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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Sur la terre, Jésus avait une joie plus intense que nous

20 Juin 2022 Publié dans #Divers

Jésus a connu la souffrance et la tristesse, plus que quiconque même. Mais, Jésus était un hédoniste qui a expérimenté une joie plus intense que n'importe qui sur Terre... Et cela a des implications très importantes pour nous.
Jésus ne s’est pas simplement incarné au pied de la croix. Il fallait qu’il naisse, grandisse, pour offrir à la croix son obéissance en échange de notre culpabilité. Dans l’Évangile selon Jean, Jésus déclare au Père : "Et maintenant, je vais à toi, et je parle ainsi dans le monde, afin qu’ils aient en eux ma joie parfaite" (Jean 17. 13).
Jésus a connu sur Terre une joie parfaite. Une joie qu’aucun autre homme n’a jamais expérimentée depuis la chute d’Adam.
Voici quelques raisons :

1) Jésus a vécu la joie que procure la vie sans péché :
Le péché nous plonge dans les ténèbres, il nous traîne dans la boue, il nous humilie et nous détruit. Il contamine et corrompt tout en nous
(Romains 7. 17-21). Il fait de nous des esclaves de nous-mêmes, du monde et nous maintient sous la tyrannie perverse de Satan (Jean 3. 20 ; Romains 3. 9-11 ; 7. 18 ; 8. 7-8 ; 14. 23 ; Éphésiens 2. 1-8).
Jésus, lui, n’a jamais péché. Durant sa vie sur Terre, Jésus a activement accompli la Loi morale: il a aimé le Père parfaitement et son prochain comme lui-même.
Jésus a connu la tentation et cela l’a fait souffrir. Mais il a connu la joie que procure l’obéissance et l’innocence.
Si le péché corrompt l’homme créé à l’image de Dieu, nous pouvons attester que Christ, dans son implacabilité (incapable et innocent du péché) fut le plus humain des hommes. À ce titre, il a connu une joie que le péché ne peut ternir et fut ainsi le plus heureux des hommes. Il a expérimenté à la perfection l’hédonisme chrétien.
Revêtant notre humanité, Jésus a partagé toutes les émotions que nous pouvons expérimenter, sans toutefois jamais pécher.
Il n’est donc pas mort pour ses péchés, mais pour les miens. La joie de son innocence s’est effacée à la croix pour qu’il porte la honte de ma culpabilité. C’est ce qui rend son sacrifice parfait.
Là où Adam a failli, là où moi je chute, lui est vainqueur. De ce fait, non seulement il peut comprendre ce que je vis face à la tentation du péché, mais aussi me porter secours
(Hébreux 4. 15).

2) Jésus a vécu la joie de la communion parfaite avec le Père :
L’homme a été créé pour vivre en communion avec Dieu. La chute d’Adam l’en a privé et fait entrer le péché dans le monde. Ainsi, nous sommes tous privés de la glorieuse présence du Père si nous ne sommes pas au bénéfice de l’œuvre de réconciliation du Christ
(Romains 3. 21 ; 5. 12-14).
En tant que Fils, deuxième personne de la trinité, Jésus était l’Emmanuel, le Dieu qui est avec nous
(Ésaïe 7. 14). Mais il était aussi le second Adam, celui qui s’est uni totalement à nous, jusqu’au point de devenir, lui aussi, comme nous: un homme (Romains 5. 12..., 1 Corinthiens 15. 45, Philippiens 2. 7).
Tout en s’identifiant totalement à nous, il est demeuré le bien aimé du Père de toute éternité. Il était et vivait, dans son humanité, une communion avec le Père qu’aucun homme n’a connue
(Jean 17. 22). Il a donc vécu ce que nous avons tous besoin d’expérimenter comme norme de vie: l’intimité parfaite avec le Père qui est lui-même le bienheureux de toute éternité (1 Timothée 6. 15).
En tant qu’enfant de Dieu, par le Saint-Esprit, nous goûtons tous à cette joie. Jésus, lui, s’en rassasiait, et cela le rendait parfaitement heureux…
Jésus a accepté de subir la peine de la séparation et enduré la colère de la condamnation pour que nous puissions connaître la joie de la réconciliation. Grâce à son œuvre, nous connaissons la joie du salut et sommes des citoyens heureux de son royaume.
La promesse de l’Évangile est qu’en lui, nous découvrons que Dieu se réjouit de nous sauver comme un berger qui : "Lorsqu’il l’a trouvée, il la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle chez lui ses amis et ses voisins et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis qui était perdue" (Luc 15. 5-6).
Ainsi, plus nous nous réjouissons de notre communion avec Dieu grâce à Jésus, plus Dieu est glorifié dans nos vies.

3) Jésus a vécu la joie de s’offrir en sacrifice pour notre Salut :
Jésus a rappelé à ses disciples qu’ils doivent par-dessus tout se réjouir de leur salut. À ce moment-là, le Saint-Esprit le transporte subitement lui-même dans une joie extraordinaire :
"Jésus tressaillit de joie par le Saint-Esprit et dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, parce que tel a été ton bienveillant dessein" (Luc 10. 22).
Alors que Jésus invite ses disciples à plonger leur regard dans leur salut, Jésus est lui-même béni.
L’Esprit le rempli de la joie que procure la contemplation des perfections du plan de Dieu pour nous. Et Jésus déborde d’adoration au Père en retour.
Pour que nous connaissions ce salut, Jésus savait qu’il devait mourir, mais il était dans la joie de s’offrir au Père pour nous. Il était joyeux de s’offrir en sacrifice pour que Dieu en soit glorifié parmi les hommes. Nous découvrons, grâce à son modèle parfait, que c’est la joie de voir le Père glorifié qui doit animer notre service.

