les assauts de l’ennemi. La Bible n’a jamais dit que les enfants de Dieu fidèles seraient défaits devant Satan. S’il y avait un seul verset envisageant une telle possibilité, nous aimerions le connaître. Mais il n’en existe aucun. Dieu met tout à notre disposition pour que nous soyons vainqueurs : La foi ferme jointe à la sobriété, à la vigilance, et à la résistance fait fuir le diable. Il est écrit : « Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme » (1 Pierre 5. 8-9).

Jacques nous parle aussi de cette résistance découlant d’une totale soumission à Dieu (les deux se tiennent) : « Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous. » (Jacques 4. 7).

La prière ardente est source de triomphe sur Satan. Le Seigneur a déclaré à son disciple Pierre : « Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point » (Luc 22. 31). Quelle place à ce sujet de prière dans nos moments personnels d’intercession devant Dieu ?

Nous revêtir de toutes les armes de Dieu, nous rendra invincibles contre notre ennemi. Paul écrit : « Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute puissante.  Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.  Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix; prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin; prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu. » (Éphésiens 6. 10-17).

Lire la suite

Jésus-Christ est Souverain

15 Août 2022 Publié dans #Divers

Sur la terre, Jésus avait le pouvoir :
– de contrôler le climat (« Qui est cet homme, pour que même le vent et les flots lui obéissent ? » (Marc 4. 41).
– de dominer les lois de la pesanteur (Jésus a marché sur un lac (Marc 6. 45-52).
– de créer des choses (par deux fois, il a pris quelques pains et quelques poissons et les a miraculeusement multipliés au point d’être capable de donner à manger à 5000 et 4000 personnes
(Marc 6 ; 8).
– de guérir toutes les maladies et les handicaps, sans exception (des lépreux, des épileptiques, des infirmes, des muets, des aveugles, etc.)
– de ressusciter les morts (notamment un dénommé Lazare, mort depuis 4 jours, et dont le corps était déjà en décomposition
(Jean 11).

La puissance qu’a démontrée Jésus ne peut venir que d’une source extra-humaine. Jésus-Christ savait pertinemment qu’il serait difficile de le croire sur la simple base de ses paroles. C’est pourquoi il demandaient aux gens de considérer les miracles qu’il faisait : « Quand même vous ne me croiriez pas, croyez au moins à ces œuvres afin que vous sachiez une fois pour toutes que le Père vit en moi et que je vis dans le Père » (Jean 10. 38 ; Marc 4. 41).

Jésus a vaincu sa propre mort :

Plusieurs personnes dans l’Histoire se sont proclamées prophètes de Dieu. Mais toutes étaient des hommes qui sont morts. Or d’après la Bible, Jésus est ressuscité et Il s’est montré à plusieurs personnes après sa mort.
Toujours selon la Bible, après sa résurrection, Jésus est remonté au Ciel devant plusieurs personnes, ce qui fait qu’il est toujours vivant aujourd’hui. Il montre ainsi un pouvoir sur la mort elle-même, un pouvoir que seul un être divin peut avoir, certainement pas un homme. C’est cet événement glorieux qui a convaincu ses disciples et leur a donné du zèle pour annoncer au monde la Bonne Nouvelle de l’Amour Dieu venu en son Fils Jésus.
Jésus a t-il dit qu’il était Dieu ?
Jésus n’a jamais dit ouvertement : « je suis Dieu ». Cependant, Il a très clairement parlé de sa nature divine. Pourquoi cette subtilité qui amène les uns à y croire et les autres non ?
Il y a plusieurs raisons toutes simples : Imaginez que quelqu’un annonce publiquement : « Je suis Dieu, adorez-moi ». Pensez-vous que nous le croirions ? Il serait pris pour un fou, un menteur et enfermé. Pourquoi Jésus aurait-Il couru le risque d’être arrêté aussi bêtement ? De plus, pour les Juifs, quelqu’un se déclarant Dieu était accusé de blasphème et, selon leur loi, devait être condamné à mort. Jésus, s’il s’était proclamé Dieu, se serait fait arrêté sans même avoir eu le temps de faire quoi que ce soit.

C’est pourquoi, conscient de ces éléments, Jésus n’a pas fait ouvertement la déclaration d’être Dieu. Mais il a clairement établit son égalité avec Dieu :
– Sur la terre, Jésus était Dieu incarné : « celui qui m’a vu a vu le Père » (Jean 14. 9).
– Jésus affirmait être éternel et venir du ciel : « avant qu’Abraham existe, je suis » (Jean 8. 58) ; « je suis descendu du ciel » (Jean 6. 38) ; « Vous êtes d’en bas; moi, je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde; moi, je ne suis pas de ce monde » (Jean 8. 23) ;
– Jésus pardonnait aux gens leurs péchés, alors que seul Dieu a le pouvoir de nous juger et de nous faire grâce
(Marc 2).
– Jésus donne la vie éternelle : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » (Jean 11. 25) « Je leur donne la vie éternelle; et ils ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main » (Jean.10. 28).
– Jésus a démontré qu'il est sans péché, pur
(Jean 8. 46). Or seul Dieu est comme cela ; chacun de nous a du bien, mais aussi du mal en lui.

