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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Ce que nous hériterons en cherchant les choses d'En-Haut (2)

11 Janvier 2023 Publié dans #Divers

Le repos :

Êtes-vous jamais fatigué de la vie ? Fatigué par l’effort continuel qu’il faut juste pour survivre sur le plan matériel ? Fatigué de la lutte continuelle que vous devez mener sur le plan spirituel dans un monde où Satan vous assaille de tous côtés ? Fatigué de pleurer la perte de vos bien-aimés ? Fatigué de voir jour après jour toute sorte d’injustice et de péché ? Fatigué de la « vanité » de la plupart de ce qui se passe « sous le soleil » ? Qu’est-ce qu’il est réconfortant de savoir que le repos nous attend au Ciel ! « Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu. Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres » (Hébreux 4. 9-10).

Une voix du ciel dit en Apocalypse 14. 13 : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les accompagnent ». Le contraste avec les âmes perdues est terrible, car il est écrit à leur sujet : « La fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n’ont de repos ni jour ni nuit » (Apocalypse 14. 11).

Ceux qui sont persécutés pour Jésus auront du repos (2 Thessaloniciens 1. 6-8). Ceux qui sont affligés seront consolés (Matthieu 5. 4). Ceux qui sont éprouvés n’auront plus d’épreuves à supporter, car ces épreuves ne sont que « pour un peu de temps » (1 Pierre 1. 6). Nous aurons fini avec tout ce qui fait souffrir dans ce monde. « Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, et le soleil ne les frappera point, ni aucune chaleur. Car l’agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux » (Apocalypse 7.16, 17).

La ressemblance au Seigneur Jésus :

1 Jean 3. 2, 3 contient une promesse étonnante : « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsqu’il sera manifesté, nous serons semblables à Lui, parce que nous Le verrons tel qu’Il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur ».

La gloire qui nous attend dans le Ciel est si merveilleuse que nous ne pouvons pas la saisir, et elle ne peut probablement pas être clairement exprimée en paroles humaines. Notre souhait le plus profond en tant que chrétiens enfants de Dieu est de ressembler à notre Seigneur Jésus, non pas en autorité, puissance ou omniscience, mais en sainteté, pureté et amour. Celui qui désire ardemment cette ressemblance fait déjà des efforts pour imiter l’objet de son admiration. On ne réussit jamais totalement dans cette vie, mais on s’y donne avec persévérance. Quelle joie de savoir qu’au Ciel nous aurons réellement fini avec la tentation et le péché. Dieu « peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l’allégresse » (Jude 24).

La communion avec les saints de tous les âges :

Selon Hébreux 12. 22, 23, en s’approchant de la Jérusalem céleste, on s’approche non seulement de Dieu, de Jésus et des anges, mais aussi de « l’assemblée des premiers-nés inscrits dans les cieux » (l’Église glorifiée) et « des esprits des justes parvenus à la perfection » (ceux qui, sous la première alliance, sont morts dans la fidélité).

Ce sera une grande joie que de s’associer avec ceux qui ont aimé et fidèlement servi Dieu au cours de l’histoire, que ce soit de grands personnages de la Bible, des personnes que nous avons déjà connues et aimées dans nos familles et nos assemblées ou bien d’autres que nous découvrirons dans l’au-delà.

La présence de Dieu

Il est réconfortant de penser que nous retrouverons au Ciel nos bien-aimés qui nous ont devancés dans l'éternité, mais ce qui devrait nous attirer le plus, c’est la joie de nous trouver en présence de notre Seigneur Jésus. Avant de remonter au Ciel, Jésus dit à ses disciples : « Lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14. 3). Il dit aussi à Dieu : « Père, je veux que là où je suis ceux que tu m’as donnés soient aussi avec moi » (Jean 17. 24).

L’apôtre Paul dit plus d’une fois qu’il préférait mourir que de vivre sur terre, car il voulait tellement être auprès du Seigneur Jésus (Philippiens 1. 21-23 ; 2 Corinthiens 5. 8). Et il nous exhorte tous : « Cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre » (Colossiens 3. 1-2). Nous devrions cultiver un cœur pour Dieu comme celui de David, qui dit : « Je demande à l’Éternel une chose, que je désire ardemment : je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Éternel, pour contempler la magnificence de l’Éternel » (Psaume 27. 4). « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant : quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ? » (Psaume 42. 2, 3). Trop souvent, nous ne sommes pas motivés par l’idée du Ciel parce que l’amour de ce monde nous habite plus que l’Amour de Dieu. Plus nous aimons Dieu Lui-même, plus nous aurons hâte de le voir et de l’adorer dans toute sa splendeur.

Conclusion

Partout au monde on trouve que les gens évitent de mal parler des morts, quel que soit leur comportement de leur vivant. Mais on va plus loin : lors des funérailles, on parle comme si TOUS sont destinés au ciel. L’espérance d’une demeure au ciel est une belle chose, mais tous n’y ont pas droit. Jésus dit : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7. 21). Quant à « ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus, ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force » (2 Thessaloniciens 1. 8, 9). L’Enfer sera encore plus horrible parce que ceux qui y seront passeront l’éternité dans d'atroces tourments avec des êtres méchants, égoïstes et rebelles envers Dieu.

Chers lecteurs / lectrices, craignons donc, tandis que la promesse d’entrer dans son repos subsiste encore, qu’aucun de vous ne paraisse être venu trop tard » (Hébreux 4. 1). Faites en sorte que vous puissiez réellement dire, comme l’apôtre Paul : « Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur » (2 Corinthiens 5. 8).

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Ce que nous hériterons en cherchant les choses d'En-Haut (1)

10 Janvier 2023 Publié dans #Divers

"Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre" (Colossiens 3. 2).

Cherchons les choses d’en haut

La vie chrétienne est remplie de bénédictions que l’on reçoit déjà dans cette vie sur la terre. Nous avons la paix avec Dieu et l’assurance de son Amour pour nous ; nous avons accès auprès de Dieu par la prière grâce à notre Médiateur Jésus-Christ ; nous avons une famille spirituelle qui est l’Église ; nous avons le Saint-Esprit de Dieu Lui-même qui habite en nous ; nous avons une mission importante à laquelle nous pouvons consacrer nos efforts, qui est l’évangélisation à nos proches et au monde entier ; nous avons appris la joie de servir les autres et les secourir dans leurs difficultés, à la gloire de notre Seigneur ; nous avons la Parole de Dieu pour nous guider, nous fortifier, nous consoler et nous enseigner.