Notre joie est de savoir qu’un jour, nous expérimenterons sa joie parfaitement !
Un jour, nous verrons Jésus, l’étoile du matin, face à face
(Apocalypse 22. 16). Nous connaîtrons alors la plus grande joie qu’un être humain puisse connaître. C’est en cette certitude que nous voulons nous  accrocher dans les difficultés ici bas. Nous savons que, après notre vie sur terre, nous entrerons dans la joie de notre maître pour l’éternité.
Un jour, par sa grâce, nous connaîtrons nous aussi la joie d’être totalement et définitivement libéré du péché. Un jour, nous serons pur comme Jésus. Un jour nous adorerons Dieu de tout notre coeur.
Mais aujourd’hui, nous nous réjouissons déjà. En effet, le Saint-Esprit vivant en nous enfants de Dieu a pour but de nous conduire à la ressemblance à Jésus. Nous pouvons ainsi déjà, grâce à Jésus, goûter à sa joie
(Galates 5. 22, 1 Thessaloniciens 5. 23, 1 Pierre 5. 10).

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Le prix payé par le Dieu d'Amour sur la croix

19 Juin 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #La croix

« J'ai livré le bien-aimé de mon âme en la main de ses ennemis » (Jérémie 12. 7). « [Dieu] n'a pas épargné son propre Fils, mais… l'a livré pour nous tous » (Romains 8. 32). « Étant ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils » (Romains 5. 10)

Jésus a été cloué sur la croix, et ceux qui assistaient à ce “spectacle” se moquaient de Lui sans retenue. Les chefs religieux lancent à Dieu un défi : « Il s'est confié en Dieu, qu'il Le délivre maintenant s'Il tient à Lui, car il a dit : Je suis Fils de Dieu » (Matthieu 27. 43).
Jésus se confie en Dieu, ses ennemis eux-mêmes le savent. Il est le Fils de Dieu, ses œuvres l'ont prouvé. Et Dieu a déclaré à deux reprises qu'il a trouvé son plaisir en Jésus son Fils (Matthieu 3. 17, 17. 5).
“Qu'il le délivre… s'il tient à lui !” : Dieu ne va-t-il pas relever immédiatement ce défi ? Les laissera-t-ils supposer qu'Il ne tient pas à son Fils bien-aimé ?
Mais Jésus reste sur la croix. Aucune voix ne se fait entendre du ciel. Les moqueries continuent, Dieu laisse faire…
Puis des ténèbres couvrent le pays pendant trois heures, et Jésus pousse ce cri : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (Marc 15. 34). Par ces paroles, Jésus proclame aux oreilles de tous que le Dieu Saint en qui Il se confiait l'a abandonné. Mais il reste son Dieu, celui qu'Il n'a cessé d'aimer, même pendant ces heures terribles. Est-ce possible ? Rien ne peut expliquer cette scène, sinon ces deux expressions : « Dieu est amour » (1 Jean 4. 8), et : « Toi, tu es saint » (Psaume 22. 3).
Voilà le prix que le Dieu d'Amour a payé sur la croix pour offrir le salut aux êtres humains coupables et révoltés contre Lui. Dans ces heures ténébreuses, Jésus-Christ était chargé de tous nos péchés pour les expier pour nous. Le Dieu Saint et Juste l'a frappé pour nous et l'abandonna durant ses trois dernières heures sur la croix. Tout cela est arrivé pour que tous ceux qui croient et mettent leur confiance en Jésus soient pardonnés de tous leurs péchés et qu'ils aient la Vie Éternelle.

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Le sens des mots « tout » et « tous »

18 Juin 2022 Publié dans #Divers

La doctrine de la Souveraineté de Dieu apporte de la lumière sur un grand nombre de textes qui, sans cela, sont lus de manière toute humaine. Ainsi, il apparaît que les mots « tout » et « tous », dans le Nouveau Testament, indiquent bien une globalité, mais une globalité définie.
Par exemple, quand Paul écrit que « l’amour croit tout » (1 Corinthiens 13. 7), il ne s’agit évidemment pas de « tout et n’importe quoi »! Paul vient de dire que l’amour se réjouissait de la vérité et pas de l’injustice. L’amour devrait-il croire le mensonge ? Il faut comprendre ici que l’amour croit tout ce qui est vrai (2 Thessaloniciens 2. 10), qu’il croit entièrement, sans retenue, ce qui vient de Dieu.
Concernant le mot « tous », il désigne, dans la très grande majorité des cas, tous les frères en la foi (Juifs et Grecs, hommes et femmes, riches et pauvres, maîtres et serviteurs, forts et faibles, etc.), tous, mais eux seulement; eux seulement, mais tous ! – et non pas tous les hommes. Le chapitre 5 de la lettre aux Romains le montre en évoquant clairement deux humanités : une en Adam (tous ont péché) et une en Christ (tous sont justifiés). Chaque fois, il y a une totalité, mais elles ne recouvrent pas la même réalité. La portée du mot « tous », dans ce chapitre, est d’ailleurs relativisée : « tous » étant remplacé par « beaucoup » (Romains 5. 18-19).
Je cite un autre exemple : quand Jésus dit « tous », il parle de ses disciples, actuels et futurs. « Ce n’est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin que tous soient un » (Jean 17.20-21). Tous, mais eux seulement, dans une unité de communion semblable à celle qui unit le Père et le Fils !
Dans les lettres de Paul, la pensée qui prédomine, c’est l’Église. Je cite : « Comme tous meurent en Adam, tous revivront en Christ, mais chacun en son rang : Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ » (1 Corinthiens 15. 22-23). On retrouve ici le parallèle entre les deux humanités. Mais en définitive, celle qui compte, c’est la communauté des élus (2 Timothée 2. 10).
Dans la lettre aux Éphésiens : « Il y a une seule foi, une seule espérance, [...] un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous » (Éphésiens 4. 6). Le contexte montre sans doute possible que le « tous » désigne les chrétiens ici, malgré l’apparence. De même, Paul écrit : « C’est lui que nous annonçons, exhortant tout homme, et instruisant tout homme en toute sagesse, afin de présenter à Dieu tout homme, devenu parfait en Christ » (Colossiens 1. 28). Encore un texte d’apparence universaliste, mais dont le sens ne peut s’appliquer qu’aux chrétiens.

