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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Jésus-Christ est le roc inébranlable

18 Février 2021 Publié dans #Divers

Jésus interrogea un jour ses disciples : « Qui suis-je au dire des hommes, moi, le Fils de l’homme ? ». Ils répondirent : « Les uns disent : Jean le Baptiseur ; d'autres : Élie ; d'autres encore : Jérémie ou l'un des prophètes… » (Matthieu 16 v.13-14).

Cette question nous apprend que les opinions concernant la personne du Seigneur Jésus étaient partagées. Les gens ne voyaient en Lui qu’un homme. Aujourd’hui encore, un sondage d’opinions dans les rues donne comme réponses : "C’est un homme de bien", "c'est un grand Maître", "c'est un grand modèle d’amour pour l’humanité", "c'est un moraliste de haut niveau", "c'est un grand réformateur", "c'est le fondateur de la religion chrétienne", etc... Mais la foi véritable en Jésus est absente de toutes ces déclarations.

Jésus pose alors à chacun de nous l’importante question qu’il a posée à ses disciples : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » (v. 15). Et toi, cher lecteur, chère lectrice, que dis-tu de Jésus ? Qui est Jésus pour toi ?...

Le disciple Pierre répondit à la question de Jésus : « Tu es le Christ (le Messie, l’Oint), le Fils du  Dieu vivant. » (v. 16). Pierre discerne en Jésus sa divinité : Il est le Messie, l’Envoyé de Dieu ; il est le Fils du Dieu vivant, non pas des dieux inertes des païens, mais du vrai Dieu qui possède la Vie Éternelle, qui n’a ni commencement ni fin.

Jésus dit à Pierre : « Tu es bienheureux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux. Moi aussi, je te dis que tu es Pierre ; et sur ce roc je bâtirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne prévaudront pas contre elle… » (v.17). Ce ne sont pas la chair et le sang, c’est-à-dire l’homme naturel, qui ont révélé cette vérité à Pierre, car « l’homme naturel ne reçoit pas les choses qui sont de l’Esprit de Dieu … et il ne peut pas les connaître, parce qu’elles se discernent spirituellement. » (1 Corinthiens 2. 14)

Dès lors que Pierre (et probablement les autres disciples) a discerné spirituellement que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, Jésus peut parler de son Église qu’il va bâtir. Avec quoi et sur quel fondement ?

« Je te dis que tu es Pierre (ou : une pierre, en grec : petros) ; et sur ce roc (en grec : petra), je bâtirai mon Église »

Cet édifice spirituel est bâti par le Seigneur Jésus lui-même depuis la Pentecôte (depuis la descente du Saint Esprit sur la terre). Il est composé de tous les croyants nés de nouveau qui sont des pierres vivantes (1 Pierre 2. 5). Il est fondé sur un roc solide, cette vérité inébranlable que Pierre vient de déclarer : « Tu es le Christ, le Fils du  Dieu vivant. »

Les portes du séjour des morts ne prévaudront pas contre l’Église car, pour se l’acquérir et en être le fondement, le Christ, le Fils du Dieu vivant souffrira beaucoup et descendra dans la mort pour la vaincre en ressuscitant.

Pierre n’est qu’une pierre de cet édifice spirituel qu’est l’Église, mais Jésus le Maître l’honore en lui confiant une mission spéciale : il lui confie les clés afin d’ouvrir les portes du royaume aux Juifs et aux nations. C’est ce qu’il fera, par ses prédications, le jour de la Pentecôte, pour les Juifs où environ 3000 âmes entrèrent dans royaume (Actes 2) et plus tard pour les gentils dans la maison de Corneille (Actes 10).

Pierre n’a jamais été le chef de l’Église. Celle-ci n’a et n’aura jamais d’autre Chef que le Christ, le Fils du Dieu vivant. Jésus n’a pas dit : « sur ce roc sera bâtie l’Église » mais : « je bâtirai mon Église ».
« [Dieu] l’a donné pour être Chef suprême à l’Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui est tout en tous. » (Éphésiens 1. 22).
« [Jésus] est le Chef du corps, de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts afin qu’en tout il tienne, lui, la première place » (Colossiens 1. 18).
Qui d’autre pourrait être le Chef de l’Église si ce n’est « Christ qui a aimé l’Église et s’est livré lui-même pour elle » (Éphésiens 5. 25).

Ami(e), as-tu fondé ta vie sur ce roc inébranlable qu’est le Christ, le Fils du Dieu vivant, comme l’a fait cet homme de la parabole de Luc 6. 48 ? Es-tu une pierre vivante de l’édifice qu’est l’Église de Jésus Christ ? « Christ a aimé l’Église et s’est livré lui-même pour elle » (Éphésiens 5. 25), peux-tu dire aussi, de tout cœur : « Le Fils de Dieu m’a aimé(e) et s’est livré lui-même pour moi » (Galates 2. 20).

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Choisir Jésus pour avoir une vie nouvelle

17 Février 2021 Publié dans #Choix, #La Vie

Faire un choix avant la fin

Chers ami(e)s lecteurs/trices, personne ne sait ce que sera sa propre fin sur cette terre, s’il la verra venir par la maladie ou la vieillesse, ou si elle la surprendra brutalement. Il ne faut donc pas attendre de sentir la mort approcher, d’être malade ou affaibli pour mettre ses affaires en règle avec Dieu. Car, Dieu affirme dans sa Parole : « Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27). Ami(e)s lecteur, au lieu d’être votre Juge demain, Jésus-Christ veut être votre Sauveur dès maintenant. Accepter sa grâce ! Refuser de se courber humblement devant Dieu son Créateur conduit l’être humain à se prévaloir de ses connaissances, bien limitée, a s’élever contre Dieu, à contester sa Parole, et même à nier son existence. Tout cela a pour effet de l’enfoncer dans son aveuglement, son orgueil et son égoïsme. Jésus dit que vivre comme cela conduit l’être humain à mourir dans son péché et à être séparé éternellement de Dieu et de toute source de bien. "La crainte de l’Éternel est le commencement de la connaissance, de la sagesse" (Proverbes 1. 7). Ne Le méprisez pas, Dieu est vivant, réel, juste et saint mais tellement doux, sage et patient, qu’il ne vous forcera pas la main. Il faut que vous vous approchiez de Lui avec sincérité et humilité et vous le verrez se manifester à vous d’une façon ou d’une autre.