Mais cette vie comporte en même temps sa part de souffrances et douleurs, de déceptions et découragements, de moments de solitude ou même d’abandon, de pertes et d’injustices. Le chrétien n’en est pas épargné. Au contraire, il peut être l’objet de raillerie, de mépris ou même de persécution violente pour la simple raison qu’il est chrétien.

L’apôtre Paul, souvent prisonnier à cause de sa prédication, raconte quelques-unes de ses épreuves dans 2 Corinthiens 11. 23-28.
Ce n’est donc pas surprenant que Paul dit ailleurs : « Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes » (1 Corinthiens 15. 19). Mais ce n’est pas dans cette vie seulement que le chrétien espère, et cette espérance en Christ – cette attente d’une récompense éternelle – fait qu’au lieu d’être réellement les plus malheureux des êtres humains, nous sommes les plus bénis. Paul, bien que prisonnier, dit au roi Agrippa : « Plaise à Dieu que non seulement toi, mais encore tous ceux qui m’écoutent aujourd’hui, vous deveniez tels que je suis, à l’exception de ces liens ! » (Actes 26. 29).

En parlant des patriarches Abraham, Isaac et Jacob, la Bible dit qu’ils ont reconnu « qu’ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. Ceux qui parlent ainsi montrent qu’ils cherchent une patrie. S’ils avaient eu en vue celle d’où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner. Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une céleste » (Hébreux 11. 13-16). La patrie céleste est sans aucun doute meilleure que n’importe quel pays sur la terre vers lequel de nombreuses personnes cherchent à émigrer, y compris le pays de Canaan que Dieu promit à Abraham et ses descendants. Mais qu’est-ce qui le rend si attrayant qu’on accepterait de payer n’importe quel prix pour l’atteindre ? Qu’est qui nous attend au Ciel ?

Une récompense éternelle

Persévérer dans la fidélité n’est pas facile, mais le Seigneur Jésus nous rassure de plusieurs manières que nos efforts seront pleinement récompensés.

D’abord nous connaîtrons la joie de l’entendre nous dire des mots d’approbation et d’accueil : « C’est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître… Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde » (Matthieu 25. 21, 34). Quelle joie de savoir que nous avons fait plaisir au Maître que nous aimons !

Tel un athlète victorieux qui, après des années de discipline, d’effort laborieux et de sacrifices, se voit honoré d’une médaille d’or, le véritable chrétien fidèle attend sa couronne. Vers la fin de sa vie, l’apôtre Paul dit : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement » (2 Timothée 4. 7, 8).

Cette récompense est souvent décrite comme un trésor, un héritage. Des êtres humains passent toute leur vie à chercher des richesses dans ce monde, des richesses incertaines qu’ils perdent inévitablement lorsqu’ils meurent (ou qu’ils perdent très souvent bien avant de mourir). Mais les biens célestes qui nous sont proposés sont tellement supérieurs à ces trésors terrestres, qu’il nous est difficile de les imaginer. Il fut dit aux chrétiens persécutés : « Vous avez accepté avec joie l’enlèvement de vos biens, sachant que vous avez des biens meilleurs et qui durent toujours. N’abandonnez donc pas votre assurance, à laquelle est attachée une grande rémunération » (Hébreux 10. 34, 35). « Dieu… nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux » (1 Pierre 1. 3, 4).

Jésus nous exhorte en Matthieu 6. 19-21 : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où les vers et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ; mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où les vers et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur ».

Non seulement nous aurons un héritage merveilleux dans notre pays promis, le Ciel, mais nous y vivrons dans des corps merveilleux. « Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses » (Philippiens 3. 20, 21).

Depuis que le péché est entré dans le monde, le corps de l’être humain est sujet à la mort. Nos corps sont atteints de maladie, ils sont affaiblis et même déformés par l’âge, et ils finissent par pourrir dans la tombe. Comme Job le dit, ils « deviennent la pâture des vers » (Job 21. 26). Malgré les bénédictions dont nous jouissons déjà en tant que sauvés, bénédictions que nous avons commencé à énumérer au début de cet article, « nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps » (Romains 8. 23). Au Ciel, chacun de nous aura un nouveau corps et sera libéré de tout ce qui nous fait souffrir dans notre corps actuel. Voir 1 Corinthiens 15. 42-44, 50-53.

Jésus nous promet que les sauvés « ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection » (Luc 20. 36).

A SUIVRE...

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Le Christ Vivant qui vint sur la terre nous justifie

9 Janvier 2023 Publié dans #Divers, #Salut

LE CHRIST VIVANT :

Le Christ qui a vécu dans ce monde fut mort sur la croix, mais Il est aussi ressuscité. C'est le témoignage répété rendu, dans le livre des Actes, par les apôtres, et spécialement par Pierre.
Telle est l'assurance affirmée par l'apôtre Paul, conduit par l'Esprit de Dieu, dans 1 Corinthiens 15 : • Si Christ n'a pas été ressuscité, notre prédication est vaine, et votre foi aussi est vaine » (v. 14) — « Mais maintenant, Christ a été ressuscité d'entre les morts, prémices de ceux qui sont endormis » (v. 20).

En Christ, tous seront rendus vivants (les prémices, Christ ; puis ceux qui sont du Christ, à sa venue). Il y a pourtant une différence entre le ministère de Pierre et celui de Paul. Pierre proclame la résurrection ; il a vécu avec le Seigneur Jésus de son vivant sur terre ; il a pu constater sa mort ; il a été au sépulcre ; il l'a vu ressuscité et en rend le témoignage précis.

Paul n'a pas connu Jésus dans les jours de sa chair ; il ne l'a pas vu ressuscité ; mais il l'a vu dans la gloire, sur le chemin de Damas, et dans le temple de Jérusalem (Actes 22. 17). Pour lui, Jésus, le Christ, est vivant : « Un certain Jésus mort, que Paul affirmait être vivant » (Actes 25. 19). Il est vivant aujourd'hui dans le ciel, « toujours vivant pour intercéder pour ceux qui s'approchent de Dieu par lui » (Hébreux 7. 25).