Le sens des mots tout et tous

De même, quand Paul parle des « païens » (Romains 1. 5 ; 9. 30 ; 15. 16, 18, 27; Galates 3. 8), il désigne en général sous cette expression « les chrétiens d’origine païenne ». Les autres ? Il en parle comme « de gens dont l’Église ne fait aucun cas » (1 Corinthiens 6. 4). Est-ce une étroitesse d’esprit ? Pas du tout. La descendance d’Abraham sera comme les étoiles du ciel ! Et dans ces « chrétiens d’origine païenne », Paul entrevoit tous ceux que Dieu amènera à la foi ! Tous ! Mais seulement eux, comme Jésus Lui-même le fit (Jean 10. 16 ; 17. 9).

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Être prêts à régler notre destinée éternelle

17 Juin 2022 Publié dans #Choix

Dieu demande :  « qu'est-ce que votre vie ? ». Réponse : « Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît » (Jacques 4. 14). Nous savons que la mort et le jugement sont certains : « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27).  Et nous savons que L'éternité n’a pas de fin. C’est dans ce sens qu'il faut comprendre l'expression biblique : « aux siècles des siècles ».
La plupart des êtres humains croient au Ciel et à l'Enfer, mais, malheureusement, ils ne montrent que peu d'intérêt à l'égard de leur destinée éternelle. Ils sont beaucoup plus préoccupés par leurs années de cette vie, quoiqu'ils sachent qu'elles ne sont rien, comparées à l'éternité. Pensez-y donc ! L'éternité est une existence sans fin, soit dans le Paradis appelé Ciel, soit dans les terribles tourments de L'Enfer. Mieux vaut se préparer pour l'éternité, maintenant, avant que ce soit pour toujours trop tard.
Il est évidemment bien de croire en l'existence de Dieu, d’aller à l'église et de faire de son mieux. Pourtant, d’après la Bible, la Parole de Dieu, ces choses ne peuvent pas nous faire entrer au Ciel. De même, d’après la Parole de Dieu, le fait que nous soyons membres d’une église, pas plus que notre baptême, notre confirmation, nos bonnes œuvres ne peuvent nous procurer la vie éternelle.
Mais il y a une réponse à la question de la vie et de la mort, du Ciel et de l'Enfer : une réponse toute simple, mais souvent insaisissable dans sa simplicité. La Parole de Dieu a la réponse. L'apôtre Jean, dans le troisième chapitre de son Évangile, parle d’un chef religieux, Nicodème, qui vint à Jésus de nuit. Jésus lui dit : « Il faut que vous naissiez de nouveau », et Il lui fit comprendre que tous les êtres humains étaient concernés par cette déclaration en ajoutant : « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3. 3).
Certains comme Nicodème posent la question « comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère  et naître ? ». Jésus répond : « Ce qui est né de L'Esprit est esprit », déclarant encore une fois qu'on doit faire l'expérience d’une nouvelle naissance spirituelle pour entrer au Ciel. « Il faut que vous naissiez de nouveau » (Jean 3. 7).

Êtes-vous né de nouveau ? Avez-vous fait L'expérience de cette nouvelle naissance spirituelle ? Selon la Parole de Dieu, c’est ce qui déterminera votre destinée éternelle. Pour ceux qui désirent vraiment savoir comment naître de nouveau, voici la réponse de la Parole de Dieu :
- Personnellement, nous devons reconnaître le fait que nous sommes pécheurs, et que nous avons violé la loi de Dieu. « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu… Il n’y a point de juste , pas même un seul… Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais… Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-même, et la vérité n’est point en nous… Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n’est point en nous » (Romains 3. 23, 10 ; Ecclésiaste 7. 20 ; Jean 1.  8, 10).
-  Nous devons nous repentir de nos péchés. La Bible dit :  Dieu … annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir » (Actes 17. 30). Jésus Lui-même a dit aussi : « Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également » (Luc 13. 3). Il ne nous est pas si difficile de nous repentir, si nous nous arrêtons pour penser à ce que nos péchés ont coûté à nous-mêmes, à nos amis, mais plus encore à Dieu.

C’était pour nos péchés, les vôtres et les miens, que Dieu, le Créateur et le Roi de cet univers, quitta sa demeure céleste et vint sur la terre dans la personne du Seigneur Jésus, pour souffrir et mourir, afin que nous puissions être libérés. « Nous avons connu l'amour, en ce qu'Il a donné sa vie pour nous » (1 Jean 3. 16).

- Nous devons recevoir Jésus-Christ dans notre cœur et notre vie comme notre Sauveur. Nous lisons au premier chapitre de L'Évangile selon Jean, en parlant du Seigneur Jésus, « à tous ceux qui L'ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1. 12). Et Jésus Lui-même dit encore : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez-lui » (Apocalypse 3. 20).

Au moment où nous ouvrons notre cœur au Seigneur Jésus et plaçons toute notre confiance en Lui, et en Lui seul, Dieu promet qu'Il pardonne nos péchés, sauve notre âme et réserve pour nous une place au Ciel.  Sur l'autorité de la Parole de Dieu, nous pouvons savoir où nous serons pour L'éternité : « Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avec la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5. 13). Et Jésus promet : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et ne  vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24).