La racine de toutes les injustices, c’est l’amour de l’argent lié à l’égoïsme. Jésus n’est pas venu pour juger, mais pour sauver. C’est aujourd’hui le jour favorable pour se tourner vers le seul vrai Dieu afin de connaître son immense Amour et échapper au Jugement qui va venir sur tous ceux qui rejettent ou négligent Jésus-Christ le Seigneur et le Sauveur de l'univers. Dieu va rétablir le Paradis initial et Il attend de vous que vous fassiez un choix pour Lui si ce n'est pas encore fait, que vous preniez position. Le temps est bientôt écoulé, ne tardez plus ! Possesseurs de toute chose, Jésus a vécu dans la pauvreté pour nous enrichir… Il a souffert l’humiliation, le rejet, la moquerie et la mort pour nous ouvrir un chemin vers Dieu et une place de choix dans son Royaume de paix, de justice et d’amour qui arrive à grand pas ! En même temps, Jésus a annoncé l’Évangile pour répondre aux besoins spirituels de l’être humain. Jésus lui a ouvert le chemin de la réconciliation avec Dieu. Nous êtres humains, ne négligeons pas un si grand salut mais jetons-nous entièrement à Jésus !

Une vie nouvelle

Quel bonheur de prendre devant Dieu la place d’un petit enfant, de ceux qui écoutent sa parole et la reçoivent avec foi et avec humilité ! Nous recevons « non la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, la Parole de Dieu », qui « demeure éternellement ». La Bible nous fait connaître Jésus, le Fils de Dieu, et en même temps que la vérité sur notre état intérieur, la profondeur de l’Amour divin. Elle ouvre devant nous les richesses de la grâce de Dieu, et nous enseigne comment nous conduire pour honorer Jésus-Christ, en attendant son Glorieux Retour. « Que, unis ensemble dans l’amour, ils parviennent…  À la connaissance du mystère de Dieu dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colossiens 2. 2b-3).

Quoi de plus simple que de parler à Dieu, de reconnaitre sincèrement ses fautes et son péché, de lui demander pardon puis de le remercier de faire de nous un enfant de Dieu par la foi en Jésus ?

Peut-être, la prière ne fait-elle pas partie de votre univers habituel ? Peut-être, n’avez-vous jamais parlé à Dieu. Et pourtant, Dieu vous entend, même si vous ne le connaissez pas, Il entend chacun de vos désirs, chacune de vos joies, chacune de vos plaintes. Bien plus, Dieu veut vous écouter ; il voudrait que vous lui parliez comme à quelqu’un qui vous aime. C’est Dieu qui vous parle par sa Parole, la Bible, qu’Il a fait écrire pour vous. Ce dialogue avec Dieu, c’est le privilège des croyants en Jésus, des enfants de Dieu. Car c’est un réel privilège.

Nous qui sommes enfants de Dieu, chrétiens nés de nouveau, nous exprimons simplement le bonheur que l’on éprouve en connaissant la ressource qui nous permet de tenir et qui ne se trouve qu'en Jésus. À cet appel que Dieu fait à tout être humain, nous avons un jour répondu « oui » en acceptant pour nous-même la révélation de l’Amour divin en Jésus-Christ, cet amour qui nous a sauvé, cet amour qui nous suivait avant la fondation du monde. Et c’est ainsi que le dialogue a été amorcé, que nos cœurs ont été transformés et que l’on a ensemble pu voir la puissance de Dieu agir et se manifester en réponse à nos prières. Pour tenir dans la vie, dans une telle vie, nous avons le secours divin, à chaque instant, en réponse à nos prières.

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Les êtres humains sont égaux devant Dieu

16 Février 2021 Publié dans #Divers

Le genre humain est un. La Genèse nous enseigne que nous sommes tous les fils d’Adam et Ève, et que nous partageons leur substance humaine à part entière. Il n’y a pas d’humains inférieurs aux autres à cause de leur création car nous sommes tous créés à l'image et à la ressemblance de Dieu. Les différences de langue, de culture, de couleur, et même de sexe sont réelles – mais secondaires. Devant Dieu notre Créateur, nous sommes tous égaux.

Les êtres humains sont tous pécheurs. Le mal n’est pas externe mais interne, car le péché n’est pas un défaut dans la composition de la création, mais le fruit de la désobéissance de l’être humain qui a rompu ses liens spirituels avec Dieu le Créateur.

Il n’y a pas de solution pour le péché dans le monde matériel. Ni la législation, ni les subventions économiques ne sauraient résoudre les injustices qui résultent de la chute de l’être humain. Cette chute fut le résultat d’une duperie satanique, mais les remèdes proposés par les savants de ce monde sont également décevants. Un problème spirituel ne peut être résolu que spirituellement, ce qui implique la nécessité d’une intervention divine.

Dieu nous a offert la guérison de notre maladie spirituelle causé par le péché. C'est dans l’incarnation de son Fils unique, Jésus-Christ, qui est venu dans le monde afin d’accomplir la Justice divine. Cette Justice exige l’expiation définitive du péché qui est intolérable aux yeux de Dieu. Par sa vie terrestre, Jésus le Fils de Dieu a démontré qu’une vie sans péché est possible – ce qui rend l'être humain pécheur encore plus coupable – ; et par sa mort sacrificielle, Jésus, l'Homme parfait, a payé la dette de nos transgressions. La justice que nous ne pouvons pas obtenir par nos propres efforts nous a été octroyée par sa grâce, ce qui rend le pécheur « juste » aux yeux de Dieu. Sans le pardon de Dieu obtenu par la grâce divine, l’être humain, aussi brillant, doué, riche, puissant soit-il, n’est que perdu et mort spirituellement dans ses péchés. Sachons que Jésus le Fils de Dieu est entré dans la gloire céleste où il est assis à la droite de Dieu le Père qui nous pardonne par le sang versé de son Bien-Aimé Fils Jésus-Christ.

À la suite de l’expiation de nos péchés, Jésus le Fils de Dieu nous a envoyé son Saint-Esprit afin de créer une nouvelle humanité. La nouvelle humanité créé par Dieu est une famille spirituelle dans laquelle nous sommes frères et sœurs. Juifs et Grecs, hommes et femmes, esclaves et maîtres – peu importe ; ces distinctions n’existent plus qu’au niveau terrestre. Dans le Royaume spirituel du Fils, elles ne comptent pour rien. La vraie fraternité n’est réalisée qu’au sein de l’Église, qui est le don offert au Père par son Fils unique. Voici le principe qui doit nous guider dans la situation actuelle.