Ainsi, même si, pour se protéger, Jésus n’a prononcé ces mots : « Je suis Dieu», il a proclamé ouvertement son égalité avec Dieu. Les autorités religieuses de l’époque avaient d’ailleurs bien compris ce que Jésus insinuait et elles n’avaient pas besoin qu’il soit plus explicite. Le moment venu, elles l’ont arrêté et l’ont condamné à mort « car il se faisait l’égal de Dieu » (Jean 5. 18).

Lire la suite

Sauvés par la seule Grâce, non par nos efforts‏‏

14 Août 2022 Publié dans #Salut

"Aide-toi, le ciel t'aidera." Cette devise bien connue, tirée d'une fable de La Fontaine, paraît pleine de bon sens. Elle encourage l'effort et l'esprit d'entreprise. Elle laisse penser que la chance, au mieux la providence divine, sourit à ceux qui se prennent en charge. Peut-être est-ce juste pour les affaires du monde, mais ce n'est pas le message de la Bible pour être délivré du jugement de Dieu.
Dieu a déjà tout mis en place pour le Salut de l'être humain. Dieu en a pris l'initiative et il a tout accompli parfaitement. Les religions sont étrangères à une telle idée. Si elles parlent de la grâce, elles évoquent l'aide de Dieu (ou des dieux) en faveur des êtres humains, mais jamais une aide imméritée, sans participation humaine. Le plus souvent, elles cherchent à exalter l'être humain. Une des façons de le faire est d'affirmer que nos actes, nos dispositions, nos qualités participent à cette délivrance en nous faisant mériter l'aide de Dieu.
La Grâce de Dieu, révélée dans la Bible, est tout autre. L'être humain ne mérite pas l'aide de Dieu, mais Dieu a tout fait pour nous parce qu'il nous aime d'un Amour immense. Notre délivrance vient de ce que Dieu a fait pour que nous soyons sauvés, et non de ce que l'être humain fait. L'important, ce ne sont pas nos qualités, mais c'est l'Amour de Dieu.
Nous ne pouvons comprendre parfaitement pourquoi Dieu nous a tant aimés. Nous acceptons son Amour simplement, avec adoration. Et, si nous ne pouvons comprendre le “pourquoi” de la Grâce, nous en connaissons le “comment”. Le Salut de l'être humain est possible à cause de la mort rédemptrice et de la résurrection de Jésus Christ.

Lire la suite

Le seul Juste a été condamné‏

13 Août 2022 Publié dans #La croix, #Sacrifice de Jésus

Jésus Christ a été crucifié il y a près de 2000 ans. Toutes les catégories sociales étaient représentées lors de sa condamnation et de sa mise à mort.
Un gouverneur romain, Hérode, l'a méprisé et outragé. Les chefs religieux juifs l'ont poursuivi jusqu'à l'assigner devant un tribunal pour un procès inique. La foule a consenti en ajoutant : « Qu'il soit crucifié ! » (Matthieu 27. 22). L'empire dominant de l'époque, par la voix de son représentant Pilate, a condamné le Juste, et les soldats romains l'ont ignoblement bafoué, brutalisé puis cloué sur une croix. Même un des malfaiteurs qui étaient crucifiés avec lui l'a insulté (Marc 15. 32). Mais pourquoi donc tant de haine ?
Jésus est Juste et Saint, Il est Dieu fait homme, et les œuvres qu'il faisait, parce qu'elles étaient l'expression de l'Amour divin, ne pouvaient que condamner celles des êtres humains et ils n'ont pas pu supporté cette lumière éclairant leurs mauvaises actions.
Ces faits sont anciens, mais le monde est toujours dans les ténèbres morales, et le cœur humain toujours aussi méchant. Cependant, l'œuvre parfaite de Jésus Christ à la croix sépare les êtres humains en deux catégories : ceux qui restent dans les ténèbres, et ceux qui, en acceptant sincèrement Jésus comme leur Sauveur et Seigneur, deviennent enfants de Dieu, “enfants de lumière” (Éphésiens 5. 8).
De quel côté sommes-nous ? Est-ce du côté de ceux qui rejettent Jésus Christ parce qu'ils ne peuvent pas supporter la lumière qui émane de sa Personne et de sa Vie, ou est-ce que nous acceptons la Grâce que Jésus apporte à celui qui se reconnaît pécheur et accepte le parfait sacrifice de Jésus sur la croix ?

Lire la suite

Être à la recherche de Dieu

12 Août 2022 Publié dans #Divers

- « Dieu, où es-tu ? J’ai besoin de toi. Je te désire tout près de moi. Comment puis-je te trouver ? ».