Êtes-vous prêts à régler maintenant la question de votre destinée éternelle ? Et pour nous enfants de Dieu qui sommes prêts pour l'éternité, que Dieu accorde la grâce à ceux que nous annonçons l’Évangile de recevoir Jésus dans leur vie et d'être prêts aussi pour leur destinée éternelle.

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Que valent nos bonnes œuvres devant Dieu ?

16 Juin 2022 Publié dans #Divers

Nos œuvres n’ont aucune valeur propre devant Dieu et ne peuvent donc rien mériter devant lui. Elles sont cependant déclarées bonnes et récompensées par Dieu grâce à la médiation de son Fils. (Éphésiens 2. 8-10).

Connaissez-vous le pécheur essayant de faire de bonnes œuvres et la valeur de ces œuvres ? Voici de que ces bonnes œuvres des pécheurs ne valent pas ainsi que ce qu’elles valent.

Nous êtres humains ne pouvons pas, par nos meilleures œuvres, mériter le pardon du péché ou la vie éternelle auprès de Dieu tant est grande la disproportion entre ces œuvres et la gloire à venir, et infinie la distance entre nous et Dieu ; nous ne pouvons ni tirer avantage d’elles, ni satisfaire par elles la dette de nos péchés antérieurs. Mais quand nous avons fait tout ce que nous pouvions faire, nous n’avons fait que notre devoir, et nous sommes des serviteurs inutiles. Pour autant qu’elles sont bonnes, nos œuvres procèdent de l’Esprit, et pour autant que nous en sommes responsables, elles sont souillées et mêlées à tant de faiblesse et d’imperfection qu’elles ne peuvent supporter la sévérité du jugement de Dieu.

Dans ce paragraphe ci-dessus, nous lisons quatre raisons pour lesquelles les bonnes œuvres ne sont pas méritoires et, plus spécifiquement, pourquoi il est impossible qu’elles puissent mériter le pardon des péchés ou la vie éternelle.

La première raison est la disproportion entre la valeur de nos œuvres et le salut que nous recevons. Si la Bible enseigne le salut par les œuvres, comme certains le croient, il faut tout de même admettre qu’il n’y a pas de commune mesure entre ces œuvres et la récompense qu’elles obtiennent, un peu comme dans la comparaison entre les souffrances présentes et la gloire à venir (Romains 8. 18). Même dans la perspective d’un salut par les œuvres celles-ci ne seraient pas proprement méritoires puisqu’elles recevraient infiniment au-delà de ce qu’elles peuvent mériter. L’Écriture est cependant formelle : le salut ne résulte ni en totalité ni en partie de nos œuvres (Romains 3. 20, 4. 6 ; Éphésiens 2. 8-9). Si le salut est gratuit, ce n’est pas parce qu’il ne vaut rien, mais c’est parce qu’il est si grandiose qu’il ne peut être mérité, mais seulement donné.

Deuxièmement, nos œuvres ne peuvent pas être méritoires, car elles sont inutiles à Dieu. Jésus rappelle notre posture face à Dieu par la parabole du serviteur inutile qui révèle que nos œuvres, bien que dues, n’obtiennent pas un dû : « Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites: Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire » (Luc 17. 10). Dieu ne peut rien nous devoir, car nous ne pouvons rien lui apporter (Job 41. 2 ; Romains 11. 35). Ainsi, quoi qu’elles soient et quoi qu’elles vaillent, les bonnes œuvres ne peuvent jamais mettre Dieu en dette envers l’être humain. Nos œuvres peuvent être profitables à l’être humain et même mériter d’être rémunérées (Luc 10. 7 ; Actes 18. 27) ; elles ne sont cependant pas équivalentes devant Dieu (Job 22. 2-3).

Troisièmement, nos œuvres, dans la mesure où elles sont bonnes, viennent de l’Esprit de Dieu en nous. Dieu nous devrait-il un salaire pour quelque chose qu’il fait Lui-même ? La capacité de produire du fruit agréable à Dieu est une grâce (Galates 5. 22). Les bonnes œuvres sont le fruit et non le prix de la vie éternelle (2 Corinthiens 5. 17-18 ; Jacques 2. 18).

La quatrième raison qui nous est donnée pour contester la théologie du mérite est l’imperfection de nos œuvres. Comment des œuvres imparfaites et encore souillées par notre corruption pourraient-elles satisfaire la Justice divine ? Les œuvres des croyants sont peut-être bonnes, mais elles ne sont pas parfaites. Il ne s’agit pas d’une contradiction, mais d’une distinction entre la valeur propre de nos œuvres et leur valeur en Jésus-Christ.

En s'arrêtant ici, nous pourrions conclure que les bonnes œuvres n’ont aucune valeur devant Dieu, mais cette conclusion serait fausse. Non seulement les œuvres des croyants sont agréées par Dieu, mais elles sont aussi récompensées par Lui. Comment est-ce possible après tout ce qui vient d’être dit concernant l’absence de mérite propre aux bonnes œuvres ?

Néanmoins, les croyants étant acceptés par Christ, leurs œuvres bonnes sont elles aussi acceptées en Lui. Cela a lieu non parce qu’ils sont en cette vie entièrement innocents et irréprochables devant Dieu, mais parce qu’il plaît à Dieu, qui les considère en son Fils, de les accepter, et de récompenser ce qui est sincère bien que ce soit accompagné de nombreuses faiblesses et imperfections.