Une visée à maintenir

L’Église ne gagnera pas seule la lutte contre le racisme, mais nous ne devons pas oublier le fait que nous sommes appelés à devenir le sel de la terre et la lumière du monde. Les principes de base qui pourront nous aider à discerner la volonté de Dieu dans nos communautés chrétiennes doivent être mis au service de la société plus large, qui ne trouvera pas d’autre solution. Certes, la perfection n’existe pas dans ce monde et il y aura toujours des échecs et des malentendus qu’il faudra confesser dans un esprit de repentance et de réconciliation. Mais comme l’apôtre Paul l’aurait dit, dans le Royaume de Dieu, il n’y a ni noir ni blanc. Nous sommes tous un en Jésus-Christ qui est le seul Juge et la seule source de notre justice et de notre salut. Que cela soit notre témoignage évangélique – individuel et collectif – face aux défis sociaux de notre temps.

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Jésus-Christ est notre parfait Sauveur

15 Février 2021 Publié dans #Salut

“Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. À plus forte raison, ayant été maintenant justifiés par son sang, serons-nous sauvés de la colère par lui !” (Romains 5. 8)
"Par sa mort sur la croix, le Christ les a tous réunis en un seul corps et les a réconciliés avec Dieu ; par la croix, Il a détruit la haine" (Éphésiens 2. 16).
“Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et de toute ta pensée” (Matthieu 22. 37). Tel est le commandement fondamental donné aux êtres humains. Mais personne n’a pu, ni voulu, faire de Dieu le centre de sa vie, de sa volonté, de ses aspirations. Le constat divin est sans appel : “Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 23).
Le péché fondamental est donc de ne pas obéir à ce commandement. C’est un outrage à l’autorité du Dieu Souverain, une trahison envers le Créateur des cieux et de la terre, envers Celui qui est infiniment digne de respect, à qui on doit obéir.
Le plan divin d’admettre des êtres humains dans sa gloire paraît ainsi impossible à accomplir. En effet, Dieu ne peut pas agir comme si l’être humain n’était pas pécheur, comme s’il ne s’était pas révolté contre Lui. Rebelle, l’être humain mérite la mort car : “Le salaire du péché, c’est la mort” (Romains 6. 23).
Mais Dieu, parfaitement Juste, est aussi un Dieu d’Amour. C’est pourquoi, Il envoie son propre Fils, comme un homme, sur cette terre, un homme absolument sans péché, en qui Il trouvera son plaisir. Jésus-Christ est ainsi qualifié pour devenir le Substitut recherché par Dieu pour subir sa juste Colère au lieu du pécheur.
Sur la croix, Jésus l’Homme parfait prend sur Lui tous nos péchés. Il reçoit sur la croix durant les trois heures de ténèbres le châtiment que nous avions mérité. Il ôte le péché de devant Dieu. La Colère divine s’est détournée des êtres humains qui croient véritablement en Jésus, et Dieu est devenu propice pour eux, son plan peut enfin s’accomplir : car en Jésus Christ, les êtres humains ont accès à la faveur de Dieu et à sa présence. Bénédiction immense, ils reçoivent le droit d’être appelés enfants de Dieu.
Tous ceux qui croient en la vertu du sacrifice expiatoire de Jésus Christ peuvent alors dire : “Voici ce qu’est l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés et qui a envoyé son Fils en victime d’expiation pour nos péchés.” (1 Jean 4. 10).

Pourquoi un Sauveur ? De quoi l’être humain doit-il être sauvé ?
L'être humain a besoin d'être sauvé du juste Jugement de Dieu. Dieu connaît la noirceur du coeur de chaque être humain sur cette terre et Il veut l'en sauver parfaitement. Pour en être certain, analysons notre coeur, regardons autour de nous, regardons les infos et constatons-le par nous mêmes. Le péché qui réside en nous est une réalité et Dieu veut nous en délivrer mais avant tout, Il veut nous en convaincre. Toute cette méchanceté, ce mal, cette égoïsme, cette cupidité, cet orgueil, cette rébellion, Dieu le voit parfaitement et nous en sommes tous atteint d’une manière ou d’une autre. Mais si Dieu est Amour, Il est aussi Justice. Sa justice est parfaite et complète. Face à son immense Sainteté, nous méritons tous une juste condamnation. Si Dieu était seulement miséricordieux, Il ne serait pas Juste. Si Dieu était seulement Juste sans être miséricordieux, alors nous serions tous condamné par sa parfaite Justice. Mais Dieu veut pardonner en usant de sa miséricorde infini tout en étant Juste. Comment va-t-il s’y prendre ? Dieu nous envoie son Fils Jésus subir pour nous le châtiment de nos péchés pour satisfaire la Justice parfaite de Dieu et son Amour ; et donner en même temps le pardon à ceux qui croiraient dans cette œuvre. Quelqu’un devait payer la rançon, Jésus-Christ est venu pour la payer pour nous.
Oui, la seule personne parfaite, volontaire et capable de payer pour nous a été Jésus le Fils de Dieu qui existait de tout éternité auprès de Dieu. La Bible dit que Jésus est descendu du Ciel pour venir dans le monde sous une forme humaine afin d’accomplir cette difficile mission. Jésus vint dans le monde vivre une vie parfaite et mourir sur une croix subissant pour nous le Jugement de Dieu. Jésus est ensuite vraiment ressuscité démontrant sa Victoire sur le péché et la mort. Reconnaitre son péché ouvre les portes du ciel et permet de comprendre la raison profonde de la venue de Jésus sur terre et de son sacrifice volontaire pour porter pour nous le poids de nos fautes en subissant la condamnation que chacun d’entre nous auraient mérité face à un Dieu si Grand, si Juste et si Saint. Il y a un immense acte d’amour de la part du Seigneur Jésus. Il a sacrifié et donné sa vie pour vous, pour moi. Grâce à Jésus, une nouvelle relation peut démarrer avec Dieu dans laquelle, par son Esprit, Il pourra nous aider chaque jour à se rapprocher de l’Amour et de la Sainteté de Dieu. La foi en Jésus libère du juste jugement et assure un Salut éternel dans le Royaume de Dieu à venir. Elle donne un accès à Dieu pour une relation vivante et réelle.
Une telle certitude produit un changement radical : celui qui croit et se tourne vers le seul vrai Dieu Le découvre, non pas comme un juge, comme certains le pensent, mais comme Celui qui sauve parfaitement et fait de nous ses enfants bien-aimés.