Spirituellement, le croyant en Jésus est ressuscité avec Lui (Colossiens 3. 1). Et aussi le Christ « habite par la foi dans nos cœurs » (Éphésiens 3. 17). Paul nous assure de cette chose merveilleuse : « Je suis crucifié avec Christ » ; mais je vis — non plus moi, mais Christ vit en moi » (Galates 2. 20).

Le Christ, annoncé par les prophètes, apparu une première fois ici-bas, offert une fois pour porter les péchés de plusieurs, « apparaîtra une seconde fois sans péché à salut à ceux qui l'attendent » (Hébreux 9. 28).
Toujours la même personne. Il a été annoncé ; il a vécu ; il est ressuscité et élevé dans la gloire ; il apparaîtra à tous ceux qui l'attendent : « Jésus Christ est le même, hier, et aujourd'hui, et éternellement » (Hébreux 13. 8).

OU EST LE ROI DES JUIFS QUI VIENT DE NAÎTRE ? » (Matthieu 2. 2).

Pour l'Assemblée, l’Épouse, Il est le Seigneur. Pour Israël, Il est Roi. Il est bon de ne pas confondre les deux titres, ni dans nos cantiques, ni dans nos prières.

La première question de l'Ancien Testament, adressée à Adam qui se cachait après la chute : « Où es-tu ? », avait pour but de lui montrer l'éloignement de Dieu où il s'était plongé.
La première question du Nouveau Testament : « Où est le roi des Juifs ? » rend sensible l'abaissement de celui qui, petit enfant, est venu au milieu de son peuple dans l'humilité profonde.

Un des disciples qu'il appellera, Nathanaël, répondra à son appel : « Tu es le roi d'Israël » (Jean 1. 49).
Le prophète Zacharie avait annoncé : « Dites à la fille de Sion, voici, ton roi vient à toi, monté sur un ânon » (Matthieu 21. 5).

A la fin de sa vie, pendant quelques heures, il est reconnu comme tel ; on l'acclame : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! » (v. 9). Mais bien vite Il est rejeté.
Arrêté et amené devant Pilate, Jésus fait devant lui « la belle confession » (1 Timothée 6. 13) : « Tu le dis que moi, je suis roi » (Jean 18. 37).
Pilate, toujours dans l'intention de le délivrer, le présente aux Juifs : « Voici votre roi ! » Mais leurs cris prévalent : « Crucifie-le ». Et sur la croix, l'écriteau de son accusation porte : « Jésus, le Nazaréen, le roi des Juifs ».
Pourtant un jour il régnera sur son peuple, comme l’annonçait le prophète : « Voici, un roi régnera en justice apportant toutes les bénédictions qui se rattacheront à son règne (Ésaïe 32. 1).

 CHRIST JUSTIFIE

L'homme qui croit en Christ se repose sur lui comme « celui qui justifie l'impie » (Romains 4. 5).

Lorsqu'il croit en Christ pour la première fois, le pécheur ne se voit pas autrement qu'« impie ». Sinon, comme l'indique Paul, Dieu ne le justifierait pas. Le seul encouragement à regarder à Christ que reçoit l'homme pécheur est la grâce souveraine telle que l'Évangile la proclame. Il ne lui faut pas s'appuyer sur l'accomplissement de certaines conditions, quelque sentiment religieux ou changement intervenu en lui.

Les déclarations de gratuité concernant Jésus-Christ contiennent une garantie suffisante pour que le pécheur le plus vil, en proie aux circonstances les plus désespérées, se tourne vers Christ pour en recevoir de l'aide : « Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs » (Marc 2.17). «

Le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19.10). « Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! » (Ésaïe 45.22). « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11.28). « Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi » ; « il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point » (Jean 3.16 ; 6.37.

L’œuvre de Christ est complète

Ces passages de l'Écriture. entre autres, encouragent l'homme pécheur à lever les regards vers le Seigneur rédempteur avec l'assurance de ne pas être déçu s'il le fait, non pas parce qu'il est différent des autres pécheurs, mais comme étant coupable de péché et près de périr.

Ces déclarations de gratuité du salut se basent sur l’œuvre merveilleuse et achevée de Christ. Il a souffert pour les injustes et il est mort pour ceux qui gisent encore dans leur péché et leur impiété. Il les a réconciliés à Dieu alors qu'ils étaient encore ennemis (1 Pierre 3. 18).

Romains 5. 6-10
Toutes choses sont désormais prêtes pour la joie et le bonheur de l'homme pécheur, une vie de foi et de sainteté en ce monde, puis les plaisirs de la gloire dans l'au-delà. Tel est le bon fondement de notre foi en Christ pour un salut éternel.

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Certitude du repos éternel pour le vrai chrétien‏