La base de l’acceptabilité de nos œuvres est la même que l’acceptabilité de nos personnes devant Dieu : l’une et l’autre sont acceptées par la médiation de Jésus-Christ (Hébreux 11. 4). De la même façon qu’Aaron devait porter symboliquement l’impureté d’Israël pour que ses offrandes soient agréées devant l’Éternel (Exode 28. 38), Christ intercède efficacement pour nous afin que nos œuvres soient agréables à Dieu (1 Pierre 2. 5). Quel repos de savoir que nos œuvres, si imparfaites soient-elles, sont néanmoins déclarées bonnes et sont acceptées par Dieu en vertu de la foi en son Fils Jésus !

Qui plus est, ces œuvres rendues bonnes par la médiation du Christ, seront récompensées. Ces récompenses ne sont manifestement pas une rétribution selon le mérite, mais une faveur selon la grâce. Tout ce que Dieu ajoute au salut mérité par le Fils est une grâce (Romains 8. 32). Ainsi, toute doctrine des récompenses ne doit pas être appréhendée dans la catégorie du mérite, mais dans celle de la grâce. Le bon et fidèle serviteur qui a fait peu, mais qui reçoit beaucoup (Matthieu 25. 20), ou les ouvriers de l’Évangile récompensés au Jugement Dernier (1 Corinthiens 3. 5-15) reçoivent ce qu’ils ne méritent pas. Il y a bien une relation entre la récompense et le travail (1 Corinthiens 3. 8), mais tout degré de supériorité est attribuable en propre à la grâce (1 Corinthiens 15. 10) et en second lieu à la responsabilité humaine (Philippiens 2. 12-13, 16).

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Reconnaitre la souveraineté et l'autorité suprêmes de Christ

15 Juin 2022 Publié dans #Divers

Nous croyons que les sentiments, le pouvoir, la puissance et la nature de Christ, n'ont pas changé. Il est le même aujourd'hui et il peut venir en aide à quiconque vient à lui et lui demande du secours. "Mais lui, parce qu’il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n’est pas transmissible. C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur" (Hébreux 7. 24-25).
"C’est pourquoi, frères saints, qui avez part à la vocation céleste, considérez l’apôtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons, Jésus, qui a été fidèle à celui qui l’a établi, comme le fut Moïse dans toute sa maison. Car il a été jugé digne d’une gloire d’autant supérieure à celle de Moïse que celui qui a construit une maison a plus d’honneur que la maison même. Chaque maison est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu. Pour Moïse, il a été fidèle dans toute la maison de Dieu, comme serviteur, pour rendre témoignage de ce qui devait être annoncé; mais Christ l’est comme Fils sur sa maison; et sa maison, c’est nous, pourvu que nous retenions jusqu’à la fin la ferme confiance et l’espérance dont nous nous glorifions" (Hébreux 3. 1-6).
L'appel est toujours valable pour tous : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger" (Matthieu 11. 28-30).
Un point essentiel de la foi, c'est de reconnaitre la souveraineté et l'autorité suprêmes de Christ et l'accepter dans notre propre vie comme Seigneur et Maître. Après avoir constater la résurrection de Jésus, Thomas se prosterna devant lui en disant "Mon Seigneur et mon Dieu" (Jean 20. 28). L'apôtre Paul considérait la souveraineté de Christ dans sa vie comme la priorité. Il l'appelle : Jésus-Christ "mon Seigneur" (Philippiens 3. 8). Ceci implique l'entière autorité de Christ sur nos pensées, nos décisions, nos paroles, nos projets, nos activités. Non seulement il est notre Sauveur, mais aussi notre Maître, Celui a qui nous obéissons sans conteste, comme de vrais disciples. Il disait à ceux qui croyaient en lui : "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples" (Jean 8. 31).
Écouter les instructions de Jésus, accepter son autorité, obéir à sa Parole, c'est une attitude raisonnable et indispensable, pour construire notre vie, comme Il le dit : "Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc. Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison: elle est tombée, et sa ruine a été grande" (Matthieu 7. 21-27). Nous comprenons que l'essentiel ce n'est pas de faire des miracles ou prophétiser mais d'obéir au Seigneur Jésus-Christ !

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Pourquoi parler de Jésus est à la fois difficile et joyeux ?

14 Juin 2022 Publié dans #Divers

Difficile et joyeux. Ces deux mots ne semblent pas pouvoir se trouver ensemble dans une même phrase, n’est-ce pas ? Selon nous, ce qui est difficile ne peut pas être joyeux. Et ce qui est joyeux ne peut pas être difficile. Mais soyons convaincus que le fait de parler de Jésus est quelque chose à la fois de difficile, tout en étant une joie et un privilège énorme.

Soyons encouragés à toujours garder en mémoire ces deux constats : parler de Jésus, c’est difficile, mais parler de Jésus, c’est toujours une joie.

Parler de Jésus, c’est difficile

Ok, ça semble un peu bizarre de commencer par ça. Mais il faut l’avouer : oui, parler de Jésus autour de soi est difficile.

Le fait de partager l’Évangile, peu importe le contexte et les personnes qu’on a en face, est toujours un combat dans une certaine mesure. Ça implique pour nous de « sortir de notre zone de confort ». Faire le premier pas. Ouvrir la bouche. Prendre position. Dire quelque chose qui, bien que vrai, n’est pas forcément facile à entendre. Accepter d’être moqué. Bref, il y a des obstacles. Partager l’Évangile demande un effort de notre part. Ça nous coûte. Parler de Jésus, c’est difficile.

Mais en fait, ça concerne tout le monde. Ne croyons pas que tu es le seul à ressentir ça ! Nous sommes tous comme ça. L’évangélisation n’est facile pour personne.

Oui, il y a des personnes plus à l’aise que d’autres. Certains sont timides tandis que d’autres ont l’air de n’avoir peur de rien et de pouvoir parler à n’importe qui super facilement. On a tous un caractère différent, ce qui fait que le niveau de difficulté ou les obstacles qu’on ressent varient d’une personne à l’autre. Mais c’est difficile pour tout le monde. On a tous du mal à franchir le pas, et à commencer à parler de Jésus à nos amis.