Chers amis lecteurs, personne ne sait ce que sera sa propre fin, s’il la verra venir par la maladie ou la vieillesse, ou si elle le surprendra brutalement. Il ne faut donc pas attendre d’être malade ou affaibli pour mettre ses affaires en règle avec Dieu. Car, affirme Dieu dans sa Parole : « Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27). Ami lecteur, au lieu d’être votre Juge après la mort, Jésus-Christ veut être votre Sauveur dès aujourd’hui et pour l'éternité, donc il faut accepter sa grâce ! Refuser de se courber humblement devant son Créateur conduit l’être humain à se prévaloir de ses connaissances, bien limitée, a s’élever contre Dieu, à contester sa Parole, et même à nier son existence. Tout cela a pour effet de l’enfoncer dans son aveuglement, son orgueil et son égoïsme. Jésus dit que vivre comme cela conduit l’être humain à mourir dans son péché et à être séparé éternellement de Dieu en Enfer. Que personne ne méprise le seul vrai Dieu, Il est Vivant, réel, Juste et Saint mais tellement doux, sage et patient. Dieu ne vous forcera pas la main. Il faut que l'être humain s'approche de Lui avec sincérité et humilité et il Le verra se manifester à lui d’une façon ou d’une autre.

La racine de toutes les injustices, c’est l’amour de l’argent lié à l’égoïsme. Jésus n’est pas venu pour juger, mais pour sauver. C’est aujourd’hui le jour favorable pour se tourner vers Lui afin de connaître son immense Amour et échapper au Jugement qui va venir. Dieu va rétablir le Paradis initial et Il attend de chacun que nous fassions un choix, que nous prenions position pour Lui. Le temps est bientôt écoulé, que personne ne tarde plus ! Jésus, à qui appartient toutes choses, a vécu dans la pauvreté pour nous enrichir… Il a souffert l’humiliation, le rejet, la moquerie et la mort pour nous ouvrir le Chemin vers Dieu et une place dans son royaume de paix, de justice et d’amour qui arrive à grand pas ! En même temps, Jésus a annoncé l’Évangile pour répondre aux besoins spirituels de l’être humain. Jésus a ouvert à l'être humain le chemin de la réconciliation avec Dieu. Ne négligez pas un si grand salut mais jetez-vous plutôt à Lui !

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Les sept paroles de Jésus-Christ sur la croix

14 Février 2021 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Jésus a prononcé sept paroles lorsqu'il était sur la croix. Chacune de ses paroles ont marqué l'histoire de l'Église et la foi de milliers de personnes au cours des siècles. Méditons-les et voyons de quelle nature était fait celui qui à changé la face du monde.

1ère parole : "Père, pardonne-leur car ils ne savent ce qu'ils font." (Luc 23 : 34)
Une prière à Dieu son Père pour ceux qui l'on crucifié et pour tous les êtres humains pécheurs qui se repentent de leurs péchés et mettent leur confiance en Jésus-Christ.

2ème parole : "Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis." (Luc 23 : 43)
Une promesse à quelqu'un qui s'est reconnu pécheur, ne pouvant pas se sauver soi-même, et qui a mis sa confiance en Jésus-Christ le seul Sauveur du monde pour être sauvé de tous ses péchés.

3ème parole : Jésus voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, il dit à sa mère : "Femme, voici ton fils". Puis il dit au disciple: "Voici ta mère" (Jean 19 : 26-27).
Alors que nous sommes face à des situations difficiles, avons-nous du respect et du soucis pour honorer nos parents, nos familles, nos proches ?

4ème parole : "Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné ?" (Matthieu 27 : 46)
Le cri d'angoisse de Jésus-Christ alors qu'il est en train de porter le péché du monde, et que Dieu lui détournait son regard. Jésus est seul.

5ème parole : "J'ai soif" (Jean 19 : 28)
Jésus dit cette parole afin d'accomplir une prophétie de l'Ancien Testament. Ce qui nous montre que bien plus qu'un humain qui a soif, Jésus va jusqu'au bout de sa mission.

6ème parole : "Tout est accompli." (Jean 19 : 30)
Un cri de victoire ! Oh ! Si nous nous arrêtons un instant pour penser à tout ce qui s'est passé pour que Jésus arrive à ce cri de victoire ! Pourtant Jésus-Christ est allé jusqu'au bout, par amour pour nous. Saisissons-nous l'importance de cette phrase ?

7ème parole : "Père, je remets mon esprit entre tes mains." (Luc 23 : 46)
La dernière prière à son Père. Quel doux moment que celui de rejoindre le Père et d'entrer dans son repos, l'esprit en paix...

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Qu'est-ce que la justification ?

13 Février 2021 Publié dans #Justice de Dieu

Comment l’homme sera-t-il juste devant Dieu ? (Job 9. 2).
Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par Sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, lui que Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son sang… en vue de montrer sa justice dans le temps présent, de sorte qu’il est juste et qu’il justifie celui qui est de la foi en Jésus. (Romains 3. 23-26).
 