8 Janvier 2023 Publié dans #Salut

Le vrai chrétien (enfant de Dieu) a reconnu devant le Dieu trois fois Saint qu’il était autrefois un pécheur coupable qui méritait le jugement après la mort. Il sait également qu’il n’y a pour lui aucune espérance de pouvoir se justifier ici bas par ses œuvres, et, pour l’autre vie, il ne s’appuie sur aucune fausse espérance dans la miséricorde du Dieu Saint et Juste qu’il a offensé. Se sachant coupable et perdu dans ses péchés, il a cru, il s'est repenti et reçu dans son cœur cette déclaration divine ; « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16).
L’enfant de Dieu a cru au sacrifice de Jésus-Christ offert sur la croix et agréé de Dieu. Christ est pour lui la victime pure sans tache qui a expié ses péchés, de sorte que Dieu les lui a tous pardonnés. Il sait que Jésus-Christ est ressuscité et est assis à la droite de Dieu, gage assuré pour lui que Dieu à accepté le sacrifice de son Fils et que le vrai croyant est accepté de Dieu à cause du sang de Jésus, la rançon de tous les êtres humains. Il vit encore de sa vie naturelle dans son corps, non pas par la vue mais par la foi ; mais dans son âme, il a reçu une nouvelle vie, quelle paix infinie !! Quelle joie infinie !!
Qu’est donc la mort pour le vrai chrétien, pour un enfant de Dieu ? Il sait qu’il a la vie éternelle ; il sait qu’il a une âme qui survivra à la dissolution de son corps, cette vie éternelle n’est pas seulement une vie sans fin, mais une vie bien heureuse en Dieu et une relation intime avec Lui ; il sait que tous ses péchés sont pardonnés et qu’il ne viendra pas en jugement après avoir quitté son corps mortel ; il n’a donc aucune crainte ici-bas et pour l'au-delà.
Son bonheur est dans l’Amour de Dieu et la certitude qu’il appartient à Jésus-Christ qui l’a sauvé. Qu’est-ce que la mort pour lui ? Quelques mots la définisse : « Absent du corps, présent avec Jésus pour toujours et à jamais », en attendant la glorieuse résurrection de vie dans un corps nouveau.
« Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes. Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme (Adam), c’est aussi par un homme (Jésus-Christ, Dieu fait homme) qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ» (1 Corinthiens 15 :19-22)
Que le Dieu de la Vie, qui a vaincu et traversé la mort nous remplisse d’espérance et de force, afin que par son Esprit nous brillions dans ce monde.

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Jésus-Christ le Sauveur

7 Janvier 2023 Publié dans #Salut

« Le Père a envoyé le Fils, Sauveur du monde » (1 Jean 4. 14). Le nom même de Jésus en est la révélation : l’Éternel Sauveur.
L'ange a annoncé aux bergers : « Un Sauveur vous est né ». Les Samaritains de Sichar en ont rendu témoignage : « Nous-mêmes nous l'avons entendu et nous connaissons que celui-ci est véritablement le Sauveur du monde » (Jean 4. 42).
Et 2 Timothée 1. 10 en affirme toute la réalité : « Notre Sauveur Jésus-Christ a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l’Évangile ».

Le salut

« Le fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19. 10). Il faut s'être vu perdu pour apprécier le fait d'être sauvé.
Être vraiment placé un jour, ou plusieurs jours, devant la Sainteté de Dieu qui ne peut voir le mal ; accepter qu'ayant offensé ce Dieu Saint tant de fois, on est condamné à la perdition ; saisir alors que nous sommes « sauvés par la grâce, moyennant la foi, et cela ne vient pas de nous, c'est le don de Dieu » (Éphésiens 2. 8).
Le croyant a été et est sauvé : « Vous êtes sauvés... ». Le salut de l'âme n'est pas futur, il est actuel, il est permanent : « Dieu nous a sauvés... non selon nos œuvres, mais selon son propre dessein et sa propre grâce » (2 Timothée 1. 9).

Mais le salut est aussi effectif dans le présent. Philippiens 2. 12-13 nous dit : « Travaillez à votre propre salut, avec crainte et tremblement : car c'est Dieu qui opère en vous et le vouloir et le faire ». «Travaillez », dans ce texte, a plutôt la signification de « cultiver », comme en font foi, pour le sens du mot original, bien des papyrus du 1er siècle, retrouvés il y a quelques années.
Il ne s'agit pas d'acquérir le salut, mais de « l'amener à bonne fin en travaillant », en portant du fruit, des résultats, qui se montrent dans notre conduite.
Seule la puissance divine peut opérer en nous et le vouloir et le faire ; mais cela demande aussi de notre part vigilance et disposition de cœur et d'esprit pour laisser Dieu agir par son Esprit dans nos vies.

Enfin, le salut complet est encore futur. Il est « plus près de nous que lorsque nous avons cru » (Romains 13. 11).
Encore une fois il ne s'agit pas de l'acquérir, mais de nous réveiller du sommeil et de revêtir les armes de la lumière en nous conduisant honnêtement, comme de jour.
Dans un avenir sans doute proche, « le Seigneur Jésus-Christ comme Sauveur transformera le corps de notre abaissement en la conformité du corps de sa gloire » (Philippiens 3. 21).
Maintenant nous avons « les prémices de l'Esprit », mais nous attendons « l'adoption, la délivrance de notre corps » (Romains 8. 23).

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Jésus-Christ fut bien mort et Il est ressuscité

6 Janvier 2023 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Dieu le Créateur de l'Univers est venu dans ce monde, à travers son Fils Jésus-Christ, qui s'est fait homme il y a un peu plus de 2000 ans. Quittant la gloire du Ciel, Jésus le Messie est né près de Jérusalem, à Bethléem exactement. Il est venu ici-bas, s’abaissant volontairement jusqu’à nous. Il faisait beaucoup de miracles, guérissait les malades, rendait la vue aux aveugles et ressuscitait même les morts, des témoins l’ont vu et l’ont écrit. A cause de son amour, Jésus, le Fils de Dieu, est venu pour chercher et sauver ceux qui étaient perdus. Dans une étable, Il est né ; sur une croix, dans la honte, Il meurt, s’offrant Lui-même en sacrifice pour le pécheur.
Mais les chefs religieux ne Le fréquentaient pas. Jésus allait plutôt avec les petites gens, les gens de mauvaises vies, les pauvres et les estropiés. Avec ses miracles et son enseignement révolutionnaire, un foule de personnes crurent en Lui et Le suivirent. Alors les chefs religieux se sont mis en colère, ils l’ont dénoncé aux autorités romaines et l’ont fait arrêter. Finalement, ils l'ont cloué sur la croix.
Quel est donc le sens de cette croix que l’on voit un peu partout au carrefour de nos routes et de nos chemins, ou sur les tombes de nos cimetières ? Que s’est-il passé sur cette croix, il y a bientôt 2000 ans pour qu’aujourd’hui on en parle encore ?
Cette croix nous rappelle l’histoire d’un homme de Galilée, Jésus de Nazareth qui est le Messie, qui pendant 3 ans a prêché la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu, demandant à tous de se repentir pour le pardon de leurs péchés. Jésus guérissait les malades, chassait les mauvais esprits et enseignait les foules. Les chefs religieux, jaloux de son influence l’ont livré aux Romains pour le faire mourir sur une croix.
Pourquoi cette mort ? Est-ce la fin normale d’un homme trop gentil dans un monde trop méchant ? Ou bien l’accomplissement de cette prophétie donnée plusieurs siècles auparavant : "Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. (Ésaïe 53. 5).