C’est une réalité : parler de Jésus, c’est difficile pour tout le monde. Mais ne te décourage pas ! Il y a autre chose à garder en mémoire.

Parler de Jésus, c’est toujours une joie

C’est difficile, mais ça vaut le coup. C’est dur, mais on ne regrette jamais. Ça nous coûte, mais le jeu en vaut la chandelle. Parler de Jésus, même si c’est difficile, est toujours une joie.

Est-ce qu’il y a un privilège plus grand, un honneur plus considérable, une tâche plus digne que celle de rendre témoignage de notre Seigneur et Sauveur Jésus ? D’être les témoins du plus beau Nom que le monde n’ait jamais connu : celui de Jésus-Christ ? De partager autour de nous le message le plus glorieux de l’histoire : le message de l’Évangile ? Non, il n’y a rien de comparable ! Quel bonheur de pouvoir connaître Jésus-Christ et de le faire connaître !

Un évangéliste témoignait ainsi : "Quand je regarde en arrière, sur les quelques années derrière moi, je ne vois pas une seule fois où je regrette d’avoir parlé de Jésus. Il n’y a pas une seule fois où je regrette d’avoir ouvert la bouche, d’avoir franchi le pas, d’avoir osé parler de l’Évangile. Même si parfois ça a été dur, même si parfois ça a été mal accepté, même si parfois il y a eu du rejet : je ne regrette pas de l’avoir fait ! Après avoir parlé de l’Évangile à un ami, peu importe les difficultés qu’on a du surmonter, on ne se dit jamais : « Ouais, ça valait pas vraiment le coup, en fait… » Crois-moi : jamais tu ne regretteras d’avoir parlé du message du salut avec tes amis. Même si c’était dur.

En revanche, on regrette plutôt les occasions où on a pas ouvert la bouche, où on a pas franchi le pas, où on a pas osé partager l’Évangile. Les seules occasions qu’on regrette, c’est celles qu’on ne saisit pas.

En voyant cela, on peut dire que la joie de parler de Jésus dépasse toutes les difficultés qu’on pourrait rencontrer. La joie de pouvoir partager l’Évangile prend toujours le pas sur les barrières ou les obstacles auxquels on peut faire face.

Parler de Jésus : quel privilège, quel bonheur, quelle joie !

J’espère que ces deux réalités nous encouragent dans notre rôle de témoin de Jésus. Si c’est le cas, alors proclamons-le, ce beau message de l’Évangile !

Disons-leur que l’être humain est pécheur, rebelle et coupable envers je Dieu qui est Saint, et qu’il mérite une juste condamnation de sa part. Disons-leur que le péché est grave, que Dieu est Saint, et qu’il doit punir le mal. Disons-leur que nous n’avons aucun moyen de nous sauver nous-mêmes, et que nos œuvres ne suffiront jamais pour gagner la faveur de Dieu. Disons-leur que Dieu est aussi Amour, et qu’Il a donné en Jésus le seul moyen d’être pardonnés de nos fautes, réconciliés avec lui, et justes devant sa face. Disons-leur que la mort de Jésus à la croix et sa résurrection sont pleinement efficaces pour sauver le pire des coupables. Disons-leur que Jésus est le seul chemin, la seule vérité et le seul qui peut donner la vie sur cette terre (cf. Jean 14. 16). Mes amis, n’ayons pas peur, et disons-leur !

Oui, dire ces choses est difficile. Mais le fait que ça soit difficile ne devrait pas être un frein pour nous, puisque c’est aussi toujours une joie. Et la joie prend largement le pas sur les obstacles qu’il peut y avoir.

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La foi chrétienne est la seule foi véritable

13 Juin 2022 Publié dans #Salut, #EVANGILE

« La foi chrétienne est la seule foi véritable » : Si cette déclaration vous semble étroite d’esprit, sachez que la Bible, la Parole de Dieu, nous dit : « Car étroite est la porte et étroit est le chemin qui mène à la vie… » (Matthieu 7 : 14).

Un vrai chrétien est, en fait, un enfant de Dieu, un membre du corps du Christ, à qui Dieu a donné une nouvelle vie en Jésus-Christ. C'est quelqu’un qui s’est repenti et qui fonde sa foi et sa confiance entièrement dans la personne de Jésus-Christ pour son Salut et « il n'y ajoute rien » (voir dans (2) un mélange fatal).
La véritable foi chrétienne est le fait que, sachant que nous avons péché contre le seul vrai Dieu trois fois Saint, méritant la mort éternelle et que nous ne pouvons pas par nous-mêmes nous sauver de nos péchés, nous plaçons toute notre confiance dans le fait que Jésus est mort pour nous sur la croix pour payer le prix de nos propres péchés et qu’Il est ressuscité afin d’obtenir la Victoire sur la mort et donner la Vie Éternelle à tous ceux qui se repentent de leurs péchés et qui placent leur confiance en Lui pour être sauvés.