Job vivait d’une manière droite, dans la crainte de Dieu, autant que cela était possible pour un être humain. Cependant, il ressentait que cela ne faisait pas de lui une personne juste devant Dieu. C’est ce qui le poussait à poser cette question au sujet de la justification devant Dieu : « Comment l’homme sera-t-il juste devant Dieu ? » (Job 9. 2). Job se reconnaît comme étant lui-même un pécheur, et ainsi il se demande : « Qui est-ce qui tirera de l’impur un [homme] pur ? Pas un ! » (Job 14. 4).
La seule justice valable, devant Dieu et pour l’éternité, ne peut être atteinte par les propres efforts de l’être humain. Elle doit venir de Dieu Lui-même. Comment cela peut-il s’effectuer ?
Dieu peut-Il simplement, à cause de Son amour, déclarer que quelqu’un est juste, sans s’occuper de la question du péché ? – Non ! Autrement il n’y aurait pas de réparation pour tous les crimes de l’histoire du monde et toutes les actions coupables de chaque individu. Ce serait se moquer de la justice : la justification serait impossible. Mais Dieu ne peut pas renoncer à Sa justice.
Pourrait-on supposer que Dieu agisse en justice envers nous en nous faisant passer en jugement selon nos œuvres, inscrites dans Ses « livres » ? Nous serions alors perdus ; nous recevrions la juste récompense de nos œuvres pour l’éternité. Où serait alors l’Amour de Dieu ?
Comment Dieu peut-Il déclarer justes des pécheurs sans mettre Sa justice de côté ? Comment pouvons-nous trouver de l’aide dans notre profond besoin ? Nous ne pouvons trouver aucune échappatoire. Nous ne pouvons imaginer aucun moyen par lequel Dieu puisse montrer Sa justice infinie, sans que ce soit aux dépens de Son amour. Mais Dieu a une ressource qui permet de résoudre cette difficulté apparemment insurmontable. La connaissez-vous ?
Dieu a donné un moyen, la « propitiation », afin que l'être coupable puisse être déclaré juste. C’est pour cela que Dieu a envoyé vers nous Son Fils, Jésus Christ, qui est allé jusqu’à la mort pour le pécheur, et dont le sang a été versé pour expier les péchés. Le jugement de Dieu est tombé sur Lui quand Il a pris la place des pécheurs perdus et a porté leur culpabilité. Sa mort témoigne que Dieu n’a pas laissé un seul péché impuni. Les justes exigences de Dieu ont été satisfaites. C’est pourquoi Dieu est tout à la fois un Dieu de grâce et de justice en nous manifestant Son amour, et en nous offrant la justification de nos péchés et un salut éternel.
Ce n’est que par la foi en Jésus et en la valeur de Son sang que nous pouvons être déclarés justes (Romains 3. 24-25). Mais Son œuvre de rédemption ne s’applique pas automatiquement à nous. Nous devons tout d’abord reconnaître notre incapacité à nous tenir devant Dieu avec notre propre justice, même si nous nous sommes efforcés de vivre une vie honorable.
Nous ne pouvons pas nous confier en nous-mêmes lorsqu’il s’agit de la Justice de Dieu, mais seulement dans le Seigneur Jésus et dans Sa mort pour nous. Cela est humiliant pour notre orgueil ! Mais quiconque s’incline devant Dieu et croit en Jésus Christ, est déclaré libéré de toute culpabilité. AMEN !

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Avoir l'assurance d'aller au Paradis

12 Février 2021 Publié dans #Paradis, #Salut

Nous êtres humains, savons-nous que nous existerons éternellement et avons-nous l’assurance de vivre éternellement au Paradis après notre mort ? Dieu désire que nous en soyons assurés ! La Bible dit : "Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu." (1 Jean 5 : 13). Imaginons que nous nous tenions devant Dieu, en ce moment même, et qu’Il nous demande "Pourquoi devrai-je vous laisser entrer au Paradis ?" Que dirions-nous ? Ce que nous devons savoir, c'est que Dieu nous aime et qu’Il a donné un moyen par lequel nous pouvons être sûrs que nous passerons l’éternité au Paradis. La Bible dit à ce sujet : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3 : 16).

Nous devons premièrement comprendre le problème qui empêche chaque être humain d’aller au Paradis après la mort de son corps humain. Voici le problème : notre nature pécheresse nous empêche d’avoir une relation vivante et personnelle avec le seul vrai Dieu notre Créateur. Nous sommes pécheurs par nature et par choix. "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3 : 23). Nous ne pouvons pas nous sauver par nous-mêmes. "Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie" (Éphésiens 2 : 8-9).

Nous méritons la mort et l’enfer : "Car le salaire du péché, c'est la mort" (Romains 6 : 23). Dieu est Saint et Juste et il doit punir le péché. Toutefois, Il nous aime et Il veut nous offrir le pardon de nos péchés. Jésus a dit : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14 : 6). Jésus est mort sur la croix pour nous : "Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, Lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu" (1 Pierre 3 : 18). Jésus est ressuscité des morts : "Il a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification" (Romains 4 : 25).

Retournons maintenant à la question de départ – "Comment être certain que nous irons au paradis après la mort ?" La réponse est : "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé" (Actes 16 : 31). "Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu" (Jean 1 : 12). Nous pouvons recevoir dès maintenant la vie éternelle comme un don GRATUIT. "Le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur" (Romains 6 : 23). Nous pouvons vivre une vie pleine de sens dès maintenant et pour l'éternité. Jésus-Christ a dit : "Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance" (Jean 10 : 10). Nous pouvons passer l’éternité avec Jésus au Paradis, comme Il l’a promis : "Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi" (Jean 14 : 3). Chaque être humain doit recevoir Jésus-Christ dans sa vie pour pouvoir aller vivre éternellement au Paradis après la mort.

Par le moyen de notre foi en Jésus, nous sommes devenus enfants de Dieu. Cela n’a rien à voir avec notre capacité d’obéir aux Dix Commandements. Il s’agit d’une promesse de Dieu. Et Dieu ne ment pas ! Dieu nous a donné sa promesse et son serment. “…afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente, nous trouvions un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de saisir l’espérance qui nous était proposée. Cette espérance, nous le possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide, elle pénètre au-delà du voile.” (Hébreux 6. 18-19).
Rappelons-nous que RIEN Ne Peut Nous Séparer de Notre Salut

Notre salut est tenu sûr par la puissance de Dieu et par sa promesse. Dieu n’a rien à faire avec notre capacité d’être parfait. “Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.” (Romains 8. 38-39). Et Jésus confirma cela lorsqu’il dit: “Je leur donne la vie éternelle; et elles [mes brebis] ne périront jamais, et personne ne peut les ravir de la main de mon Père.” (Jean 10. 28).

Maintenant nous enfants de Dieu, lorsque quelqu’un nous demande combien nous sommes confiants d’aller au Paradis lorsque nous mourrons, nous répondons 100 pour cent !

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Jésus-Christ garantit notre plus grande joie

11 Février 2021 Publié dans #Divers

Les chrétiens hédonistes ne cessent de poursuivre leur pleine joie en Dieu qui est l’auteur de notre vie. Ce qui n’est pas en contradiction avec le fait de consacrer notre vie à la gloire de Dieu : parce que Dieu est plus glorifié en nous quand nous sommes plus satisfaits en Lui.

Mais les hédonistes chrétiens doivent, avec le temps, en dire plus sur l’objet de notre joie dans le « seul vrai Dieu ». Nos âmes ne seront pas profondément et durablement heureuses, et notre but dans cette vie (et pour toujours) ne sera pas accompli, si nous ne trouvons pas la satisfaction de notre cœur dans le seul vrai Dieu, le Dieu qui est, le Dieu qui s’est révélé comme « le Père de notre Seigneur Jésus Christ » (Romains 15. 6 ; 2 Corinthiens 1. 3 ; 11. 31Éphésiens 1. 317 ; Colossiens 1. 3 ; 1 Pierre 1. 3).

Mais comment connaissons-nous les caractéristiques qui définissent le seul vrai Dieu ? Qu’est-ce qui distingue le Dieu chrétien des faux dieux auxquels des milliards de personnes fléchissent le genou ? Notre Dieu, le vrai Dieu, a-t-il une marque ou un moment qui le détermine ?