Le message de notre méchanceté : Nous rejetons et nous crucifions Jésus le Fils de Dieu, notre Créateur, qui vint sur la terre en nous apportant l’amour, la guérison, le pardon et la vie éternelle.
Le message de l’Amour infini de Dieu : Nous sommes coupables de nos péchés, mais Jésus, l’Agneau innocent, accepte volontairement de mourir sur la croix pour subir le châtiment que nous méritons.

A la croix, de chaque côté de Jésus, il y avait un bandit (un brigand). Au début, les deux brigands insultaient Jésus (Matthieu 27. 44). Mais quelques temps après, l'un des brigands se repenti en réalisant qui est Jésus. Alors que l’un des brigands continuait à se moquer de Jésus, l’autre lui a répondu : pour nous, c’est justice, mais celui-ci n’a rien fait. Puis ce tournant vers Jésus, il lui a dit : souviens-toi de moi quand tu reviendras dans ton règne. Et Jésus lui a répondu : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis (Luc 23. 43).
Comme ce brigand, pour être assuré de notre salut éternel, nous n’avons que deux choses à faire : nous repentir de nos péchés, et croire que Jésus est bien le Fils de Dieu, qu’Il est ressuscité et qu’Il reviendra pour régner.
Les romains L’ont condamné à mort, en Le faisant clouer sur une croix de bois. Il fut mort sur la croix, ça a été vérifié, mais quelques jours après, ses disciples ont dit que Jésus est ressuscité et qu'ils L'ont vu. De fait, on a vu quelques temps après se produire les mêmes miracles partout à Jérusalem et dans les environs.
Au premier siècle de l'ère chrétienne, tous ses disciples qui l’avaient suivi faisaient en son Nom les mêmes miracles, ils disaient que Jésus est toujours Vivant. Alors les chefs religieux et les hommes politiques les ont pourchassés et tués, craignant pour leur pouvoir. Mais plus ils le faisaient, plus encore la nouvelle que Jésus est ressuscité se répandait partout.   
Et puis cette nouvelle s’est répandue à travers le monde entier. Partout où l’on annonçait que Jésus était ressuscité, partout il se faisait des miracles en son nom, ceux qui avaient le cœur brisé reprenaient courage, et toutes les personnes qui croyaient en Jésus recommençaient une nouvelle vie. Deux mille ans après Jésus Christ, dans le monde entier, on annonce toujours sa résurrection ; il y a toujours des miracles, et tous ceux qui croient en Jésus reçoivent une nouvelle vie. Aujourd’hui le message est toujours le même, Jésus est ressuscité, et chaque être humain qui croit peut recevoir en toi sa vie de résurrection.  
Jésus est réellement, Lui le Messie, le Sauveur et le Fils de Dieu. Il est venu sur la terre pour nous réconcilier avec Dieu. En mourant sur la croix, Il est venu expier nos péchés, porter nos souffrances et nos maladies. Il est venu nous apporter un message d’amour absolu et parfait, l’Amour de Dieu le Fils qui donne sa vie pour nous. Il veut nous faire renaitre à une vie nouvelle avec Lui

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La réalité du Paradis éternel

5 Janvier 2023 Publié dans #Paradis, #Retour de Jésus

Le Paradis est le lieu réel dans lequel tous les enfants de Dieu vont vivre pour l'éternité avec l'Éternel Dieu. Nous allons voir en différents points, des détails au sujet de ce merveilleux Royaume de Dieu où la paix, la joie et la présence de Dieu sont éternelles.

Où va notre âme si nous mourrons aujourd'hui ?
Pour commencer, ce qu'il faut bien savoir, c'est que c'est l'âme/l'esprit d'un croyant en Jésus qui va au Ciel lors de sa mort, non son corps physique. Le corps
physique ne ressuscite qu'au moment du Retour de Jésus ou bien est changé en un clin d’œil pour ceux qui seront encore vivants lors de son glorieux Retour.

Ainsi, si l'on meurt, notre corps est enterré ou autre, mais l'âme elle va auprès de Dieu. "Car pour moi vivre c’est Christ et mourir est un gain." (Philippiens 1. 21). "Car je suis déchiré entre deux, ayant un désir de partir, et d’être avec Christ; ce qui est de loin le meilleur" (Philippiens 1. 23). Donc pour nous qui sommes enfants de Dieu, dès notre mort, nous ouvrons les yeux et nous sommes au Paradis.
En lisant
Apocalypse 6. 9-11, Nous pouvons voir que ces personnes sont bien vivantes et conscientes, ce sont des croyants qui sont au Paradis.

L'enlèvement n'a pas encore eu lieu à ce moment là, donc la résurrection non plus. Ceci est même confirmé dans les versets d'Apocalypse 6. 12-17), car ces versets parlent justement des événements suivants qui sont : l'Enlèvement et le début de la colère de Dieu déversée sur Terre.

Une autre question peut aussi se poser : Allons-nous retrouver nos êtres chers au Paradis ? La réponse est oui, nous allons retrouver toutes les personnes qui ont cru en Jésus au Paradis. La Bible nous en parle : "Mais frères, je ne veux pas que vous soyez dans l’ignorance, concernant ceux qui sont endormis, afin que vous ne soyez pas attristés, comme les autres qui n’ont pas d’espérance" (1 Thessaloniciens 4. 13). "C’est pourquoi confortez-vous l’un l’autre par ces paroles" (1 Thessaloniciens 4. 18). L'apôtre Paul dans ces versets nous dit que nous pouvons nous réconforter dans le fait que si nous perdons des êtres chers qui ont cru en Jésus, alors nous les reverrons au Paradis. Ainsi, c'est une joie de pouvoir retrouver ces personnes pour l'éternité.
De même aussi, nous verrons au Paradis tous nos frères et sœurs en Christ que nous avons connus, ainsi que toutes les personnes que nous avons
amenées à Christ ou qui nous ont amenées à Christ.
Oui, une fois morts en tant qu'enfants de Dieu, nous allons donc directement au Paradis et serons toujours auprès de Dieu. Dès que nous quittons ce monde, nous
ouvrons les yeux et sommes dans son Royaume, dans le Paradis !