Les êtres humains ne peuvent pas être sauvés n’importe comment ou selon des critères qu'ils auraient définis eux-mêmes. Dieu est Dieu et c’est Lui seul notre Créateur qui a décidé de la manière dont les êtres humains peuvent être sauvés. Nos opinions personnelles n’ont pas la moindre importance en ce qui concerne le plan du salut. Les êtres humains peuvent s’inventer autant de fausses religions qu’ils veulent, aucune ne le mènera au seul vrai Dieu trois fois Saint. Pour être sauvé, chaque être humain doit venir à Dieu par le seul Chemin du Salut qu'Il a Lui-même tracé : c’est par son Fils Jésus-Christ et par Lui seul. Jésus-Christ est le seul chemin qui mène vers Dieu. Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul (personne) ne vient au Père que par moi » (Jean 14 : 6).
Un être humain ne peut pas être sauvé en étant simplement une « personne bienveillante » (qu’importe ce que cela puisse représenter à ses yeux). « Dieu nous a sauvés, non à cause des œuvres bonnes que nous aurions faite, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération (la nouvelle naissance) et le renouvellement du Saint-Esprit » (Tite 3 : 5). Ce n’est pas ce que nous faisons qui nous sauve, c’est ce que Jésus a fait et a accompli parfaitement pour nous à la croix, et chaque être humain doit mettre sa confiance en Jésus-Christ pour être sauvé une fois pour toutes de ses péchés qui le mènent à la mort éternelle.
Si les êtres humains pouvaient venir à Dieu par un autre chemin que Jésus seul, pensons-nous sérieusement que Jésus se serait dépouillé de sa Gloire, serait entré dans un corps charnel pour passer 33 ans dans la misère de ce monde, s’exposant au mépris, subissant la moquerie et les crachats… frappé, flagellé, une couronne d’épines enfoncée sur la tête, l’agonie de la crucifixion et une lance qui Lui transperce le flanc… Pensons-nous sérieusement qu’il allait subir sur la croix l'horreur de la mort éternelle pour ensuite ressusciter d'entre les morts ? Non ! Mais, Jésus a fait tout cela parce qu’il n’y avait aucun autre chemin, aucun autre moyen de réconcilier l’humanité pécheresse avec le seul vrai Dieu Saint et Amour, notre Créateur.

Il n’y a vraiment aucune comparaison possible entre le vrai christianisme et toutes les fausses religions de ce monde. Le vrai christianisme leur est de très loin supérieur. En réalité, le vrai christianisme n’est pas une religion, mais c'est une foi vivante, dynamique, basée sur une relation personnelle et intime avec le seul vrai Dieu qui s'est révélé à travers son Fils Jésus-Christ, Lui qui est le Créateur et le Sauveur de ce monde perdu.

NB : vous pouvez CLIQUER ICI si vous voulez savoir la différence entre l'Évangile et la religion.

POUR QUELLES RAISONS LE VRAI CHRISTIANISME POSSÈDE T-IL LA SEULE FOI VÉRITABLE ?

1. L’Évangile (la Bonne Nouvelle du Salut en Jésus-Christ) a été prophétiquement annoncé dans le jardin d’Eden (Genèse 3 : 15). Le christianisme n’a pas succombé au test du temps. Seul le seul vrai Dieu, le Dieu de la Bible, est le véritable Dieu qui est toujours et éternellement adoré dans le monde entier et dans le Ciel par tous ceux qui Lui appartiennent. Que son nom soit éternellement loué !

2. Seul le vrai christianisme garantit le Salut. Les fausses religions de ce monde ne le peuvent jamais. Savons-nous pourquoi ? Parce que précisément, elles sont totalement fausses. Elles ont été fondées sur le mensonge provenant directement du Diable. Comment quelque chose de faux pourrait-il garantir quoi que ce soit ?

3. Seul le vrai christianisme offre une solution définitive au problème du péché de l’humanité. Aucune autre religion ne peut donner une solution définitive au problème du péché de l'humanité. Ceux qui ont fondé les religions du monde (ou philosophies…) n’ont pas payé le prix des péchés. Aucun d'entre eux ne l’a jamais prétendu et aucun n’est mort pour nos péchés ! Seul le Seigneur Jésus-Christ, qui est Saint, l’a fait, Lui seul ! Comment des êtres humains pécheurs auraient-ils pu sauver qui que ce soit alors qu’eux-mêmes avaient besoin de ce salut ?

4. Seul le vrai christianisme offre une relation directe et personnelle avec le seul vrai Dieu, avec le Créateur. Aucune autre religion dans ce monde n’offre de relation directe et intime avec le seul vrai Dieu. Dans le christianisme, le seul vrai Dieu, le Tout-Puissant, le Créateur de l’univers… devient notre propre Père ! Nous qui avons reçu dans notre vie le seul vrai Dieu en mettant notre confiance en son Fils Jésus-Christ, nous sommes adoptés dans sa famille et nous devenons ses enfants légitimes ! Par Jésus-Christ, nous sommes au bénéfice d’un accès direct et illimité au Trône de Dieu. Bien plus, avec le vrai christianisme, Dieu Lui-même vient vivre en nous par le Saint-Esprit qui nous marque éternellement de son sceau. Avoir la Présence de Dieu en nous est l’expérience la plus merveilleuse et la plus joyeuse au monde.

5. Seule la véritable foi chrétienne garantit la Vie Éternelle en Jésus-Christ. Jésus-Christ est la seule et véritable Vie. À part le vrai christianisme (centré sur le seul vrai Dieu et sur Sa Parole), toutes les autres religions du monde sont fausses. Jésus-Christ est la Vie Éternelle et Lui seul offre la Vie Éternelle aux êtres humains. Jésus-Christ est le seul et unique Sauveur du monde, Lui seul a vaincu la mort… Il est éternellement Vivant !

Nous êtres humains, voulons-nous chacun expérimenter ce qu’il y a de meilleur dans ce monde ? Voulons-nous que le seul vrai Dieu de l'univers qui est le Tout-Puissant vienne Lui-même habiter éternellement en nous ? Voulons-nous une preuve que Jésus-Christ est Vivant ? Alors, si ce n'est pas encore fait, invitons le seul vrai Dieu de l'Univers à entrer dans notre cœur. Croyons que Jésus est Vivant et Il transformera notre vie à jamais si nous Le mettons au centre de notre vie.