Le moment décisif de Dieu

Pour nous chrétiens enfants de Dieu, notre marque distinctive est une personne particulière : Jésus Christ. Nous croyons que Dieu Lui-même, en la personne de son Fils Jésus, a vécu parmi nous comme l’un de nous. Il a pris sur Lui notre chair et notre pleine humanité. La Parole éternelle, la deuxième Personne de la trinité, s’est faite chair et a habité parmi nous (Jean 1. 14).

Mais le vrai Dieu nous donne non seulement une personne déterminante, mais aussi un moment déterminant. Les quatre récits des Évangiles témoignent d’un point culminant de la vie de plus de 30 ans de Jésus de Nazareth : Il est mort d’une mort atroce sur la croix pour des péchés qui ne sont pas les siens et Il est ressuscité trois jours après comme Il l’avait dit. Le moment décisif de la vie de Jésus – du Vendredi saint au dimanche de Pâques – est devenu pour nous le moment décisif de Dieu. Parce que dans la mort et la résurrection de son Fils, Dieu nous a assuré au moins trois réalités inestimables essentielles pour une joie réelle, profonde et durable.

La colère omnipotente de Dieu a été ôtée

Sans la croix de Jésus-Christ, il n’y a pas d’hédonisme chrétien. Parce que nous sommes de misérables pécheurs et que Dieu est le Dieu indestructiblement heureux, nous ne goûterons jamais la vraie joie à moins que Dieu n’agisse pour enlever la barrière que notre péché dresse entre nous et Lui ; ce que nous ne pouvons pas enlever nous-mêmes. La nature même du péché est la révolte contre la joie de Dieu et notre joie en Lui. Parce que le fondement le plus élevé et le plus profond de la joie de Dieu est Lui-même. Le péché n’est pas seulement une barrière ; c’est une agression contre Dieu.

Le sang de l’alliance a été versé

Ainsi, la première réalité inestimable que Dieu Lui-même doit assurer, s’il veut rendre possible à son peuple leur joie pleine et durable, est l’élimination de sa juste colère contre nous à cause de notre péché. C’est ce que Dieu fait par l’intermédiaire de son propre Fils Jésus sur la croix en fournissant « le sang de l’alliance ».

La nuit où Jésus mourut, Il prit une coupe, remercia Dieu et dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est versé pour beaucoup, pour le pardon des péchés » (Matthieu 26. 28 ; Marc 14. 24 ; aussi 1 Corinthiens 11. 25).

Dieu Lui-même, en la Personne de Jésus son Fils incarné, a versé le sang de l’alliance

La nouvelle alliance, inaugurée par l’effusion du sang de Jésus, est comme l’alliance avec Abram, pas comme l’alliance avec Moïse. Dieu Lui-même, en la Personne de son Fils incarné, verse seul le sang de l’alliance pour ôter sa juste colère contre son peuple et assurer totalement, pour ceux qui sont les siens, son éternelle grâce. Le sang de l’alliance a déjà été versé. Le retrait de la colère de Dieu contre ceux qui sont en Christ est certain.

Cependant, il faut plus, et plus est inclus, dans le rachat coûteux de Jésus.

Un nouveau cœur donné

La croix de Christ, et l’effusion du sang de l’alliance nous ont acquis non seulement la possibilité de la joie, mais aussi le cœur de la joie. Selon les termes de l’alliance, un nouveau cœur n’est pas seulement disponible, il est essentiel. Le problème de notre péché n’est pas seulement externe (exigeant le retrait de la colère de Dieu), mais aussi interne (exigeant en nous un cœur nouveau). Le péché a empoisonné nos âmes. Pour jouir de Dieu, nous avons besoin de cœurs nouveaux, que nous trouvons être la promesse explicite de la nouvelle alliance en Christ. Six cents ans avant Jésus-Christ, Dieu promet, par Jérémie : "Mais voici l’alliance que je ferai avec la communauté d’Israël après ces jours-là, déclare l’Éternel : je mettrai ma loi à l’intérieur d’eux, je l’écrirai dans leur cœur, je serai leur Dieu et ils seront mon peuple" (Jérémie 31. 33).

Puis, par l’intermédiaire d’Ézéchiel, Dieu déclare : "Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau. Je retirerai de votre corps le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair" (Ézéchiel 36. 26).

Sans l'obtention par Christ d’un « cœur nouveau » (le remplacement de notre « cœur de pierre » par « un cœur de chair »), nous ne pouvons être sauvés de la misère éternelle, mais nous n’avons pas encore été conduits à la joie pleine et durable. Aussi, une réalité vitale de plus, au-delà de notre nouveau cœur, nous a également été acquis par Christ au prix de sa vie.

Une nouvelle gloire révélée

Nous avons besoin non seulement d’une raison pour nous réjouir (le fait que la colère a été ôtée et un cœur nouveau nous a été donné) mais aussi d’une gloire pour nous réjouir. Dans la croix, deux choses se sont produites simultanément : le Christ a à la fois garanti la joie de la nouvelle alliance (par son propre sang) et, dans l’acte même de rachat de notre joie, il est devenu l’objet le plus glorieux de notre joie.

L’apôtre Paul écrit dans 2 Corinthiens 4. 4 que la lumière à laquelle Dieu ouvre les yeux de nos cœurs nouveaux est « l’éclat que projette l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu ». L’évangile chrétien – comme l’évangile de la gloire de Christ – n’est pas seulement le mécanisme et le moyen d’obtenir notre joie la plus pleine et la plus riche, mais aussi l’objet et le centre de celle-ci. Christ, l’homme Dieu crucifié, élevé dans la gloire comme il s’est offert lui-même pour les pécheurs sur la croix (Jean 8. 28 ; 12.32) est l’image visible du Dieu invisible (Colossiens 1. 15).

La croix est le moment déterminant de Dieu, alors qu’il met en avant son Fils crucifié (et ressuscité) pour être le focus conscient et l’objet de notre joie éternelle. Ou, comme le dit encore Paul, juste une phrase plus tard, Dieu « a aussi fait briller sa lumière dans notre cœur pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu dans la personne de Christ ». (2 Corinthiens 4. 6). Où regardons-nous pour voir la gloire de Dieu dans son expression culminante ? Sur la face crucifiée (et ressuscitée) de son Fils. Nous nous tournons vers Jésus. Nous tournons notre regard vers celui qui, dans l’acte même de garantir notre joie, est devenu notre plus grand trésor.