Lors du Retour de Jésus (de l'Enlèvement) a lieu la résurrection des saints : Voir 1 Thessaloniciens 4. 15-17 ; 1 Corinthiens 15. 51-53
"Béni et saint est celui qui a part à la première résurrection: sur eux la seconde mort n'a aucun pouvoir, mais ils seront prêtres de Dieu et de Christ,
et régneront avec lui mille ans" (Apocalypse 20. 6).
Ainsi, une personne qui est vivante lors de l'Enlèvement sera changée et une personne qui était morte sera ressuscitée. Nous vivrons à partir de ce
moment-là dans notre corps de gloire : un corps incorruptible. Ce corps sera immortelle et ne pourra plus pécher. Nous serons donc au Ciel dans nos corps de gloire. Et dans le Ciel, après que nous soyons tous passer devant le Tribunal de Christ, nous tous ensemble, qui formons l’Église, irons célébrer les noces de l'Agneau dans la Nouvelle Jérusalem, dans la Cité céleste. Puis ensuite, tous les personne sauvées vont revenir sur Terre avec le Seigneur Jésus Christ ; là où Il va établir son Royaume et nous règnerons avec Lui pour mille ans : c'est ce que l'on appelle le Millénium.
Ce gouvernement sera rempli de la connaissance de Dieu et de la Parole de Dieu dans le monde entier. Il y aura donc aussi une mise en place de
lois justes et de jugements justes. Ce seront les lois de Dieu qui seront établies et appliquées dans le monde entier. Ainsi, Jésus Christ apportera la paix sur toute la terre. Ce sera un temps de joie et d'allégresse! Ainsi, nous vivrons donc sur Terre pendant ces 1000 ans.

Après les 1000 ans, aura lieu la seconde Venue de Jésus pour condamner dans l'enfer éternel, Satan, les démons et tous ceux qui l'on rejeté. Ensuite nous partirons vivre dans le nouveau Ciel et sur la Nouvelle Terre qu Dieu va créer.

La Nouvelle Terre sera un retour au jardin d’Éden. Ce sera cela à une plus grande échelle. Nous y retrouvons notamment l'arbre de vie, puis tout y est parfait : il n'y aura plus de malédiction, plus de mort, plus de souffrance, etc... La Nouvelle Terre est notre maison pour toute l'éternité : Lire Apocalypse 21. 1-5, 22-24 ; Apocalypse 22. 1-5.

Dieu a donc du travail pour nous qu'Il nous réserve pour l'éternité. Ce sera un travail merveilleux que de servir Dieu sur la Nouvelle Terre et le Nouveau Ciel !

Conclusion :
Nous avons vu en plusieurs points ce que nous allons vivre dans le Paradis en tant qu'enfants de Dieu. Si nous mourons aujourd'hui, nous ouvrons les yeux au Paradis (au ciel) et vivons avec notre âme, notre esprit, dans le Royaume de Dieu. Puis lors de l'enlèvement,
nous serons changés ou ressuscités, et vivrons dans notre corps de gloire au Ciel. Après la colère de Dieu qui va s’abattre sur terre et la bataille d'Harmaguédon, nous allons revenir et vivre sur Terre pour le Millénium. Et ensuite après divers événements, Dieu a en réserve une nouvelle terre et un nouveau Ciel merveilleux pour ses enfants, pour ses élus ; et cela pour l'éternité.

Ainsi, nous pouvons nous réjouir malgré toutes les difficultés du moment présent, car ce qui nous attend est une telle joie infinie ! Lire Romains 8. 18-30.

Lire aussi cet article : La réalité de l'Enfer.

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La Victoire qui triomphe du monde (2)

4 Janvier 2023 Publié dans #Divers

La semence de Dieu est la Parole de Dieu qui nous a régénérés en Christ. « Vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu » (1 Pierre 1. 23).

Est-ce que nous mesurons bien l’immensité de la grâce qui nous a été faite en Christ ? Est-ce que nous réalisons quelle est notre position spirituelle en Christ, lorsqu’il est écrit que « Dieu nous a fait asseoir ensemble à Sa droite dans les lieux célestes, en Jésus-Christ » ? (Éphésiens 2. 6).

N’est-ce pas là une position de victoire totale, en Christ, sur Satan et toutes les puissances démoniaques ?

Dieu a déployé toute Sa puissance en Christ, « en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l’a donné pour chef suprême à l’Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous » (Éphésiens 1. 20-23).

L'infinie grandeur de cette puissance n’est disponible que pour ceux qui croient ! « Et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force » (Éphésiens 1. 19).

Jésus-Christ, étant notre Sauveur et Seigneur, est aussi notre modèle. Il a prouvé Son Amour pour Dieu Son Père en obéissant constamment à Sa volonté, c’est-à-dire en marchant constamment dans la foi en la Parole de Son Père.

En faisant de nous de nouvelles créations en Christ, participants de Sa nature, Dieu nous a rendus capables d’obéir parfaitement à toute Sa volonté, c’est-à-dire de marcher constamment dans la foi en Sa Parole, par amour pour Lui. « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi. Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? » (1 Jean 5. 3-5).

Notez bien que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ! Or ce qui est né de Dieu en nous, c’est seulement notre esprit régénéré. Notre âme, c’est-à-dire notre personnalité humaine consciente, n’a pas été régénérée à notre conversion à Christ. Seul notre esprit l’a été.

Notre âme a besoin d’être métamorphosée par le renouvellement de notre intelligence, lorsque nous méditons la Parole de Dieu avec l’aide du Saint-Esprit (voir Romains 12. 2). Nous apprenons ainsi à ne plus être contrôlés par la chair de péché qui demeure dans nos membres, mais à marcher par l’Esprit Saint, en laissant notre esprit régénéré nous conduire dans la volonté de notre Dieu.