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La vrai adoration

12 Juin 2022 Publié dans #Divers

L’adoration

Voyant en Jésus un prophète, la femme samaritaine en profite pour Lui poser une question : « Nos pères ont adoré sur cette montagne-ci et vous, vous dites qu’à Jérusalem est le lieu où il faut adorer ?».

Jésus lui dit : « Crois-moi, femme, l’heure vient où ce n’est ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père [...] Mais l’heure vient, et c’est maintenant où les vrais adorateurs adorerons en esprit et en vérité ; en effet,  le Père en cherche de tels qui l’adorent. Dieu est esprit et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité » (Jean 4. 21-24).

En esprit : c’est-à-dire de façon spirituelle et non par des représentations matérielles. Autrefois, dans l’Ancien Testament, les Israélites devaient se présenter devant l'Éternel avec des sacrifices de taureaux ou de boucs, mais maintenant, Jésus est venu nous révéler le nom du Père et l’heure est venue  où les vrais adorateurs doivent adorer, non plus l'Éternel, le Dieu d’Israël, mais le Père, non avec des cadeaux, ou par des œuvres, etc., mais en esprit. Le Fils de Dieu s’étant offert lui-même en sacrifice pour nous, nous pouvons « offrir des sacrifices spirituels, agréables à Dieu par Jésus Christ » (1 Pierre 2. 5).

En vérité : « Dieu veut que la vérité soit au fond du cœur » (Psaume 51 v. 8). Il ne s’agit pas d’accomplir un devoir religieux mais d’exprimer sa reconnaissance à Dieu dans un amour sincère et véritable. Le Père préfère une courte prière de quelques mots, et même un simple "merci" exprimé avec un amour vrai plutôt qu’une longue prière apprise par cœur et récitée machinalement.

Où faut-t-il adorer ? Ce n’est plus spécifiquement à Jérusalem ni sur la montagne des Samaritains que nous pouvons adorer (ou rendre culte). Cela peut être dans une église, un temple ou un endroit où l’on se réunit avec quelques autres croyants, autour du Seigneur Jésus qui a promis sa présence au milieu des deux ou trois assemblés à son nom (Matthieu 18. 30).

Il ne faut attendre le Dimanche matin où l'on se réunit à plusieurs pour rendre culte. On peut adorer chez soi, seul ou en famille, ou n’importe où dans la nature en contemplant la création, etc...

Partout et à tout moment, où que nous soyons, nous pouvons adorer Dieu le Père en esprit et en vérité. AMEN !

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Appelés à la liberté

11 Juin 2022 Publié dans #Divers

Nous nous sommes peut-être déjà demandé ce que signifiait la liberté, ou encore être libre. Vaste sujet, n’est-ce pas ? Si le sujet est large, il est important d’avoir des idées précises sur la nature et la portée de la liberté, et heureusement, la Bible est remplie de ressources pour nous éclairer sur le sujet.

Mais nous nous interrogeons peut-être. Pourquoi réfléchir à la nature de la liberté ? Pourquoi chercher à avoir un point de vue biblique sur la question ? Ou peut-être pensons-nous que des précisions ne sont pas nécessaires, la liberté étant manifeste. Réfléchissons-y tout de même.

La liberté, une évidence ?

Nous connaissons sûrement la définition courante de la liberté, qui consiste à dire qu’être libre, c’est faire ce que l’on veut. En tout cas, c’est l’idée qui semble la plus répandue de nos jours : nous aspirons à vivre sans aucune contrainte.

Peut-être avons-nous déjà entendu les gens dire ceci : « l’être humain est condamné à être libre ». Ces gens pensent que nous sommes non seulement libres de faire ce que l’on souhaite, mais nous sommes aussi libres de déterminer notre existence. En fait, pour ces gens, la seule entrave à notre liberté serait de ne pas pouvoir ne pas être libre : nous y sommes littéralement condamnés.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve ce portrait de la liberté assez triste. Bien loin d’être une joie ou une bénédiction, la liberté se voit être un fardeau à porter, quelque chose qui nous colle à la peau et dont on ne peut se défaire, quoi que l’on fasse.

Une très Bonne Nouvelle :

Mais si nous la trouvons triste, c’est aussi et surtout parce que la liberté est bien plus que cela. Elle est même tout autre. Dieu nous propose une vision tellement plus grande, tellement plus belle de la liberté. La liberté véritable n’est pas un fardeau, elle est un cadeau qui nous est offert. Offert à très grand prix. Voyons cela ensemble.

Nous ne sommes pas « condamnés » à être libres :

Avant d’aller à la Bonne Nouvelle, nous devons prendre conscience de la mauvaise. La Bible nous révèle d’abord que nous ne sommes pas libres. Bien au contraire. Nous lisons en Jean 8. 34 que « celui qui commet le péché est esclave du péché ». Ainsi, si nous êtres humains avons péché, nous ne sommes pas libres, mais esclaves car soumis à la loi du péché et de la mort. Nous avons donc besoin d’être libérés.

Libérés par la grâce

Maintenant la Bonne Nouvelle, c'est que nous n’avons pas à être esclaves du péché toute notre vie car nous avons un libérateur. En Jésus-Christ, nous sommes rendus libres, réellement libres. C’est ce que nous retrouvons à nouveau en Jean 8. 36 : « Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres ». Quand nous sommes encore esclaves du péché, nous ne pouvons pas, par un simple acte de la volonté, nous « auto-délivrer » du péché. C’est Dieu qui permet cela. Par la mort et la résurrection de Jésus, nous sommes libérés des chaînes de l’esclavage, et nous pouvons goûter à la merveilleuse liberté des enfants de Dieu, en grandissant en sainteté pour la vie éternelle. Quelle grâce !

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