La joie de la croix

Se glorifier ou se réjouir « dans l’espérance de la gloire de Dieu » (Romains 5. 2), c’est se réjouir dans l’homme Dieu qui s’est livré pour être immolé pour venir dans sa gloire. C’est ce que signifie « se glorifier en Jésus-Christ » (Philippiens 3. 3). Dieu a créé le cœur humain pour qu’il soit satisfait non seulement dans le divin, mais dans le divin qui est devenu humain. Et pas seulement dans le divin-humain, mais dans le Dieu qui, en tant que l’un des nôtres, s’est donné pour nous. La gloire de Dieu dans laquelle les chrétiens hédonistes se réjouissent (maintenant et dans les siècles à venir) est la gloire de Dieu lui-même qui nous est révélée dans la personne et dans l’œuvre de son Fils.

La croix nous amène à Dieu Lui-même

Il est infiniment précieux que le rachat coûteux de la croix comprenne le retrait de la juste colère de Dieu et la création d’un cœur nouveau capable d’une joie profonde et durable. Mais la croix a fait encore plus : elle nous amène à Dieu lui-même. « Christ aussi a souffert, et ce une fois pour toutes, pour les péchés. Lui le juste, il a souffert pour des injustes afin de vous conduire à Dieu. » (1 Pierre 3. 18).

Et alors que nous venons à Lui, qui trouvons-nous « à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts. » (Hébreux 1. 3) ? Qui d’autre que le Dieu unique s’est assis à sa droite, Jésus son propre Fils glorifié, qui est devenu pour nous l’objet et le centre de notre joie éternelle.

À elle seule, la croix a été l’événement le plus horrible et le plus injuste de l’histoire du monde. Mais nous chrétiens hédonistes, dans notre poursuite sans honte de la joie, n’évitons pas la croix. Nous ne le pouvons pas. Au contraire, nous nous tournons précisément vers la croix, voyant combien il était approprié pour Dieu, dans ce monde de douleur et de mort dans lequel nous vivons, d’assurer notre joie par la mort atroce de son propre Fils.

Dans la croix, nous trouvons le moment déterminant de Dieu, quand Il a non seulement ôté l’ultime obstacle de notre joie et nous a procuré et garanti un cœur nouveau de joie, mais aussi quand, en rachetant notre joie, Il est devenu l’objet le plus glorieux de notre bonheur. C’est seulement dans et par Jésus-Christ que nous pouvons dire avec le psalmiste : « Il y a d’abondantes joies dans ta présence, un bonheur éternel à ta droite » (Psaume 16. 11).

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Grâce à la résurrection de Jésus-Christ

10 Février 2021 Publié dans #Résurrection

Le plus grand problème de l’humanité est la mort. Chaque être humain ici-bas y fera un jour face, à l’exception de ceux qui seront directement enlevés aux cieux lors du Retour de Jésus-Christ pour enlever son Église, avant les sept ans de tribulation précédant le millénium. Pour lutter contre ce fléau qu'est la mort, les êtres humains courent après toutes sortes de fontaines de jouvence et autres produits anti-vieillesse pour se voiler la face devant une inévitable mort future.

Mais pourquoi mourons-nous ? La Parole de Dieu déclare que « le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6. 23a), notre corps humain doit mourir car nous avons péché contre le Seul Dieu Saint, et non seulement notre corps, mais si un être humain n'est pas né de nouveau par le Saint-Esprit en croyant en Jésus, il mourra aussi de la seconde mort qui est la séparation éternelle d'avec Dieu, en Enfer. Quel est le remède de la mort éternelle ? Le verset continu en disant : « mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur » (Romains 6. 23b).

Par quel miracle et par quelle puissance Jésus-Christ donne t-Il la vie éternelle ? Par Sa résurrection, car Jésus est le seul homme Juste et Saint qui ne méritait pas de mourir puisqu’il n’avait jamais péché (Hébreux 4. 15). Jésus a donc la puissance de la vie, et Il peut la donner : « Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il veut » (Jean 5. 21).

La résurrection de Jésus est la victoire certaine sur la mort. Jésus est véritablement ressuscité ; c’est la victoire de la lumière sur les ténèbres, la victoire de la vérité sur le mensonge etc… Mais le fait le plus important c’est que par sa résurrection, Jésus a inauguré la Création Nouvelle ; Il est donc le premier né de la Nouvelle Création. Jésus est ressuscité dans un corps glorifié (incorruptible) et « la mort désormais n’a plus de pouvoir sur lui. » (Romains 6. 9).
Lors de sa Résurrection, Jésus-Christ a pris une nouvelle dimension spirituelle ; Il est entré dans une vie d’éternité, Il a retrouvé tous ses attributs et tous ses pouvoirs divins. Il n’est plus soumis aux lois de la pesanteur, ni à celles de la distance ou du temps ; il n’y a plus rien d'infranchissables pour Jésus.

Grâce à Sa résurrection, grâce à sa Victoire sur la mort et sur le diable, Jésus-Christ a prouvé qu'Il est éternellement plus grand que tous ces prophètes des fausses religions, car Bouddha est dans la tombe, tout comme Mohamed ; Confucius n’est pas sorti du tombeau, ni John Smith, ni Darwin, ni Nietzsche, etc... ; tous sont morts dans leur péché. En effet, tous ceux qui ne reçoivent pas le parfait Salut offert par Jésus, tous ceux qui le négligent ou le rejettent, iront vivre dans la mort éternelle en Enfer pour l'éternité.

Oui, par Sa résurrection d'entre les morts, Jésus a prouvé qu'Il est éternellement le Vainqueur du diable : « Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, Jésus y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est à dire le Diable, et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2. 14-15). Jésus-Christ a vaincu la mort, Il est sorti du tombeau, Il est vraiment le seul Sauveur du monde, c'est-à-dire de quiconque vient à Lui par la foi ! Romains 10. 9 nous dit que : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité  des  morts, tu  seras sauvé ». Croyez à la résurrection du seul Sauveur Jésus et Il vous sauvera de tous vos péchés pour que vous ayez la vie éternelle avec Lui dans la paix et la joie au Paradis.

Grâce à la résurrection de Jésus Christ, l’Évangile est vraiment « une espérance vivante » puisque Jésus s’est relevé d’entre les morts, de sorte que nous avons aussi la certitude que Jésus va nous ressusciter d’entre les morts lors de son Glorieux Retour : « Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ » (1 Corinthiens 15. 20-22).