Ce n’est qu’en marchant par le Saint-Esprit que nous pouvons manifester cette victoire qui triomphe du monde ! Cette victoire, c’est celle que Christ a remportée pour nous, par Sa mort et Sa résurrection, et dont Il nous fait bénéficier en Lui C’est en marchant dans la foi en ce que Dieu dit que nous sommes en Christ, que nous pouvons obéir naturellement à toute la volonté de notre Père, sans nous efforcer de le faire!

Car il est aussi naturel et facile, pour notre esprit régénéré, de marcher constamment dans l’obéissance à la volonté de Dieu, qu’il l’est pour un poisson de nager dans son élément !

Chers frères et sœurs, combien il est important, et même vital pour nous, de méditer toutes ces vérités, et de bien réaliser qui nous sommes en Christ ! Demandons au Seigneur qu’Il nous aide à bien comprendre quelle est notre nouvelle identité en Christ, afin d’en avoir une claire révélation!

Car comment pourrions-nous croire à une Vérité que nous ne connaissons pas ou que nous ne comprenons pas ? Or sans notre foi en l’œuvre de Christ, il ne nous sera pas possible de manifester cette victoire qui triomphe du monde, et de vivre chaque instant de notre vie dans cette victoire!

« Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand; car le témoignage de Dieu consiste en ce qu’il a rendu témoignage à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5: 9-13).

Celui qui croit au Fils de Dieu doit aussi croire au témoignage que Dieu a rendu à Son Fils. Et ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la Vie éternelle, et que cette Vie est dans Son Fils!

Cette Vie que Dieu nous a donnée remplit déjà tout notre esprit. Elle est disponible pour s’écouler abondamment dans notre âme et dans tous les domaines de notre existence de tous les jours, pourvu que nous attachions notre foi aux vérités que nous venons de rappeler brièvement.

Que Dieu ouvre pleinement les yeux de notre entendement, afin que nous sachions qui nous sommes en Christ, en tant que nouvelles créations semblables à Lui, et que nous puissions pleinement marcher sur cette terre comme étant plus que vainqueurs en Celui qui nous a tant aimés! (Romains 8: 37).

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La Victoire qui triomphe du monde (1)

3 Janvier 2023 Publié dans #Divers

Il existe une Victoire qui triomphe totalement du monde et de celui qui est le prince de ce monde ! Savez-vous que nous pouvons vivre constamment dans cette Victoire, parce que Quelqu’un (Jésus-Christ) l’a déjà remportée pour nous ?

L’apôtre Jean a écrit : « Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin » (1 Jean 5. 19).

Le monde entier définit tous les êtres humains qui sont encore sous la puissance du malin. Ceux qui sont de Dieu, ce sont tous ceux qui ont échappé à la puissance du malin, parce qu’ils se sont repentis de leurs péchés, et qu’ils ont accepté Jésus-Christ, le Fils de Dieu, comme leur Seigneur et Sauveur personnel.

Il s’agit de deux positions diamétralement opposées. L’une est de Dieu, et l’autre est du Malin. Être de Dieu signifie être né de Dieu. Être du Malin signifie n’avoir pas encore accepté Jésus-Christ.

Parlant de la Parole de Dieu, qui est la Lumière qui est venue dans le monde, Jean a dit aussi : « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu » (Jean 1. 12-13).

L’apôtre Jean parle de ceux qui sont nés de nouveau en Christ. Par cette Nouvelle Naissance, Dieu nous a délivrés de la puissance des ténèbres, pour nous transporter dans le Royaume de Son Fils Bien-aimé, en qui nous avons la rédemption et la Vie éternelle (Colossiens 1: 13-14).

A partir du moment où nous nous sommes convertis à Christ, nous ne devrions donc plus être vaincus par le Malin, mais c’est nous, au contraire, qui devrions triompher de lui et de tout ce qui vient de lui, que ce soit le péché, la maladie ou toute forme de malédiction ! Car tout cela, Jésus-Christ l’a pris dans Son corps sur la croix, afin de nous en libérer complètement et définitivement (1 Pierre 2. 24).

« Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5. 21).

« Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable » (1 Jean 3. 8). « Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix » (Colossiens 2. 15).

Nous aussi, Dieu nous appelle à manifester constamment cette Victoire qui triomphe du monde, de la chair et de Satan, par la foi en Christ qui, le premier, a obtenu pour nous cette Victoire triomphale.

L’apôtre Jean nous révèle aussi que Dieu est Amour. Si nous sommes en Christ et en Dieu, nous sommes donc dans l’Amour de Dieu.

« Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu » (1 Jean 4. 15). Nous pouvons donc affirmer que si nous confessons que Jésus est le Fils de Dieu, l’Amour de Dieu demeure en nous, et nous demeurons dans l’Amour de Dieu. « Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier » (1 Jean 4. 19).

« Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru » (1 Jean 4. 16). Comment avons-nous connu l’Amour de Dieu ? En apprenant que Dieu a tant aimé ce monde perdu, dont nous faisions partie, qu’Il a envoyé Son Fils unique expier nos péchés sur la croix, afin que tous ceux qui croient en Lui ne périssent pas, mais qu’ils aient la Vie éternelle (Jean 3. 16).

Et nous l’avons cru ! En croyant à l’Amour parfait de Dieu pour nous, nous sommes libérés de toute crainte. Car la crainte suppose une condamnation. Or nous n’avons plus à craindre d’être condamnés, si nous croyons que le Seigneur Jésus a déjà été condamné pour nous sur la croix. « La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour » (1 Jean 4. 18). En d’autres termes, celui qui craint n’est pas parfait dans sa connaissance de l’Amour de Dieu pour lui. Il ne sait pas à quel point Dieu l’aime. Quand on sait à quel point Dieu nous aime, que pouvons-nous craindre de Lui ?

Cela nous donne de l’assurance dans le combat que nous devons mener contre la puissance des ténèbres. Dans ce combat, nous devons non seulement nous appuyer sur l’Amour que Dieu a pour nous, mais aussi savoir que Dieu, en nous délivrant de la puissance des ténèbres, a fait de nous de nouvelles créatures, auxquelles Il a conféré Sa justice et Sa sainteté. « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5. 17).