S’agit-il ici du cri sincère du coeur de chaque être humain ? Personne n'est le seul à se la poser. Partout et en tout temps, les êtres humains ont posé des questions semblables. Il y a deux mille ans, un jeune homme riche accourut vers Jésus et lui demanda : « Bon maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? » (Marc 10. 17). Le jour de la Pentecôte, Pierre prêchait et les gens lui demandèrent : « que ferons-nous ? » ou « comment pouvons-nous trouver Dieu ? » (Actes 2. 37). L’agitation de notre monde troublé aujourd’hui est le cri de la recherche de Dieu et de son Amour.
Tous les êtres humains ont besoin de trouver le seul vrai Dieu, car leurs cœurs seront troublés et n'auront pas la vrai paix à moins qu’ils ne se reposent dès maintenant sur Lui. Oui, pour nous êtres humains, la seule façon d’obtenir le repos et la paix éternels pour notre âme et notre esprit, c’est de trouver le seul vrai Dieu de l'Univers, de l'avoir comme seul Seigneur et Sauveur de notre vie et de marcher toujours avec Lui. Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11. 28).
Sachant que Dieu nous a créés à son image pour Lui-même, nous en réalisons notre besoin. Nous ne sommes pas tous semblables ; cependant nous sommes tous faits selon l'image de Dieu et sa ressemblance
(Genèse 1. 26). Nous sommes créés avec une âme qui désire vivre en harmonie avec Dieu notre Créateur. « Comme une biche soupire après des cours d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant » (Psaume 42. 2, 3). Seul le Dieu Vivant et Vrai peut satisfaire l’âme de l’être humain.
David exprima le tréfonds de son âme en disant : « Je ne manquerai de rien » (Psaume 23. 1). Dieu combla son besoin ; il était satisfait, car il connaissait la paix que la créature éprouve à la rencontre de son Créateur.
Dieu est réel. Même si nous ne voyons pas Dieu, si nous ne le comprenons pas où si nous ne le trouvons pas, cela ne change pas le fait irrévocable que Dieu est le même hier, et aujourd’hui, et éternellement. Dieu existe ! N’en doutons jamais. Croyons fermement en son existence et soyons assuré qu’Il nous aime d'un parfait Amour.

Dieu est partout ! :
"Jésus dit à la femme près du puits de Jacob que Dieu est Esprit et qu’il peut être trouvé n’importe où, n’importe quand. Il ne se confine pas dans le ciel éloigné et sa présence n’est pas limitée aux lieux d’adoration. Nous pouvons le trouver partout et en n’importe quelle lieu. À l’instant même Il nous entoure"
(Jean 4 : 21-24).
Nous n’avons pas besoin de tâtonner pour chercher Dieu ; Il ne se cache pas, Il nous attend. Avant que nous commencions à Le chercher, Dieu attendait déjà notre recherche. Il veut nous recevoir dans Sa famille où Il nous aimera et prendra soin de chacun de nous personnellement. Nous êtres humains, sommes-nous inquiets, nous sentons-nous perdu dans le péché, troublé, coupable ou malheureux ? Avons-nous peur de mourir ? C’est Dieu qui nous appelle chacun, car Il ne veut pas que nous nous égarions. C’est peut-être le premier appel de Dieu pour vous ; ça pourrait aussi être le dernier. « Oh ! si vous pouviez écouter aujourd’hui sa voix ! N’endurcissez pas votre cœur » (Psaume 95. 7, 8).

Nous avons tous péché. « Il n’y a point de juste, pas même un seul » (Romains 3. 10). Dieu est Saint et Il hait le péché. En venant en présence de Dieu, nous sommes incités à agir contre nos péchés comme Dieu nous l’enseigne dans sa Parole. Une vie honnête et bonne n’expiera jamais nos péchés et ne suffira pas à notre salut. Rien qu’une repentance sincère nous détournera de nos péchés.
Dans son grand Amour, Dieu prépara le seul Chemin pour Le trouver. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16). Jésus-Christ est le seul Chemin qui mène à Dieu ! Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14. 6). Quand le geôlier demanda : « que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » l’apôtre Paul répondit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16. 30-31).

Quand Nicodème chercha à connaître le Chemin du salut, Jésus lui dit : « si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3. 3). Comme Nicodème, demandons-nous comment cela est possible ? Pour naître de nouveau, l'être humain doit recevoir Jésus, le Fils de Dieu, notre Seigneur et Sauveur. Tout en ressentant le doux Amour de Dieu, nous verrons notre péché et notre impureté devant Lui. Le sacrifice de Jésus pour nos péchés provoquera une tristesse profonde dans votre cœur. « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1. 9).
Alors que nous mettons notre confiance en Dieu, nous serons capable de soumettre notre volonté à Dieu dans un engagement profond. Nous recevrons un cœur nouveau et le Saint Esprit de Dieu nous dirigera à renoncer à nous-même et à nous détourner du péché. Nous serons en paix et ressentirons la présence de Dieu. « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu » (Romains 5. 1-2).

Voulez-vous vraiment trouver Dieu et marcher avec Lui ? C’est à chacun de nous de choisir personnellement. Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner. Si nous nous arrêtons, que nous nous tournons et faisons un pas vers Dieu, nous Le trouverons. Jésus le Sauveur cherche et rencontre toujours l’âme qui Le recherche sincèrement. Lorsque nous trouvons Dieu, la source de vie, Il nous donnera une vie nouvelle, un cœur nouveau et la volonté de Le suivre. Toutes choses deviendront nouvelles (2 Corinthiens 5. 17).

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 > >>