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Le premier besoin du pécheur

9 Février 2021 Publié dans #Divers

Le premier besoin et l'unique recours du pécheur inconverti, c'est le Sang du Seigneur Jésus. Car « Sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission [pardon] » (Hébreux 9. 22).
Le pécheur non converti, consciemment ou inconsciemment, est véritablement un esclave du Diable, un prisonnier de Satan. Le Sang du Seigneur Jésus-Christ touche à cet état de condamnation et de mort, pour racheter le pécheur de la condamnation et de la mort ; c'est l'œuvre de la rédemption.

Le premier pas vers la délivrance pour le pécheur non converti, c'est de se repentir et de reconnaître le sens et la valeur du Sang de Jésus-Christ. Nous ne nous approcherons jamais de Dieu par aucun autre moyen.
- Nous aurons beau tendre de tout notre être vers une autre voie, nous pourrons redoubler d'efforts, adopter des habitudes chrétiennes, poursuivre un idéal chrétien ;
- Nous pourrons nous joindre à des chrétiens, passer pour chrétiens dans leur milieu, et peut-être même aux yeux du monde.
Mais en tout cela, il n'en restera pas moins que ce fait est inébranlablement établi et ne laisse place à aucun doute : C'est que aux yeux de Dieu, personne ne pourra jamais sortir du royaume de Satan, pour entrer dans le Royaume de Dieu, par une autre voie que celle du Sang de Jésus Christ versé pour nous.

Méconnaître ce fait capital, l'ignorer comme une chose sans importance, refuser de le voir, de le reconnaître, de l'accepter, cela signifie que nous osons affirmer que la seule chose qui fasse de nous un enfant de Dieu et nous délivre du royaume de Satan n'a pas été faite.

Oh ! il est si nécessaire, mes bien-aimés, - pardonnez-moi d'insister tellement sur ce point, – il est si essentiel que nous ne nous abusions pas, que nous soyons dans une vraie position devant Dieu, que nous ne présumions pas de nos relations avec Dieu, considérant comme acquise une position qui n'existe pas aux yeux de Dieu, mais que notre assurance spirituelle s'appuie sur le sûr fondement de Dieu, sur la base posée par Lui ; car c'est à cette seule condition que nous sommes « acceptés dans le Bien-Aimé, le Seigneur Jésus », et que nous entrons véritablement en communion avec Dieu.

Le besoin initial pour l'inconverti et son seul recours, c'est le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ce Sang qui a été répandu pour la rémission des péchés, par lequel a été accomplie notre rédemption et par lequel la rédemption nous est assurée.
Oui Jésus, seul ton sang précieux lave notre iniquité

Ce sont ici les premiers éléments de l’Évangile. Et c'est ici que tout commence dans nos relations avec Dieu.

Le Conflit du Croyant avec l'Accusateur

Le pécheur, une fois sauvé, aura des luttes. Et dans ses luttes, il aura encore besoin du Sang, parce que le pécheur sauvé est désormais en conflit avec Satan. Satan n'est plus son maître maintenant; il n'est plus son seigneur; il n'est plus celui auquel il est asservi; mais Satan fera désormais tous ses efforts pour ramener en esclavage celui qui lui a échappé. Il doit pour cela chercher à le ramener sur un terrain où il aura négligé ou oublié, ou abandonné le fondement de son salut.

Voici ce que nous voulons dire : dans ce conflit, le pécheur sauvé rencontrera Satan surtout comme l’Accusateur. La Parole de Dieu l’appelle « l’Accusateur des frères ». « Car l’accusateur de nos frères, qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit, a été précipité» (Apocalypse 12. 10).
Satan surveille leurs mouvements; il cherche à les faire suivre une voie qui ne serait pas entièrement en harmonie avec la volonté et la pensée du Seigneur, à les pousser à une mauvaise action, à provoquer une parole malheureuse, à inspirer un mauvais sentiment :
Satan, prince de ce monde, Redouble ses coups ; Notre faiblesse est profonde, mais nous sommes plus que vainqueur en Christ ; alors que deviendrons-nous sans Jésus ?

Quand un enfant de Dieu glisse, quand il trébuche sur la route, quand il commet la faute vers laquelle Satan l'a poussé, il fond immédiatement sur vous pour vous accuser de péché, pour faire peser sur vous un sens de condamnation et reprendre sur vous son emprise. C'est alors que le pécheur sauvé a besoin du précieux Sang du Seigneur Jésus, qui est l'arme avec laquelle il peut repousser l'ennemi, son accusateur.

La seule arme contre l'ennemi, c'est le Sang du Seigneur Jésus, et le Sang du Seigneur Jésus peut instantanément mettre fin à toute cette situation. Oui la réponse à l'ennemi est notre foi au précieux Sang de notre Seigneur et Sauveur Jésus.

Oui si nous nous tournons vers le Seigneur, pour Lui confesser notre faute dans une humble repentance, sans chercher à la diminuer, et le cœur douloureusement contrit par la conscience de notre chute, alors le Sang de Jésus Christ opère avec toute sa puissance et nous purifie de tout péché. Il nous donne immédiatement le droit de reprendre à l'ennemi le terrain dont il s'était emparé.

Mais rappelons-nous que nous avons une arme et que nous devons nous en servir. Nous devons connaître notre arme et nous devons avoir foi en elle, foi dans ce Sang précieux. C'est cette foi dans le précieux Sang du Seigneur Jésus qui est notre bouclier contre les traits enflammés du Malin et qui n'en laisse passer aucun.

Oh ! les traits embrasés du Malin sont si souvent les traits de l'accusation et de la condamnation ! Et contre ces traits-là, Dieu nous a donné le bouclier de la foi, de la foi en la vertu et l'efficacité de précieux Sang de Jésus, lorsque nous avons glissé ou que nous sommes tombés.

La victoire sur l'ennemi, qui nous a été donnée, avec le pardon de nos péchés, par le Sang, nous la maintenons désormais par la foi en ce Sang, à l'heure de l'accusation.

Le pécheur racheté est donc en conflit avec l'Accusateur, qui cherche à le ramener sur l'ancien terrain de condamnation et de mort; mais comme il l'a été au début, il sera toujours délivré de l'adversaire par la justification qui nous est acquise par Son Sang. Il n'y a pas de condamnation là où est la foi au Sang du Seigneur Jésus. C'est dans ce sens que le Sang est une arme. La Parole de Dieu nous dit: « Ils l'ont vaincu à cause du Sang de l'Agneau » (Apocalypse 12 :11).

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