C’est notre esprit, notre homme intérieur, qui est passé par la Nouvelle Naissance en Christ. Dieu, dans Sa grâce infinie, a accordé à notre esprit régénéré le privilège glorieux de devenir participant de Sa nature divine (2 Pierre 1. 4). Cela signifie que notre esprit, en Christ, est aussi juste et saint que Dieu Lui-même. Notre esprit est un seul esprit avec Christ (1 Corinthiens 6. 17).

De même que Dieu, par Sa nature, ne peut absolument pas pécher, ainsi, notre esprit régénéré en Christ ne peut pas pécher non plus, parce qu’il est né de Dieu. « Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu (1 Jean 3. 9).

A SUIVRE...

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Deux manières de naître, vivre, mourir, ressusciter

2 Janvier 2023 Publié dans #La Vie, #La mort, #Résurrection

NAÎTRE :
« Si quelqu'un n'est né d'eau et de l'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair; et ce qui est né de l'Esprit est esprit » (Jean 3. 5-6).
C'est une étrange parole, mais une parole vraie, une parole de la Bible, une parole du Seigneur Jésus Christ. Il existe donc bien deux naissances, deux manières de naître.
Nous avons tous fait notre entrée dans le monde de la même façon, par la naissance hors du sein maternel. Jésus, le Fils de Dieu, s'y est lui-même assujetti lorsque, pour nous sauver, il a revêtu notre humanité.
Mais à côté de cette naissance naturelle, le Seigneur Jésus parle d'une "Nouvelle Naissance", celle "de l'Esprit", c'est-à-dire la réception de la vie éternelle et divine par laquelle l'être humain entre dans la famille de Dieu. Que faut-il faire pour l'obtenir ? L'accepter comme un don gratuit que Dieu fait à celui qui se repent et qui croit en Jésus le Sauveur, mort sur la croix pour porter ses péchés.
« Qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3. 36). Vous n'avez pas choisi de naître dans le monde ; par contre votre naissance dans le Royaume de Dieu dépend aujourd'hui de votre acceptation. « Il vous faut être nés de nouveau » (Jean 3. 7).

VIVRE :
« Afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité » (Jésus Christ) (2 Corinthiens 5. 15).
Notre existence se partage entre des obligations et des loisirs, qui varient suivant les milieux, les aptitudes, les goûts de chacun.
En réalité, la Bible ne reconnaît que deux manières de vivre. La première consiste à vivre pour soi, à vivre sa vie. Autrement dit à considérer celle-ci comme un bien personnel, un capital qu'on entend dépenser à son gré sans que cela regarde personne. Faisons le point honnêtement ! Cette vie-là nous a-t-elle apporté tout ce que nous en attendions ?
Mais Dieu nous invite, après avoir cru en Lui, à vivre pour Jésus-Christ. La satisfaction du moi a été remplacée par un nouveau but : En tant que chrétiens enfants de Dieu, Je vis désormais pour Jésus mon Créateur, à qui j'appartiens, que j'aime, et dont par conséquent je désire faire Sa volonté. En m'aimant au point de mourir pour moi sur la croix pour me sauver, Jésus s'est acquis des droits sur mes affections. Si désormais ma propre volonté qui me menait au désastre est remplacée par la sienne, bonne et sage, ce n'est pas comme une pénible servitude mais comme la joyeuse réponse de mon amour au sien. Seule cette vie-là est une vie remplie, une vie heureuse. « Pour moi, vivre c'est Christ », disait l'apôtre Paul (Philippiens 1. 21).

MOURIR :
Jésus leur dit : « 
C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8. 24). « Bienheureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Apocalypse 14. 13).
Quelles que soient les causes de décès recensées par les statistiques, que l'on meure dans son lit, à l'hôpital, sur la route, à la maison... il n'y a d'après la Bible que deux manières de mourir. La première, effrayante, est réservée aux incroyants. "Si vous ne croyez pas que c'est moi, (Jésus, le Fils de Dieu) vous mourrez dans vos péchés". Mourir dans ses péchés, c'est se présenter devant Dieu, qui est Saint, comme un coupable devant son Juge, avec la certitude de la condamnation. Les péchés oubliés ou minimisés (mais que Dieu a fidèlement enregistrés) seront un jour replacés sous les yeux de chacun. Pas d'avocat devant ce Tribunal, mais seulement un Juge inflexible, et qui sait tout.
Mais la Grâce de Dieu a accordé au croyant en Jésus de pouvoir mourir d'une autre manière. "Mourir dans le Seigneur", c'est être revêtu de Sa parfaite Justice qui seule met à l'abri de la condamnation.
Ce ne sont pas les gens les plus coupables qui iront en Enfer, mais ceux qui n'auront pas voulu croire. Et ce ne sont pas les gens les plus honorables qui auront place au Ciel, ce seront ceux, et ceux-là seuls, qui par la foi en Jésus seront morts dans le Seigneur.

RESSUSCITER :
« L'heure vient en laquelle tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix; et ils sortiront, ceux qui auront pratiqué le bien en résurrection de vie, et ceux qui auront fait le mal en résurrection de jugement » (Jean 5. 28, 29).
Que la résurrection des morts heurte ou non la raison humaine, elle est un fait prouvé par la résurrection de Jésus Christ et une vérité fondamentale de la Parole de Dieu
(1 Corinthiens 15). Ce qui est encore moins compris et accepté, c'est qu'il ne se produira pas une, mais deux résurrections.
La résurrection de vie est promise à ceux qui ont reçu par grâce la vie éternelle : (qui permet seule de pratiquer le bien). Quand retentira, bientôt, le cri de commandement du Seigneur Jésus Christ, la mort devra Lui rendre ceux qui Lui appartiennent. Ils sortiront du tombeau avec un corps glorieux et s'en iront "à la rencontre du Seigneur dans les airs", pour être "toujours avec le Seigneur" (1 Thessaloniciens 4. 17).
La seconde résurrection aura lieu beaucoup plus tard. Elle est appelée résurrection de Jugement parce que tous ceux qu'elle concernera auront à comparaître devant le Trône du Juge Souverain (le Grand Trône Blanc) pour y répondre de leurs péchés et entendre leur condamnation.

Deux manières... qui caractérisent deux catégories de personnes et deux seulement. De laquelle ferez-vous partie ?

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